[Validé/Disparu][Moine]Louis

Citation :

Nom du compte joueur forum : eomir
Nom du compte joueur module : eomir33
Nom du perso : Louis
Race : Nain
Age : 50 ans
Alignement : Loyal neutre
Religion : Tyr
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Moine Lvl 25
Arme de prédilection/domaines/école de magie : Poings
Langues : *commun*
Trait de Caractère : jovial, bavard, genereux
Description physique : Petit, musclé, la barbe rasée, les cheveux rasés, laid
Langues parlées : Commun

Caractéristiques :
FOR : 15
DEX : 15
CON : 12
INT : 10
SAG : 16
CHA : 6

De son origine :
Un soir d'été, Lucien et gilberte se reposaient assis sur un banc à l'abri sous l'avant toit de leur petite maison en bois. Il faisait chaud et gilberte s'éventait à l'aide d'un bouquet de fleurs odorantes et de menthe qu'elle avait cueilli un peu plus tot dans la soirée.
- il fait lourd ! tu ne trouves pas ? demanda gilberte.
- les hirondelles volent bas. il va certainement pleuvoir.
Comme pour confirmer les propos de Lucien un souffle de vent humide balaya le sol sur le chemin. La porte de la maison se referma avec violence.
Dans le ciel, des nuages noirs s'amoncellaient, signe avant coureur de l'orage qui approchait.
Soudain on endendit un cri d'alerte qui semblait venir du bois situé non loin de la ferme.
Lucien et gilberte se leverent tétanisés.
Puis tout alla tres vite, on entendit, portée par le vent, des bruits de combat, épées qui s'entrechoquent, cris de guerre, cris de douleurs.
Lucien et gilberte se regarderent et sans un mot, se précipiterent dans la maisonnée afin de s'y barricader.
Une fois a l'interieur la porte fermée et condamnée par un espar placé en travers et les volets tirés, un silence regnait.
Lucien avait saisi un couteau et regardait la porte, debout au mileu de la piece, comme hypnotisé. Gilberte s'etait refugiée pres de la cheminée et ne bougeait plus.
LE temps sembla s'arreter. l'atmosphere etait lourde.
Puis la pluie comnença a tombée. on entendait par moment le tonnerre grondait.
un coup résonna à la porte. Lucien se raidit. Gilberte affolée lacha un petit cri de surprise.
Puis plus rien, de nouveau le silence.
LE temps passa.
- tu devrais aller voir murmura gilberte.
- tu es folle ou quoi lui repondit Lucien dans un souffle.
LE temps passa encore ...
Et au bout du compte le soleil se leva sur le Cormyr. La pluie avait cessée pendant la nuit mais Lucien et gilberte n'avaient pas bougés et ne s'en était pas rendu compte.
un rayon de soleil finit par passé par un interstice d'un volet et alla frapper le visage de Lucien le sortant de son etat.
- on en peut pas rester comme ça dit il d'une voix enrouée. et il souleva l'espar et le déposa au sol. puis il entrouvit la porte avec prudence.
- Par les neufs enfers ! jura t il.
un petit homme en armure etait couché en travers du seuil, au beau milieu d'une marre de sang maintenant coagulé.
- gilberte ! cria t il. Viens voir!
gilberte vint le rejoindre.
- Oh Mon dieu ! s'exclama t elle!
- c'est un nain.
-Ce que nous avons entendu hier soir etait bien un combat dans le bois dit-il. Je vais aller voir. peut être y a t il des survivants ?!
- Non ny vas pas c'est peut être encore dangereux ! gémit Gilberte.
- Bon alors que faisons nous ? dit il la regardant méchamment.
- tu devrais prévenir le seigneur Armand des troublecor de suzail. Il saura quoi faire supplia gilberte.
- bon j'y vais dit il l'air contrarié.
Lucien enjamba le nain et partit sur le chemin de la ville. Enferme toi dans la maison femme! cria t il s'en se retourner. On ne sait jamais !

Plus tard le seigneur Armand entouré de ses chevaliers déboucha du chemin que lucien avait emprunté. Gilberte sortit de la maison.
- oh Femme ou se trouve le lieu du combat demanda t il ?
- dans le bois, la-bas Mon Seigneur dit elle en montrant l'oret du bois du soupir, au nord de sa maison.
- bien allons y dit-il à ses chevaliers. Chevalier Demetrius mettez pied à terre et occupez vous du nain ! Puis il donna des talons et partit en direction du bois.

Une bonne heure passa. Le chevalier demetrius avait inspecté le corps du nain et l'avait déposé dans la charette de Lucien et gilberte. Il y avait attelé Ardant le cheval de trait et se reposait a l'ombre de la grange. il faisait chaud.
Gilberte lui avait proposé un peu d'eau mais il avait refusé. Par moment il la regardait d'un air dégouté. Et gilberte commencait à se sentir mal a l'aise.

Puis le seigneur Armand revint entouré de ses chevaliers, tenant d'une main ses renes et de l'autre un paquet de chiffon.
Femme dit il ! Il y a eu un combat dans la foret des nains ont combattus des gobelins !
La bataille a du faire rage et nobreuses sont les victimes!Mais malheureusement les nains ont tous succombés.
CE que je vois c'est que l'un des leurs est venu jusqu a votre ferme et vous l'avez laisser mourrir sur le seuil de votre porte !
Mais... gémit Gilberte
Demetrius hocha la tete pour confirmer les dires de son seigneur.

Quand je disais que tous les nains avaient succombés reprit le seigneur Armand, ce n'est pas totalement vrai ! et il montra le paquet de chiffons. Un bébé a survécu !
Si ton mari etait venu nous chercher lors de ce combat ce bébé aurait encore une famille !
Par votre inaction vous n'avez pas porté secours a ces nains. Je ne peux le tolerer ! En consequence de quoi pour vous punir je vous confie ce bébé afin que vous l'eleviez comme votre fils....... et ton mari recevra douze coups de fouet pour faire bonne mesure..
gilberte prit le bébé que le seigneur Armand lui tendait, sans mot dire.

Nous emmenons votre cariole nous allons nous occuper des nains ! En avant dit il et il partit en direction du bois.

Ainsi Louis puisque c'est de ce nom que ses parents adoptifs l'appelerent, venait de commencer une nouvelle vie.
Une vie d'humain......

De sa jeunesse :

Ses premieres années de son enfance se passerent agréablement. souvent il courrait dans les prés à la decouverte des mysteres de la nature. ou bien il montait dans les arbres pour y denicher des oeufs de coucou.
on le voyait sur le toit de la ferme le soir a regarder le soleil se coucher.
au fil du temps et a force de monter sur tout ce qui avait une certaine hauteur, il avait developpé une agilité remarquable qui lui permettait de marcher debout sur une branche sans se tenir et parfois meme les yeux fermés.
Mais vous allez me dire que la nature d'un nain devrait le pousser plutot a rechercher des endroits sombres et souterrains.
Pour Louis qui avait été eduqué par des parents fermiers seul le plein air avec son ciel bleu et son soleil bienfaiteur etaient naturel.
Les travaux de la ferme etaient durs et Louis devait faire usage de la force pour aider son pere. la aussi il finit par developper un corps assez bien charpenté pour l'aider dans ses taches journalières.

Son adolescence fut plus mouvementé. Son pere adotpif ne l'aimait pas. il faut croire que les douzes coups de fouet lui restaient encore douloureux. Alors Louis payait pour la honte et l'amertume de son pere. Sans relache il devait s'occuper des travaux les plus ingrats de la ferme et souvent il etait battu par son pere mecontent.
Mais cela ne le pertubait apparement pas. il se disait que chacun devait vivre ce qu'il vivait.

il se disait que la vie etait comme cela voila tout. il n'en tirait donc aucune rancoeur.

Il avait fait un séjour tres court a l'ecole. cela s'etait tres mal passé.
les autres enfants ne l'aimaient, ni le maitre d'ailleurs. ce dernier le trouvait trop stupide quand aux premiers le fait qu'il fut nain etait toujours une source de plaisanterie.
cela finissait généralement en bagarre. Louis agile et fort ne se laissait pas faire et quand la plaisenterie allait trop loin il utilisait les poings et rossait les plus impetueux.
On aurait pu croire qu'apres avoir demontré qui etait le plus fort il aurait été accpeté peut etre pas par admiration mais tout au moins par crainte.
Il n'en fut rien. LEs autres enfants continuaient a le harceler.
Evidemment ces bagarres ne restaient jamais impunies et bien qu'il n'en etait jamais la cause c'etait pourtant lui qui etait désigné comme l'auteur des troubles. Il s'en suivait regulierement des seances de batonage effectué avec la plus grande application par le maitre d'ecole, sous les yeux de ses petits camarades tres satisfait.
La encore on aurait pu croire que Louis aurait pu en garder une certaine rancoeur. Mais non.
Rien. Louis se disait que c'etait sa faute que c'etait bien merité.
Apres quelques années passées a l'ecole sans resultat remarquable le maitre le renvoya pour bavardages incessants et trouble de la classe.
il est vrai que Louis parlait en classe et il posait des questions constament. cela horripilait son maitre qui estimait qu'avant tout les eleves devaient ecouter.

Coté coeur, comme vous l'imaginez, c'etait le calme plat. Louis etait laid, pas parcequ'il etait un nain mais plutot parce que la nature avait etait ingrate avec lui. Il etait né laid et avec le temps son apparence ne s'etait pas améliorée. bien sur il etait bien batti coté muscles mais ses bras semblaient trop long et ses jambes trop courtes.
En d'autres termes il etait antipathique. Alors pour séduire une jeune fille il n'avait aucune chance.

Les adultes du village proche de sa ferme ne l'aimait pas. c'etait un nain et un nain n'avait pas a etre parmis eux. Souvent ils se moquaient de lui quand ils l'apercevaient
hé le nain ! ca va aujourdhui. !
Regardez on dirait qu'il a les bras qui touchent le sol ! on dirait un singe !
s'exclamaient ils en riant.
parfois Louis repondait laconiquement en s'enfuyant. L'important c'est que j'ai les pieds qui touchent le sol.

Sa santé n'etait pas des meilleurs et il lui arrivait regulierement de tomber malade.
On aurait pensé qu'un nain, connaissant leur constitution légendaire, n'était jamais soumis a ces inconvénients. Et bien pas Louis. il etait plutot fragile. cela devait venir du fait qu'il avait toujours etait nourri avec des aliments cuisinés par des humains.
S'il avait vécu chez les nains sa constitution aurait bien meilleur cela est certain.

Et les années passerent doucement, Louis travaillait a la ferme, se disputait avec son pere, se querellait avec ses voisins , se bagarrait avec les jeunes du village.

ET sa mere me demanderez vous ?
Et bien sa mere avait ete tendre avec lui. Elle, elle l'aimait. parce qu il avait été son seul fils et aussi parce que c'etait naturelle qu'une femme recevant un bébé dans ses bras finissent pas s'y attacher. Elle l'avait nourri , elle l'avait nettoyé, elle l'avait soigné.
Elle avait cru mourrir de peur le jour ou on l'avait trouvé inconscient apres etre tombé du toit de la grange de la dime.
Elle avait cru mourrir de bonheur le jour ou il etait revenu du marché annuel avec une robe toute neuve comme cadeau pour sa mere. Comment avait il pu l'acheter s'etait elle toujours demandé?

ET puis ses parents decederent. d'abord le pere car il buvait beaucoup a la fin sa vie.
un soir ou il etait partit boire un petit verre au village comme il aimait a le dire, il etait tombé dans le ruisseau. Quand on l'avait decouvert au petit matin il etait transis de froid. on avait bien essayé de le mettre dans le fumier afin qu'il se rechauffe mais cela n'avait pas suffit. il etait mort quelques heures plus tard.
Louis n'avait pas semblé peiné de la mort de son pere. pour lui il fallait bien mourrir un jour.
Quand ce fut le tour de sa mere, Louis pleura longuement

Il etait seul.

De sa rencontre avec maitre Xi :

Un jour qu'il chargeait sa charette de sac de pommes terre il entendit une voix derriere lui.
Dites moi mon ami n'auriez vous pas un peu d'eau à donner à un pauvre pélerin ?
Louis se retourna et regarda ce vieil homme qui se tenait davant lui sur le chemin.
Il etait vouté et s'appuyait sur un baton qui avait l'air aussi vieux que lui. Ses vetements etait consitués d'une vielle robe de bure elimée qui laissait apparaitre des trous par endroits. la propreté n'atait pas non plus de mise et on voyait de grande tache de couleurs brunes sur les manches et le devant de sa robe.
Il semblait épuisé et pres de s'ecrouler dans la poussiere du chemin.
Louis ne pu réprimer un élan de compassion et lui tendit sa gourde.
Tenez vieil homme voici ma gourde ! ce n'est que de l'eau mais elle est bien fraiche !.
Mais ne restez pas la au milieu du chemin! venez vous asseoir a l'ombre de ma charette !
Le vieil avança en boitant. il butta sur une pierre et ce serait etalé sur le sol si Louis ne l'avait pas rattraper par le bras in extremis.
Hola vieil homme attention ou vous mettez les pieds ! il ne manquerez plus que vous vous cassiez un membre !
assis a l'ombre ils discuterent ensemble un moment sur le temps a venir sur les deboires d'un paysan avec ses recoltes. de la vie de Louis, des questions qu'il se posait sur qui il etait vraiment. ils discuterent si longuement que le soleil commença a disparaitre a l'horizon.
Dites moi mon ami dit Louis il se fait tard avez vous un endroit ou dormir?
nenni repondit le vieil homme a part n'importe ou la nature m'accepte.
Bon et bien je vous propose de venir chez moi nous pourrons diner et puis si le coeur vous en dit terminer notre discussion.
le vieil homme eu les yeux qui petillerent. Avez vous de l'eau de vie dans votre maison ? demanda t il
Oui bien sur repondit Louis.
Alors allons y s'exclama le vieil homme et il se releva d'un bond sous les yeux ahuris de Louis.
Il se tenait maintenant debout bien droit la tete haute. Et il faisait tournoyer au bout de son bras, son baton comme le font de temps en temps les gens du spectacle.
Voyez vous mon ami dit il c'est votre premiere leçon : ne vous fiez pas aux apparences !

Je mappelle Xi ! maitre Xi et je suis philosophe. Et il me semble que vous avez besoin de mon aide.

De sa formation :


Quelques jours passerent ou Maitre Xi et Louis bavarderent ensemble sur les questions que se posaient Louis.
Louis etait il humain parce qu'il avait toujours vécu avec les humains ? parce qu'il en avait hérité les coutumes comme par exemple se raser la barbe ce qui est impensable pour un nain ?
ou bien etait il un nain ? tout simplement par ce qu'il etait de race naine ?

Maitre Xi etait vieux certes, mais il etait en parfaite condition physique.
A la surprise de Louis il l'enmena courrir tous les matins afin disait il quil puisse acquerir le souffle necessaire a la vrai meditation. Son postulat etait que la vrai meditation s'obtenait en controlant parfaitement son souffle. il fallait proceder par un enchainement de courtes inspirations successives a un rythme qui s'accelerait progressivement puis on procédait de la même manière pour les expirations.
Louis avait au tout debut failli s'etouffé. Mais La course lui avait permis non seulement de developper son souffle mais aussi sa vitesse. Force etait de constater qu'il courrait maintenant beaucoup plus vite.
D'autres exercices consistaient a ne pas etre toucher par le baton de maitre Xi. Souvent, Louis se couchait le soir avec de jolis bleues sur tout le corps.
Maitre Xi disait qu'il fallait savoir rester humble quand on n'avait pas acquit la vitesse de la foudre.
Les jours passerent et Louis etudiait avec Maitre Xi.

Au fil du temps sans qui le sache vraiment Louis devint le prototype du parfait moine combattant.

ET sa ferme me demanderez vous ? et bien elle etait a l abandon. Louis ne s'en occupait plus et l'herbe poussait folle dans les près.
Maitre Xi connaissait la valeur des plantes et vendait ses remedes surles marchés ce qui leur permettaient de se constituer un petit pecule.
ils vivaient tout les deux de ces maigres moyens.

de son voyage a padhiver :

Un jour Maitre Xi dit à Louis que s'il voulait comprendre qui il etait il fallait qu'il rencontre des nains et peut etre en cette occasion il pourrait obtenir les clefs qui lui manquaient pour lui permettre d'ouvrir son moi profond.
il deciderent de voyager. et un matin de printemps ils prirent la route.
Ils comnencerent par aller un peu partout ou leurs pas les menaient. Mais cela ne suffisait pas a Louis et il devenait plus pressant aupres de Maitre Xi.
Au detour d'un chemin apres avoir rossé un bandit qui avait eu l'audace de leur demander leurs biens Maitre Xi se tourna vers Louis et lui dit Tu sais Louis maintenant que j'y pense je sais ou nous devons aller !
Louis fut surpris. et ou Maitre Xi devons nous nous rendre demanda t il ?
A padhiver! repondit Maitre Xi . J'ai un ami labas et il saura t'aider.

Plusieurs mois plus tard ils embarquerent donc sur un bateau en partance pour padhiver.
MAis la chance n'etait pas au rendez vous et le navire essuya tempete sur tempete pendant qu'il faisait route au nord.
la derniere fut d'une rare violence. Les vagues deferlaient, les mats transpercaient les nuages et le vent couchait la coque par le travers.
un sinistre craquement se fit entendre pendant la nuit et le navire se coucha sur son flanc.

Louis qui etait monté sur le pont afin de soulager son estomac soumis a rude epreuve fut emporté par les flots dechainés. il s'aggrippa a une brique qui etait passée par dessus bord et
se laissa balloté par la mer en furie.
Au petit matin il s'echoua sur une plage non loin de Padhiver completement epuisé.
A la fin de la journée il chercha desesperement maitre xi. Mais il ne trouva aucune trace de sa personne.
il dormit sur la plage d'un sommeil agité.
Demain serait un autre jour !

(voila et je suis un peu fatigué)

Je valide

ouf
merci