[Mort RP][Validé: Tieffeline] .Sherinna Khorr.

Citation :

Nom du compte joueur: Brigada_Flores

Nom du perso: .Sherinna Khorr.

Race: Tieffelin

Age: 25

Alignement: chaotique Mauvais

Religion: aucun

classe(s):(ne de lvl prévu aussi si possible) : ensorceleuse 25

Arme de prédilection/domaines/école de magie: Evocation/armes exotique

Trait de Caractère: Colérique, insolente, cupide, sadique, violente, imprévisible, agis souvent sur un coup de tête sans beaucoup réfléchir.

Description physique: Petites cornes sur la tête, dents particulièrement effilées, Langues fourchues, Yeux rouges luisants, Queue non préhensible, Peau rougeâtre Odeur de soufre.

L’éveil de la colère

Ce fut non sans stupeur que je me rendis compte de l'horreur dont j'étais la malheureuse victime. Mes yeux s'ouvrirent lentement ils me piquaient terriblement. Blessé par un halo de lumière doré je les refermais aussitôt. Tout mon corps, du haut de mes cornes de tieffelin jusqu’à mes orteils brûlait alors d'une même douleur qui semblait croître, au fur et à mesure que le temps dédaignait de fuir. Le mal me dévorait littéralement. Etais-je en train de mourir? Le temps semblait s'être arrêté. Cela faisait bien longtemps que j'haletais à présent non sans raison, mon visage était trempé d'une sueur mêlée à du sang encore dégoulinant sur mes lèvres entrouvertes. Mon corps était déjà refroidi par un blizzard enragé, qui crachait à proximité. Où étais-je? Comment étais-je arrivé dans ce lieu sordide? Je décidais de retenter l'effort d'ouvrir mes yeux, seulement de la sorte, je trouverais peut être réponses à mes questions. Plus méthodique, je commençais par toiser le sol glacé, puis je posai un regard étourdi autour de moi.

Alors que ma vision s'ajustait et que mes sens me revenaient petit à petit, je me rendis compte de l’endroit dans lequel ma pauvre carcasse s'était égarée. Une grotte aux pierres dont la couleur était d'une noirceur excessive enivrait par la hauteur et la forme de ses stalagmites acérées. Bien que l'intérieur de la grotte soit plus tiède et aurait puit me protéger de ce vent meurtrier, pour une raison que je ne m'explique pas, mes pas me conduirent dehors. Chacun d'entre eux me déchirait, tous mes muscles semblaient être blessés, et pire mon bras droit était brisé.

Dehors, je fus ébloui par l'éclat aveuglant d'une neige des plus pure. La magnifique plaine qui s'étendait sous mes yeux en était intégralement couverte. La magestuosité des lieux me fit presque omettre mon état de délabrement physique. Un vent glacé me piquait de toutes part, et pourtant j'avançais implacablement. Je n'arrivait pas à distinguer un rai de soleil, on aurait dit que la neige elle même produisait une telle lumière, si intense, si pure. Trop pure... Je ne voyais que du blanc, du blanc à perte de vue. J'en devins aveugle.


Ma vision totalement anhilée, je ne me concentrais plus que sur les maigres forces qui me restaient, j'avançais toujours, et je sentais de moins en moins mes muscles, endormis par un froid qui se faisait de plus en plus coriace. Après avoir marché une éternité durant, je ne sentais plus rien, mon corps ne répondait plus. Je percute le sol, tout mon être tremble, mon corps se meurt dans l’oubli glacial.


Je rouvris les yeux, totalement remis de mes maux.
N'étais-ce là qu'un sombre songe, engendré par des pensées noirâtres?
Où étais-je, chez moi? Non, cette chambre m'était totalement inconnue. Le style ne me disait absolument rien. Des meubles trônaient dans la petite pièce qui sentait l'humidité. La voix venait d'à côté de moi, je n'avais même pas sentis sa présence tant la personne était calme et sereine.
Je fis volte face et me trouva nez à nez avec un vieil humain assez petit aux cheveux blanchis par l'âge, se caressant une longue moustache. Comment t'appelles-tu, d'où viens-tu?"
A cela je ne savais répondre, ma mémoire me faisait défaut. Tous mes souvenirs de ma vie avant cet épisode de la grotte m’étaient totalement enlevés.

J'étais atterri chez Morht, le magicien, un de ses disciples m'avait trouvé entre la vie et la mort gisant près de la rivière, leur point d'eau le plus proche. Il m'a ramené jusqu'a lui et me soigna à sa façon, me remettant bien vite sur pieds. Morth était le maître d'une guilde de magie, ouverte à toute les races et façons de vivre. Bien que morth n’ai jamais rencontré de tieffelin…
Le Maître m'accueilli, ce qui éveilla le mépris de pas mal d'élèves. Je n’était pour eux q’une sale tieffelin incrustée dans leur guilde… et ensorceleuse de surcroît. Subir les sarcasmes et les mauvaises blagues des élèves ne fut pas trop difficile. Mais certaine fois ils me lançaient des sorts assez dévastateurs, qui me laissaient blessée pendant des jours. Si bien que je devais me promener constamment avec plusieurs protections magiques. Je ne tenait pas a me plaindre de ma condition a morth. Je gardait tout pour moi, ma souffrance intérieur était grande, et ma colère tout les jours cultivée pas le comportement des humains a mon égards. Je ne rêvais que de partir, morth m’apprit que la ville de luskan, dans les royaumes oubliée était connue pour sa neutralité à l’égard des personnes telle que moi.

Je me repliais de plus en plus sur moi même, développant mon don seul dans les bois environnant. Façonnant la magie comme une énergie brute que je dirigeait a l’envie pendant que les autres disciples de morht étudiait dans leur guilde. M’entraînant au maniement de l’épée ou encore d’armes exotique comme le fouet ou la faux, armes dont je m’étonnais pouvoir les manier avec tant de faciliter. Certainement des réflexes de ma vie d’avant. Les autres disciples de Morht décidèrent un jour que ma présence leur était définitivement insupportable. A ce point aigris et jaloux qu’ils décidèrent de me capturer pendant mon sommeille et de m’assassiner en dehors du village. Mais leur plans furent contrarier, mes pouvoirs magique était bien supérieur au leurs, et je les massacrèrent de mon épée que j’avait réussit à enchantée pour qu’elle soit enflammée.

A ce moment la colère et la haine m’aveuglèrent. Et je me mis à brûler tout les bâtiment du village ainsi que la guilde de morth avec des sorts de boules de feu. L’enfer régnait maintenant partout dans le village. Je pris vite le goût de tuer. Et tenta de massacrer toutes les personnes que je rencontrais. Alors que je torturais, que je pillais le village de toutes ses richesses. Je tombais sur morth, qui me hurlait de l’aider à éteindre les flammes. Je fit mine de l’aider, puis lui fendit le crâne par derrière de mon épée. Jamais je n’avais ressentie pareille joie. Le village, la guilde, et même son protecteur le plus acharné avait été détruit de ma main et j’en ressentais un plaisir immense.

Mes souvenirs me reviennent peu a peu, le fait d’avoir fait le mal avec tant d’acharnement m’avait rendu la mémoire. Je m’appelle Sherinna khorr, tieffeline et ensorceleuse solitaire parcourant le monde pour dominer plus encore ceux que je considère comme des larbins : Les humains. Je me souviens de tout. Mon enferment dans les prisons des magiciens rouges de thay. Qui voulait m’utiliser comme composant de sort pour leur rituel. La révélation de mes pouvoirs à l’age de la puberté. Les premiers sort que je lançait dans ma cellule était ridicule et me valait de sévère mise a tabac par les gardes belliqueux des magiciens rouges. Mais un jours je réussit a force de pratique et d’entraînement nocturne, a tuer les gardes et d’exploser les portes de ma cellules en une formidable boule de feu. Je réussit ’échappait et parcourut alors le monde en solitaire.

Mais trêve de palabre, le passé est le passé, a présent je pense à mon avenir. Détruire ce village fut ridiculement facile. Voyons ce que je pourrait faire a l’échelle d’une ville, d’un pays, d’un continent peut être… je me dirige a présent vers les royaumes oubliés, et plus précisément vers luskan, pour rencontrer mes camarades tieffelin. Semer la mort à leur coté m’emplirait de joie. Et si telle n’est pas leur but, je le ferais seule…

Mmmm nécessite double validation.
Pour moi c'est bon cependant now les tieffelins sont plus aussi bien vu à Luskan, en gros t'aura pas la vie facile :')
Voilà voilà.

Validation aussi.
En plus de ce texte, je trouve que tu as fait tes preuves RP deja avec Krissa.

*réduit a l'esclavage*

Un jour alors que je visitais l'ancienne tour de garde de luskan. (Et que j'en massacrais les propriétaires.) Je tombait sur une elfe paraissant elle aussi visité l'endroit. Par jeux je lui bloqua la porte de sortie et l'obligea a choisir entre tout son or et sa vie... elle ne se laissa pas faire et après une petite joute elle réussit a s'échapper grâce a sa discrétion. Je réussit tout de même à la blessée gravement et la poursuivit à l'extérieur.

Là un homme d'une haute stature à l'armure entièrement noir était penché sur le corps d'une femme. Il l'aida à se relever et s'est alors que l'elfe que j'avais menacé quelque minutes avant apparut et somma le chevalier noir de lâcher là femme.

Je compris alors que le chevalier avait capturé cette femme. S’en suivit une conversation entre lui et l'elfe qui eu pour conclusion l'échange de la vie de cette femme contre celle de l'elfe. Sacrifice très chevaleresque, mais ô combien stupide. Je décidais alors que le chevalier ne devait pas s'en sortir ainsi. Je lui demandai tout d'abord de laisser tout le monde tranquille et de partir. Mais il débita tout un discours sur un certain maître a qui il devait amener des victimes. Il ne voulait pas lâcher l'affaire, le bougre. Je lui annonçai alors solennellement que nous allions nous battre, et qu'il y aurait beaucoup de sang. Après avoir incanter quelque protection magique je lui envoyai une puissante invocation tout en le bombardant de projectile magique. Après sa mort je me suis dit que j'en avait finit ici... j'avais tord, cela ne faisait que commencer.

Un cor se fit entendre dans toute la partie est de la forêt, un autre chevalier était présent dans l'enceinte de l'ancienne tout de garde. Il avait sonné le cor, et bientôt une troupe d'une dizaine de ces chevaliers noirs se jeta sur moi. Je combattit comme je pu, et extermina la moitié de leur effectifs mais ils était trop puissants et finir pas avoir raison de moi. Vaincue, je pu voir certain chevalier emporté avec eux l'elfe et la femme que celle ci voulait sauver. Je ne sais toujours pas ce qu'il est advenu d'elles, et je m'en moque. Trois chevalier sont alors resté avec moi, ils m'on tranché ma queue de tieffeline, j'en ressent encore la douleur. Ils me mirent des chaînes et m'appelée leur esclaves personnels.

Alors qu'ils s'amusaient à me tourmenter, un bruit se fit entendre. Un piége c'était déclenché en dessous des murailles de la tour de garde. Les chevaliers prirent leur disposition pour accueillir comme il se doit ceux qui s’approchaient un peu trop prêt de leurs affaires. Et finir par se jeter tout les trois ensemble sur leurs ennemis.

Leur ennemis, était en fait, noortse de waarn'eSS, tieffeline comme moi, accompagné d'un tyriste abrutis. Ils allait devenir mes compagnons d'esclavages... les chevaliers noirs les capturèrent et les enchaîna prêt de moi. Après quelques heures de dispute ou nous reçurent beaucoup de coup pour les avoir copieusement insulté, deux des trois chevaliers partirent et nous priment la route avec le dernier, qui nous entraîna sous la pluie dans toute la foret de luskan et nous fit traverser les plaines a l'est du croisement du nord, jusqu'au bois de trügar. Nous passâmes toute la nuit dans ce bois, avec notre ravisseur. Nous avons essayé bien des choses pour nous libérer de son emprise.

Nous avons essayer de le pousser a bout, de le charmer, de le maudire, rien ni fit. Un halfelin passant par là, l'a même aidé a plusieurs reprises, en saccageant toute nos tentatives de fuites, maudit soit il... Et je vous passe l'épisode de cet orc en robe de chambre qui essaye de nous aider avec ses poings mais qui dû vite battre en retraite sous les coups d'épée du chevalier. L’épisode de l'orc justement nous permit de dissimuler une dague. Au lendemain alors que nous marchions vers je ne sais où noorste, qui avait caché la dague dans mon pantalon, vint me la réclamer pour tuer le chevalier, ce quelle fit pendant que je simulait un mal de ventre. Une bagarre s'en suivit, nous avons tué le chevalier noir, et nous lui avons tranché la tête. Revenus dans la région de luskan je donnai cette tête à mon familier diablotin, zeramph, pour qu'il aille la mettre sur un panneau d'indication en face de l'écurie de luskan...

Mort rp
c'est bien domage...
Ca mort n'a pas fait de vague.. pas comme sa vie
une mort conne en fait.. parmit des gens qu'elle connaissait pas
personne devrait mourir seul
et vivante elle était tellement bien entourée
enfin voila...
une mort plutôt discréte...
c'est bien domage...