Le Val de Bise - Module NWN Forum du Val de Bise, module RP de Neverwinter Nights |
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| [Reroll][Barde/Ensorceleuse][H] Fëydht Raütha De Llorkh | |
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bilay_kayfa Eclaireur du flood
Nombre de messages : 22
| Sujet: [Reroll][Barde/Ensorceleuse][H] Fëydht Raütha De Llorkh Lun 19 Oct - 16:35 | |
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- Nom du compte joueur forum : bilay_kayfa
Nom du compte joueur module : bilay_kayfa
Nom du perso : Fëydht Raütha De Llorkh Race : Humaine Age : 25 ans, née à Llorkh le 11 du mois de Alturiak en 1373 [+5 ! 30 ANS SUITE AU RITUEL D'INVOCATION]
Alignement : chaotique mauvaise Religion : Le seigneur Démon Orcus, le maître de Thanatos, souverain de Naratir', le ténébreux prince des morts vivants.
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Barde4/Ensorceleur21 Arme de prédilection/domaines/école de magie :Nécromancie épique et invocation supérieur [Démonologie, Nécromancie]
Langues parlée : Commun Chondathan draconien abyssal
Familier/Compagnon animal : Diablotin
Trait de Caractère : Semble souriante mais dans le fond de ses yeux brille une froide lueur que seul laisse la tristesse sur son passage funeste. Tres calme et patiente, attendant son heure, ses exces de colère sont cependant terrible. Pratique souvent la corruption et rien ne lui fait plus plaisir que d'inciter un individu bon à commetre un acte maléfique.
Description physique : Magnifique jeune femme à la peau de pêche et blanche comme la neige, cheveux noir au reflet roux, souvent habillée d’une armure rougeâtre au reflet cendré, ou de robe noir aux décolté plongeant. Maquillée la plupart du temps de noir leger autour des yeux, porte un pentacle autour du coup. [DE PETITES CORNES SUR LE HAUT DU CRANE, EFFET SECONDAIRE D'UN RITUEL D'INVOCATION] Un tatouage scarifié sur le bas ventre représentant orcus, utilisation d'encre noir coulé dans les cicatrices.
Déroulement de la progression :
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Niveau Don Niv. 01 Expertise du combat / Expertise Suprême Niv. 02 Niv. 03 Incantation Statique Niv. 04 Niv. 05 Niv. 06 Port D’armure Lourde Niv. 07 Niv. 08 Niv. 09 École renforcée (Nécromancie) Niv. 10 Niv. 11 Niv. 12 École supérieure (Nécromancie) Niv. 13 Niv. 14 Niv. 15 École renforcée (invocation) Niv. 16 Niv. 17 Niv. 18 École supérieure (Invocation) Niv. 19 Niv. 20 Niv. 21 École Renforcé Epique (Nécromancie) Niv. 22 Niv. 23 Niv. 24 Sort épique (Armure de Mage Epique) Niv. 25
Caractéristiques (Au niveau 25) : FOR : 10 DEX : 10 CON : 12 INT : 14 SAG : 08 Cha : 24
***Livre des ombres De Fëydth Rautha De Llorkh***Sort NWN :
- Citation :
- Source et inspiration utilisées pour l'écriture du bg et de l'histoire :
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***Contexte du début du récit 1398 Mois de Hammer. Un soir de pleine lune dans une auberge d’eauprofonde, un vieil homme raconte à qui veux l’entendre la sombre histoire d’une jeune femme qui aimait trop les pouvoirs des ténèbres.***Ecouter moi, je suis vieux et je vais mourir, plus personne ne saura, non si je meure dans le secret, plus personne ne saura. Fëydh n’était pas une fille ordinaire. Née dans une famille noble de Llorkh, où la plupart des filles devenaient barde à la cour de Geildarr et de ses courtisans Zenths, Elle semblait être le centre de l’attention.
Cependant la mort tragique de son père tant aimé jeta définitivement une ombre sur sa demeure. Elle commença par refusé catégoriquement les cours et préceptes bardique de son maître pour se tourner progressivement vers une magie intuitive et puissante. Ne se doutant pas que son pouvoir inné pourrait se développer par la seule pratique. Elle commença à étudier dans de nombreux formulaire nécromantique, dans des éditions qui n’était pas pour concierges. On dit que lorsqu’elle réussit son premier sortilège d’invisibilité, dans un nid de slaad elle alla trouver la pierre « Ematilla » prisé par les plus grande ensorceleuse, et sur le coup de minuit, avait cueilli la bétoine d’eau dans le fossé d’un cimetière. A son dix-huitième anniversaire la demeure fût dérangée par les pouvoirs de la gamine, qui plongea ses gens dans la morosité et la peur la plus totale, et affaiblissant du toucher tout ceux qu’elle approchait. « Cette môme porte en elle le démon » Les gens de la ville parlaient sur son compte. Et vous savez comment sont les gens.
Alors dans une chambre où rien n’était suspendu et où tressautaient encore les restes acéphales d’une poule noire, elle invoqua certains démons. Qui ne vinrent pas. Fëydh perdit confiance dans la gestuelle et se dit : « pourquoi ne pourrais-je pas arriver au mal absolu par ma propre recherche vocale ? Elle s’entraîna à invoquer ses sortilèges sans bouger le moindre muscle, seul comptait sa voix car le démon a toujours singé le créateur… A-t-elle trouvé ? Pourquoi Non ? Les forces des ténèbres sont proches de nous et se prêtent volontiers à nos désirs. Les ténèbres sans fin suivent les coordonnées de la lumière éternelle. Un diablotin lui fût envoyé, on ne sait d’où il provenait mais Fëydh exécuta un rituel qui devait le lier à elle d’une manière si puissant que bien peu d’humain pourrait le comprendre.
Cela dit revenons à la femme même, pendule oscillant entre l’ombre et la clarté, le mal et le bien, et laissez moi proclamer que celle qui tourne le regard vers la face noire de la création et tend la main vers le sixième voile, dans l’intention d’en soulever un pan et de se gorger d’inconnu, fait montre de plus de courage que celui qui s’enfonce dans la jungle où veillent le tigre et le python. Mais on ne tue pas l’inconnu de l’autre côté de la mort et de la réalité humaine, et il réagit contre toute tentative d’intrusion sur ses terres interdites. Alors pour avancer vers l’inconnu elle tua pour se procurer de l’argent, et lorqu’elle eu assez de pièce d’or, alla se faire fabriquer une armure magnifique, toute de rouge incrustée de cendre et y fit tracer des symboles qui devait la protéger selon elle, l’idiote.
Fëydth suivit donc la sombre étoile de la peur et s’est faite son chantre, souvent abreuvée de fiel et d’hysope. Elle ne fut que rarement prise au sérieux, on l’accusa volontiers de nécromancienne et de faire cause commune avec le croquemitaine, de jouer à faire peur, de se livrer au bourrage de crânes, bref de peupler le monde de coquecigrues. Mais la peur n’est elle qu’un produit de l’imagination ? Fëydh pensa que la peur était une fin, se situant au bout de la raison, de l’entendement, de la compréhension ; c’est l’expression du désespoir devant la route barrée d’obstacles insurmontables, le premier réflexe de l’âme devant le néant absolu. Et voila comment sa compréhension arpentait le chemin tortueux de la nécromancie, et voila enfin ce qu’elle ressentait quand elle faisait naître la peur dans le cœur des autres. Car dans son esprit il n’y avait de place pour un « Nous » , il n’y avais qu’elle et les autres. Et ce qu’elle pouvait « leur » infliger comme souffrance. Fallait il qu’ils le sachent ? Fallait il qu’ils s’e doutent ? Fallait il qu’il devine même son existence ? Ho oui ! C’était même la pierre angulaire salvatrice de sa psychose, un soulagement dans la haine. Si elle avait pu se faire haïr du monde entier, elle n’aurait pas hésité une seule seconde.
Fëydh comprit comment on arrive à la peur, mais elle n’en comprit que bien tard ce qu’est la peur elle-même. Si parfois la peur prend une forme, c’est que dans l’ignorance de l’abstrait, nous lui en prêtons une et si elle est hideuse, il ne faut nous en prendre qu’à l’infirmité de nos sens. La sorcière, car c’est ainsi que nous l’appèleront dorénavant, rendit une plus seine justice encore à la peur, en la considérant comme une gardienne, sévère sans doute et sans gestes tendres, mais se dressant entre elle et un péril inconnu, qui la laisserais nue et sans défense.
Fëydh pensa alors que la peur était d’essences divines, sans elle les espaces hypergéométriques seraient vides de dieux et d’esprits. Et enfin si la peur n’avait pas tordue les entrailles de la jeune fille, sans lui laisser dans la bouche qu’un goût de vin et de flammes, si elle ne lui avait donné aucune volupté, n’éveille en elle ni frisson de grande joie, ni sentiment de troublante gratitude, jamais elle n’aurais ouvert ce livre noir de merveilles. Car son âme, depuis la mort de son père, fût ouverte à son ardeur ténébreuse, comme à la beauté sans bornes des nuits, alors elle se laissa porté sur les ailes que lui prêta la nécromancie, pour l’évasion monstrueuse hors des pistes battues des écoles profanes, par les chemins étranges de la magie la plus noire et la plus horrible. *Extrait Du Journal de Fëydht Rautha De Llorkh*
A l’age de quinze ans j’était assez vieille pour me marié, la seule solution que je trouvais à cette perspective fut l’académie des barde Athasien. Devenir barde au service de Geildarr, le seigneur de Llorkh, n’était pas à l’époque une carrière qui m’aurait déplu. A l’académie je me pris à aimer les courts de connaissance bardique.
Explorer de vieux et gros volume, traitant de ruines anciennes, et chercher des civilisations perdues s’étalant sur plusieurs siècles avant notre temps. Et j’ai apprit beaucoup de chose importante sur l’histoire de ma région. Ainsi j’appris qu’hors des brumes d’âges depuis longtemps révolus, il y avait sur nos terres trois grands royaumes elfiques. Illefarn, où se trouve actuellement Eauprofonde ; Miyeritar, où s'étend la Haute lande ; et Eaerlann, qui suit le fleuve Delimbiyr. Sous les Montagnes Nétheres, se trouvait jadis le royaume nain de Delzoun.
Pendant des milliers d'années ces terres résistèrent face aux hordes de gobelins, d'orques et de choses pires encore qui erraient dans les étendues sauvages et froides ou dans les cruelles montagnes délaissées par les elfes ou les nains. Des milliers d'années avant la création du Calendrier des Vaux, des bandes d'humains barbares migrèrent vers le Nord longeant la Côte des épées et établirent leurs propres royaumes. Alors que cette nouvelle menace contre les terres elfiques se renforçait, les elfes se retournèrent les uns contre les autres dans la légendaire Guerre de la couronne. Miyeritar fut détruite par une terrible magie qui éradiqua tous les elfes du royaume, laissant derrière elle seulement la Haute lande.
Les elfes d'Illefarn furent maudits par Coreilon Larethian et bannis en Outreterre, devenant les drows au pigment d'ébène. À l'est de ces terres elfiques, le long des côtes de ce qui est à présent la Mer étroite, l'empire humain de Nétheril émergea et grandit en puissance. Les archimages de Nétheril dominèrent le nord-est de Faerûn jusqu'à la catastrophique chute de leur royaume, approximativement, trois cents ans avant la naissance de la Pierre levée dans les Vaux. Les Nétherisses fuyant l'avancée du désert sur ce qui fut autrefois leur terre promise, ainsi que les malédictions magiques L'accompagnant, se sont enfuis dans tous les coins de Faerûn. Beaucoup d'entre eux se dirigèrent alors vers le Nord. Leur installation fut à l'origine de cités comme Everlund, Eauforte et Sundabar.
Le royaume nain de Delzoun tomba peu après Nétheril, submergé par la plus grande horde d'orques jamais vue de toute l'histoire du Nord. Puis les elfes du Nord commencèrent à se retirer vers Éternelle Rencontre, abandonnant leurs cités et leurs places magiques. Pour compléter la chute des grands royaumes du Nord, les démons envahirent Ascalhorn et le transformèrent en Fort des portes de l'enfer, précipitant le déclin final d'Eaerlann. Pendant ce temps, l'afflux constant de colons humains le long de la Côte des épées amena à la fondation d'une communauté autour de la demeure de Nimoar, qui donna en grandissant Eauprofonde. Ses habitants et d'autres jeunes colons humains se battirent contre les monstrueux autochtones durant les première et seconde guerres contre les trolls. Les nouvelles colonies humaines domptant année après année la nature environnante, les cités et lés fermes grossirent là où de. Simples palissades et forêts s'élevaient jadis.
Durant les dix dernières années, la cité de Lunargent est devenue la capitale des Marches d'Argent, un nouveau royaume composé de nains, d'elfes et d'humains. Les nains ont quant à eux repris Castelmithral, une des plus grandes places naines et ont chassé les orques hors de la Citadelle des flèches, rebaptisée depuis la citadelle de Felbarr. Les elfes des bois de la Haute-Forêt se sont également unis pour repousser les orques de leurs terres. Le Nord change. Les forces obscures et les monstres puissants de 1a Frontière sauvage n'aiment pas ce qu'ils voient. Une grande tempête couve sous ces terres.
Oui l’histoire me passionnait mais le principale des courts de l’académie se composait de cours de musique. Le battement est l’unité de mesure qui met le tempo. Je le mesurait principalement en tapotant son pied ça permet de se sentir soi même dans le rythme, Le compas est La gamme d'une voix ou d’un instrument et les dynamiques sont Les gradations de force ou de douceur quand la musique est exécutée.
- Citation :
- Le Terme La Signification
Pianissimo - très doux Le piano - doux Le piano Mezzo - modérément doux Le forte Mezzo - modérément bruyant Le forte - bruyant Fortissimo - très bruyant Le piano forte - bruyant, doux SForzando les forzato - sont accentué, taillé fin Crescendo - progressivement plus lourd Decrescendo -progressivement plus doux
La forme: La structure musicale, comment les éléments musicaux sont mis ensemble. Les éléments de base sont des tons Individuels (notes), comme ils sonnent ensemble (harmonie), et combien de temps ils rentrent la relation à l'un l'autre (rythme). La fréquence: L'onde sonore atteint le sommet par seconde qui détermine le ton. L'intonation: L'exactitude d'un artiste avec respect monter. Mesurez ou barre: Le bas groupement de battements (habituellement il y a 2, 3, ou 4 battements par mesure). La mélodie: Un groupe de tons musicaux qui se réconcilient dans l'ordre de la totalité significative. Le mètre: Le nombre de battements par mesure et le type de note cela définit un battement. Les mètres communs sont 2/2 (deux Battements ont basé sur les blanches), 2/4 (deux battements ont basé sur les noires), 3/4 (trois battements ont basé sur les noires), Et 4/4 (quatre battements ont basé sur les noires). Le mouvement: Le modèle musical créé par les notes consécutives. Le mouvement peut augmenter et chute doucement ou saute Autour. Le ton: La hauteur ou faible élévation d'un ton musical. Le ton est déterminé par la fréquence d'une note. La gamme: La série entière de notes (de plus bas à plus haut) qu'une voix ou instrument peuvent produire. Le rythme: Le mouvement de tons musicaux en ce qui concerne temps. Le rythme combine les aspects de tempo (vitesse) et Valeur (longueur de notes). Le style: La manière dans que la musique est traitée. Quelques du les nombreuses directives stylistiques et leurs significations sont Inscrites au-dessous.
Le tempo: La vitesse a qu'un morceau est joué ou est chanté. Les tempos Ordre de Vitesse Adagissimo - Très lentement Le largo Lento Adagio Adagietto Andante - Modéré Andantino Allegretto Allégro Presto - Très vite
Le changement de Tempos Signification Allentando - Vers le bas Ritardando Gradually - lentement en bas Allargando - Lent en bas Rubato - tempo Libre Accelerando Gradually - vitesse en haut Calcando - Vite en haut
La Gamme de la voix: Gamme de voix. Chaque barde peut être classé comme un du suivre: La Gamme La voix Le soprano - Haute gamme féminine Le soprano Mezzo - Mi gamme féminine L'alto Basse - gamme de la femme, la plus haute gamme male Le ténor Haute - gamme male Le baryton Mi - gamme male A mesure que les courts avançaient nos maîtres nous enseignèrent à utiliser l’art comme composant de sort. Le choix pouvais être fait entre poésie, chant ou même instrumental. Je choisis le chant et quelques instruments de musique tels que le violon la harpe ou encore le tambourin. Nous apprenions de petits sortilèges d’illusion tel que de changer d’instrument très vite pour pouvoir jouer à « l’homme orchestre ». Ou même nous faisions apparaître des bouches magiques qui parlait et chantais, nous nous envoyons souvent des messages dans nos chambres de l’académie grâce à ses petites illusions pratiques.
Je devait reconnaître que j’avais très envie de parcourir le monde déjà à l’époque, l’enfermement dans la même académie me pesait gravement malgré les moments de bonheur que j’y ai passé. L’on m’à proposé de poursuivre mon apprentissages des bardes athasien dans le domaine de l’assassina, de la fourberie, des poisons et de la furtivité. Je n’eu jamais l’opportunité de répondre. Je revins chez moi pour mes dix-huit ans, ma famille au complet, les nobles de Llorkh et bien sur mon père que je chérissais plus que tout. Dix-huit cadeau me furent donné, et le dix-huitième cadeau fut une boite contenant dix-huit autre cadeau. Je voulut remercier mon père d’une mélodie, je m’installa donc au centre de la pièce, sur quelques coussins de soie, j’avais prit ma meilleur harpe et je commençait a frotter les cordes et je voulait chanter la mélodie préférée de mon père, mais voila ce qui est sortit de ma bouche, contre ma volonté…
- Citation :
- Moi, comme les chiens, j'éprouve le besoin de l'infini...
Je ne puis, je ne puis contenter ce besoin ! Je suis fille de l'homme et de la femme, d'après ce qu'on m'a dit. Ça m'étonne... Je croyais être davantage ! Au reste, que m'importe d'où je viens ? Moi, si cela avait pu dépendre de ma volonté, j'aurais voulu être plutôt la fille de la femelle du requin, dont la faim est amie des tempêtes, et du tigre, à la cruauté reconnue : Je ne serais pas si méchante. Vous, qui me regardez, éloignez-vous de moi, car mon haleine exhale un souffle empoisonné. Nul n'a encore vu les rides vertes de mon front ; ni les os en saillie de ma figure maigre, pareils aux arêtes de quelque grand poisson, ou aux rochers couvrant les rivages de la mer, ou aux abruptes montagnes alpestres, que je parcourus souvent, quand j'avais sur ma tête des cheveux d'une autre couleur. Et, quand je rôde autour des habitations des hommes, pendant les nuits orageuses, les yeux ardents, les cheveux flagellés par le vent des tempêtes, isolé comme une pierre au milieu du chemin, je couvre ma face flétrie, avec un morceau de velours, noir comme la suie qui remplit l'intérieur des cheminées : Il ne faut pas que les yeux soient témoins de la laideur que l'Etre suprême, avec un sourire de haine puissante, a mise sur moi. Chaque matin, quand le soleil se lève pour les autres, en répandant la joie et la chaleur salutaires dans toute la nature, tandis qu'aucun de mes traits ne bouge, en regardant fixement l'espace plein de ténèbres, accroupi vers le fond de ma caverne aimée, dans un désespoir qui m'enivre comme le vin, je meurtris de mes puissantes mains ma poitrine en lambeaux. Pourtant, je sens que je ne suis pas atteint de la rage ! Pourtant je sens que ne suis pas le seul qui souffre ! Pourtant je sens que je respire ! Comme une condamnée ... Qui va bientôt monter à l'échafaud, debout, sur mon lit de paille, les yeux fermés, je tourne lentement mon col de droite à gauche, pendant des heures entières. Je ne tombe pas raide mort. Je regarde subitement l'horizon, à travers les rares interstices laissés par les broussailles qui recouvrent l'entrée : je ne vois rien ! Rien ... si ce ne sont les campagnes qui dansent en tourbillons avec les arbres et avec les longues files d'oiseaux qui traversent les airs. Cela me trouble le sang et le cerveau... Qui donc, sur la tête, me donne des coups de barre de fer, COMME UN MARTEAU FRAPPANT L’ENCLUME !!! Cette dernière phrase, que j’ai hurlé à été la dernière parole entendue par mon père, qui mourut sur la dernière note de ma harpe. La panique succéda à l’horreur, je restait là sans bouger ni parlé pendant que tous criait et désespérait autour de moi. Tout n’était que terreur, les visages de ma famille reflétait cet état de fait, et je m’étonnais de ne ressentir aucun remord. Ce moment restera gravé dans ma mémoire comme mon point d’encrage, mon ouverture initiale au monde des ténèbres. Depuis ce jours fatidique, au milieu des vivants je ne suis qu'une ombre. Parmis ce monde je ne suis comme une revenante. Et ce sont parmis mes démons que je sombre. Dans mes effroyable cauchemar je puise mon pouvoir. Je croule sous le poids de mes os Et je ne peux qu'assister à cette immonde tableau. Moi le cœur déchiré d'un monde recousu. Plaie béante et immonde qui sillonne vos rues. Vous les têtes aveugles d'un corps que j'ai quitté. Moi je me bats encore aux pulsions que j'étais. Le sang coule aux dires du charme de la mort. Quand roulent les tambours et tout vos cris encore encore et encore.
Dernière édition par bilay_kayfa le Lun 16 Nov - 3:09, édité 13 fois | |
| | | bilay_kayfa Eclaireur du flood
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| Sujet: Re: [Reroll][Barde/Ensorceleuse][H] Fëydht Raütha De Llorkh Jeu 22 Oct - 3:55 | |
| *Extrait du journal de Fëydht Rautha De Llorkh*Suite à cet événement rien ne fut pareil pour moi comme pour mon entourage. Le spectre de la mort avait laissé sur son passage la morosité et la peur. Ils avaient surtout peur de moi. Un spécialiste fût appelé pour m’examiner. Le magicien conclut après quelques sortilèges de détections de la magie et de l’alignement que mon sang était corrompu par un ancêtre démoniaque qu’il se proposa d’identifier, je ne comprit pas tout de suite que c’était en abyssal qu’il effectua les rituels suivant. Je ne comprit d’ailleurs pas ce qu’il faisait exactement, mais après avoir mélangé mon sang a de la mandragore et en avoir aspergé un pentacle fait de sel et de bougie rouge, l’image d’une créature apparue dans le cercle. Le mage prit alors la parole en commun, il sembla qu’il avait comprit bien des choses. Il dit « les sorcières de Szeged chevauchent ceux qu'elles aiment ou qu'elles détestent : elles s'assoient sur leur poitrine jusqu'à ce qu'ils ne puissent presque plus respirer, puis elles les transforment en chevaux volants ». Je ne su a quoi il faisait allusion il fit disparaître l’image en s’en allât sans mots dire, ma famille et moi-même en restions perplexe. Mais une nuit, je dormais sur mon lit de souffrances lorsqu'un esprit s'approcha de moi. C'était une femme fort belle. Elle me dit "Je suis l'áyami de tes ancêtres, les sorciers. Je leur ai donné leurs pouvoirs maintenant, sache d‘où tu viens car je t'aime. Tu seras mon amante. Je te donnerai des esprits qui t'aideront dans l'art des ténèbres." Consternée, je voulus lui résister. "Si tu ne veux pas m'obéir, tant pis pour toi. Je te tuerai." Je couche avec elle comme avec mon premiers amant à l’académie de Llorkh, soir après soir elle revient me voir. Elle se présenta parfois sous l'aspect d'une vieille femme ou d'un loup, aussi la regardais je toujours avec frayeur. La succube de mes nuits D'autres fois empruntant la forme ailé d'un oiseau aux milles couleurs, elle m'emporta pour me faire voir diverses régions. A l'époque où elle m'instruisait, elle venait toutes les nuits. Elle était toujours très belle et le plus souvent nue, séductrice et exigeante, attendant de moi, en échange de son savoir, les plaisirs humains : ceux de l'amour saphique, des contes et des chants de mon répertoire damnée, souffrance, malédiction, horreur. Elle me donna un diablotin en guise de compagnon, et intermédiaire de nos relations. Elle m’aida a me lier à cette créature loyal en un rituel qui dura une journée entière. Ce qui était démonique c’était ce lien entre le succube et moi, ce diablotin était l’intermédiaire fatal entre moi et l’immortelle. Transmettre à la démone le fruit de mes entrailles et jusqu’à mon sang: les prières et les sacrifices, les injonctions, les faveurs, en échange des pouvoirs que je réclamais de tout mon être. Le diablotin m’aida dans mes premières initiations aux incantations. La démone, quant à elle, ne se mêlait plus à moi. Tres différente de la magie bardique que je maîtrisait déjà jusqu’au deuxième cercle, je me devait de façonner la magie intuitive des ensorceleurs, comme une poétesse de légende composant ses poèmes, c'est à dire à partir d'un don inné amélioré par une pratique constante. Une énergie que je destinais à être destructrice et vengeresse, corrompue et malsaine. Je me décida a quitter Llorkh afin d’accroître ma maîtrise et ma puissance de l’art profane. Ma connaissance de la toile était alors bien maigre. Je savais cependant que mes sorts étaient des effets magiques produits par la magie profane, que je pouvais faire mon choix parmi une liste de sorts connus limitée mais que je pouvais en disposé de façon presque illimitée, pouvant jeter mes sorts de façon spontanée. Je fais donc appel à la magie profane sans grimoire ni préparation. Chaque jour, je dois me préparer mentalement à jeter des sorts. Pour ce faire, il n’y a pas de secret, il faut que je dorme, après quoi il me faut un petit temps de calme, j’ai mes rituels matinaux bien précis, certains touchent à des symbole, comme le pentacle que j’ai autour du coup, que je me sent un besoin de laver dans du sang d’un animal que j’aurais tué avec un sortilège nécromantique offensif. Ce laps de temps prépare mon esprit à utiliser de nouveaux sorts. Sans cela, je ne peux pas récupérer les sorts que j’ai lancés la veille. J’apprends de nouveau sortilège à force de pratique et non d’étude, je suis en perpétuelle quête de nouveau sortilège malsain à apprendre évidemment, et ne nouvelle façon cruelle de les utiliser, je pense qu’il me suffira bientôt de connaître l’existence d’un sort pour m’entraîner à l’effectuer. Le voyage forme la jeunesse, deux ans durant j’ai sillonné le fleuve Délimbyir jusqu’au gué de la dague avant de traverser la forêt d’Arprofond et de me rendre à la cité des splendeurs, Eauprofonde. - Citation :
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| | | bilay_kayfa Eclaireur du flood
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| Sujet: Re: [Reroll][Barde/Ensorceleuse][H] Fëydht Raütha De Llorkh Jeu 22 Oct - 14:04 | |
| Eauprofonde Extrait du journal De Fëydht Rautha De LlorkhJe flâne sans plaisir dans les rues d’Eauprofonde, je dois avouer tout de même que la cité des splendeurs porte bien son nom, une puissance cosmopolite majeure de Faerûn. Elle bénéficie d'un excellent port et d'un régime sage et tolérant. La ville bénéficie d’une tradition magique solide, produisant des magiciens bénéfiques en abondance.
Ont dit qu’eauprofonde est une polisseuse de diamant, lissant les défauts des individus pour qu'ils puissent donner le meilleur d'eux-mêmes. Tout le monde à l’air de penser qu'Eauprofonde est une merveille et que la vie y est meilleure, la ville me changera t’elle ? Les Aquafondiens pense qu'il n'y a rien de nouveau sous le soleil et considère la totalité du savoir humain et non humain comme leur héritage culturel.
Ce chauvinisme total m’étonne lorsqu’on considère la multitude de choses à apprendre dans le monde. Eauprofonde n’est reste pas moins une cité opulente où les riches se regroupent pour commercer, et ce négoce génère de l'abondance avec une rapidité inégalée dans l'arrière-pays de Faerûn.
Tous les magiciens et ensorceleurs sont tenus de rejoindre L'Ordre vigilant des mages et des protecteurs pour avoir le droit de pratiquer la magie à Eauprofonde. Quarante pièces d'or tout au plus, pour pouvoir acheter des composantes magiques rares et quelques objets magiques à la Tour de l'Ordre, le quartier général de la guilde. Je me chercha un maître et le trouva en la personne de Valera, une ensorceleuse qui ne semblait se formaliser sur le comportement de ses élèves tant qu’il avait de quoi payer. Elle me demanda, que cherche tu ? La maîtrise ou le pouvoir ? J’hésitait un instant et puis lui répondu la maîtrise. Elle m’apprit donc les bases sur lesquelles je pu construire ma maîtrise. Elle m’apprit ce qu’était la toile.
- Spoiler:
Toutes les formes d’existence sont dotées de puissance magique. Ainsi, chaque pierre, chaque ruisseau, chaque être vivant et l’air lui même abritent une énergie inexploitée. La magie brute constitue la matière figée de la création, la volonté muette et indifférente de l’être, noyant chaque once de matière et s’affichant dans toutes les manifestations de pensée du monde. La magie imprègne les habitants de Faerûn mais également ses royaumes. Les mortels sont incapables de façonner directement la magie brute. En fait, la plupart de ceux qui pratiquent l’exercice de la magie se servent de la Toile.
La Toile est l’incarnation de la magie brute, une sorte d’interface entre la volonté du jeteur de sort et l’essence même de la magie. Sans la Toile, la magie reste inaccessible – ce qui explique qu’un archimage ne peut allumer une chandelle dans une zone de magie morte. Toutefois, épaulée par la Toile, un jeteur de sort peut invoquer la foudre pour qu’elle s’abatte sur ses ennemis, se téléporter à des centaines de kilomètres en un battement de paupière ou même repousser la mort. Tous les sorts, objets magiques, pouvoirs magiques et autres pouvoirs surnaturels, comme l’intangibilité des fantômes, dépendent de la Toile et l’exploitent différemment. La nature précise de la Toile est insaisissable car elle est de nombreuses choses à la fois. La Toile est le corps de Mystra, la déesse de la magie. Mystra règne sur la magie à Toril, mais elle ne peut endiguer le flux sans remettre en cause son existence même. La Toile est le conduit que les jeteurs de sorts utilisent pour canaliser l’énergie magique nécessaire à leurs sorts de magie, profanes comme divins. Enfin, la Toile est le tissu de formules et théorèmes ésotériques que renferment l’Art (les sorts profanes) et le Pouvoir (les sorts divins). T
tout ce qui va des textes du livre de sorts profanes aux composants individuels des sorts fait partie de la Toile. Grâce à elle, la magie coule de la source au jeteur de sorts. Elle lui donne les outils nécessaires au bon fonctionnement de sa magie.
Lorsqu’un sort, un pouvoir magique, un pouvoir surnaturel ou un objet magique fonctionnent, les fils de la Toile s’entremêlent, s’unissent, se tordent et se replient pour prendre l’effet possible. Quand nous jetons des sorts comme détection de la magie, identification ou analyse d’enchantement, nous avons une vision fugitive de la Toile. Un sort comme dissipation de la magie défroisse la Toile, tentant de lui restituer son état naturel. Les sorts comme zone d’antimagie réarrangent la Toile pour que la magie contourne la zone affectée plutôt que de la traverser. Les endroits dans lesquels la magie marche de travers, comme les zones de magie sauvage et de magie morte, sont des accrocs dans la Toile.
Donc, la magie brute existe bel et bien à Faerûn, mais il s’agit d’une puissante et dangereuse force qui peut facilement faire disparaître un mortel, tout patient et expérimenté soit-il. Elle est emprisonnée au coeur de toute la matière et difficile d’accès. La plupart des lanceurs de sorts préfèrent faire appel à une magie contrôlée et relativement inoffensive par le biais de la Toile. La Toile joue à la fois le rôle de barrière et de portail entre la magie brute et le monde. Si la Toile est en place, les mortels ont accès à la magie et sont protégés des effets dangereux d’un contact avec la magie brute, tout en puisant dans son énergie affinée. Si la Toile n’est plus, alors la magie brute se dissipe rapidement hors du monde, non sans avoir auparavant perturbé la magie existante et s’en être violemment prise aux conducteurs magiques les plus proches.
A chaque fois que la Toile à été détruite (à la mort de Mystryl et à l’apparition de la première Mystra), une destruction massive en a résulté, que sa réhabilitation n’est parvenue à compenser que partiellement, certains de ses segments étant définitivement perdus ou endommagés. La Toile englobe tout ce qui fait Faerûn, qu’ils s’agissent des êtres vivants, des morts-vivants, des êtres inanimés, des solides, des liquides ou des gaz. Elle imprègne le sol, se diffuse dans les profondeurs de l’océan et s’étend jusqu’aux limites de l’air dans le ciel et au-delà.
La Toile est comme une vaste trame sur laquelle la substance du monde est tissée, un filet sur lequel les mortels se déplacent comme des araignées, un large océan à la surface duquel flottent tous les objets. En parallèle, elle est un aspect de Mystra et c’est par sa volonté que la Toile s’étend aussi loin. Les lanceurs de sorts, qu’ils en soient conscients ou non, font fonctionner leurs sorts en puisant dans le pouvoir de la Toile et en en dosant l’énergie de manière à ce que ce dernier s’active et s’adapte à leurs actes et à leur volonté. Lorsque la Toile est endommagée du fait de lancers de sorts inconsidérés ou à la suite d’une catastrophe magique, elle peut se déchirer en plusieurs morceaux ou être détruite, laissant derrière elle des zones de magie morte ou ravagée par la magie sauvage.
Je ne parlait pas à valéra de mes propres expérimentations de sortilèges, je mélangeait allégrement nécromancie et invocation, utilisant des composant personelle pour l'utilisation de mes sortilège, je n'utilisait jamais cepandant, cette forme de magie de démonologie de façon aveugle et répétée. j'écrirais plus tard dans ce journal les sortilège que je connais et la façon que j'ai eu de les apprendre, ainsi mon livre des ombres sera completé.
Pour le rédiger je me promenais souvent dans la Cité des morts, j'était alors certaine des tranquille. C'est un grand cimetière ouvert au public le jour mais fermé et gardé pendant la nuit. J'y pénétrait tout de même gràce au sortilège d'invisibilité que je commencait à maitriser. Les citoyens et les étrangers qui préfèrent rester discrets font ce qu'ils ont à faire dans l'ombre des tombes, je ne fut pas la seule à me promener a cet endroit et de nombreux nécromancien venait chercher des ossements la nuti dans ce cimetierre, des amoureux venait faire l'amour en cachette, ou même des nécrophiles venu souiller de leur semence infidèles, le repos des morts.
Certaines tombes bénéficient tout de même de différents niveaux de protection magique, elles se révèlent par exemple être des passages vers des plans magiques, des poches dimensionnelles impropres à la vie mais qui servent de cimetière à un nombre illimité de nobles respectés ou de roturiers passés à la postérité. Il n'était pas rare que je voit ces nécrophiles venu se soulager passer cul par dessus tête dans les tombes pour ne jamais en sortir. A force c'est devenu pour moi un jeux et ayant repéré ces tombes je ne manquais jamais de pousser ces pauvres diables dans les trous et vers leurs damnation éternelle.
La citée des morts d'Eauprofonde
Alors que je me promenais entre les tombes de la citées des morts d’eauprofonde. Je remarquais une tombe d’où filtrait de la lumière par les interstices du marbre noir. Je m’approchait pour observer ce phénomène, je me rendit compte que ce que je prit de loin pour une tombe était en fait un mausolée recouvert de neige, le mois de Hammer touchait à sa fin mais dans ces vastes contrées du nord aurile semblait faire durer le froid hivernal plus que de raison.
La curiosité l’emporta, je m’introduisit dans le mausolée le plus discrètement que je pu. Je m’enfonçai à mon grand étonnement dans un labyrinthe de galerie éclairée par la lueur répétée de bougie aligné contre les murs de roches à intervalles régulières. L’odeur de souffre et d’encens me prenait à la gorge au début mais je m’habitua vite. Au bout d’un temps qui me parut interminable j’entendis des chants puis j’arriva dans une grande salle où une trentaine de personne, homme et femme, était rassemblé en tenue de cérémonie noir à capuche longue.
Je reconnu valéra parmi la foule. Personne ne sembla me remarquer au début, ils étaient tous focaliser sur un homme les mains levé vers une immense statue d’au moins cinq mètres de haut. La statue était dotée d'une tête qui présentait une ressemblance frappante avec celle d'un bélier, et ses jambes se terminaient par des sabots fendus. Des ailes de chauve-souris venaient clore ce portrait archétypique du démon. J’était comme fascinée par cette statue et naissait en moi un mélange de crainte, d’amour et de respect à mesure que je la regardais.
Le rituel d'invocation de la Secte D'orcus
J’ai un souvenir précis de ce qui a suivit. Je sortit ma dague et déchira ma robe noire, m’avançant nue vers l’autel et la statue, sans un regard pour valéra je pris le coq noir qui se trouvait sur l’autel. Personne ne fit un geste pour m’en empêcher, subjugué qu’ils étaient de voir une femme nue traversé la salle, armé d’un poignard de cérémonie grand comme un avant bras. L’homme baissa les mains et me regarda attentivement, il allait dire quelque chose mais je plaçai un doigt sur ma bouche lui faisant signe de se taire. Je levais bien haut ma dague, me tournant vers l’assistance et m’adressant à eux dans une langue qui m’était alors inconnue, mon visage ne reflétait pourtant pas la surprise mais le plaisir. Je parlai dans la langue que le mage qui m’avait autrefois examiné chez moi à Llorkh avait utilisée. Cette même langue que la succube qui m’avait offert mon familier utilisait parfois pour me parler. Je compris que c’était elle qui m’avait fait quelque chose pour que ce moment arrive, elle m’avait guidé, ou même possédé pour que j’arrive ici a ce moment précis et que je prononce ces paroles.
« ORCUZ ACCEUILLE MOI DANS TON ROYAUME DE TENEBRES ET DE MORTS »
Et le seigneur démon dû m’entendre, car il annula le pouvoir que la succube avait sur moi, prenant conscience alors d’avoir été possédé par elle, je me sentit si faible et si ridicule que je m’enfonça le poignard dans le ventre. Je crus entendre le rire féminin de la succube retentir dans la salle, mais ce n’était que le cri de valéra, qui fut la première à se jeter sur moi pour me porter assistance. Le prêtre d’Orcuz ne la laissa pas passer, lu intimant de me laisser me vider un peu de mon sang en offrande au seigneur démons avant de m’aider.
Ils avaient tous été particuliérement impressionné par mon sacrifice, à tel point qu’ils ne me laissèrent pas mourir comme je le souhaitais alors. Ils me soignèrent donc, pendant des jours et des nuits, le prêtre s’occupais de moi et me parlait en abbyssal. Je me réveillai dans une maison du quartier du port, valéra était là avec le prêtre qui se présenta sous le nom D’Avoranty. Il me proposa de rejoindre la secte d’Orcuz, me soulignant bien sur que si je ne souhaitait pas les rejoindre il pouvait toujours replanté ma dague dans mon ventre et me laissé nue dans les ruelles les plus mal famés d’eauprofonde. Valéra ajouta que j’avais de la chance, car si c’était elle qui en déciderait elle me réserverait le même tourment mais pas dans le même ordre. Je compris que je n’avais pas le choix, et quand mes blessures furent cicatrisées ils me firent monté sur un bateau.
Ils ne me dirent pas tout de suite où nous allions, mais Avoranty me parla du dieu qui était le mien désormais. Orcuz avait un certain pouvoir il y a quelques temps, mais plusieurs évènements l'ont affaiblit. Déjà, il avait subit plusieurs défaites contre Graz’zt et Démogorgon. Mais en plus, il fut tué par la déesse drow Kiaransalee. Malgré sa résurrection, cela lui a fait perdre toute chance d'avoir des suivants parmi les drows, Kiaransalee étant devenue pour eux l'unique déesse des morts-vivants. Malgré sa résurrection qui l'a rendu en tant que démon encore plus fort, le pouvoir divin d'Orcuz diminua encore lors de l'avènement de Velsharoon comme dieu des morts-vivants parmi les humains.
Je l’écoutais attentivement, attendant qu’ils me disent ce que la secte attendait de moi. Nous voulons que tu portes le sceptre d’orcuz, il m’avoua enfin. Je lui demandai alors ce qu’était que ce sceptre. Il m’apprit alors que de temps en temps, Orcuz laisse un mortel trouver sa baguette, de manière à propager le Chaos et le Mal chez tous ceux qui habitent le plan Matériel. L’on raconte cependant qu’un prix serait à payer, se serait à moi de le découvrir selon lui. Où allons nous ? Je lui demandai. Caer Callidyrr il me répondit…
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| Sujet: Re: [Reroll][Barde/Ensorceleuse][H] Fëydht Raütha De Llorkh Jeu 22 Oct - 18:24 | |
| Suite à l'attaque des pirates *Carnet de Voyage* *Extrait du journal de Fëydth Rautha De Llorkh*
Le voyage fut d’une somnolente monotonie, nous avons longé les côtes des épées jusqu’à l’archipel de Orlumbor où nous avons fait une courte halte. L’archipel semblait désert mais nous découvrîmes que Orlumbor était aux mains des magiciens pirates qui écument la région. Nous les évitâmes de justesse avant de nous diriger vers l’île de Mintarn que nous avons juste contourner, les pirates nordiques était partout et se fût un miracle si nous avons réussit a leur échapper.
En effet un bateau particulier d’eauprofonde aurait été une cible facile pour eux. Je pense tout de même qu’avec un prêtre d’Orcuz et deux sorcière a bord nous leur auront donné bien du fil a retorde. Je ne sais pourquoi Avoranty décida de contourner L’Alaron par le détroit de l’archipel de Korinn. Alors que nous nous enfoncions dans la mer de Moonshae les pirates finirent par nous rejoindre.
Ils nous laissèrent des barques et prirent le bateau ainsi que notre maigre cargaison, nous finîmes le trajet en barque jusqu’une presqu’île qui appartenait également au royaume D’Alaron. Nous fîmes le reste du voyage à pied jusque Caer Callidyrr. Dirigée depuis la cité, l'île d'Alaron est le royaume le plus puissant des îles Moonshae. Les Montagnes de Belletaillc aux contours déchiquetés, situées au nord de Caer Callidyrr, séparent les habitations traditionnelles du Peuple au sud des habitations des nordiques. Les mariages entre les deux communautés réduisent peu à peu les divisions séparant leurs traditions. Vestige d'une ancienne civilisation, Caer Callidyrr est un château imposant construit sur l'île d'Alaron et qui surplombe une cité portuaire tentaculaire. En plus de ses terres ancestrales situées sur l'île de Gwynneth, la famille Kendrick dirige aujourd'hui le royaume du même nom. Au lieu de vivre dans le sud à Caer Corwell, les magiciens et les ensorceleurs qui servent directement la Haute Reine vivent dans le château de Callidyrr. Contrairement au resté des îles Moonshae, Caer Callidyrr est habituée à la présence des visiteurs et des marchands venus du reste de Toril.
Nous nous présentâmes comme des voyageurs barbares du nord. On nous demanda si nous venions de Rualthym, et nous répondâme bien vite par la négative, inquiet de ce que l’île des pirates avait comme mauvaise réputation. Apres nous être enregistré à la guilde de magie locale nous nous enfonçâmes dans les ruelles tortueuses et tentaculaires du caer. Soudain mon diablotin apparut sans que je ne l’aie appelé et fila à tout allure, volant de ses petites ailes à travers les habitations, pour nous guider.
Lui faisant pleinement confiance j’exigea de mes compagnons qu’ils me suivent et nous poursuivîmes le diablotin. Il s’engouffra dans une plaque d’égouts, j’allais pour soulever la plaque quand Avoranty m’arrêta. Ne te fatigue pas me dit il, ton diablotin nous à amené exactement là où je voulais que nous allions, mais nous ne passeront pas par le même chemin que lui, car les humains que nous sommes ne le supporteraient pas. Il frappa à une porte et une vieille femme lui ouvra, il montra le symbole d’Orcuz qu’il porte toujours sous ses vêtements de voyage et la femme nous ouvra sans un mot. Elle nous indiqua la porte du fond de sa chaumière, Avoranty l’ouvra et descendit l’escalier qu’il découvrit. Je suivit le prêtre accompagné de Valera qui je le voyait bien ne comprenait pas plus que moi le petit manège de notre compagnon de route.
Nous arrivâmes dans le laboratoire de ce qui sembla être un nécromancien habile, de nombreux non morts était enfermé dans une cage et errait hagard a l’intérieur comme des pantins désarticulé. L’un d’eux était debout sur estrade, attaché au plafond par des chaînes. Le maître des lieux prélevait des chaires sur les jambes du zombi, ils ne semblaient pas nous porter attention. J’eu tout le loisirs d’observer son laboratoire.
Une longue pièce au plafond haut, toute revêtue de pierre où la mousse verdâtre s’incrustait profondément, une légère odeur de pourriture enveloppais l’endroit mais ne prenaient néanmoins pas le dessus sur l’odeur lancinante du souffre, preuve que de nombreux démons avait pu rejoindre cette pièce. Je découvris d’ailleurs un cercle d’invocation au fond de la pièce. Et une longue table ou s’empilait, grimoire en peau de bête, objet magique étrange, pile de parchemins poussiéreux, encrier, plume d’oie, bassine d’eau rougeâtre regorgeant d’énergie négative, bocaux remplit d’yeux, de nez, de lèvres, d’oreilles, de langue de toute taille et couleur cloué au mur et même une griffe gigantesque semblant appartenir jadis à une créature reptilienne particulièrement massive.
Le nécromant se décida à nous porter attention, il appela Avoranty, « Crâne d’Orcuz », un terme que je ne connaissais pas mais que je gardai au fond de ma mémoire. Il sembla qu’il nous attendais car il nous fit passer dans une pièce par une trappe qu sol que je n’avais pas remarqué, là une pierre noire brillait d’une lumière blanche intense, je sentit qu’elle était imprégné d’énergie négative particulièrement intense.
Et en effet le nécromant nous révéla que l’énergie utilisé pour imprégner la pierre avait été recueillie sur des mourants qui s’était sacrifié volontairement de manière particulièrement brutal. Je ne préférait pas imaginé comment le mage s’était débrouillé pour ses victimes en viennent a se donner la mort volontairement mais j’était tout de même fasciné par la pierre, but de notre voyage ? Non me répondit Avoranty, cette pierre est le moyen par lequel le but de notre voyage te sera découvert. Il m’ordonna de me couper la main et de répandre mon sang sur la pierre. En grosse quantité ? Je lui demandais. Autant que nécessaire il me répondit. Et je donna presque tout mon sang, jusqu’à m’évanouir. Les morts se lèvent à Caer Callidyrr
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| | | bilay_kayfa Eclaireur du flood
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| Sujet: Re: [Reroll][Barde/Ensorceleuse][H] Fëydht Raütha De Llorkh Jeu 22 Oct - 19:37 | |
| - Citation :
- *Placardé à tout les coins de rues suite aux événements de la nuit précédente*
Avis aux Citoyens de Caer Callidyrr
Afin de clarifier la situation de la nuit dernière, notre Haute Reine Kendrick vous fait savoir par la présente
::: Hier soir une tragédie à eu lieux sous nos yeux à tous, vous avez tous pu l’apercevoir, la vivre et en être victime. La tranquillité de notre royaume a été menacée toute la nuit durant. Vous avez tous vu ce qui s’est passé. Le ciel s’est assombrit d’un coup alors que nous pouvions voir la lune se refléter dans le lagon du port.
Et du quartier pauvre du caer une colonne d’énergie négative s’est élevée et à traverser les nuages. Puis plus rien pendant quelques minutes, avant que la totalité, je dit bien la totalité des morts enterré dans le cimetière, laissé a l’abandon ou même enterré un peu partout en ville se sont relevé, tous en même temps. Vous avez tous été victime de cette noire magie. Les morts vivants ont tué de nombreuse personne, qui ont alimentés leurs flots incessant, ils se sont multipliés à grande vitesse et ce de minuit jusqu’au levé du soleil c'est-à-dire pendant 6heure d’affilé. De nombreuses personnes sont mortes, vos amis, vos parents, vos amours.
Nous comptons presque 3000 morts mais le chiffre ne cesse de croître. Vous voulez savoir ce qui s’est passé, vous voulez savoir pourquoi tout ces gens se sont fait massacré ? Le point d’encrage de la colonne d’énergie négative a été trouvé, dans le laboratoire putride d’un nécromancien, vidé de ses occupants. Les mages de la citées ont pu trouver l’origine de cette magie, la moitié cassé d’un saphir noir de nécromancien a été trouvé dans la cave aux supplices.
Ces pierres sont utilisées selon nos prêtres kelemvorite pour utiliser les sortilèges de l’armée des ténèbres. Les quelques témoins ont parlé d’un prêtre d’orcuz et de deux ensorceleuses qui s’étaient fait passer pour des voyageurs du nord.
Sachez que ces personnes sont activement recherchées et que la somme de 100.000 pièces d’or sera donnée à qui les retrouvera, Mortes ou vives!!
Que les dieux protégent Caer Callidyrr
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| | | bilay_kayfa Eclaireur du flood
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| Sujet: Re: [Reroll][Barde/Ensorceleuse][H] Fëydht Raütha De Llorkh Jeu 22 Oct - 20:41 | |
| *Extrait du journal de Fëydht Rautha De Llorkh*
Ce saphir avait été préparé à l’avance, Avoranty me précisa que c’était pour attirer l’attention d’Orcuz que nous avions fait cela. La pierre avait été brisée quand les premiers rayons du soleil avaient percé. Nous étions à présent recherché dans les îles moonshae comme responsable de milliers de morts dans la capitale de L’Alaron, le royaume le plus riche de l’archipel.
Je ne savais plus comment m’en sortir, prise au piége de la secte d’orcuz qui voyait en moi l’élue qui porterais son sceptre, recherchée par une population entière que je venais de saigner et bloqué sur un archipel pleins de pirates qui me tuerait gratuitement même si 100.000 pièces d’or n’était pas offerte pour ma capture.
Je regrettais de ne pas croire qu’un prince charmant sur un cheval blanc viendrait me sauver de cette situation délicate. Où ça nous mènera tous ça ? « Sur la côtes des épées ! » répondit Avoranty. « NOOOON !!! »J’avais crié malgré moi je ne pouvais plus faire marche arrière, déjà la succube de mes nuit se riait de moi.
« C’est la dernière fois que je te fait confiance Crâne d’orcuz ! Tu nous as mené ici pour y mourir ? Peut être que le seigneur démons me donnera son sceptre mais tu ne seras pas là pour le voir ! Je m’en vais ! Regarde moi bien parce que c’est la dernière fois. » Valera tenta de me retenir mais je partit seule pour Llewellyn une ville plus petite que caer au sud. Il me fallait quitter au plus vite l’archipel Moonshae, pour ne jamais y revenir. J’y trouvai un bateau qui partait pour AthKatla Dans le royaume D’amn, enfin un royaume où j’étais inconnue et où je pourrais me faire oublier si c’était possible.
Ont dit que AthKatla est l’une des villes les plus active pour le commerce, et son port l’un des plus florissant de tout Faerûn. N'importe quel type de marchandise non magique peut y être trouvé par celui qui dispose de suffisamment d'argent. Parce que c'est le dernier port libre restant d'Amn, les navires en provenance du continent de Maztica y mouillent, rapportant des légumes exotiques, des fruits, des joyaux et de grandes quantités d'or. La place du marché de la cité fait deux fois la taille de celle d’Eauprofonde. Au-dessus de la baie se trouvent les Flèches d'or, un temple dédié à Waukeen presque aussi grand qu'une petite ville.
A AthKatla j'apprit le maniement des armes simples, considéré comme vulgaire par la plupart des mages. J'aime particulièrement les masses d'armes, celle que j'utilise ne sont pas bien lourde mais maniable ce qui est parfait pour moi qui n'ai jamais eu d'entrainement physique intense. Le nombre des armes que je peux utiliser s'élève à dix, ce la comporte les bâtons, les piques, les dagues, les gourdins, les masses d'armes, les morgensterns, les arbalettes, les serpes, dards et les frondes.
- Citation :
Bâton C’est l’arme de prédilection des voyageurs, paysans, marchands et magiciens. Le bâton est une longueur de bois qui fait entre 1,80 m et 2,70 m de long. Les bâtons de haute qualité sont faits en chêne robuste et sont ferrés de métal aux deux extrémités. On peut l’utiliser en frappant des deux extrémités, ce qui permet de mettre à profit la moindre faille dans la défense adverse. - Citation :
Dague Arme de base mais très polyvalente, la dague est dotée d'une lame à double tranchant faisant généralement entre 15 et 60 centimètres de long. C’est une arme secondaire extrêmement courante. - Citation :
Gourdin Le gourdin est l'arme la plus simpliste qui soit, puisqu'il s'agit généralement d'un simple bout de bois dur .
- Citation :
Lance Autre arme très simple, la lance est toutefois d'une efficacité redoutable. Elle consiste bien souvent en un long bâton de bois dur, habituellement du frêne, avec une pointe en fer de la forme d’une feuille de laurier ou de saule, avec des arêtes coupantes et une pointe acérée destinée à pénétrer les armures et équipe la plupart des milices.
- Citation :
Masse d’armes La masse d'armes est un dérivé du gourdin. Elle est constituée d'une tête en métal ou en pierre, fixée au bout d'un manche en bois. La conception de la tête varie ; certaines sont à pointes, d’autres ont des saillies et d’autres encore des protubérances pyramidales. Le poids de la tête décuple la puissance de l'impact. - Citation :
Morgenstern La morgenstern ou masse à picots, ou bien encore étoile du matin, est une arme toute simple combinant la force d’impact du gourdin et la puissance de pénétration des pointes. C’est un manche en bois surmonté d’une tête métallique faite d’une gaine en fer hérissée de pointes. Les morgenstern ont une longueur totale d’environ 1,20 m. Certaines armes de ce types ont une tête ronde, ovoïde ou cylindrique hérissée de pointes. - Citation :
Serpe A l'origine, la serpe est un outil utilisé pour couper l'herbe ou les plants de céréales. Ce sont les paysans qui s'en servent tous les jours qui ont commencé à l'utiliser en guise d'arme, faute de mieux. Elle est très appréciée des druides et de tous ceux qui aiment les armes pouvant passer inaperçues. - Citation :
Arbalète légère Une arbalète est un arc monté en forme de croix sur un fût de bois ou de métal, appelé arbier. L’arc est fait en général en bois de frêne ou d’if. L’arbalète tire un carreau (aussi nommé trait). On la recharge à l’aide d’un levier. Recharger une arbalète prend du temps, cela limite le nombre d'attaques du personnage à une seule et unique attaque par round, quelque soit le nombre d'attaques auxquelles le personnage a le droit. - Citation :
Arbalète lourde Les principales différences entres l’arbalète légère et l’arbalète lourde sont la taille du carreau et la présence d’un étrier qui ne se trouve que sur l’arbalète lourde. On la recharge à l’aide d’une manivelle. Recharger une arbalète prend du temps, cela limite le nombre d'attaques du personnage à une seule et unique attaque par round, quelque soit le nombre d'attaques auxquelles le personnage a le droit. - Citation :
Billes de fronde Les billes de fronde sont de petites sphères métalliques pouvant infliger des dégâts importants, voire briser un os, pour peu que leur utilisateur sache viser. Elles sont en plomb, ce qui les rend bien plus lourdes que des pierres de même taille. - Citation :
Carreaux Les carreaux ou traits sont les munitions tirées par les arbalètes. Les carreaux ont la même forme que les flèches, mais leurs hampes sont plus courtes et plus épaisses. Les pointes des carreaux utilisées pour la guerre sont des pointes en fer de forme conique ou pyramidale. - Citation :
Dards Ces projectiles ont la taille d'une petite dague et sont lancés vers l’ennemi au combat. - Citation :
Fronde La fronde est une arme très ancienne. Bien souvent, elle se constitue d'une simple lanière en cuir ou en tissu dotée d'une partie plus évasée pour accueillir les projectiles. Je me mit à explorer le royaume d’Amn en profondeur. L'Amn est fortement peuplé, tout particulièrement le long de ses grandes rivières et autour des lacs Esmel et Weng. Des auberges et des tavernes fournissent gîtes et repas à ceux qui suivent la Route commerciale tout au long de leur voyage dans le pays. Il était agréable de ne pas être pourchassée, dans un pays où personne ne me connaissait. Je restais en Amn jusqu’à mes 24ans, puis je me mis à suivre les caravanes de marchand, vers le nord, je pensais alors que la succube de mes nuits, comme la secte d’orcus m’avait tous oubliée. Je me trompais.
Ils retrouvèrent ma trace pendant l’hiver au alentours de la crypte de la roche situé dans les collines des trolls au sud d’eauprofonde. Riches en gemmes et pleines de mystères, les caravanes de marchand venu d’amn passent toujours par là pour rejoindre eauprofonde, je ne pensais pas avoir d’ennuie mais c’était sans compter la succube de mes nuits qui sais toujours où je me trouve. Ses collines portent en elles beaucoup d’histoire et les caravaniers me racontèrent certaine.
Elles sont en grande partie inexplorée du fait des prédations causées par les monstres dont elles tiennent leur nom. Les trolls y sont exceptionnellement malins et organisés et ont même par le passé formé un petit royaume. Par ailleurs, le dragon rouge Balagos Flamme volante y a élu domicile. On y trouve de même un temple de Talos qui est quotidiennement touché par la foudre et un village fortifié de mineurs gnomes nommé Qyarrelshigh. Dans la partie ouest des montagnes, une énorme dalle de pierre de mille deux cents mètres de haut est sculptée pour ressembler à un nain. Connue sous le nom de Nain hurlant à cause du bruit du vent soufflant à travers les trous de ses yeux, de ses oreilles et de sa bouche, il marque le lieu d'une cité naine déchue. Il est aujourd'hui habité par des trolls et d'autres monstres.
Sur la route menant à luskan
La secte d’orcus prit les caravanes en embuscade et tuèrent facilement les défenseurs. Avoranty était là, il n’avait presque pas changé. Valera était là elle aussi, je ne la reconnu pas tout de suite tant elle semblait maigre et fatigué, je fit un pas vers elle mais le prêtre me visa avec une monstrueuse arbalète. « Maintenant tu va m’écouter, toute sorcière ou barde ou qui que tu soit Fëydth ! Nous avons besoin de toi dans le nord ! Tu te souvent de notre vieux plan n’es ce pas ? Tu porteras le sceptre d’orcus ! Tu porteras le chaos et le mal même si tu dois donner ton âme pour cela ! Valera semblait indifférente, elle portait elle aussi une arbalète tourné vers le sol, et évitait de me regarder dans les yeux.
« Fait ce qu’il te demande Fëydth… » Les paroles de mon ancienne maîtresse eurent raison de ma volonté, je me rendit à la secte, une nouvelle fois j’était avec eux, prêtent a suivre le plan. « Tu aime ton indépendance, parfait mais nous te conduiront dans le nord où nous te surveillerons, tu à tout intérêt à propager le chaos et le mal pour te faire voir du seigneur démons. Tu a tout intérêt a lui rendre hommage et à lui conter tout les méfait que tu aura perpétrer, sinon ma fille je peux t’assurer que ta mort restera dans les annales de notre ordre comme de la plus brutale, la plus sanglante et la plus débauchée » En disant cela il se passa la langue sur les lèvres et me désigna ses hommes qui semblaient me foudroyer du regard. Je ravala mon orgueil et les suivirent sur la route qui devait nous mener à luskan.
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| | | bilay_kayfa Eclaireur du flood
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| Sujet: Re: [Reroll][Barde/Ensorceleuse][H] Fëydht Raütha De Llorkh Sam 24 Oct - 15:48 | |
| *Extrait Du Journal De Fëydht Rhauta De Llorkh* - Citation :
L'INVOCATION
- Spoiler:
Invocation
Nous n'avons pas à lutter contre des êtres de chair et de sang mais contre les principautés et les puissances, contre les maîtres de ce monde de ténèbres, contre les mauvais esprits répandus dans les régions célestes.
Il existe dans de nombreux mondes, appelés enfers, des millions de créatures de toutes les apparences possibles et imaginables, possédant des dons magiques issus de l'essence du mal et du malin, jouant avec les vivants comme avec des marionnettes. Ces démons sont tous différents, mais tous identiques dans leur but commun : Détruire la vie, faire souffrir, et tuer. Pour ces monstres, les vivants ne sont que des larves à écraser, après avoir joué avec. Ils se délectent de la souffrance des plus faibles, violent, pillent, tuent pour le plaisir, agissant dans l'ombre, semant le doute dans les foyers, apportant la marque du malin dans les villages.Même s'ils prennent parfois le chemin du monde des vivants, les démons n'en restent pas moins des créatures des ténèbres, et sont tenus de résider dans les royaumes infernaux qui les abritent. Leur venue sur Abeir Toril, ou en d'autres endroits ne se fait pas par leur volonté : ils doivent être appelés, généralement par un invocateur désireux de s'approprier des pouvoirs ou des connaissances que tel ou tel démon pouffait lui donner.La démonologie est devenue un art que pratiquent de nombreux nécromants, prêtres et magiciens. Ceux ci peuvent s'attirer plus de puissance en peu de temps.
Il existe un grand nombre ouvrages faisant référence à la démonologie, aux enfers, aux invocations aux démons, etc. Ces oeuvres, retranscrites après des expériences fructueuses par des démonologues permettent d'appréhender facilement le mystère qui entoure les enfers et ses habitants, et la façon d'en tirer parti. Mais ces livres occultes sont aussi recherchés par les puissances du Bien, non pas pour capter la connaissance maléfique qu'ils dispensent, mais pour détruire, pour chaque tome, un fragment du Mal dans le monde des vivants.
L'invocation d'un démon est un procédé long et dangereux, demandant une extrême concentration. Chaque détail est important, chaque millimètre compte, tout doit être parfait lors d'une invocation, ou le contrôle du démon risque d'être un échec, le danger croissant en fonction de la puissance de la bête appelée. La plupart du temps, une personne invoque un démon dont il détient le nom et dont il connaît les pouvoirs. Lors de l'invocation, l'invocateur appelle le démon par son nom et ouvre un passage entre son plan de résidence et celui de la créature. Celle ci se sent attirée par l'appel et ne peut résister, se laissant aller, parfois à regret, parfois avec plaisir, vers la personne qui le requiert.
Si l'invocateur inexpérimenté ou fou invoque aléatoirement une créature des royaumes inférieurs (sans appeler son nom, sa race, son plan d'origine), il y a de grandes chances qu'il voie apparaître un Gehreleth, un résidant du plan de Baator, l'une des plus puissantes créatures des enfers.
L'invocation se fait autour d'un cercle dessiné sur le sol (souvent gravé) dans lequel devra apparaître la créature. Ce cercle, s'il est parfaitement fermé et entouré des symboles adéquats et parfaitement dessinés, permet au démon invoqué de rester attentif à l'invocateur, puisqu'il est gardé confiné dans un espace limité. Mais ce cercle est aussi une barrière magique permettant à l'invocateur de ne pas se faire déchiqueter par la bête, puisque les démons détestent particulièrement se rendre sur un plan quelconque s'ils ne le désiraient pas, et encore moins obéir à un mortel. L'invocateur se place aussi lui-même dans un cercle de plus petite taille, entouré d'une barrière censée le protéger du mal. Il se sert d'un lutrin où il pose le parchemin ou le grimoire sur lequel est transcrite l'incantation de l'invocation, et de divers ustensiles nécessaires au confinement du démon dans le cercle de protection (bougies de couleur, candélabres, divers composants...).
Le lieu dans lequel se fait l'invocation (le temple) doit être consacré à cet effet. Dans une pièce, on trace un cercle dans ou sur le sol (suivant s'il s'agit de terre meuble ou de pierre, par exemple). Il peut être tracé grâce à un bâton, de la craie réduite en poudre, du sel, du sang, etc. Le périmètre du cercle varie selon le nombre de personnes présentes lors du rituel (généralement pas plus de deux, un invocateur et une personne portant divers accessoires par exemple).
L'invocateur utilise, pour créer l'ambiance de confinement nécessaire à l'apparition d'un démon, divers accessoires:
•Des cierges : ils sont de couleurs généralement foncées (noirs, bordeaux, verts, bleus... ), dont la mèche peut être de coton, de lin ou de chanvre, à la cire peut être ajoutée une substance dégageant une odeur (odeur de fleur, de soufre, de fruit, etc.)
•Des encens : ils libèrent une odeur envoûtant l'invocateur ; ils sont contenus dans des encensoirs permettant une bonne aération et une longue incandescence
•Une pointe métallique : elle permet de recueillir les ondes émanant de la zone d'invocation et de les diriger, on utilise souvent une épée à cet usage
•Des fluides : ils captent l'énergie reçue par l'invocateur grâce à sa pointe métallique; il s'agit d'eau, d'huile parfumée ou de matière grasse végétale ou animale
La tenue cérémoniale est aussi importante, puisque les vêtements et leur matière peuvent être une entrave pour capter les énergies. L'invocateur utilise généralement, à l'intérieur du cercle, un vêtement de soie naturelle (mauvais conducteur de l'électricité). Le vêtement comporte des broderies (tissés en fil d'argent) ou des incrustations de pierreries.
Lors de l'invocation, il est nécessaire d'observer des règles précises. Les gestes doivent être exécutés à la perfection, de façon légère et non saccadée. Les paroles doivent être prononcées clairement et de manière linéaire (pas de coupure dans une phrase). Puis, lorsque le démon apparaît, l'invocateur doit toujours se trouver debout, fixant toujours la bête dans les yeux, lui parlant de façon sèche et précise. Il doit montrer qu'il est puissant, sûr de lui, confiant dans ses pouvoirs. Le démon cherche à tirer parti des défauts de l'invocateur ou de sa magie et, dès que possible, massacrer la personne qui l'a appelé sur un autre plan. Il convient donc &être très prudent et concentré lors d'une invocation.
Note: lorsqu'une personne invoque sciemment un démon très puissant, il vaut mieux dans ce cas se prosterner devant sa puissance et lui parler avec déférence, ou la bête risque d'être de fort mauvaise humeur.
Le nombre d'opérateurs lors du rituel est variable, bien qu'une seule personne soit préférable. Un invocateur peut tout de même être aidé par un ou plusieurs aides (pour porter les ustensiles, allumer les cierges, etc. ), mais ils ne sont pas spécialement conseillés (un démon est plus "impressionné" par un homme seul que par une dizaine).
Exemple de disposition des cercles d'invocation :
•La pointe du pentacle doit être orientée vers le sud (ce qui est en haut doit redescendre: les énergies sont dirigées vers le bas)
•Des bols contenants divers liquides ou des encensoirs sont disposés à l'extrémité des pointes du pentacle
•La place de l'invocateur, dans le cercle inférieur, est protégée par divers glyphes
•Le tout est entouré d'un cercle de protection qui empêche les énergies extérieures de pénétrer dans la zone d'invocation
Pour terminer, l'invocateur lance le sort Portail pour créer une porte dimensionnelle vers l'un des plans inférieurs et appeler la créature à conjurer. Ce sort a pour effet de vieillir l'invocateur de 5 ans.
Il arrive souvent que l'invocation d'un démon réclame un sacrifice, animal ou humain (généralement humain), d'un ou plusieurs êtres. La mort de la créature sacrifiée libère une énergie de pure peur dont se délectent les démons, et qui est suffisante pour ouvrir un passage vers le monde des ténèbres.
Il est à noter qu'un démon peut être détruit sur le plan primaire, mais il sera toujours vivant sur son propre plan et pourra à nouveau retourner sur le plan primaire. Un démon ne peut être totalement éradiqué que s'il est détruit sur son plan d'origine.
Il existe cinq branches d’invocations, qui permettent de faire apparaître objets, créatures ou énergie(convocation), de faire venir des entités originaires d’un autre plan (appel), de soigner (guérison), de déplacer des créatures ou objets sur de grandes distances (téléportation) ou de créer objets ou effets de toutes pièces (création). Les créatures invoquées obéissent généralement au responsable de leur venue, mais ce n’est pas systématique.
Une créature ou un objet amené ou créé par une invocation ne peut pas se matérialiser dans les airs, ni à un endroit déjà occupé par quelqu’un ou quelque chose. Il doit apparaître à un endroit dégagé, sur une surface capable de le soutenir. La créature ou l’objet doit également arriver dans les limites de portée imposées par le sort, même s’il peut se déplacer par la suite.
Appel. Le sort va chercher une créature d’un autre plan et l’amène au personnage. Par la suite, il permet à l’entité de repartir dans son plan d’origine, mais peut éventuellement limiter ses possibilités de retour. La créature meurt réellement si elle se fait tuer ; elle ne disparaît pas, contrairement aux monstres créés par les sorts de convocation (voir plus bas). La durée d’un sort d’appel est instantanée, ce qui implique que la créature invoquée ne peut pas être dissipée.
Convocation. Le sort amène instantanément une créature ou un objet à l’endroit choisi par le personnage. Quand il arrive à son terme, une créature convoquée retourne aussitôt d’où elle vient. Par contre, un objet convoqué reste généralement sur place, sauf indication contraire dans la description du sort. Une créature convoquée repart également si elle est tuée ou si elle tombe à 0 point de vie. Dans ce cas, elle n’est pas vraiment morte. Il lui faut 24 heures pour se reconstituer, période pendant laquelle il est impossible de l’invoquer de nouveau.Lorsque le sort s’achève et que la créature repart, tous les enchantements jetés par elle s’achèvent aussitôt, s’ils ne l’étaient pas déjà. Une créature convoquée ne peut pas faire appel à ses propres pouvoirs de convocation quand elle en a.
Création. Le sort manipule la matière de façon à créer un objet ou une créature à l’endroit choisi par le personnage (dans la limite des restrictions indiquées plus haut). Si la durée du sort est autre qu’instantanée, c’est l’énergie magique qui donne sa forme au monstre ou à l’objet, lequel disparaît sans laisser de trace lorsque le sort s’achève ou est dissipé prématurément. À l’inverse, si la durée du sort est instantanée, la créature ou l’objet est créé uniquement par magie, ce qui lui permet par la suite d’exister indéfiniment, sans risque d’être dissipé.
Guérison. Certaines invocations divines permettent de soigner les gens, voire de les ramener à la vie.
Téléportation. Un sort de téléportation déplace un ou plusieurs objets ou créatures sur de grandes distances. Le plus puissant de ces sorts permet de franchir les frontalières planaires. Contrairement aux sorts de convocation, les téléportations ne marchent que dans un sens (à moins que le contraire ne soit précisé) et ne sauraient être dissipées. La téléportation est un mode de déplacement instantané qui passe par le plan Astral. Tout ce qui empêche les voyages astraux l’enraye donc. | |
| | | bilay_kayfa Eclaireur du flood
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| Sujet: Re: [Reroll][Barde/Ensorceleuse][H] Fëydht Raütha De Llorkh Sam 24 Oct - 15:52 | |
| *Extrait du journal de Fëydht Rhauta De Llorkh* - Citation :
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LA NECROMANCIE
- Spoiler:
Exploitez la puissance de la nécromancie :
Les Morts L'esprit ne meurt jamais...
Question: Si la naissance est le fait d'arriver dans un monde, et la mort est le fait de quitter un monde... alors au moment de naître dans ce monde-ci, ne mourons-nous pas ailleurs quelque part? Et aux yeux de ceux que nous appelons les morts, est-ce nous qui ne sommes pas encore nés...?
La mort a toujours été pour les vivants un grand mystère, à la fois effrayant et fascinant. Vue à travers les yeux d'un nécromancien, la mort est une porte, un passage, la seule sortie possible pour se libérer de la matière et atteindre les mondes des esprits une fois une vie physique accomplie. De tout temps, les séparations avec des êtres chers qui franchissent ce passage avant nous ont été source de peur et de douleur. Bien que ces séparations soient temporaires, puisque nos chemins finissent évidemment par se rejoindre, elles semblent si irréversibles que plusieurs appellent les morts des "disparus"... Pourtant, il nous est toujours possible de tendre la main ou l'oreille de l'autre côté de cette porte, et cela peu importe de quel côté on se trouve... C'est l'art de la communication avec les morts.
Joindre l'au-delà
Le spiritisme, ou art de communiquer avec les esprits, est pratiqué depuis des temps immémoriaux. Tout ce que cela requiert, c'est d'abord d'avoir l'esprit ouvert. Le troisième oeil, ou le sixième sens, ou la réceptivité, quel que soit son nom, ne fonctionne que si on s'ouvre à ses perceptions. De plus, bien que certaines personnes aient un talent naturel pour ce type de réceptivité, tous peuvent potentiellement parvenir à un contact avec un défunt.
Voici d'abord les principes de base du contact avec les morts:
-Il faut que la personne à contacter soit morte... donc pas réincarnée, puisque alors elle est vivante! -À moins d'être extrêmement talentueux et/ou expérimenté, il faut avoir un lien quelconque avec la personne à joindre (lien de parenté, connaissance de la personne ou relation proche avec elle quand elle était vivante, ou encore avoir un objet lui ayant appartenu ou l'appeler dans des lieux qu'elle fréquentait... ou au moins connaître son nom...) -Le contact est souvent plus facile dans les rêves, surtout pour les débutants. -Accorder aux morts le même respect qu'aux vivants. Ils ont des émotions, et peuvent être attristés, fâchés ou blessés par une mauvaise attitude de la part des vivants. -Il est toujours préférable qu'une rencontre vivant défunt se fasse d'un commun accord; évitez de forcer des âmes à communiquer alors qu'elles n'en ont pas envie. -Lorsqu'un esprit se manifeste, vérifiez toujours si c'est celui que vous vouliez contacter. Ce pourrait être un autre visiteur bienvenu... mais un intrus pourrait aussi répondre à votre appel, et vous pourriez avoir affaire à un mauvais esprit. Commencez donc toujours l'entretien par la vérification de l'identité.
Sortilège pour contacter un mort
-chandelle noire -thym frais ou en poudre
Entourer la chandelle de quelques brins de thym frais ou la saupoudrer légèrement de thym en poudre, puis l'allumer. Invoquer l'âme de la personne par son nom, avec cette incantation:
(nom du défunt), Toi qui vécut hier, Je t'appelle d'esprit à esprit, Reviens de l'ombre ou de la lumière Et manifeste-toi ici.
Voici également une formule pour remercier le défunt et clore la rencontre, après quoi il faut éteindre la bougie:
Toi qui vécut hier, Je te remercie d'être venu ici, Je te laisse t'envoler de cette terre Et rejoindre le monde des esprits.
Les fantômes
Tout nécromancien se doit d'être expert en matière de fantômes... Ce qui est assez facile quand on y pense... Commençons par le commencement: il y a deux types de fantômes: les empreintes, et les âmes.
Les fantômes empreintes ne sont pas de vrais esprits. Ce sont des projections, des traces littéralement imprimées dans l'espace par l'âme et l'aura d'une personne dans un endroit donné, souvent à cause d'un événement traumatisant dont l'énergie n'a pas pu être libérée autrement. Par exemple, à l'endroit où une personne a subi une mort violente, on risque de voir une sorte de fantôme sans âme qui rejoue encore et encore la scène du drame. Avec le temps, ce genre d'empreinte fini par s'estomper; si nécessaire, on peut aussi employer la magie pour les effacer, tout simplement en purifiant les lieux.
Les fantômes âmes, souvent simplement appelés fantômes, sont tout simplement les esprits des morts qui se manifestent dans ce monde. Ils peuvent être présents ici en simple visite, parfois en réponse à l'appel d'un vivant qui demande leur présence, ils peuvent être perdus et ne pas savoir comment partir pour le monde des esprits, ils peuvent être à la poursuite d'une vengeance contre un ou plusieurs vivants, ou encore venus pour aider un vivant... Mais le plus souvent, ils sont en errance, retenus par une oeuvre inachevée ou un fardeau quelconque qui fait en sorte qu'il ne se sentent pas prêts à passer dans l'au-delà.
Bien qu'ils soient immatériels, les deux types de fantômes se manifestent parfois par des signes physiques: courants d'airs, bruits, abaissement de la température, voire même poltergeists (mouvements spontanés d'objets inanimés). Ces signes sont généralement dus à l'interaction de la matière physique avec l'ectoplasme, l'énergie spirituelle qui compose le corps astral des fantômes et qui peut absorber la chaleur pour se manifester ainsi que toucher des objets. Cette interaction ne se produit pas toujours, cependant, car elle dépend grandement des énergies que renferme le fantôme et des émotions qui l'habitent; ainsi certains fantômes sont très faciles à détecter, alors que d'autres sont plus furtifs. Dans le cas des fantômes âmes, ils sont parfois les esprits de personnes ayant des dons magiques, et ils peuvent donc les utiliser dans notre monde même après leur mort, produisant des effets inattendus.
La conduite à tenir face à une âme fantôme dépend évidemment de ce qu'elle veut et de ce que vous voulez. Établir une communication ouverte et respectueuse avec certains fantômes peut être une formidable expérience et permet d’enchaîner l’esprit à votre pouvoir.
Créatures Nécromantiques Quand la mort prend vie... Les êtres animés.
Le seul terme de "créature nécromantique" peut sembler aberrant, puisque la mort ne peut pas constituer un être vivant... C'est là tout l'art de la création nécromantique: concevoir non pas des êtres, mais des anti-êtres.
Un anti-être nécromantique est une créature dont le corps astral est entièrement constitué d'essence d’énergie négative sous une forme donnée par la volonté et l'effort spirituel d'un nécromancien. C'est donc une chose animée, capable de se mouvoir et d'agir selon la volonté de celui ou celle qui l'a créée et qui la guide. Mais cette chose animée est vouée à disparaître dès que cesse la concentration du nécromancien, puisque alors l'essence de mort fera ce qu'elle a toujours fait de par sa nature même : éliminer, donc dans ce cas-ci détruire la forme qu'on lui avait fait prendre.
La création d'anti-êtres est peut-être le don le plus typique et le plus original de l'art nécromantique, mais c'est aussi peut-être le plus exigeant. Le procédé en soi est très simple:
-recueillir suffisamment d’énergie négative de qualité, il faut pour cela fréquenter les bons endroits, les morts violentes comme nous le savont produit de l’énergie négative brute en grande quantité mais de qualité relative, les morts douce voir souhaité produit une énergie d’excellente qualité mais en quantité réduite.
CETTE REGLE EST TOUJOURS VALABLE !
-utiliser sa volonté pour aller à l'encontre de la nature et faire en sorte que l'essence de mort se solidifie pour créer une forme donnée; - Utiliser cette forme pour contrôler le corps sans vie du cadavre voir en crée un de toute pièce. (Différence entre création de mort vivant et animation de cadavre) -toujours par la visualisation et la volonté, commander les gestes de la créature ainsi formée; -et en même temps, maintenir un niveau de concentration suffisant pour tenir l'énergie en place tant et aussi longtemps qu'on souhaite garder l'anti-être.
Ceci requiert un grand talent de visualisation et de création mentale, une volonté solide, une très grande capacité d'attention et de concentration, et beaucoup de pratique. Plus l'anti-être à créer est grand et complexe, plus l'exercice est difficile. C'est aussi bien plus difficile lorsque la création se trouve loin de son créateur. Former et maintenir plusieurs créatures à la fois est encore pire, car cela requiert la capacité de diviser son attention et d'accorder sa concentration à plusieurs choses en même temps. Avec suffisamment d'expérience dans ce domaine, il est aussi possible d'ajouter aux créatures nécromantiques différentes énergies provenant des éléments, afin de leur conférer des capacités ou des pouvoirs spéciaux. Quels que soient les procédés, les anti-êtres sont des outils polyvalents: une fois correctement créés, on peut s'en servir pour faire à peu près n'importe quoi, à condition de pouvoir leur transmettre les énergies requises et les maintenir intacts...
Par exemple les sortilèges d’os de pierre sont appréciables pour renforcer la solidité d’un anti-être, mais ce n’est pas le seul, d’autre sort peuvent être ajouté pour faire de la créature nécromantique une arme de défense comme d’attaque.
Comme les anti-êtres sont de par leur nature des déséquilibres et des aberrations énergétiques issu du plan de l’énergie négatif, ils sont presque toujours temporaires et dépendants de leur créateur. Certains pseudo esprits que l'on retrouve dans la nature font exception, notamment les rats nécromantiques, qui sont de désagréables petits anti-êtres capables de se reproduire et de se maintenir sous cette forme par eux-mêmes en se nourrissant d'énergies négatives qu'ils condensent dans leurs corps.
Il est ridiculement facile de détruire un anti-être que l'on a soit même créé: il suffit de couper la concentration, donc tout simplement de penser à autre chose. Par contre, éliminer un anti-être conçu par autrui peut être plus complexe, selon la quantité d'essence de mort à éliminer et les éventuelles résistances ou protections incorporées par le nécromancien. Voici les principaux moyens pour se débarrasser des anti-êtres d'autrui:
-les détruire par des pouvoirs actifs ou avec les énergies des différents éléments; -les éliminer avec les forces d’énergie divine ou de la chaleur; -les dissiper en ramenant l'équilibre, ce qui ramène l'essence de mort à sa fonction de base et dissout la créature; -les disperser en invoquant la Lumière Blanche, l’énergie divine, elle suspend l'activité des autres forces et repousse l'essence de mort contenue dans l’énergie négative même.
Le Toucher de la Mort
Une arme de la nécromancie...
Le toucher de la mort, aussi appelé main ou caresse de la mort, est le plus simple et le plus fondamental des sorts offensifs qu'offre la nécromancie. Il permet non seulement de blesser et affaiblir une personne ou un esprit, mais aussi de lui dérober une part de sa force vitale. But: Blesser un adversaire et lui voler sa force vitale.
Conditions: Ceci est un sort offensif direct. Il faut donc être à portée visuelle de la cible pour l'employer. Il fonctionne non seulement contre les personnes en chair et en os, mais aussi contre la plupart des démons et créatures surnaturelles. Il faut l'employer avec une extrême prudence et ne jamais s'en servir à la légère.
Technique: -Recueillir de l'essence d’énergie négative et en faire une boule d'énergie. -rendre celle-ci intense et très concentrée (se fier à la fluorescence rouge pâle de l'essence de mort: plus elle est concentrée, plus elle est fluorescente) -une fois l'essence de mort rassemblée, se concentrer fortement sur la cible et tenter de voir l'énergie vitale qui circule dans son corps -lorsque la concentration est bien établie, lancer la boule d'essence de mort vers la cible en lui donnant la forme d'une main ouverte -en guidant cette main à distance, l'utiliser pour arracher une poignée de l'essence de vie perçue dans le corps de la cible -permettre ensuite à l'essence de mort de perdre sa forme et remplir le vide créé dans la cible, remplaçant ainsi l'essence de vie -tout en attirant l'essence de vie délogée vers le vide laissé dans sa propre main lors du lancer de la boule de mort -et enfin, absorber l'essence de vie volée.
Bien qu'il soit très simple, ce sort peut faire beaucoup de tort à celui ou celle qui en est la cible, surtout s'il est utilisé à répétition. C'est donc l'arme de choix de la majorité des nécromanciens. Cependant, le toucher de la mort n'a évidemment aucun effet contre les fantômes et les créatures nécromantiques, qui ne renferment aucune essence de vie à drainer. Les gardiens ne sont pas affectés non plus par ce sort, puisqu'ils sont naturellement immunisés contre toute forme de drainage. De nombreux sort de l’école de nécromancie font usage du toucher de la mort comme technique principale, parmi eux Rayon affaiblissant, Main spectrale, Toucher vampirique, toucher de la momie, toucher de la liche, baiser de la goule, baiser du vampire et doigt de mort. Les Arts Sombres : Les sorts de nécromancie ont trait à la mort. Nombre d’entre eux sont en rapport direct avec les morts-vivants. Effroi, animation des morts et doigt de mort font partie de cette école. Les magiciens qui se sont tournés vers ces arts noirs sont communément appelés nécromancien ou nécromant. Pour les magiciens maîtrisant réellement la nécromancie, leur connaissance de cette magie leur permet de contrôler les morts en communiant avec leur esprit, pour s’attacher les services de leur corps sans vie.
Nécromancie n’est pas démonologie. Il arrive que les nécromants soient démonistes, mais la nécromancie en elle même n’est que l’étude de la Mort. Cela impose bien sur de passer par les courants du Chaos et autres flux primaires de la puissance magique (d’ou une certaine propension à générer la folie), mais la Mort en elle même n’est ni bonne ni mauvaise.
De fait, il existe une poignée de nécromants à l’action très positive. La plupart sont des Elfes, bien plus résistants que les Humains à la folie. Ils soignent les blessures sans espoir, les maladies, et leur action tombe en fait dans l’étude de la "magie de la vie".
La nécromancie fut sans doute une des premières magies recherchée par les Humains, avec l’élémentalisme. Loin de la jeunesse de l’Alchimie et des bricolages de l’illusionnisme, la nécromancie touche à la peur primale de la Mort.
Mourir libère une certaine quantité et qualité d’énergie, tout dépendant de la mort. Il faut savoir quelle méthode employer afin d’obtenir le résultat souhaité. Une mort rapide et violente, par exemple un meurtre, libère beaucoup d’énergie. Celle-ci est souvent négative puisque la victime n’est pas consentante. C’est ce qui explique que les lieux d’exécutions sont des lieux chargés. L’énergie résiduelle est très forte et négative, ce qui en fait d’excellent endroit pour l’invocation des démons. Par conte une mort lente et douce ou souhaité, par exemple suite à une longue maladie, libère très peu d’énergie mais d’une grande qualité.
Le but de la nécromancie n’est sont guère différents de celui de la magie en général. Comme celle-ci, la nécromancie n’est ni noire ni blanche, mais neutre. Tout dépend de la volonté qui l’anime. Elle peut servir à augmenter le pouvoir personnel, affiner notre perception du monde, aider les autres et soi-même, etc. En fait la nécromancie n’est que l’un des multiples sentiers offerts au chercheur de l’occulte. Il n’est pas très fréquenté et a mauvaise réputation, car la mort et la relation avec les morts a toujours été quelque chose de délicat. Pourtant il est possible d’être un excellent nécromancien sans être profanateur de tombe ou meurtrier psychopathe pour autant ! Tout est question de mesure.
Les nécromanciens : La nécromancie est une forme de spécialisation des arts noirs. Autrement dit, on ne s’improvise pas nécromant. Certaines aptitudes sont requises.. Un bon nécromancien doit savoir assumer les conséquences de ses actes, il doit avoir un certain intérêt à l’étude et les aptitudes nécessaires à celle-ci. Il doit être patient, avoir confiance et être volontaire. Il doit surtout savoir vouloir. En effet, quiconque veut, mais ne sait pas vouloir, ne deviendra jamais un bon nécromancien. Vouloir n’est pas désirer : le désir efface la volonté, un désir sans volonté détruit toute œuvre magique. La plupart des pratiquants sont des gens solitaires. Il faut savoir être seul. La connaissance de soi et la maîtrise ne sera acquise que par un effort personnel, personne ne pourra le faire à votre place. Si vous ne travaillez pas vous n’arriverez à rien.
Le nécromancien travaille avec les morts et avec la mort. Il doit savoir imposer sa volonté pour ne pas se faire manipuler. Il doit se maîtriser afin de ne pas être contrôlé et il doit faire preuve de discernement pour ne pas «se faire avoir». Les défunts ou les âmes ne sont pas plus intelligentes que ce qu'elles étaient lors du vivant de la personne. Il faut donc soigneusement choisir avec qui on travaille. Pour cette même raison, à moins de rencontrer une âme particulièrement altruiste rien n’est gratuit. Il est aussi possible que vous ayez à enseigner ce que vous voulez que le défunt fasse pour vous.
Par contre, pour ce qui est de la divination il faut faire attention : un bon médium fait très rarement un bon nécromant. Ce sont des personnes passives qui n’ont pas de difficulté à s’oublier. Elles sont plutôt utilisées par les âmes et l’assistance. Un nécromant doit, au contraire, chercher à «négocier» avec les âmes et en obtenir ce qu’il veut. Il est donc loin d’être passif. | |
| | | bilay_kayfa Eclaireur du flood
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| Sujet: Re: [Reroll][Barde/Ensorceleuse][H] Fëydht Raütha De Llorkh Sam 24 Oct - 17:41 | |
| Dessin : vue du port de luskan *Extrait du journal de Fëydht Rautha De Llorkh*
Enfin arrivée à destination, je n’en reviens pas du chemin parcouru pour arriver sur la côte septentrionale des épées. Je connaissais déjà Eauprofonde, padhiver que j’évitais autant que possible ne m’intéressait pas plus que ça. Luskan était plus intéressante, l’endroit idéal pour propager le mal et le chaos sans être découverte. La secte d’orcus me surveille toujours et il me faut suivre leur instruction si je veux vivre, jusqu’à ce que je puisse m’émanciper évidemment, je couche cela sur papier en espérant que jamais cela ne parviendra à Avoranty.
Egalement appelée la cité des navigateurs, Luskan est une des villes dominantes de la Mer des épées septentrionale. Elle est peuplée de nordiques de Ruathym dont la plupart ont jadis été pirates. Un conseil de cinq Hauts Capitaines, tous d'anciens seigneurs pirates, gouverne la ville.
La citée se revendiquent neutre, chaque soldat de la garde ne peux agir que dans les limites de sa juridiction, quartier par quartier. Chaque haut capitaine évitant plus ou moins de marcher sur les plates bandes des autres. Je rencontrait une gardes luskanienne nommée Rhakel qui m’expliqua être sous les ordres du capitaine Kahir Oryan. Celui-ci régnant presque en maître sur le quartier de la place centrale.
Luskan est un comptoir commercial, demeure de fiers et belliqueux guerriers du Nord. Cet important port est situé à l'embouchure du fleuve Mirar, un rapide et glacial cours d'eau, charriant de nombreux rochers et impossible à naviguer pour cette raison. Les périls présents tant le long de la Haute Route côtière que sur la Longue Route du sud depuis Mirabar, obligent le commerce du métal à s'effectuer principalement par voie maritime. Les bâtiments sont serrés les uns contre les autres, s'élèvent de deux ou trois étages et sont généralement profondément enracinés dans le sol.
Carthographie de luskan
La rivière Mirar divise la cité en deux grosses parts. La section septentrionale est une enclave cernée d'une enceinte, comprenant essentiellement des entrepôts. La moitié méridionale est plus ancienne ; et cette partie est hautement fortifiée. Trois ponts relient ces deux parties de la ville : la Croix du port, la Traversée de Dalath, la Traversée d'amont. La Croix du port comprend deux passages qui se croisent au dessus des flots, la Longue et la Courte Traversée, d'où le nom de l'ensemble.
Les parties les plus développées de la ville sont à l'embouchure du fleuve et le quai sud. Cinq îles importantes font face à l'embouchure et les trois plus proches sont habitées et font partie de la ville.
Le quartier du port est celebres pour ses tavernes mal famée, remplie de pirates et de voleurs, je dû avoir recourt aux déguisement pour éviter les coups de poignards dans ce coupe-gorge.µ
Déguisement de sorcière-pirate En quelques jours je rencontrais de nombreuse ensorceleuse et magicienne renommée dans la région. Lysandre, une humaine archimagicienne de la tour des capes de padhiver, leen une elfe ensorceleuse spécialiste dans le maniement de la magie brute, j’ai pu constaté l’efficacité de son sort épique ruine suprême. Il y a encore Annika une tieffeline anciennement invocatrice, reconvertie en enchantement. Et enfin Kalaes, une femme qui pose beaucoup trop de question à mon goût. Je les ai toutes rencontrées au même moment, à l’est de luskan.
- Citation :
- A l'est de la ville, alors que la nuit se levait, emportant dans son sommeil une grande part des habitants, des travailleurs et autres Luskaniens, un étrange congrès se réunit, comptant plusieurs mages de diverses traditions.
Echangeant quelques mots à mi-voix pour ne pas effrayer les marchands en retard en quête d'une auberge hors des murs, toutes conclurent à quelque règle obscure concernant un duel de magie... Alors, celui-ci put commencer, dans une sphère invisible aux yeux des profanes protégeant miraculeusement l'environnement alentour du potentiel des arcanistes. Les incantations ont duré une bonne heure, ponctués de rictus de douleur ou d'exclamations sauvages (plus mesurées pour l'Archimage cependant).
Celui-ci sembla, à des regards initiés, basé sur le combat pur et dur, mettant de côté certaines subtilités réservées aux vrais duels de mages (hrp : duels techniques, pas de tour par tour).
Participantes : Lysandre, Archimage Leen, ensorceleuse Feydht, ensorceleuse et troubadour "Celle qui ne veut pas donner son nom", ensorceleuse Kalaes, ensorceleuse
Résultats du duel de mage :
Duel 1 - Duo "Celle qui ne veut pas donner son nom"/Kalaes Première manche : "Celle qui ne veut pas donner son nom" gagnante ! Seconde manche : Kalaes gagnante !
Duel 2 - Duo "Celle qui ne veut pas donner son nom"/Leen Leen Gagnante !
Duel 3 - Quatuor "Celle qui ne veut pas donner son nom" et Feydht / Lysandre et Leen Première manche : Lysandre et Leen gagnantes ! Seconde manche : Feydht et "Celle qui ne veut pas donner son nom" gagnantes !
Final - Chacun pour soi Lysandre/"Celle qui ne veut pas donner son nom"/Feydht/Leen/Kalaes Lysandre l'Archimagicienne gagnante ! Et gagne donc le prix du Duel, un parchemin de restauration complète, financé par l'ordre clérical des Etoiles de Mystra. Un autre magicien a retenu mon attention, un certain galen trent, je lui proposa un duel de magie. Sa technique n’est pas très au point mais une chose m’intrigua, il utilisais son doigts pour me toucher pendant le rituel et tentait un sort nécromantique qui n’était ni un doigt de mort, ni un toucher de la goule, ni un baiser du vampire, ni aucun sort nécromantique de ma connaissance. Je remarquait qu’il portait un gant à cette main et je me résolu à tricher pendant le duel pour découvrir ce qu’il cachait. J’utilisait un sort d’arrêt du temps et en profita pour regarder son bras. C’était un greffon mort vivant. Un maître blême se tenait en fait devant moi. Un concurrent à vrai dire ! Je décidai alors de tout tenter pour le détruire, je ne laisserais plus aucun autre nécromancien marché sur mes plates bandes… | |
| | | bilay_kayfa Eclaireur du flood
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| Sujet: Re: [Reroll][Barde/Ensorceleuse][H] Fëydht Raütha De Llorkh Mar 3 Nov - 15:03 | |
| *Extrait du journal de Fëydth Rautha De Llorkh**LE SCEPTRE D'ORCUS*La cave des horreurs.Avoranty, le grand prêtre de la secte d'orcus sur la côte des épées, m'avait ordoné de devenir la porteuse du sceptre d'orcus. Mais prendre ce sceptre signifiera ma mort dans une année voir deux selon la volonté d'orcus. Car bien sur, orcus laisse souvent des mortel de son choix être porteur de sa baguette, de manière à ce ue le porteur en question propage le Chaos et le Mal chez tous ceux qui habitent le plan Matériel. Ce genre de badinage ne dure cependant jamais très longtemps, un an ou deux tout au plus, avant que le prince bouffi ne commence à se languir de son artefact, qu'il préfère en général récupérer avec l'âme de celui qui l'a porté pendant cette période. Je me condamne donc a l’avance à une mort certaine au bout de deux ans, il me faudra accomplir de grande chose pendants le temps qui me sera donné, ou trouver le moyen de garder mon âme à l'issue de ce prêt. Je me résolu donc à appeller orcus dans un cercle d'invocation préparé avec soin. Je mit tout mon amour pour le prince démon à dessiner un pentacle sur le sol de la cave, que j'occupais suite à la mort autant tragique qu'accidentelle, d'un couple de bucheron luskanien. gravé le cercle fut la partie la plus difficile, le cercle doit être parfaitement fermé, et les symbole de confinement adéquat doivent être dessiné tout autour. Je disposais les bougies noir à chaque extrémité de l'étoile, je brulais de l'encens avec des herbes de salvia, et disposait autour du cercle, des pointes métalique afin de magnétiser les énergies vers le centre de la pièce. Etant nécromancienne également je décidait d'utiliser de le fluide de l'eau pour enduire les pointes focaliseur, l'énnergie négative circule bien mieux avec de l'eau. chaque milimètre était important pour crée l'ambiance de confinement. je dessinais ensuite un cercle plus petit, pour me protéger moi même, je mit ma robe de cérémonie en soie naturelle puis lança un sortilège de protection contre le mal, en sacrifiant par la même ocasion un coq noir que j'avais prévu pour cet effet. ma concentration était à son paroxysme, je commenca a psalmodié un chant de malheur bardique pour attirer l'attention du démon et effectua une danse pour sa gloire, je sacrifia 5 autre coq noir et laissa leurs carcase au cinq pointe du pentacle.. Mes gestes étaient précis, mes composants vocal et gestuelle, parfait, j'enduit mes mains du sang du coq noir avant de lancer le sortilège de portail. Je me suis sentie tirer sur la toile avec véhémence, de chaque bougie placé au cinq pointe du pentacle des flammes vinrent bruler les coqs noires et une énnergie de pure peur vint se concentrer au milieux du cercle de confinement, ma main s'en trouva bruler sur la paume quand la porte dimensionnelle se matérialisa dans le cercle. Je me suis sentie vieillir de quelques années, je savais que 5années se passerait pour moi lors de cette invocation particulièrement dangereuse. Quand la porte s'ouvrit suite a mon sortilége de portail, je pu entrevoir un bref instant les strates infinies des abysses. Les abysses représentaient bien tout ce qui est hideux, mauvais et chaotique, répété dans une infinités de variétés au travers d'innombrables strates. Je commenca mon appel. Cependant le prince démons n'entra dans mon cercle de confinement, il m'envoya à la place un sous fifre, et qu'elle ne fut pas ma surprise quand je reconnut la créature se tenant devant moi. C'était la succube de mes nuits, qui me regardait en souriant, l'air moqueur.TU A DONC FRANCHIT LE PAS D'INVOQUER LE GRAND ORCUS ! POUR TON MALHEUR CE N'EST QUE MOI ! QU'A TU A DEMANDER AU PRINCE DES MORTS-VIVANTS ?je me prosterna longuement devant elle, avec méfiance cependant, avant de me relever bien droite pour la regarder dans les yeux. - Citation :
- Moi Fëydth
Par ton nom Grand Orcus, prince de thanatos Je te consacre et m’engage A m’employer à ton service jusqu’à la fin de mes jours. Moi Fëydth Commet tes vestiges en Ton Nom, Rends gloire à tes armées Déjà respectueuse des abysses, Consacre mon talisman pour mon inspiration Jusqu’à la fin de mes jours.
Salutations, Ô orcus ! Toi le Bouc ténébreux de narat’ir ! Les enfants de l’infamie connaissent ton nom Mais auraient ainsi profité de toi injustement !
Je suis ta prophètesse, à qui tu confiera tes mystères, les cérémonies de la faerun mises a feu et a sang.
Ecoute-moi orcus, et prête moi ton sceptre en échange de mon âme; de manière à ce que je puisse propager en ton nom le Chaos et le Mal chez tous ceux qui habitent le plan Matériel.
Je T’invoque, Divinité démoniaque vile et Invisible, demeurant en la terrible cité fortifiée des Abysses sur Thanatos où tu régne en maitre.
Toi, Prince des Morts-vivants! Orcus, Toi l’Œil, Toi le Désir ! Hurle ! Hurle ! Fais tournoyer la Roue, Ô orcus, Prince des Morts-vivants!
Mon moi secret au-delà du moi, orcus,Prince des Morts-vivants! Salut, Toi, Prince des Morts-vivants, toi la mort de l’Homme, toi Quintuple Epée Flamboyante ! Toi Bouc enflammé de Désir sur la Terre, Toi Serpent déployé sur la Terre vivante, Approche, noirceur cachée, Dévores-moi ! Tu me dévores ! Donne moi ton sceptre pour que je célébre ton nom dans tout faerun.
Ecoute-moi, orcus , le Non-Né ; Voici le Seigneur de Thanatos; Voici le Seigneur des non vivants; Voici Celui que craignent les Vents ; Voici Celui Qui ayant commandé par Sa Voix est le Seigneur des abysses; Roi, Souverain du vide.
Je suis Fëydth ! L’Esprit Sans Naissance !! Je suis Fëydth ! La firande de chaos ! Je suis Fëydth ! qui déteste que le bien soit à l’œuvre dans le Monde. Je suis Fëydth ! qui noircie et foudroie ! Je suis Fëydth ! qui inonde de mort la Terre ! Je suis Fëydth ! dont la bouche à jamais flamboie ! Je suis Fëydth ! qui Engendre et Manifeste ta noirceur ! Je suis Fëydth ! la coruption du Monde ! Fëydth est mon nom !
Fais que tous les Esprits me soient soumis ; de sorte que tout Esprit du Firmament et de l’Ether, sur Terre et sous Terre, sur la Terre ferme et dans l’Eau, de l’Air Tourbillonnant comme du Feu Impétueux, ainsi que tous tes Charmes et fléaux, m’obéissent.
Orcus : tels sont mes mots ! La mort est tout, Et tout est chaos. Tout est la mort Et la vie est chaos.
A l’agitation du néant ! Que tu soi, Grands Dominateur, et facilite avec force et imagination, l’évolution de mes buts, utilise puissance et gloire à travers tous les organismes de compétence, à la réalisation de mes désirs…
Réjouis-toi orcus, car je suis à toi ! La succube de mes nuits écouta, les bras croisés sur ses seins. Ses cornes immenses balançée quelques fois pour aprouver mes dires, sa queue virevoltant dans son dos. Elle prit enfin la parole, et sa voix douce et envoutante ampli d'un battement d'ailes de mon familier, tout l'espace de la cave.LES ARMEES DU PRINCE S'AFFRONTENT EN CE MOMENT DANS LES ABYSSES, LA MER DE SANG SERA BIENTOT NOTRE, ET NOUS POURRONT ALORS LANCE UNE OFFENSIVE SUR... *elle tourna la tête* ... LE PRINCE TE DONNERA SA REPONSE JEUNE INVOCATRICE, TOI QUI VEUX PARLER AVEC SA VOIE SUR LE PLAN MATERIEL. CEPENDANT !! POUR QUE TU NE VIRE POINT TA CUTI JUSQU'A SA REPONSE JE TE DONNERAIS LES ATTRIBUTS PHYSIQUE DES DEMON !La succube de mes nuits cracha une langue de magma sur son avant bras. Et s'arracha un os sanglant et dégoulinant de feu avant de le lever bien haut au dessus de sa tête, elle souriait à présent de son air malsain que je lui connaissait si bien. Elle me lanca alors une version partielle mais néamoins permanante du sortilège de métamorphose diabolique. *La succube se planta alors une dague dans le ventre, décidant d'elle même quand rentrer sur son plan d'origine, un rire se fit entendre et Fëydht tomba à genoux se demandant s'il elle avait échoué ou réussit. SOUDAIN ! une douleur lanscinante lui cingla le front avec une force incroyable, comme si ses os se mettaient à pousser, son crâne se déforma tandis que l'invocatrice se tenait la tête à deux mains et elle hurla quand des cornes lui poussa sur les tempes. Elle avait donné beaucoup pour appeller la succube de ses nuits, Aura t'elle ce qu'elle recherche en retour?*depuis cette nuit je vie dans l'attente d'un signe, orcus me donnera t'il son sceptre? ou décidera t'il de me tuer? Ma vie et ma mort sont entre ses mains, et le fait qu'il n'ai presque rien dit me pousse à penser qu'il se moque bien du plan matériel, que ses grandes battailles dans les abysses occupe tout son temps, qui suis je pour retenir son attention, il y a des centaines de priants et de fidèle qui ne demande qu'à porter son sceptre. La puissance pour deux années de servitude en son nom sur le plan matériel. Je ne souhaite que cela.
Il me fallait exorciser ces questions qui me tournais inlassablement dans ma tête. Je prit ma harpe et commenca à jouer. Je me surprit à rester une heure dans cette cave à jouer, puis deux, puis toute la nuit, encore et encore, je ne pouvait m'arréter, bientôt je me mit a chanter, de manière violente, atroce, j'hurlait, mes doigts volait sur les cordes. bientôt la famille des bucherons que j'avais massacré pour leurs caves furent alerté par le bruit et vinrent constaté la mort de leurs proches à l'étage. Ils descendirent pour me voir voler à quelques pas du sol, me déchaiannt sur ma harpe, mes yeux était d'un noir d'encre et ils ne pouvaient les voir que grace à la lumière rougeatre que l'énnergie négative produisait partout dans toute la piéce, mes hurlements était comparable à la banshee des cimetierres et les bucherons s'enfuirent en courant. je les poursuivais, lançant des projectiles de pure énnergie négative dans le dos de ses cloportes. Ma colère se déversa sur eux toutes la matinée, et le village de quelques maisons fut vidé de toute vie. apres avoir reccuillit l'énnergie négative issus de leurs morts violente, je m'installa sur un banc pour finir ma chanson.A l'aide s'un sortilége de combustion je brûla ma peau au dessus de mon sexe pour graver le symbole du prince démon, je fit couler de l'encre noir dans les sillons de la brulure. la douleur était atroce, mais je pria intérieurement qu'orcus aime ce geste de fidélité absolue.
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| | | Semper_Eadem Gourou du flood
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| | | | bilay_kayfa Eclaireur du flood
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| Sujet: Re: [Reroll][Barde/Ensorceleuse][H] Fëydht Raütha De Llorkh Jeu 5 Nov - 16:50 | |
| *Extrait du journal de Fëydht Raütha De Llorkh*Luskan la magnifique avait vomis une perle rare en la personne d’une jeune ensorceleuse nommé clara. Elle commença par me suivre, cherchant des prostituées pour se détendre c’était pour moi un plaisir de la conduire. Une promenade en ville fort agréable, et ensuite un arrêt au bistrot des arts pour un verre de rhum. Là nous avons parlé magie, avec un homme fort entremettant nommé Gregor von didakt qui je le voyait bien mettait mal à l’aise la petite sorcière. Quand je réussis à le congédier, Clara commença un flot de parole intarissable, parlant tout à la fois de sa jeunesse de son don inné et de ses malheurs enfantins. Je ne sais pourquoi je m’attendrit pour cette petite qui avait traversé la solitude et le chagrin autant que le regards des autres brûlant et accusateur. Elle avait besoin d’une enseignante, elle avait besoin de changer de vie, et ça ne m’étonne pas si dans la région du thétyr d’où elle vient les sorcières sont brûlées par les paladins de l’inquisition de fer. Je prit donc sous mon ailes cette petite, lui apprenant en premier un peu de théorie, car il n’y a rien de plus jouissif que de battre un mage sur son savoir et aussi su sa pratique de la magie. Je commença par la toile en générale puis embraya sur les écoles de magies choisit par l’ensorceleuse. La nécromancie est pour moi chose facile à enseigner, la manipulation de l’énergie négative, de l’essence divine de la peur et la domination/amélioration de mort vivant étant pour l’instant comme un second souffle. Elle demanda aussi à en apprendre sur l’enchantement, chose que je ne peux pas parler avec autant de certitude. Notre premier cours était fixé au soir même, notre rendez vous dans la petite crypte de l’ancien cimetière de luskan allait prendre une tournure inattendue. Un bien mauvais choix, encore maintenant je me demande comment les mages des arcannes ont pu élire domicile en ce lieux tellement fréquenté par les aventuriers que l’on jurerais un stand d’entraînement. J’attendais devant la crypte, je commençais à m’impatienter, me consolant comme je pouvais à observer le sang des harpies que j’avais tué baigné les arbres dans la pâle lueur du crépuscule. Clara ne vint pas seul, une prêtresse de sunie lui avait ouvert le passage parmi les sangliers sanguinaires de la petite vallée. Elle commença à nous étaler son dogme en pleine face, imposant à mes oreilles délicates le bruyant discours de fleur et de beauté. L’inévitable lui sauta au visage, nous nous sommes battus, j’ai lancé le mage des arcanes que j’avais dominé sur la prêtresse pendant que je dissipais par contre sort chaque sortilège qu’elle tentais de produire de ses mains maladroite. Un sortilège de barrière de lame passa cependant pendant que le mage des arcanes avait produit une boule de feu qui brûla la prêtresse profondément. Je bataillais avec les épées qui s’élevaient du sol pour me transpercer. Blessé plus que je ne saurais le dire je m’engouffra dans le caveau de la crypte en entraînant mon apprentie avec moi. La prêtresse s’enfuit également. Furieuse de ce contretemps je préparai rapidement quelques sortilèges d’invocation pour nous protéger, un seigneur de l’ombre répondit à l’appel ainsi que deux diablotins, je leur ordonna de se placer de part et d’autre de la porte pour bloquer l’entré. Nous eûmes alors quelques minutes de repos avant qu’une magicienne ne fasse son entrée dans la crypte. Une nécromancienne qui se donnait elle-même le titre d’archimagicienne, je ne me laissais pas défaire et nous avons commencé une conversation de magie où le sarcasme et les rayons d’énergies négatives frôlaient dangereusement avec les menaces voilées par une politesse de rigueur. Nous aurions pu en venir à un duel de lanceur de sort jusqu’à la mort si nous n’étions pas alors déconcentré par la venue d’un quatrième protagoniste. Le diablotin du maître blême galen trent, mon ennemi en ces terres, sous le couvert de l’invisibilité entra dans les profondeurs de la crypte, nous l’avons pourchassé un moment toute les trois, en vain, avant qu’il ne crie dans la crypte. FEYDTH CESSONT CETTE GUERRE FROIDE ET PUERILE QUI NOUS RALENTIT TOUT LES DEUX, VOUS N’AIMER PAS LA CONCURRENCE ? JOIGNONS NOS FORCE ! L’archimagicienne pétrifia alors le diablotin, il était à notre merci. Quand nous l’avons libéré, le diablotin exposa les garanties que demandait son maître avant de venir les rejoindre dans la crypte. Il donnerait son savoir en échange de la fin de notre conflit. J’acceptai, ravalant ma colère, et le maître blême apparu bientôt. Nous promîmes chacun d’enlever la mise à prix que nous avons lancé sur la tête de l’autre. Je ne pouvais cependant rien faire concernant le bannissement du maître blême dans le quartier de la place centrale. Nous fixâmes une grande réunion pour le soir suivant, qui scellerait cette alliance peu commune entre les nécromanciens de la région. D’habitude écrasé comme des cafards car restant seule contre tous, que deviendrait luskan si les nécromanciens se rassemblait sous une seule bannière ? | |
| | | bilay_kayfa Eclaireur du flood
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| Sujet: Re: [Reroll][Barde/Ensorceleuse][H] Fëydht Raütha De Llorkh Jeu 12 Nov - 22:22 | |
| *Extrait Du Journal De Fëydht Rhaüta De Llorkh*Je veux que tout ce qui existe de terreur indécise et d’angoisse malfaisante, rampe jusqu’à ce cloporte de Trent par les ténébreuxs détours de la peur et lui serre la gorge comme une main de plomb, empêchant sa salive de passer. Que la seule mention de mon nom fasse cesser les battements de son cœur. La terreur, l’épouvante, la hantise d’une malédiction inexplicable vienne s’abattre sur lui injustement, sans qu’il puisse comprendre pourquoi, lui labourer le cœur à petits coups raffinés comme autant d’ongles empoisonnés. Je veux qu’il ait envie de pleurer comme l’enfant qu’il est, victime d’une aveugle malchance et qu’il ne songe ni à sangloter ni à se révolter, tant il sera désemparé par le malheur qui le poursuit. Qu’une fatalité implacable vienne jeté sur lui son manteau noir, sans qu’il arrive à s’en libérer, étant trop lourd et trop grand, maintenu de partout par des mains invisibles qui le tendent comme un piége, le forçant lentement et pesamment à courber l’échine. Toute la force de ma haine ne fut dirigée, contre Trent et les imbéciles de la garde luskanienne qui l’avait laissé s’échappé, que l’espace de quelques jours, à peine un battement de cœur pour les puissances qui me surveille, quelques milliard pour moi qui suis leur servante. J’eu bientôt d’autres préoccupation que la mort du maître blême, des nouvelles de la succube de mes nuits qui vint me donner la réponse de mon seigneur et maître. Le souverain de Naratir’ n’acceptait pas de me prêter son sceptre. Zureena la succube vint me le chuchoter pendant mon sommeil et je rêva ensuite de mes désirs les plus intimes. Je rêvais de servir le prince, d’être son bras ravagé par la corruption démoniaque sur ce plan d’existence. Orcus devait penser que ma dévotion pour lui n’était pas assez puissante, je n’avais point suffisamment célébré ses attributions, qui sont Le mal, la mort, la ruine et la destruction dévergondée. Je dois maintenant prendre les armes. La masse ensanglantée devra encore fendre les chaires et briser les os, Je m’efforcerais alors d’être à son image, sans pitié. Méprisant les vivants comme les morts-vivants, les utilisant l’un et l’autre sans aucune considération. Propageant le mal jusque dans le cœur des vertueux, j’abattrais les profiteurs. Mon cœur bouillonnant de révulsion déversera sa haine à tout instant sur les âmes pure, les hommes, les femmes, vieillard et enfants, tout opposant du seigneur ténébreux de naratir, orcus le seigneur démon souverain de Thanatos. Oh oui, je serais son chevalier noir semant la misère et la destruction. Mon âme lui appartient. La pitié est un luxe que personne ne vaut. La souffrance et le tourment sont l'essence qui donneront le pouvoir à l'ascension du seigneur des morts vivants. Les dévots plongeront le monde dans une vague de non mort, et même les dieux périront. On dit qu'Orcus peut entendre son nom dès qu'il est prononcé, et apparaître en personne pour châtier le coupable. Je tuerais quiconque prononcera son nom devant moi sans en avoir le droit. Je propagerais la mort-vivance, la douleur, la torture et la destruction de tout ce qui est pure. Jamais je ne m’arrêterais, la côte des épées sera un champ de bataille funeste. - Spoiler:
- Citation :
ORCUS Orcus est un imposant prince démon, gonflé de malice, d'amertume et de mépris. Il fut assassiné et destitué à une époque où il était plutôt satisfait de la tournure plus calme que prenaient les guerres qu'il menait contre Démogorgon et Graz'zt. C'est alors qu'il se releva des morts et devint un démon mort-vivant. Il s'appela le Ténébreux pendant un certain temps, terré dans les ombres en attendant que sonne l'heure de sa vengeance. Aujourd'hui, il a réintégré sa position d'antan et élu domicile à Naratyr, la terrible cité fortifiée des Abysses sur Thanatos, la strate où il règne en maître absolu. Mais une fois encore, Orcus se trouve confronté à un combat acharné pour s'imposer face aux autres seigneurs démons. Il semblerait que l'ère où Orcus se contentait de passer tout son temps à s'engraisser en ingurgitant des larves dans son château est révolue. Désormais, il concentre toute sa haine et sa colère sur la destruction totale de ses ennemis et le développement de la misère et du chaos chez les mortels. Orcus est véritablement un démon renaissant, et il est plus effroyable et dangereux que jamais.
Il abhorre aussi bien Démogorgon que Graz'zt, en particulier pour le pouvoir dont ils jouissent l'un et l'autre, et il convoite leurs royaumes. Orcus est à la tête d'une cohorte de morts-vivants, mais aussi d'armées de démons qui ravagent les champs des Abysses qu'elles traversent. C'est très probablement parce qu'il dispose d' « attributions » identifiables, quoique abjectes, qu'Orcus est bien plus souvent vénéré comme un dieu que la plupart des autres princes démons. Si Démogorgon est peut-être plus puissant, Orcus est sûrement plus proche d'accéder à un véritable statut de divinité.
Orcus est massif, mesurant 4,50 mètres, doté d'une tête qui présente une ressemblance frappante avec celle d'un bélier, et ses jambes se terminent par des sabots fendus. Des ailes de chauve-souris viennent clore ce portrait archétypique du démon. En réalité, lorsque la plupart des gens pensent aux démons, ils ont probablement à l'esprit quelque représentation d'Orcus qu'ils ont aperçue quelque part.
Dans certaines sphères, Orcus est plus connu pour sa baguette, un artefact d'une grande puissance maléfique. Cette baguette, qui est d'ailleurs plutôt un sceptre, est faite d'obsidienne et de métal noir que domine un crâne. Elle dispose de terribles pouvoirs et constitue elle-même une arme effroyable. Le sceptre noir surmonté d'un crâne est aussi le symbole qui représente Orcus.
Les desseins d'Orcus Orcus est pour de nombreuses raisons une personnalité contradictoire. Il n'est pas vraiment enchanté par ceux dont il a la charge, les morts-vivants, pas plus qu'il n'a endossé la responsabilité de « Prince des Morts-Vivants » par dévotion ou allégeance. On pourrait même dire d'une certaine manière qu'il méprise les morts-vivants. Il n'a pour eux que du dédain et en dispose sans considération ou la moindre réflexion. Bien entendu, il honnit tout autant les vivants, puisqu'il hait et bouillonne de dégoût à l'égard de toute chose, en toutes circonstances. Il n'aspire qu'à son propre pouvoir et au déploiement de la misère et de l'anéantissement de tous les autres. De temps en temps, Orcus laisse un mortel trouver sa baguette, de manière à propager le Chaos et le Mal chez tous ceux qui habitent le plan Matériel. Ce genre de badinage ne dure cependant jamais très longtemps, un an ou deux tout au plus, avant que le prince bouffi ne commence à se languir de son artefact, qu'il préfère en général récupérer avec l'âme de celui qui l'a porté pendant cette période.
Orcus est en état de guerre constante avec ses deux rivaux : Démogorgon et Graz'zt. Il n'est en effet pas rare que des batailles opposent ses armées de morts-vivants et de démons aux hordes démoniaques de Graz'zt, qui comptent de leur côté de nombreuses autres créatures monstrueuses. Le conflit qu'il entretient avec Démogorgon se déroule sous des apparences plus discrètes, assassinat et sabotage en étant les principaux modes d'expression. On peut penser que c'est parce que leurs armées respectives sont occupées contre celles de Graz'zt que la querelle qui l'oppose à Démogorgon prend cette tournure. Il arrive néanmoins que leurs troupes se croisent sur les routes de leur combat contre Graz'zt et, dans ces cas, elles s'affrontent avec autant de cruauté que lorsqu'elles ont affaire à celles du Prince Noir.
Le culte d'Orcus Le culte d'Orcus est très répandu et bénéficie d'un suivi chez les humanoïdes qui reste sans commune mesure avec ce dont peuvent se targuer les autres princes démons. C'est surtout chez les orques, les demi-orques, les ogres et les géants que l'on trouve des adorateurs d'Orcus, ainsi que chez de nombreux humains pervertis et méprisables. Ses temples sont généralement secrets, et ses fidèles forment des sectes clandestines qui évoluent au sein de communautés par ailleurs tout à fait classiques. D'autres temples sont de terribles forteresses grouillant de morts-vivants, dont les seigneurs vicieux commettent des atrocités et mènent des guerres au nom du prince démon. Il arrive aussi parfois qu'une tribu orque entière se réclame du Prince des Morts-Vivants, et ses membres sont alors évités comme la peste, même par ceux de leur race.
Orcus exige que des sacrifices soient pratiqués lors des rituels en son honneur, et le sang comme les crânes constituent une part importante de la symbolique de son culte. Les idoles et les autels sont souvent cernés par d'immenses piles de crânes et, parfois même, érigés directement dessus. Les morts-vivants doués d'une conscience propre ne servent jamais Orcus de leur plein gré (ils préfèrent généralement vénérer Velsharoon). Cependant, de nombreux vampires, liches et autres morts-vivants se retrouvent contraints à le servir à la suite de sombres pactes ou de quelque magie coercitive. Les prêtres et fidèles les plus influents d'Orcus sont appelés les « crânes », tandis qu'on désigne les grands prêtres par le titre de « seigneurs des crânes ». Il arrive aussi fréquemment qu'un seigneur des crânes jouisse d'une telle autorité sur les adeptes d'Orcus qu'il finisse par endosser l'appellation de « roi des crânes » ou de « reine des crânes ».
Les adeptes d'Orcus ont l'habitude de parader avec des sceptres noirs surmontés de crânes, non pas pour tenter duper qui que ce soit sur le fait qu'il s'agisse là de la véritable baguette d'Orcus, mais simplement pour rappeler aux irrespectueux la terrible gloire de leur seigneur. Ils portent aussi souvent des masques en forme de crânes et des toges noires à capuches, ou des coiffes aux cornes de chèvre accompagnées de toges argentées. Les prêtres qui se réclament d'Orcus ont généralement accès aux domaines du Chaos, du Mal et de la Mort.
Je serais sa Démoniste. Il ne me suffit plus de chanter les malédictions du seigneur de thanatos, je serait son bras sur le plan matériel, son chevalier noir frayant avec ses sous fifres fiélons. Je ne connaitrait ni la faiblesse ni la pitié, je n’aurais de cesse que de voir exterminé la pureté, les têtes tranchées de ses défenseurs prouveront ma dévotion à orcus, et leurs crânes accrochés à ma ceinture pour la toute grande gloire du seigneur des morts-vivants. - Citation :
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Désirez vous changer dans l'alignement? Si oui, précisez l'ancien alignement et quel alignent vous désirez : Aucun changement
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Que désirez vous changer dans les dons? - Spoiler:
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Niveau Don Niv. 01 Attaque en puissance / Enchainement Niv. 02 Niv. 03 Incantation Statique Niv. 04 Niv. 05 Niv. 06 École renforcée (Nécromancie) Niv. 07 Niv. 08 Niv. 09 École supérieure (Nécromancie) Niv. 10 Niv. 11 Niv. 12 École renforcée (invocation) Niv. 13 Niv. 14 Niv. 15 Bouclier Divin Niv. 16 Niv. 17 Niv. 18 École supérieure (Invocation) Niv. 19 Niv. 20 Niv. 21 École Renforcé Epique (Nécromancie) Niv. 22 Niv. 23 Niv. 24 Sort épique (Armure de Mage Epique) Niv. 25
Désirez vous changer vos caractéristiques? Si oui, précisez les anciennes caractéristiques et celles que vous désirez à la place.
Ancienne Caractéristiques (Au niveau 25) : FOR : 10 DEX : 10 CON : 12 INT : 14 SAG : 08 Cha : 24
Nouvelles Caractéristiques (Au niveau 25) : FOR : 13 DEX : 10 CON : 12 INT : 14 SAG : 14 Cha : 21
Justifications rp :
Fëydht abandonne la magie bardique pour se tourner vers la classe de chevalier noir. [La bibliothèque d'Elminster Classe de Faerun] Magiciens, ensorceleurs et prêtres qui deviennent Chevaliers noirs sont souvent appelés diabolistes, car ils frayent encore plus que leurs semblables avec les fiélons.
Fëydth ne sera cependant pas "diaboliste" en Enso/DK mais bien "Démoniste".
Elle devient chevalier noir pour servir orcus plus intensément, sa dévotion et son fanatisme devient de plus en plus exacerbé.
Justifications hrp : Uniquement RP
Autres/Commentaires :
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| | | bilay_kayfa Eclaireur du flood
Nombre de messages : 22
| Sujet: Re: [Reroll][Barde/Ensorceleuse][H] Fëydht Raütha De Llorkh Lun 16 Nov - 2:33 | |
| *Extrait Du Journal De Fëydht Raütha De Llorkh*
Les crocs de la femme vampire étaient plantés dans ma chaire, elle engloutit une bonne quantité de sang avant de se retirer pour me regarder de ses yeux de braise. Elle me chuchota doucement de rêver, qu’elle pourrait voir par mes rêves, et ainsi savoir ce que je pensais d’elle. Et c’est que je fis, je me voyais tel que je me projetais dans l’avenir. Magnifique, puissante, je me voyait plus vieille mes jambes étaient celles des succubes aux sabots fendus d’orcus, des ailes de chauves souris étaient poussées dans mon dos. Je me voyais ainsi, et je voyais tel que je me projetais dans mon délire. Juchée sur un immense promontoire, donnant des ordres à des milliers de morts-vivants et de soldats démons, je voyais également mon état major emplit de vampires et de nécromanciens incantant pour la toute grande gloire de l’armée des ténèbres du souverain de Naratir’. Je voyais cette femme vampire et sa famille, combattant avec moi les ennemis qui revenaient toujours en surnombre. Je nous voyais victorieux rentré plein de gloire dans un magnifique palais de pierre noir obsidienne où des centaines d’esclaves mourraient chaque jours pour nos plaisirs sadique. Je voyais tout cela et la femme vampire le voyais avec moi, le comprenais t’elle ?
J’avais décidée de donner ma vie à orcus, et pour cela chaque fibre de ma peau devais respirer la guerre, le froid de l’acier et la chaleur du sang. J’en vins donc à m’entraîner sans relâche au maniement de la masse d’arme, m’entraînant de manière frénétique à exploser des dizaines crânes d’hobgobelins que je faisais léviter et tourner autour de moi. Je ne me souciait guère d’élégance mais de force de frappe, développant surtout mes muscles et m’entraînant principalement à frapper vite et fort. Bientôt je réussis à exploser mon premier crâne, d’un seul coup de masse d’arme. Je m’entraînai bientôt à faire un moulinet avec mon poignet pour rester dans ma lancée et enchaîner directement sur un second crâne une fois que le premier partait en morceaux. Je découvrit ainsi les joie des techniques de guerre, basiques certes, du maniement des armes des guerriers. Je devait également pour servir orcus me familiarisé avec une certaine forme de discrétion, j’apprit quelque tour de passe passes rapide pour mes composant de sort, nullement de la magie mais utile pour que l’adversaire ne remarque pas quel composant j’utilise. J’emmagasinerais du pouvoir pour lui et sèmerais la misère et la destruction chez tous les autres, je le ferais sournoisement, sans pitié, sans remord.
Je poussai mes connaissances anatomiques, déjà présentes sur des expériences sur des morts, plus avant sur des vivants. Etudier la structure interne d’un être vivant, la topographie et le rapport des organes entre eux. La cavité abdominale, en avant, contenant la plupart des organes du système digestif, est l’endroit idéal où planter une dague rituel. Mais il y en a d’autres. Ainsi chercher une ouverture dans la cage thoracique, entre les barreaux des côtes, permet de toucher les viscères qu’elle contient, poumons, cœur, foie. Je pouvais trouver les organes d’un sacrifié aux princes démons plus facilement. Je pouvais le laisser des heures, nu dans les ténèbres magiques que je pouvais créée dans une cavernes et passé à coté de lui en riant, nue moi aussi. Lui planter des dagues dans ses organes vitaux avant de m’échapper dans les ténèbres. Lui donner la mort en hurlant le nom de mon seigneur et maître. J’appris à utiliser le poison, à enduire mes armes de venin d’animaux et d’extrait d’écorces. Plusieurs infection contrôlé de ses venins me permirent de les utiliser sans danger pour moi-même, mais gardant une certaine prudence toutefois car je n’était point immunisé contre leurs pouvoirs maléfiques.
Pendants des semaines et des semaines j’utilisai principalement ma maîtrise magique dans le seul but de parfaire mon entraînement aux armes. Des sortilèges des plus utiles tel que armure de mage, l’arme de feu ou encore l’arme magique suprême furent utilisée tout au long de mon entraînement physique contre les hobgobelins de la route de mirabar. Qu’orcus m’entendent je suis une de ses filles sur ce plan d’existence. Sanguinaire et sans pitié, à son image, je ferait tordre les entrailles des âme pures, je l’ai juré. Je scellerais un pacte avec la succube de mes nuits, telle qu’elle l’a toujours voulu, je le sais à présent. Depuis mon enfance elle me harcèle dans ce seul but. J’abandonne ma magie bardique pour toi, zureena, tu à eu enfin ce que tu voulais et je te dédie ce dernier poème, mon ultime chant magique qui signera la fin de ma jeunesse.
Un souffle de bruine caresse mon coeur, et murmure à mon âme les mots qui te chantent. Le bruissement des armes, une fleur de sang, Tes maléfices envahissent mes rêves... Zureena, Succube de mes nuits, Je t'ai tissé de noirceur mon nom secret, Je voudrais te clamer comme personne ne l'a fait ! Zureena surgissant des ténèbres, J'ai ramassé pour toi des crânes innombrables, et les abysses ont vomit une perle de flamme. Zureena, mon souffle de vie, J'ai conçu mon nom comme un bijou précieux pour orner les pans de ton manteau de nuit
Je me sentais prête, j’alluma une bougie et de l’encens. J’enlevai mes vêtements pour symboliser mon intention d’apparaître devant zureena et orcus dans mon habit le plus impure, je me tranchai ainsi les veines. J’éteignis les lumières, seul la bougie m’éclaira alors.Je m’agenouilla devant l’autel, respirant lentement et profondément puis prononça les paroles rituelles.
- Citation :
- Citation :
- « Il est un temps qui n'est pas un temps, un endroit qui n'est pas un endroit, un jour qui n'est pas un jour. Je me tiens à la frontière entre les mondes, devant le voile du mystère. Je demande au Ténébreux d’être à mes côtés alors que je fais mes premiers pas dans son royaume»
Je plaça alors ma main ensanglanté sur un crâne tout en continuant le rituel. - Citation :
- « Je consacre ce symbole de mort du seigneur démon. Puisse-t-il être ma source d’inspiration et de bénédiction impie. Zureena donne moi le pouvoir du bouclier divin que le sang coule et rougisse la terre mais que cela ne soit point le miens s’il ne coule pas pour le souverain de naratir’ »
Je répandis alors mon sang autour de moi pour délimiter un cercle, dessinant un pentacle en son centre.
- Citation :
- « Sème la tristesse et le malheur dans le cœur de mes ennemis ! Car ils sont les ennemis d’orcus sui est mon seigneur et maître ! Fait de moi son bras de destruction et de mort su ce plan d’existence ! Zureena je t’invoque et je t’abjure t’entendre mon appel ! »
Zureena apparue alors, d’un air malsain un sourire s’étala lentement sur ses lèvres de nacres. Elle écouta les vestiges de ma diatribe enflammée, acquiescant les passages qu’elle jugea particulièrement approprié.
- Citation :
- « Comme j’ai dédié ce cercle impie aux prince des morts vivants, je dédie ma vie au chemin spirituel du Chaos, du Mal et de la Mort. Je viens ici, ce soir, pour prouver ma foi. Je promets de me dédier à l’étude de la plus grande souffrance, de la plus grande destruction, de la mort la plus violente et délicieusement noir de merveilles. »
- Citation :
- « Que je sois marquée mille fois de son nom, déclinée dans toutes les langues de faerun, mon âme est sienne, mon bras est sien, mon arme est sien, mon bouclier divin sera l’expression de son pouvoir, mon armure magique est sienne et ma haine plus que toutes est sienne et si par ma mort ou ma vie je puis le servir je n’hésiterais jamais ! »
Zureena éclata de rire et me montra du doigt d’un air narquois. La douleur me prit à la gorge, sans pouvoir parler ni même respirer je perdis connaissance dans le rire cristallin de la succube de mes nuits. Quand je reprit connaissance cette nuit là dans cette ruine de la forêt de luskan plus rien ne fut comme avant. Je sentais un infinitésimal pourcentage de la puissance du seigneur démon en moi qui par l’intermédiaire de la succube zureena m’avais fait ce cadeau magnifique. Je me sentais investit de sa magnificence, de sa noirceur et de sa haine qui me couvrait tel un manteau me protégeant contre toutes attaques, et sa bénédiction impie comme une stimulant exacerbais ma volonté, renforçais ma vigueur et aiguisais mes réflexes.
- Citation :
-
J’était son bras, j’était Fëydht Raühta De Llorkh, Sorcière, démoniste, nécromancienne et chevalier noir du prince des morts-vivants, le ténébreux souverain de naratir’, orcus le seul maître de Thanatos. | |
| | | Semper_Eadem Gourou du flood
Nombre de messages : 1077
| Sujet: Re: [Reroll][Barde/Ensorceleuse][H] Fëydht Raütha De Llorkh Mer 18 Nov - 15:50 | |
| Étant donné que le personnage a été validé il y a environ 15 jours, la demande de reroll est pour l'instant trop rapide. Les semaines d'entraînement nécessaires ne sont pas écoulées, il va falloir patienter un peu pour que le personnage ait atteint les compétences nécessaires.
Je reviendrai sur cette demande dans quelques temps, tu peux continuer de compléter le BG et de décrire l'entraînement de Feydth si tu le souhaites en attendant. | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: [Reroll][Barde/Ensorceleuse][H] Fëydht Raütha De Llorkh | |
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| | | | [Reroll][Barde/Ensorceleuse][H] Fëydht Raütha De Llorkh | |
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