[Pause][Validé][Barde/DDN][H]Reyra

Citation :

Nom du compte joueur forum : Max
Nom du compte joueur module : Max Strife
Nom du perso : Reyra Tatsumasa
Race : Humaine
Age : 22
Alignement : Chaotique Neutre
Religion : Polythéiste
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : 15 bardes / 10 Disciple du Dragon Noir
Arme de prédilection/domaines/école de magie : Epée bâtarde
Langues : commun, draconien (DDN 5), Alzhedo (natal)
Familier/Compagnon animal : non
Ennemis jurés : non
Trait de Caractère : Jeune femme troublée, cherchant de préférence les coins sombres et abrités. L’on pourrait dénoter parfois un changement radical de comportement, passant de celui d’une jeune fille peureuse et sur la défensive à un comportement violent et agressif.
Passant la plupart de son temps à chantonner, ses chants semblent emplies d’une étrange mélancolie.
Description physique : Jeune femme aux cheveux noirs, visage fin avec les joues légèrement creusées, muscles anormalement saillants et à la peau revêtue de fines écailles ternies. L'on peut apercevoir le chiffre "0013" tatoué sur son bras droit.

Caractéristiques :
FOR : 16
DEX : 14
CON : 10
INT : 14
SAG : 08
CHA : 14

Journal de Dried : Origines

Cela fait un moment que je m’intéresse au développement de ces créatures hybrides, qui dans leur ignorance et naïveté la plus profonde, descendent des créatures les plus puissantes de ce bas monde. Seize ans et quatorze jours.
C’était l’époque encore ou seuls mes livres et mes et enseignements constituaient les maigres connaissances sur les créatures magiques draconiques. L’une d’elle, un dragon noir vivant dans un marais au plus profond de la forêt de Mir, s’est laissée apercevoir par un groupe de mercenaires que j’avais engagé pour confirmer la rumeur de la présence d’une telle créature.
Mon but était de recueillir un peu de son sang afin de détecter ses éventuels descendant hybrides humanoïdes dans la région. Les humanoïdes dotés de pouvoirs magiques ne manquent pas au Calimshan, mais j’avais besoin de source sûr d’un descendant draconique et non autre.
J’avais peu d’espoir que l’un d’eux revienne, mais à ma grande surprise l’un d’eux revint en bien piteux état et me livra l’endroit de sa tanière. Etant handicapé de quelques fractures, il me fut aisé d’éliminer le survivant, l’or est précieux et doit être dépensé à des fins plus intellectuelles.
J’ai donc commencé l’oeuvre de ma vie. Je me suis rendu à Almraiven, métropole la plus proche, et y ait engagé une poignée de mercenaires prêts à tout pour quelques pièces virtuelles. Je leur ais donné pour mission de me rapporter un échantillon de sang du dragon.
Bien sûr je ne sous-estimais pas la bête, mais je n’avais d’autre choix que d’envoyer des laquais.






Journal de Dried : Création et débuts d’études

Enfin j’avais réussi à récupérer mon dû. Le projet pouvait alors commencé, l’étude et la création d’une de créature hybride d’une espèce les plus puissante et d’une autre les plus évoluées de ce monde.
J’ai utilisé l’un des sortilèges de divination les plus efficaces de ma connaissance. Il m’indiqua parfaitement ce que je souhaitais : un descendant de la bête : une jeune femme enceinte, à l’aspect humain, résidant dans un petit camp de troubadours aux alentours de la ville. J’avais finalement trouvé mon spécimen ! Seulement elle était bien trop âgée et fragile pour résister aux tests et à la métamorphose… il me faudra donc patienter, son enfant devrait faire l’affaire… une génération de plus ne changera que peu les résultats.

Journal de Dried : Approche du terme

Les contractions de la jeune femme se fond de plus en plus ressentir d’après mes espions. De mon coté j’entame la construction de mon laboratoire à Eauprofonde. Mes collègues sont déjà au courant, et malgré leur pessimisme reflétant leur triste faiblesse, je leur montrerai que mes recherches dévoileront d’avantages de mystères qu’ils n’en résoudront à eux tous dans leur courte vie.

Journal de Dried : Petite enfance du spéimen 0013

La jeune fille a bien grandie, elle à maintenant 5 ans. Je suis las. Six ans que je la surveille, elle et sa famille de nomades, et toujours aucune trace de magie ou signe distinctif. Peut-être n’est-elle qu’une simple gamine au final… Peut-être les changements surviendront lors de sa poussée de croissance, qui sait…
Je l’observe tous les jours. Aujourd’hui elle a dansé avec la troupe sur la place de Zazesspur. Sa voix bien qu’immature dégage un certains émois. Les gens du peuple l’apprécie également, quel étrange envoûtement.

Journal de Dried : Abandon

Voilà maintenant 12 ans… ma patience est à bout. Tous ces efforts vains. Je ne comprend pas comment une telle erreur a pu se produire, tout était parfait… Je l’écoute chaque soir à la limite de leur campement, chantant et s’exerçant au violon. Elle semble emplie d’une joie si merveilleuse lorsqu’elle chante, l’on en oublierait presque l’instant présent. Mais je n’ai plus de temps à perdre. Je dois tout recommencer à zéro, et comprendre comment une simple gamine vagabonde a pu être le fruit d’une créature aussi majestueuse !

Journal de Dried : Adolescence

Quel idiot j’ai fais ! Je n’ai rien vu et pourtant tout était devant mes yeux ! Je ne sais comment, je ne sais pourquoi, mais la magie ne se manifeste ni par des sorts ni par des mutations, mais dans ses chants !
Il semblerait que la toile vibre aux sons de sa voix, comme si un talent inné l’habitait pour tisser les fils infinis de la création de Mystra. Sa voix à de tel pouvoir que j’en serais jaloux s’ils n’avaient pas leur limite. Mais il n’y a plus de doute, la magie est en elle. Je ne sais si elle en a conscience ni si elle maîtrise ses pouvoirs, mais je compte bien l’y pousser, de gré ou de force, lorsque le moment sera venu…

Journal de Dried : Suivit d’évolution mineure

Là voilà du haut de ses quinze ans. Elle a finalement migrée à Athkatla où elle drague un banal garde de la ville, un certain Tristan. Il ne me facilitera pas la tache, mais je saurais l’éliminer de l’équation si besoin.
Elle lui parle beaucoup de ses pouvoirs, et lui fait mine de comprendre… comme si cet être primaire le pouvait. Intéressant… le spécimen 0013 ressent le lien magique en elle, sans vraiment savoir d’où il lui viens. J’en conclu que sa mère ne lui a jamais raconté le secret de sa naissance.
Elle semble également avoir compris le liens entre sa voix et ses pouvoirs, comme si sa danse était une composant gestuelle et si sa voix entrée en résonance avec la toile. J’ai hâte d’assister à ses premières métamorphoses…

Journal de Dried : Seizième année du spécimen 0013

Cela fait maintenant trois mois que je n’ai plus vu le spécimen. Selon les ragots, elle serait gravement malade. Certains parlent de rêves hallucinatoires, de voix en une langue étrange, d’autre une étrange maladie cutanée avec une fièvre qui ne semble vouloir se dissiper.
Depuis quelques jours, Tristan ne laisse personne entrer dans sa maison à l’angle de la rue de Minsc. Les gens s’inquiètent. Certains doutent même du soldat d’Athkatla, l’accusant de séquestrer la jeune femme. Une rumeur qui je l’avoue, me sera fort utile en temps voulus.
Comme je l’imaginais, le sujet fit son apparition afin de dissiper les rumeurs sur son compagnon. Elle revenait sur la scène, toujours vêtu d’une large cape et ne laissant que peu dévoiler sa peau.
Plus de toute, la métamorphose a commencé, mais si son esprit résiste, tout sera fichu. Je dois à tout prix l’en empêcher, même si le sang doit couler !

Journal de Dried : Capture du spécimen 0013

Mon plan a fonctionné comme je l’avais prévu. Les hommes que j’ai engagés ont capturé le spécimen pendant la nuit, laissant suffisamment de « preuve » pour accuser son Tristan de l’avoir sauvagement torturé chez lui. La victime sera bien sûr méconnaissable.
Le spécimen fait actuellement route vers mon laboratoire d’Eauprofonde. Cette nuit, je pourrais enfin contempler les prémices de mon œuvre.

Journal de Dried : Contemplation

Les mercenaires n’ont pas été faciles à faire disparaître, mais une fois de plus mon intelligence aura eu raison de la leur. J’ai enfin pu observer le spécimen dans la cage renforcée spécialement.
Le spécimen se débat, cri, hurle, appel à l’aide, sans prendre conscience d’où elle se trouvait. Je lui ai dit la vérité sur sa conception, et qu’elle devait en être fier. Mais son esprit résiste, et s’accroche à ce bipède stupide qui doit moisir au fond d’une geôle.
Ma plus grande fascination et satisfaction venait des fines écailles noires qui perforaient sa peau. Elles sont encore mineures, mais avec le temps et l’effort, je gage qu’elles se développeront d’avantage.
Son esprit résiste encore à travers le chant. Je lui interdis donc de chanter sous peine de recevoir une décharge électrique. La douleur est le meilleur de professeurs.

Journal de Dried : premières évolutions

Voilà un ans que je la détiens. Son comportement reste rebelle, mais cela semble favoriser sa mutation. J’ai réussi à comprendre ce qu’étaient ses rêves et les voix qu’elle entend la nuit. Du draconiens comme je m’en doutais, mine de connaissances magiques qui ressurgissent de son sang à travers sa mémoire. Je compte bien les extraire lorsqu’elle sera plus robuste.
J’ai dû renforcer les barreaux de sa cage. Elle essai toujours de s’enfuir lorsque j’ai le dos tourné. Sa force a considérablement augmentée comme je l’avais prévu, ses écailles se sont épaissis et se deviennent légèrement ternies, néanmoins j’ai dû enchanter les barreaux afin qu’ils résistent à une mutation assez inattendue : il semblerait qu’une poche organique supplémentaire ait poussée dans la cavité médiastinale du spécimen, semblable à celles des dragons, contenant un liquide extrêmement acide.
Sa mutation la fait souffrir, mais elle semble entrer peu à peu en symbiose avec son sang... je l'entends parler parfois seule... je ne sais à qui ni de quoi, ses paroles étant flouent et dénuées de sens... mais cela l'encourage à chercher d'avantage au fond d'elle même... je ne m'en pleindrai pas!

Journal de Dried : Méfiance

Je ne peux plus lui tourner le dos. Le spécimen devient de plus en plus incontrôlable. Une double personnalité semble s’être installée chez elle, passant d’un comportement enfantin et craintif à celui d’une vraie Némésis… Tiamat serait-elle en colère contre moi ? Non impossible. Afin de contrôler ces personnalités le choc électrique reste la meilleur des solutions.
Jusque là j’arrivais à maîtriser ses pulsions violentes avec la douleur, mais le développement de ses écailles et de sa résistance physique amoindrissent graduellement mes efforts ! Sa métamorphose est presque terminée je le sens, je ne laisserait pas une bête de foire compromettre le travail de toute une vie !

Journal de Dried : Erreur

Quel fou j’ai été… sa force a encore augmentée, et les barreaux de sa cage ont lâchés pendant la nuit. Le fracas du laboratoire m’a heureusement réveillé, mais même avec le peu de sorts qu’il me restait de mémoire, je n’ai pas réussit à lui échapper. Sa vision dans l’obscurité s’étant considérablement améliorée, je n’ai pu la semer dans les couloirs du laboratoire.
J’ai pu m’enfermer dans la réserve de nourriture et me barricader de tout objets ou pièce de viande suffisamment imposante pour bloquer l’unique issue.

Journal de Dried : …

Voilà cinq jours que je suis enfermé dans cet endroit puant… la viande est avariée, mon estomac cri famine, et j’entends encore le spécimen 0013 dévaster mon précieux laboratoire. Je sens qu’elle s’impatiente, je sens qu’elle réclame vengeance… pourquoi ? Pourquoi moi qui ait tant cherché à perfectionner un être à la base insignifiant ? Les bruits se font de plus en plus proches… Les murs tremblent… La barricade craque. Elle arrive…




Journal de Reyra : liberté

Enfin, me voilà hors de cet enfer… que m’est-il arrivé ? Ou suis-je, je ne le sais point. Je ne supportais plus les tests démoniaques de ce fou… mais l’autre m’a aidée… Je ne l’aime pas, elle est dure et violente, mais sans elle je n’aurais jamais pu sortir d’ici.
Je ne ressemble plus qu’à un monstre. L’autre me disait qu’il fallait que j’accepte cela, que c’était ma seule chance de sortir vivante… J’ai cherché, j’ai persévéré, j’ai puisé la magie jusqu’au plus profond de mon être, comme elle me l’a conseillée.
Me voilà libre dans un corps souillé par l’essence d’un Dragon Noir… Personne ne voudra m’approcher dorénavant. L’autre me dit que je dois persister dans l’étude de mes pouvoirs, que c’est notre seule chance de survivre. Je la suivrai, je ne l’aime pas mais je lui fais confiance… nous sommes inséparable, elle sera toujours là pour moi…

Journal de Reyra : le temps de quelques lignes

Ma peau me fait encore mal, mes muscles aussi, surtout la nuit… jusqu’où ces transformations vont-elle continuer ?
Mes maux de tête continuent. Je ne sais pas ce que cela signifie, mais étrangement je comprends beaucoup plus de choses, comme si ma mémoire et ma logique se développaient… comme cette faculté de parler cette langue des dragons… C’est l’autre qui me l’a appris, pendant les courts moments ou le mage nous laissait en paix.
Elle est très présente, mais je ne lui en veux pas. Sans elle je ne survivrais pas. Je reviens uniquement pour me plonger dans mes chants et mes récits, le temps d’une évasion dans ce triste monde…
Je ne sais pas si c’est elle qui déteint sur moi, mais curieusement, lorsque elle a décapitée manuellement le mage, j’avais le cœur serré mais pourtant un curieux apaisement, une sensation de victoire, de plénitude…

Journal de Reyra : voyage

Quatre ans… c’est ce que m’a appris un passant terrorisé à ma vue en me disant l’année actuelle. Tristan me manque… que lui est-il arrivé ? Est-il encore en vie ? Même s’il l’était, que penserait-il en me voyant ? Il me repousserait, comme le font tous les gens que je croise.
L’autre me dit de l’oublier, que la vraie force s’acquière seule. Mais je n’arrive pas à l’oublier… Je crois que c’est en partie pour ça que je la laisse mener ma vie au quotidien, je suis encore trop faible.
Dans les décombre du laboratoire du vieux fou, elle a trouvé une lame étrange, prise dans une statue d’un Dragon.
« Roïra », c’était le nom de la lame inscrit en draconique sur la garde. Elle pris la lame et décida de la faire sienne.






Ce nom sonnait étrangement comme le miens, et pour lui faire plaisir, je décidais de le lui attribuer. Elle serait ma garde, mon ange, mon bras secoureur.
Elle décida de partir plus au Nord afin de s’écarter des passant qu nous avions rencontré, qui sûrement alerteront la garde rapidement.
Nous voilà seules, toutes les deux, Roïra et moi. Elle ne cherchait qu’à se perfectionner, augmenter ses pouvoir en puissant dans son essence magique, mais moi je ne pense qu’a chanter… chanter pour lui, en espérant que le vent lui transmette mes mots.

Journal de Reyra : souvenirs

Voilà plusieurs jours que nous voyageons vers le Nord. Nous longeons la ville de Padhiver, car Roïra pense que nous serions pourchassé par les habitants. Luskan est plus loin, mais elle pense que nous serons en sécurité.
Nous nous sommes arrêté au bord d’un fleuve, près d’une petite chapelle consacré à Bahamut, afin de nous y abreuver. Quand je me vois dans les reflets de l’eau, mon apparence, mes muscles, ma peau… je me souviens de l’apparition de mes premiers pouvoirs. Depuis mes dix ans je sens ce lien particulier avec la magie. Je l’ai découvert en chantant. Etrangement lorsque je chante, la magie s’éveille en moi. J’ai vite compris que mes gestes et ma voix avait quelque chose de spécial, de magique.
J’ai découvert mes pouvoirs petits à petit, le premier étant des sorts curatifs. L’autre fou appeler ça « le lien avec la toile », une sorte de gigantesque maille invisible et omniprésente permettant toute magie dans notre monde.
Avec les années j’ai de plus en plus senti sa présence et ce lien en moi. Roïra m’a fait découvrir de nouveaux pouvoirs également, me permettant d’augmenter mes capacités physiques et défensives. Elle s’en vente souvent, son caractère égocentrique n’a que rarement de cesse, probablement lié à notre sang, mais je la laisse user de ces pouvoirs, je préfère de loin l’art du chant et de la musique à celui de la guerre.

Journal de Reyra : apparition de Roïra

Je ne sais ce que je serais devenu sans elle. Au début de notre rencontre, je croyais qu’il s’agissait de rêves ou de simples voix dans ma tête. C’est elle qui m’a convaincu de persévérer dans la recherche des origines de mon corps. La puissance et la perfection la fascine, tout comme le fait de se rapprocher de plus en plus de notre ancêtre draconique. Au début, cette idée me terrifiait, mais je crois que Roïra a peu à peu déteint sur moi. Il est si étrange qu’une telle mutation et de tels pouvoirs existent en moi… puis la volonté d’arracher la tête de ce mage nous animait toutes les deux. La colère de Roïra se retrouve parfois devant certains passants, je ne la comprends pas toujours, mais je lui fait confiance plus que tout !
Au final, le mage qui souhaitait nous étudier nous aura permis de nous découvrir et de nous lancer sur une nouvelle voix. J’ai changé, beaucoup changé depuis ce fameux temps où je vivais inconsciente avec l’amour de ma vie… Est-ce que ces pouvoirs déteignent sur moi ? Je ne sais pas, mai Roïra est là pour me protéger, je lui fais confiance.

Journal de Reyra : égarement

Je m’éloigne de plus en plus… ma seule présence se limite aux récit de nos voyages et à quelques moments de chants, passion commune que nous avons avec Roïra. Je l’observe, continuant sans relâche sa quête de savoir et de perfection. J’avoue que ses recherches m’intriguent beaucoup… j’en subit bien évidemment les conséquences, mais j’y trouve une certaine jouissance que je ne m’explique pas. Peut-être ne sommes nous pas si différentes l’une de l’autre finalement…
Autrefois j’aurais préféré fuir devant une bande de bandits des routes… maintenant je prends un étonnant plaisir à leur arracher les membres… qu’est-ce que je suis en train de devenir ? Je ne sais pas, je préfère de loin laisser Roïra s’occuper de tout cela… mes chants et l’écriture m’apaisent, j’ai besoin de rester au fond de moi-même… merci à toi.
De retour dans une grotte humide, un coin qui me semble de plus en plus hospitalier… peut-être de par son calme et la noirceur des ténèbres… l’obscurité m’aide à me plonger dans mes pensées. Mon dos me fait atrocement mal… comme si mes omoplates tiraient sur ma peau… Roïra me dit qu’il s’agit d’un autre stade d’évolution, et qu’elle pourra m’emmener par delà les nuages avec… je lui fait confiance, mais ça fait mal…

Plusieurs points me posent soucis :

La métamorphose de Reyra semble se produire malgrés elle comme une maladie dégénérative. Il manque vraiment l'aspect de recherche de sa nature profonde.
La voie du Disciple draconique est véritablement une recherche personnelle de sa nature profonde, c'est véritablement le principe de la pierre philosophale.

Mon autre soucis c'est que le dragon bleu est Loyal mauvais et qu'avec la métamorphose son alignement va tendre inexorablement (vu son déficit de sagesse) vers cet alignement ce qui va perturber considérablement son aspect bardique.
De plus le DDB est une créature qui aime les déserts chauds, les plaine brûlantes, donc, c'est ce genre d'environnement qu'il cherchera en priorité.

Je crains qu'il risque d'y avoir une double incompatibilité entre la classe et la couleur, la couleur et l'environnement.

Ok, c'est dans le principe ça me convient.

Je pense qu'il faut que tu insistes un peu plus sur le fait que Roïra phagocyte petit à petit l'esprit de Reyra au point que la solution de cette aliénation est la plongée totale dans cette "folie".

Ok c'est bon

Je souhaite mettre ce pj en pause/arrêt, pas le temps de gérer ce type de perso avec en plus le boulot DM ^^

Merci!