[Validé/disparu][Moine][E] Aurore

Citation :

Nom du Compte Joueur : LarmeSonge

Nom du Personnage : Shànïe Nÿmùnie ou Aurore.

Race : Elfe du Soleil.

Age : 170 Années.

Alignement : Loyale Neutre.

Religion : Corellon Larethian.

Classe : Moine

Arme de Prédilection : Combat à mains nues.

Trait de Caractère : Calme et relativement souriante. Elle agira en fonction de la situation, parfois avec bonté, parfois avec une neutralité maîtrisée. Mon personnage aurait perdu la nature hautaine de sa race au fur et à mesure de son enseignement. Ses promesses seront toujours tenues, et elle agira selon le code de conduite qui lui a été enseigné. Pour ce qui est du reste, je me réserve le droit de la faire évoluer en fonction des événements qui se produiront sur le module.

Description Physique : Son corps est agile, aux courbes féminines plaisantes. Sa peau est couleur bronze, ses cheveux sont d’Or, longs, lisses et légers. Ses yeux sont d’un vert profond, brillants.

Origine : Eternelle-Rencontre

Telechargement : Portrait - Aurore (Shànïe)

Apercu :

« Belle comme l’Aube qui s’étend quand l’Astre de Lumière s’élève,
Belle comme l’Etincelle de Lumière qui enflamme ses cheveux d’Or,
Belle comme le Rêve.
Un Sourire sur les Lèvres illuminant son doux visage,
Un Sourire sur les Lèvres, et le Soleil chassant l’Orage,
Un Sourire sur les Lèvres.
Elle est l’image de l’Aurore qui chasse l’Abysse,
Elle est l’image de l’Etoile qui chasse le Supplice,
Elle est l’image de la Vie. »

~Aurore~

Aurore… C’est ainsi que mon maître m’a nommée lorsque nos destinées se lièrent, dans la chaleur douillette d’une auberge, située dans la grande ville d’Eauprofonde, où ses mots m’intriguèrent assez pour me donner l’envie de lui demander, poliment, de m’exposer sa vision du monde et, charmée, de me l’apprendre. Ravi, il accepta ma requête sans outres demandes. Nous partions pour le sud…
Parfois, il murmurait ces quelques vers alors que nous méditions et cherchions à oublier le monde qui nous entourait. Nous allions de ville en ville, d’auberge en auberge, de champ en champ. En quelque sorte nomade, sans l’être véritablement.
Ses enseignements sont restés gravés en moi, au cours de toutes ces années…

« La douleur est saine, mais l’abus nuit en tout. Ne cherche pas la douleur, mais aime la, comprends la et recueille la en ton âme. Tu en feras ton alliée. »

Mon bon maître… c’est avec tendresse que je repense à tous ces moments que nous avons partagés.
Lui qui m’a offert ses secrets, son amour et sa vie. Lui qui m’a enseigné les traditions martiales de sa famille dont il était le dernier représentant. Je… je n’ai pas eu l’occasion de le remercier pour toute sa patience.

« Ton corps est la plus résistante des armures, tes jambes peuvent t’offrir la rapidité du cheval, tes poings et tes pieds font parties des plus solides et puissantes lames.
Mais n’oublie pas, la magie attise la peur… mais comme la peur, elle possède une faille, la croyance. Elle n’opère que sur ceux qui y croient. N’y crois pas, Aurore, et elle n’existera pas. »

Chaque phrase, chaque mot qu’il m’a instruit reste inscrit en moi, comme un enseignement ayant bercé chacun de mes rêves et berçant à présent ma vie, que le temps et l’émotion ne peuvent étioler. Aujourd’hui, après être remonté au nord, la mort est venue cueillir mon maître et désormais, il repose en la terre qui l’a vu naître, dans l’Epine Dorsale du Monde, où il désirait mourir et où je l’enterrais de mes mains comme il me l’avait demandé…
Il me reste encore quelques centaines d’années humaines à vivre dans son souvenir et son enseignement, sans sa présence rassurante et bienveillante à mes côtés. Je me dois de comprendre cette douleur, de l’aimer, et de la recueillir en mon âme. Mais…

« Il n’existe de douleur plus aigue que la perte d’un être cher. »

Nous avons passé 52 années ensemble, et je l’aimais comme une fille aime son père, comme le prêtre aime son dieu. Je ne dois pas oublier la douleur mais l’accepter…
Demain… je partirais pour Luskan me laissant encore cette nuit pour méditer et me recueillir sur la tombe austère de mon très cher maître. Je me fis la promesse de lui faire honneur dans chacun de mes actes.
Je gravais son nom sur la pierre qui trônait devant la terre retournée, pour ensuite fermer les yeux et m’abandonner, lentement, bercée par le vent qui soufflait sur ma peau et faisait voler mes cheveux. Laissant ma respiration s’alourdir, je libérais mes pensées pour ne faire qu’une avec la vie…

Demain…

------------------------------------------------------------------------------------

Projets (Ce que je compte faire si mon personnage est accepté)

- Une biographie plus ou moins détaillée de son enfance à Eternelle-Rencontre.
- Une chronique des différents voyages qu'elle et son maître ont effectués.
- Une description détaillée de la philosophie qui lui a été enseignée. |Réalisé|
- Une histoire détaillant le jour où son maître et elle se sont rencontrés.

(C'est un peu léger pour valider les lvls de moine donc je compte sur toi pour dévelloper un peu. Mais bon, validé, sous reserve bien entendu de dévelloper le BG comme tu l'a mis dans tes projets :p)

Validé comme Erwin *ecrit en même temps*

Préceptes

J’ai consigné par écrit les plus importants points de la philosophie qui m’a été enseignée. Pour faciliter la compréhension de ces mots et ne jamais les oublier.



Je ne dois pas chercher la douleur mais, si elle m’est infligée, je me dois de la recueillir en moi sans l’oublier, jusqu’à l’aimer et m’en faire une alliée.
Cela vaut également pour les douleurs émotionnelles ou mentales, même si, parfois, ces douleurs sont plus aigues.
Toute émotion apporte une douleur, tôt ou tard, c’est ainsi. Je dois m’ouvrir à la douleur et ne pas me renfermer sur moi-même afin de ne pas oublier et ainsi grandir.
Mon corps doit m’obéir, rejeter la maladie et le venin et devenir insensible à certaines formes de souffrances.
Mon corps doit m’obéir jusqu’à devenir l’eau et la pierre, jusqu’à refermer certaines blessures.

La Douleur est une alliée précieuse qui te couvera de tes maux. [Nilàn]



Il n’existe d’armes plus tranchantes que le corps. Ma main est la Lame, mon poing est le Marteau. Mon agilité est mon Armure, mon corps est la Cotte de Maille.
Ma survie dépend de la précision de mes gestes et de la rapidité de mes mouvements (coups, esquive).
Chaque être possède ses faiblesses, je puis les utiliser et par exemple sonner un adversaire en appliquant ma paume sur son oreille ou faire résonner mon poing sur la peau qui recouvre l’os protégeant le cœur.
Fuir le combat est une manifestation de lâcheté et un affront à l’enseignement que j’ai reçu.
L’entraînement est un passage obligatoire de l’apprentissage total de l’art que mon Maître m’a appris. Je me dois de progresser chaque jours qui se lève, et de rechercher le savoir de ceux qui peuvent me l’offrir.

Sois la Lame. Sois le Marteau. Sois l’Armure. Sois l’Eau. [Nilàn]




Faire Abstraction du Monde qui m’entoure, afin de ne faire qu’un avec lui et m’abandonner à cette impression de bien-être qui me submerge, est un besoin à présent.
Que j’aime me perdre devant l’aube, et m’oublier sous la pluie qui caresse mon visage ou sous l’eau d’une cascade.
Laisser mes pensées voler au gré du vent, et plonger mon corps dans le mutisme de l’émerveillement.
C’est la base de l’être que je suis, ce qui me suit le jour et la nuit et me permet de grandir à chaque aurore qui se lève.
Amplifier mes sens jusqu’à ce que le moindre son me parvienne et résonne en moi.

La Méditation est un art aussi indispensable à ta survie que celui du combat. [Nilàn]




Je me dois de posséder le nécessaire à ma survie, équipements et nourriture, et d’offrir ce qui ne l’est pas pour moi à qui cela le sera.
Je dois rembourser mes dettes le plus rapidement possible afin de n’en avoir aucune qui pourrait limiter mes choix et ma vie.
Faire plaisir aux personnes que mon cœur chérit afin de leurs arracher un sourire et, ainsi, consolider les relations que j’entretiens avec ces êtres.

L’Egoïsme et la Vénalité sont des barrières que trop se posent. Aimer et donner pour grandir. [Nilàn]



Je me dois d’être loyale dans mes relations, aussi bien avec l’être qui gouverne mon cœur qu’avec ceux avec qui j’entretiens des relations amicales.
La trahison me répugne et le mensonge malfaiteur tout autant, je ne dois mentir que lorsque c’est nécessaire et non par plaisir.
Je dois respecter tout être me respectant, ennemi ou allié, car le respect est un honneur que même les ennemis peuvent s’accorder.
Cependant, j’ai du mal de me montrer respectueuse envers certains être abjecte.

Tu ne peux que quérir le respect que tu offres. [Nilàn]



Toute créature a sa place en ce monde, qu’il ait du sang orque, elfe ou draconite, cela ne change rien à la place qu’il occupe dans l’équilibre qui nous berce tous dans une monotonie tellement importante à nos yeux.
Le bien combattra toujours le mal, le mal combattra toujours le bien.
De Paix en Guerre et de Guerre en Paix…
Cela ne cessera jamais.
Ceux qui doivent mourir mourront, ceux qui devront vivre vivront.
Cela conserve l’équilibre.
Je me dois de ne posséder aucun préjugé racial, bien que certaines espèces attisent encore la peur au sein de mon cœur.
Je désire mettre mes talents et ma discipline au service d’une cause qui me semble juste et reflechie… Dans ce monde, il y’a ceux qui font respecter les lois misent en place et ceux qui les enfreignent. Je suis particulièrement attirée par ceux qui la font régner.

Chaque Être est indispensable à la survie de l’autre, par sa Mort ou sa Vie. Par ses actes, où son absence de libre arbitre. [Nilàn]



La magie est la Peur, la Peur attisent la magie. Comme la douleur, il m’a été révélé de la comprendre afin de la dompter et afin de ne plus en être affecter. Plus la magie sera puissante et/ou impressionnante, plus elle attisera cette peur en moi qui me rendra vulnérable à ses assauts. Je dois dominer ma peur, et ne pas la laisser dicter mes actes.

La Peur est une perte de Soi. [Nilàn]

Je ne dois pas la pratiquer moi-même, et m’en servir que rarement. Il existe des potions amplifiant mes sens, mon agilité et ma force, mon maître n’a jamais précisé que je ne devais pas utiliser de potions. Ainsi, je suppose que je puis faire usage de ces désagréables liquides.



La Haine et la Colère font parti de ces choses qui mènent à la perte de soi. [Nilàn]

C’est cela que mon maître m’a appris, mais certains idéaux me semblent aujourd’hui bien difficiles à appliquer.
Repousser la Haine et la Colère n’est pas toujours aisé et parfois, elle prend le dessus sur mon être. Mon enseignement récent m’a appris que si je ne peux pas maîtriser ces sentiments, je dois en faire usage.

Si tu n’arrives pas à contrôler ta colère, alors utilise la. [Sybilla ou Sania]



L’amour, plus destructeur que la haine et pourtant si proche. C’est un besoin, une idée que je n’arrive pas à chasser. L’on m’a dit que si je désirais atteindre la perfection de l’être, je ne devais plus aimer.
Je ne peux le croire. Ce bonheur qui enlace mon âme quand ces mots effleurent mes sens.

Je t’aime. [Sania]

Cela sûrement l’obstacle le plus dure sur cette route, mais je dois le franchir et je ne désire pas le fuir. Non, je ne puis vivre sans cette tendresse, sans cette chaleur qui emplit mes pensées. Je ne dois simplement pas me perdre.
Un être pour compléter le mien et m’aimer, et ainsi me guider à la perfection de moi-même. Un être pour m’aimer sans me trahir et auquel je serai fidèle.

[Il reste un espace vide dans le cahier.]

HRP : Je pense avoir inscrit les principaux préceptes joués par mon personnage, peut-être y’en a-t-il qui m’ont échappé. Dans ce cas, je m’empresserais de les rajouter. Merci à Terenichouh pour la brève aide qu'il m'a apporté.

Au chaud au cimetière

Je l'exhume, mais pense à renseigner les informations manquantes dans le cadre de présentation.