Avant-propos : une page d'information sur la cavalière rouge, une déesse qui n'est pas dans la bibliothèque du Val, qui est pourtant une alliée de Tempus... si je ne peux jouer un prêtre de cette divinité pour diverses raisons, je me rabbaterais sur Tempus, merci.
Cavalière Rouge: Dame de la Stratégie, Grande Maîtresse de l'Échiquier
Demi-déesse faerûniene
Symbole: pièce d'échec (cavalier rouge) dotée d'étoiles brillantes à la place des yeux
Plan natif: Repos du guerrier
Alignement: loyal neutre
Attributions: stratégie, organisation, tactique
Adorateurs: guerriers, joueurs, moines, stratèges, tacticiens
Alignement des prêtres: LM, LN, LB
Arme de prédilection : Echec et Mat (épée longue)
Manifestement calme et logique, la Cavalière Rouge fait montre d'une grande compassion, même si elle ne craint jamais d'envoyer ses adorateurs à la mort lorsque cela est nécessaire à la bonne marche d'un plan. Elle élève rarement la voix, aime les plaisanteries et rit même à gorge déployée. Elle n'apprécie pas les conduites frivoles et ne supporte pas les créatures qui changent souvent d'alliances, par caprice notamment.
Histoire/relations. La Cavalière Rouge fut élevée au rang divin par Tempus pour contrebalancer l'influence de Garagos. Elle sert son protecteur avec loyauté, voyant en lui une figure paternelle, et cherche à saper l'influence de Garagos et de Cyric. Elle œuvre en étroite collaboration avec Torm, qui affiche des dispositions semblables, et voit Valkur le Puissant comme son meilleur allié en combat naval, même s'il n'est pas toujours très fiable. La Cavalière Rouge a fait de son véritable nom un secret et seul le Seigneur des Batailles le connaît. En effet, elle est parfaitement consciente que si un être, mortel ou divin, parvenait à exercer quelque contrôle sur elle, il aurait connaissance de toutes les intrigues et de tous les stratagèmes des souverains de Faerûn et des divinités des autres plans.
Dogme. Quelles que soient les circonstances, celui qui dispose de meilleure organisation, stratégie et tactique gagne à coup sûr la guerre. N'importe quel imbécile peut tirer la défaite des mâchoires de victoire avec l'aide de la chance. Seul un grand stratège peut s'assurer une victoire durable. La guerre est une série de batailles. Le fait d'en perdre une ne signifie pas nécessairement que la guerre est perdue. Cherchez les faiblesses de vos adversaires et reconnaissez les vôtres. Contournez les forces de votre adversaire et exploitez pleinement le vôtres. Ce n'est qu'en concentrant ses forces sur les faiblesses d'un ennemi qu'on peut le vaincre à coup sûr. En temps de guerre, préparez-vous à la paix. En temps de paix, préparez-vous à la guerre. Faites-vous des ennemis de vos ennemis des alliés, et acceptez de transiger. La vie est une suite sans fin d'escarmouches parfois espacées de guerres. Soyez prêts et prévoyez un plan de secours.
Clergé et temples. l'Église de la Cavalière Rouge, connue sous le nom de la Compagnie Rouge, est une branche d'ordre monastique de la hiérarchie de l'Eglise de Tempus qui s'attachait à l'organisation et à la stratégie. Elle n'est pas sortie de l'ombre du temple de Tempus que depuis le Temps des Troubles. Les membres de la Compagnie Rouge servent des diverses armées de Faerûn, prenant généralement la tête de troupes d'élite. D'autres sont des instructeurs respectés dans des académies militaires. Quelques-uns sont des intendants particulièrement efficaces dès qu'il s'agit de dénicher et de gérer des provisions ou d'établir puis de conserver des lignes de ravitaillement en territoire hostile. Quelques prêtres de la Cavalière Rouge ont également écrit des ouvrages traitant de stratégie militaire. Quand ils ne sont pas de service, les prêtres de la Cavalière Rouge jouent généralement. Bien qu'ils évitent les jeux de hasard requérant davantage les faveurs de la Dame Chance que l'habileté de la Cavalière Rouge, les prêtres du culte s'efforcent d'améliorer leur niveau dans des jeux abstraits de toutes sortes. Cela leur permet de songer à des lignes de pensée alternatives et à de nouveaux stratagèmes, mais également d'affiler leur faculté de saisir les intentions de leurs adversaires.
Les prêtres de la Cavalière Rouge prient pour obtenir leurs sorts la nuit, avant d'aller se coucher, se préparant ainsi à la journée à venir. En plus d'observer les jours sacrés et cérémonies importantes de l'Église de Tempus, le clergé de la Cavalière Rouge honore deux jours sacrés de marque. La Retraite est un événement annuel qui se tient durant la journée de l'Hiver fatal. Au cours de cette cérémonie très solennelle, les prêtres de la Cavalière Rouge se rassemblent dans le cadre d'une journée de rétrospective quant aux années passées de campagnes. On parle de stratégies, on analyse les batailles et les connaissances qui en sont extraites sont intégrées aux préceptes de l'Église. Le Gambit de la Reine est célébré le premier jour de Tarsakh. Au cours de ce festival, les prêtres de la Cavalière Rouge se détendent via une journée de banquets et de jeux. On organise donc des tournois d'échecs, le vainqueur recevant alors reconnaissance, mérite, promotion et, parfois, un don précieux issu de l'armurerie du temple. De nombreux prêtres se multiclassent en champions divins, en guerriers ou en moines.
BG :
Nom du compte joueur forum : Anthony
Nom du compte joueur module : siècle
Nom du perso : Vouge
Race : humain
Sous race :
Age : 26 ans
Alignement : loyal mauvais (90% loyal, mauvais 10%)
Religion : cavalière rouge
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : prêtre 17 /guerrier 8
Arme de prédilection/domaines/école de magie : épée longue, guerre et force
Langues : commun
Familier/Compagnon animal :
Ennemis jurés (Si rôdeur) :
Trait de Caractère :
Stratège, et militaire, il en est arrivé à un tel point d'insensibilité depuis la mort de son frère que beaucoup le considère comme cruel, il est droit mais n'hésite pas à être sournois s'il le faut pour la bonne éxécution d'un plan.
Description physique :Beau, de taille moyenne, musclé et portant parfois dans ses cheveux bruns un bandeau rouge, il porte une large épée à sa ceinture et sa prestance le désigne tout de suite comme un chef militaire, avec néanmoins un vécu de débrouillardise.
Caractéristiques (Au niveau 25) :
FOR : 22
DEX : 8
CON : 10
INT : 10
SAG : 16
CHA : 14
Né Auréle Duterre, Vouge naquit en pleine été, par une chaleur écrasante dans un domaine de bourgeois pauvres, dont la demeure serait bientôt en vente judiciaire. De cette situation, les parents de Vouge, marline et Jigedin Duterre ne s'en remirent jamais, déversant leurs frustrations respectives sur leurs jeunes enfants. Oui, Vouge avait un frère ainé et leurs parents eurent 3 ans après Vouge, deux jumelles. Assez bien formé, de taille moyenne, il avait un beau visage et était d'un tempérament bagarreur. Lui et son frère se battaient souvent mais l'entente entre les deux frères était cordiale, et même si parfois les coups étaient rudes, la colère ne durait jamais vraiment longtemps. C'est durant son enfance, Que Vouge apprit à jouer aux échecs, avec le prêtre d'illmater du village, Bernand. Passioné, il admirait le roi des jeux au point de passer des heures dessus, seul à étudier les ouvertures, les milieux de parties étriqués et les phases finales si complexes... Il devînt à force d'entraînement, un joueur correct, sans don particulier pour ce jeu mais fort d'une longue experience passionée. Quand vinrent les problèmes plus concrets, les questeurs et autres baillis, la famille connut une période de vaches maigres, et les fils durent travailler en ville, ils étaient alors âgés respectivement de 14 et 12 ans. Ils commencèrent par les travaux des champs, des labeurs harrassants, surtout pour des enfants de leurs âges, puis, 2 ans plus tard, les deux frères furent envoyés sur une île au loin, pour y travailler, leurs parents ne pouvant plus subvenir à leurs besoins.
Sur cette île, Ils travaillaient comme dockers, déchargeant cagots et autres marchandises, ils faisaient ce qu'ils pouvaient, mais ne portaient pas autant que les autres dockers et étaient régulièrement escroqués par le contre-maître. C'est ici qu'il dût se débrouiller comme il pût, devenant alors un parleur fourchu, un manipulateur qui usait de son charisme naturel pour en tirer des bénéfices nécéssaires à sa bonne survie ; il devînt roublard, dans les bas quartier, et eut même parfois à user de violence avec l'idée de taper là où ca fait mal, pour protéger sa vie et ses interêts. A l'âge de ses 16 ans, Vouge, etait un beau jeune homme, musclé dôté d'un caractère plutôt réservé mais prêt à tout, il avait de l'ambition, une ambition sans frein vis-à-vis de la morale. Vivant lui et son frère dans les quartiers pauvres, à l'abri d'une maison de fortune, il rêvait de gloire et d'action... C'est ainsi, que tout naturellement, lorsque son frère quitta les docks pour l'armée régulière, il le rejoignit dès qu'il eût le visage assez "homme". Lors des entraînements, il faisait des merveilles, sa capacité physique était bonne, comme celle de son frère, malgrès que ce dernier soit légèrement moins gauche que lui, en effet, il restait quelqu'un de maladroit, avec un style de combat tout en force.
Alors qu'il jouait à des jeux de soldats, aux dés et aux cartes, un homme pénétra l'enceinte du camp. A en croire les plus vieux soldats, il venait plusieurs fois par an et repartait toujours avec 1 ou 2 soldats, l'on ne sait où. L'homme vêtu d'une cottes de mailles sous quelques renforts de cuir rouge dégageait l'experience des combats et du sens aiguisé, il s'approcha et parcouru le camp en entier, observant les soldats ; Enfin, il proposa à qui le voudrait une partie d'échecs. Sur ces mots, il ouvrit son sac en bandoulière et en sortit un échiquier d'un bois magnifique, que Vouge n'avait jamais vu. Intéréssé par ce qui le passione depuis longtemps, Vouge accepta l'idée et attendit que d'autres joueurs passe avant lui, afin d'observer le style de l'homme rouge. Son style était bancal, même s'il gagnait, il gagnait sans éclats, Vouge en arrivait même â être déçu et se demanda s'il allait jouer... Enfin, pour faire honneur à un si bel échiquier, il le ferait. Il prît une chaise et l'homme, d'une quarantaine d'années le regardait comme un vieux père attentioné. La partie débuta, et Vouge, dont le niveau dépassait largement celui des soldats ignares au jeu parvînt à gagner une position ouverte avec les noirs, dans un style plutôt aggressif ; L''homme, avec les blancs avait une position solide, défensive mais qui parraissait friable, Vouge était confiant. Seulement, plus la partie avançait, et plus les diagonales et les colonnes s'occupaient à l'avantage des blancs, si bien, que Vouge dût reconnaitre sa défaite vers le 40ème coup en inclinant son roi. Impréssioné, il questionna son adversaire :
-"Je ne comprend pas, vous faisiez semblant d'être mauvais contre les autres?"
et l'homme répondit :
-"Ne montre pas tout ton potentiel à ceux qui pourrait être tes adversaires" en souriant. "Je t'ai vu m'observer, j'aurais fait pareil, c'est plutôt malin de ta part de récupérer le plus d'informations possibles pour la bataille à venir, j'ai feinté la bancalité dans mon jeu, de toutes manières, j'avais dejà jaugé mes adversaires et je savais que même avec un jeu douteux, je ne perdrais pas."
Vouge parraissait agréablement surprit, content d'avoir été roulé de cette façon.
L'homme rouge lui expliqua ses fautes et lui disait que son style et sa stratégie méritaient d'être exploités en de meilleures conditions. C'est pourquoi, après en avoir référé au superieur de Vouge, il l'emmena avec lui, avec l'accord enthousiaste de Vouge et après des adieux sincères et amers envers son frère. Par la suite, l'homme rouge se présenta comme étant Degdair "le stratège" comme l'appellait ses connaissances, c'était un homme à qui l'on avait demandé maintes fois de prêter ses talents stratégiques au profit de batailles de toutes sortes. C'était un homme riche et réspécté, mais aussi et surtout un prêtre fervant envers sa déesse : la cavalière rouge. Le but de Degdair était finallement simple, il voulait recruter de nouveaux adorateurs, et Vouge n'allait pas se faire prier, considérant tout ce qu'il avait le plus aimé dans sa vie, à savoir la stratégie et l'action tirée du militarisme, il embrassa la cause de la déesse avec passion, entretenant par la même, des relations fort enrichissantes avec les autres membres du clergé, tous combattant pour la plupart. Le clergé aida aussi Vouge financièrement, en lui offrant ces armes, une épée longue et une armure rouge, ainsi qu'un bouclier. Dans sa recherche personnelle, Vouge s'entraîna durement au combat avec l'appui de sa déesse (imagé), gagnant en musculature, en sagesse via les enseignements de Degdair et tout simplement en experience au fil du temps. Il progressa vite et bien, puisque très impliqué, une fois à l'âge de ses 24 ans, il était devenu un élément appréciable, fort, beau, sage et bon au combat. Dès lors, il reprît le chemin de l'armée, afin de mettre en pratique ce qu'il avait apprît. Sous la recommandation de Degdair, il s'engagea de nouveau mais cette fois-ci, directement au grade de sergent, le sergent Duterre. Et il retrouva son frère, qui était sous son commandement, c'était un guerrier admirable mais il n'y connaissait pas grand chose à "l'art de la guerre".
Lors d'une mission particulièrement dangereuse, la traque d'une wyverne adulte qui terrorisait la région avoisinante, son frère perdît la vie, et la moitié de ses troupes avait été tué, et l'autre moitié était partiellement bléssée ou constituée de quelques couards prudents. Vouge, désarmé et bléssé faisait face à la bête à la bordure de la caverne du monstre; La bête, plus haute en taille qu'un ogre et d'une envergure d'au moins 6 mètres était elle aussi bléssée, mais elle avançait tout de même vers Vouge, isolé, en éméttant un sifflement particulièrement audible. Vouge eut tout juste le temps de ramasser l'arme d'un fantassin de ligne, une vouge à lame courbe et parvînt à frapper la bête dans la machoire supèrieure, pénétrant la gueule et percant la cavité buccale. La bête mourrut dans une mare de sang, et Vouge fût soigné et acclamé, et il portera toujours le nom de l'arme qui l'a sauvé, "Vouge" ou comme ses soldats l'appellait respectueusement, capitaine Vouge. Capitaine oui, il prît du galon mais se retira de l'armée après la mort de son frère, une disparition qui le changea en profondeur, il revînt là où se tenait le clergé de sa déesse pour y vivre et il devînt quelque peu plus "autoritaire", n'hésitant pas à sacrifier des hommes sur les champs de bataille si ca pouvait faire avancer le plan, ou même infligé parfois un entrainement rigoureux à l'extrême, mortel parfois, afin que ses troupes soient prêtes à remplir le rôle assigné. De par ce fait, restant loyal en toutes occasions et ayant un sens profond de la parole, il s'était endurci au point de paraître cruelle et ne reculant devant aucuns sacrifices pour faire avancer sa mission. Par la suite, il offrit son épée longue à un soldat méritant et se fît faire forger une épée plus lourde, plus en adéquation avec sa force devenue conséquente via son entrainement et les pouvoirs de sa déesse.
Le temps passa, quelques mois où Vouge gardait ce sentiment amer de la perte... Puis il se décida enfin à partir, on lui avait proposé de partir en pèlerinage, mais aussi pour précher la bonne parole, (comme tout les prêtres quoi) dans une région plus loin, le val de Bise... sans doutes pour s'occuper, mais aussi parce qu'il fallait bien vivre, il finit donc par accépter et parti, il arriva dans les semaines qui suivirent, ayant remué cette histoire dans tout les sens, sans que jamais le deuil ne soit complètement fait.
L'appel divin et religion : Soutenu dans ses efforts par la cavalière rouge, c'est dès lors que Degdair eut parachevé ses enseignements de base que Vouge reçu l'appel. Rentrant dans ce lien puissant qui unit un prêtre à son dieu, la loyauté était sans failles et le dévouement entier. C'est ainsi, que profitant toujours de l'aiguillage précis de Degdair sur la voie du prêtre et de la stratégie, Vouge connut la grande satisfaction de servir sa déesse, pareille à tout les prêtres. Ils commença alors à prier avec les autres prêtres à la faveur de la nuit, avant de se coucher et ce faisant, il put lançer ses premiers sorts et entrer dans le fabuleux monde de la magie. Il connut aussi les jours de fêtes comme le gambit de la reine, où son clergé et d'autres se réunnissaient en un joyeux banquet où les jeux de stratégie avaient une place de choix. Mais aussi le jour de la retraite, où il apprit beaucoup sur l'art de la guerre et l'analyse de bataille, auprès des plus vieux vétérans.