[Pause][Validé][Barde][H]Silke Di Angelo

Citation :

(Cadre périmé, cf mise à jour ci-dessous)

Nom du compte joueur: Miss-Tick

Nom du perso: Silke Solveig

Création : Début décembre 2006

Race: Humaine

Age: 18 à la création

classe(s): barde 20 / guerrier 5 (chante-guerre)

Langues parlées : Illuskan (patois Norske, langue natale), Commun, Language des signes, Draconien. Sait lire et écrire (Thorass).


Traits de Caractère: Déprimée, et déprimante. Silke est dépourvue de sens de l'humour et de joie de vivre, et ses histoires sont généralement extrêmement pessimistes. Lorsqu'elle sourit, ce qui est assez rare, c'est rarement de joie, tout au plus une marque de politesse… ou d’ironie.
La seule chose à vraiment sembler l'intéresser, c'est son art de conteuse et de chanteuse, et les activités qui lui permettront de l'exercer.
Elle est généralement plutôt calme, soucieuse d'éviter les ennuis et à peu près dépourvue de bravoure, mais en fait sa résistance au stress est limitée et si une situation de tension se prolonge, elle finira bien par dire ou faire une bêtise.

Description physique: Une jeune femme blonde, plutôt petite et assez menue, mais plus endurcie qu'il peut paraître à première vue. Autrefois défigurée, elle avait reporté tout son art et tous ses artifices sur sa voix, une voix mélodieuse, maîtrisée, et qu'elle sait faire vibrer d'émotion à volonté.
A présent que la cicatrice qui barrait sa joue a disparu, elle n'essaye plus de dissimuler son visage aux traits agréables encadrés de cheveux blonds mi-longs, et garde donc son capuchon le plus souvent rabattu sur ses épaules.
Elle pourrait à présent être jolie si elle souriait plus souvent, mais ses yeux d'un bleu très clair restent teintés de mélancolie et d'amertume, et sa bouche continue à former le plus souvent un petit pli triste.

Les Contes du Réel : Rose d'Acier

La mince silhouette de la conteuse s'assied au coin de l'âtre, de telle sorte que son visage reste dissimulé dans l'ombre de son capuchon malgré les lueurs dansantes des flammes.
Sa disgrâce ainsi masquée, elle s'éclaircit la voix et commence à parler, de sa voix mélodieuse chargée de mélancolie.

Vous m'avez demandé de vous raconter l'histoire de la rose d'acier... Soit, mais avant de commencer, quelques mots d'avertissement...

Tout d'abord, je suis une conteuse du réel. Vous ne trouverez dans mon répertoire que des histoires réalistes et des contes moraux, car les gens heureux n'ont pas d'histoire. L'histoire de la Rose d'Acier est donc une histoire vraie, et non un conte de fée. Si le terme rose d'acier évoque pour vous quelque fière guerrière, quelque aventurière passionnée, un récit épique et romantique... Oubliez.

La rose d'acier, loin des idées romanesques qu'évoque le terme, est une réalité sordide. C'est le nom que l'on donne à la marque que laisse dans les chairs des esclaves rétifs, la lanière barbelée du fouet du trafiquant de chair humaine... Une rose d'acier qui n'est qu'épines et jamais fleur, sauf lorsqu'elle s'épanouit en étoile sur la peau... L'esclave ainsi marqué est signalé comme difficile, et de plus, il est abîmé, donc invendable. Une "rose d'acier" mourra donc sous le joug de celui qui l'a ainsi marquée.
La complainte de la rose d'acier, loin de l'épopée romanesque, n'est jamais que l'histoire, dénuée d'artifices, d'une esclave cruellement punie. Etes-vous sûr de vouloir l'entendre ?

Elle marque une pause, observant l'auditoire. Déjà, un homme s'est levé et quitte hâtivement la pièce, l'air bouleversé. Quelques mains sont crispées sur les verres, certaines tremblent... Mais quels que soient les souvenirs qui s'expriment ainsi, il reste du monde pour écouter. Elle poursuit donc :

Première leçon de vie : les Enfers sont pavés de bonnes intentions

Il était une fois, un petit hameau, dans les contreforts des montagnes, si petit, si petit, qu'il n'avait même pas de nom. Quelques familles d'éleveurs, fermiers et trappeurs s'y serraient, sur un petit plateau entre les ravines. Un peu à l'écart, il y avait une ferme, et dans cette ferme, une famille. Appelons-les les Solveig. Le père, qui aimait le calme, avait construit sa maison un peu à l'écart, mais pas trop, car la montagne n'est pas sans danger.
Cette montagne était couverte de falaises escarpées, de forêts, de ravines encaissées, et donc de chemins détournés et discrets. Autant dire que toutes sortes de gens les traversaient pour vaquer à leurs affaires souvent particulières, messages secrets et marchandises suspectes y transitaient souvent.

Mais la petite fille de l'histoire s'en moquait. Appelons la Silke, voulez-vous ? Silke, donc, vivait bien tranquille à la ferme, avec ses parents Odalrik et Ragnhild, ses deux frères Sigfrid et Osvald, et Vilhelmine, la petite dernière encore au berceau.
Et pourtant, un jour, un homme est arrivé. Il était blessé, ayant soi-disant versé dans un ravin, cheville foulée. Soit, mais ça n'expliquait pas la profonde entaille sur son bras.
Les Solveig étaient généreux, mais pas naïfs, ils le soignèrent, mais l'installèrent dans l'étable : pas d'étrangers dans la maison, la nuit. Silke mourait de curiosité mais, polie, elle l'a aidé à s'installer sans poser de question, avant de s'occuper des bêtes. Elle n'avait pas encore 11 ans. Pourtant, elle travaillait déjà dur. Le seau de lait était lourd, ce soir là... Elle le portait avec précaution, quand les cris ont retenti.

Elle a lâché le seau, et couru aux portes de l'étable... Il y avait des hommes, chez eux. Des hommes tout noirs... Les deux garçons de ferme, hommes de peine à la saison, étaient entre leurs mains, c'était eux qui hurlaient. Puis ils ont tiré les Solveig dans la cour. Leur chef était plus noir encore que les autres, il irradiait de noirceur... Il leur a parlé, et a montré ce qu'ils étaient en train de faire aux garçons de ferme. Les Solveig se sont mis à trembler, à supplier.

Silke allait hurler, terrifiée, mais une main soudain plaquée sur sa bouche l'en a empêchée. C'était le blessé. Il lui a parlé d'une voix pressée, bien sûr, c'était lui qu'ils cherchaient, il était messager. Son message était très important, quelque chose dans la grande ville qu’il fallait empêcher. Lui ne pouvait pas courir, mais il pouvait les retenir le temps que Silke se sauve. Il lui donna un parchemin, et lui dit de courir, ce qu'elle a fait.

Elle s'est précipitée au hameau, en bas dans la vallée, pour que les villageois l'aident à fuir, pour qu'ils l'aident à faire cette chose si importante, à porter ce message qui pouvait empêcher tant de mal.
Elle a couru, et quand elle est arrivée au village, tout écorchée aux ronces et aux cailloux, et qu'elle leur a raconté ce qu'elle avait vu... Il faut croire qu'elle savait déjà conter à la perfection, car tous étaient figés de terreur.
Puis, la plupart ont couru, car eux, ils savaient qui étaient ces hommes si noirs, avec ce drôle de crâne au milieu d'un soleil sombre sur leurs armures... Les femmes, les enfants et les vieillards, tous ont couru dans les montagnes, ils savaient où se cacher.

Bien sûr, à 10 ans, on ne court pas bien vite, n'est-ce pas ? Ils l'avaient suivie facilement, ils étaient déjà là. Ils se sont simplement avancés le long de la route, au centre du hameau, traînant les Solveig enchaînés, en piteux état. Le père traînait le messager, dans un état encore pire que la famille condamnée.

Alors, les hommes noirs ont simplement dit : "Donnez l'enfant et ce qu'elle porte..."

... Et ils l'ont fait...

Devant les yeux du messager comprenant enfin qu'il avait sacrifié toute une famille à sa mission, que voulant faire le bien, il venait de déchaîner le mal, ils livrèrent l'enfant pour sauver leur vie.

Et elle ne crut plus au courage ni à l'héroïsme, à la nécessité de vouloir faire le bien. Leçon première, les bonnes intentions ouvrent souvent les portes des enfers. Toujours, toujours, il se trouvera quelqu’un pour en pâtir.

Seconde leçon de vie : Il n'y a pas d'amour heureux

Pendant que Silke racontait aux villageois terrifiés ce dont elle avait été témoin, un homme écoutait. C'était un colporteur bien connu des montagnes, qui faisait souvent le tour des hameaux. Il était également bien plus que ça, il était avec les "hommes au crâne". Impressionné par le résultat du récit de l'enfant, il décida que lui et ses "amis" pourraient utiliser son talent. Il s'éclipsa, on le crut enfui. En fait, il rejoignit les hommes en noir et leurs prisonniers un peu plus loin sur la route, et leur parla. On lui confia l'enfant, qui serrait toujours le parchemin du messager dans sa main.

Ils partirent pour la ville, où il l'offrit à un pourvoyeur d'objets exotiques, rares, précieux ou seulement insolites, et de bien des choses également. Une bourse bien remplie changea de main, et l'antiquaire devint le Maître. Silke ne revit plus le brocanteur, ni les siens. On lui apprit à travailler, à se taire, à obéir, et surtout à ne pas tenter de s'enfuir, je vous laisse imaginer par quels moyens… Ce n'est pas bien compliqué de briser une enfant.
Silke travaillait donc, aux tâches ennuyeuses, salissantes ou dangereuses. On lui appris à lire et à écrire, et rapidement, vous pouvez me croire. Il y a pire que des coups de règles sur les doigts pour forcer l'attention. Mais elle s'appliquait de toute façon. Tenir des listes même ennuyeuses, et surtout apprendre des histoires, au moins, ça ne brûlait pas les doigts.

Pourquoi apprendre des histoires ? Souvent, le Maître l'emmenait avec lui dans ses voyages de "recherche", en quête de marchandises pour la boutique. Entre autres.
Ainsi, il pouvait garder un œil sur elle, et elle n'essayait déjà plus de s'enfuir, pour aller où ?

Il l'utilisait souvent comme diversion, la faisant chanter, ou raconter des histoires. L'auditoire ainsi captivé, le partenaire commercial, la tête ailleurs, en oubliant de marchander, la garde ou les possesseurs d'objets intéressants distraits, les mauvais coups étaient simplifiés, et on ne songeait pas à soupçonner cette charmante enfant aux yeux si clairs, à qui il était arrivé des choses si terribles, ni son protecteur…

Charmante, elle le devenait chaque jour un peu plus. Elle avait déjà plus de 15 ans, et devenait jolie, à défaut d'être très belle. Ce qui devait arriver arriva, un jour, un jeune homme la remarqua, et s'arrangea pour lui parler. C'était un beau parleur, et elle une enfant sans expérience. Elle l'écouta lui faire de belles promesses, lui proposer de demander à son "tuteur" la permission de lui faire la cour… Si elle n'osa pas, par crainte qu'il n'arrive quelque chose à ce beau jeune homme qui lui promettait tout à la fois, l'amour, la lune et la liberté, lui révéler qu'elle n'était qu'une esclave, certes pas si mal traitée maintenant, mais une esclave quand même, à peine plus qu'un objet. Elle lui fit comprendre que jamais le Maître n'accepterait, et combien elle le redoutait.
Jeune et fou comme bien trop de ses semblables, le jeune amoureux proposa alors une chose… folle : il l'enlèverait, ils partiraient bien loin, écrire une histoire qui se finirait bien. Un conte de fées.

Fous, Ô combien ils l'étaient, car bien sûr, le Maître avait remarqué, et deviné. Il prit son esclave à partie, la menaça, brandissant le plus terrible des châtiments, un chat à neuf queues aux lanières barbelées, celui dont il n'avait jamais eu qu'à la menacer, lui qui savait si bien infliger des douleurs cuisantes sans laisser la moindre marque. Adolescente, folle elle aussi, et persuadée de pouvoir bientôt choisir son destin, elle lui tint tête, répondit avec insolence, tenta de s'enfuir…

Il la cingla au visage, déchiquetant la joue veloutée, manquant l'œil de peu. Douleur terrible, punition épouvantable… Lorsqu'elle reprit connaissance bien après, la cicatrisation était commencée, et il avait fait en sorte que la marque soit hideuse, et bien visible. Il la croyait toujours évanouie, elle en profita pour fuir, courir rejoindre son bien-aimé.
Las, vous aurez sûrement deviné ce qu'il fit, ce qu'il dit lorsqu'il la vit ainsi ? Air effaré, puis écoeuré... Des paroles dures, le refus rageur d'une esclave, pire d'une esclave marquée, d'une "rose d'acier"... Il se détourna et partit sans un regard, fils de bourgeois au fond, se disant que même si la fiancée que ses parents lui avaient choisi n'était même pas jolie, au moins elle était libre. Et riche.

Il n'alla pas loin pourtant, avant qu'un garrot n'enserre son cou sous les yeux de Silke, lui ôtant la vie presque aussi vite qu'il lui avait brisé le cœur. C'était le Maître, bien sûr. Elle avait compris la leçon. Tête basse, elle rentra, et n'osa plus se rebeller…

Et elle ne crut plus en l'amour. Car, leçon seconde, trop rares sont ceux pour lesquels l'âme compte plus que le corps.


Troisième leçon de vie : La cavalerie arrive toujours trop tard

Encore deux années… Cloîtrée, par choix plus que par obligation... Le travail, bien sûr, les livres, les rudiments de magie glanés ça et là, discrètement, dans les livres de la boutique... Et surtout, pas de miroir.
Pourtant, le Maître l'entraînait toujours par monts et par vaux, périodiquement, la cicatrice attirant tout autant les regards qu'une beauté étouffée dans l'œuf, sans risquer d'attirer les jolis coeurs.

Un soir, le Maître la prend par le bras et l'entraîne dans un dédale de ruelles sordides, jusqu'à un bâtiment qui ne paye pas de mine. Des hommes masqués, si terrifiants de mauvaiseté que le Maître semble presque débonnaire à côté. Un autel ? Maintenant, bien sûr, elle sait ce que c'est que ce symbole, le Soleil Noir. Ce soir, il y aura cérémonie, il y aura… sacrifice. On la descend au sous-sol, dans les geôles, où attend une autre adolescente terrifiée, qu'on saisit et entraîne là haut, dans le temple... Hurlements… Tous ces cris…

On n'entend plus un bruit maintenant, même l'écho des cris de la fille inconnue a cessé de rebondir entre les murs de pierre. Puis l'enfer se déchaîne, le craquement d'une porte enfoncée, et tout de suite, les cris, le cliquetis des armes. On se bat là-haut. Un cri de guerre, on en appelle à Tyr. Les héros sont là.
Au moins, ils sont arrivés, cette fois. Un peu trop tard pour la suppliciée, beaucoup trop tard pour Silke.

Et puis le silence retombe, il ne reste que des voix inconnues. Ils explorent les lieux dont ils viennent de s'emparer. En descendant dans les geôles, l'épée encore dégouttante du sang des sectateurs, visage caché sous leur heaume, par prudence, ils l'ont trouvée prisonnière dans une cage, la main tendue entre les barreaux vers le trousseau de clefs placé avec un art consommé de la cruauté juste hors de portée. Enfermée, sale, le visage en sang et les vêtements déchirés… Puis libre, le regard éteint, le mutisme effaré… Doucement, ils nettoient son visage, la bouche pleine de paroles rassurantes, et secouent la tête devant la balafre ainsi révélée, avant de lui montrer les cadavres du Maître et de ses acolytes. Tous lui parlent avec douceur, tâchent de la réconforter, de l'empêcher de voir le cadavre de l'autre fille, torturée, sacrifiée. Et ils l'emmènent bien loin. Libre !

Libre ? C'est quoi, être libre, quand on n'a rien ni nulle part où aller ? Dignité ? Qu'est-ce que c'est ? Leur chef, un fier guerrier, le plus gentil de tous, lui propose de l'abriter chez lui le temps qu'elle se remette, chez "des amis". Elle ira. Ca ou autre chose…
Il l'emmène chez lui par des chemins détournés. Une femme, une petite fille qui l'accueillent gentiment, mais jettent des regards éloquents vers son visage quand elles pensent ne pas être vues. Et les paroles pressées de l'épouse, le soir, juste un rien trop fortes… Pas assez pour être comprises, mais le ton de reproche était clair. Si on commençait à héberger tous les déshérités de la terre, n'est-ce pas…

Et elle ne crut plus non plus en l'amitié sincère, et appris à haïr la pitié. Leçon troisième, charité bien ordonnée commence par soi-même.


Quatrième leçon de vie : La liberté, c'est quand tu choisis la direction que tu fais prendre à ta vie

Elle ne revit la boutique où elle avait passé son adolescence d'esclave que le temps de récupérer hâtivement quelques affaires. Mais sa nouvelle demeure était-elle vraiment mieux que la précédente ? Des journées tristes et vides, aidant aux tâches ménagères une épouse toujours un peu crispée de sa tristesse et de son mutisme, ou passant le plus clair de son temps à observer la rue en contrebas, par la fenêtre. La petite fille l'aimait bien, pourtant, qui lui fredonnait des airs et racontait des histoires à faire peur, des vraies. Elle était si jolie cette gamine, blonde comme les blés et les yeux à peine plus foncés que ceux de Silke !
Mais Silke n'était pas à son aise chez ces gens qui ne la gardaient que par charité. S'il y a bien une chose qu'elle n'était pas, c'était une mendiante !

Elle fit donc ce qu'elle savait avoir à faire.

Elle partit, elle qui ne croyait plus en rien, qu'au peu qui restait d'elle, sa voix, ses contes et ses chansons, en ce qu'elle cachait en elle.

[HRP : Le reste vu par MP avec Dagar BriseRoche]

[Evolutif par MP / Volvic]

Validé en évolutif pour Mdo
Partie privée

Citation :

Nom du compte joueur forum : Miss-Tick

Nom du compte joueur module : Miss-Tick

Nom du perso : Silke Di Angelo (anciennement Silke Solveig)

Création : Début décembre 2006

Race : Humaine

Age : 22

Alignement : Neutre pur

Religion : Polythéiste, respecte surtout certaines facettes de Mask, Tymora et Sunie. Haine solide contre les suivants de certaines divinités mais ne manquera pas de respect aux divinités même.

Classe(s) et nombre de lvls (envisagés) : barde 20 / Maître des Ombres 5

Arme de prédilection/domaines/école de magie : RAS

Langues parlées : Illuskan (patois Norske, langue natale), Commun, Language des signes, Draconien. Sait lire et écrire (Thorass).

Caractéristiques :
FOR: 12
DEX: 17
CON: 12
INT: 14
SAG: 10
CHA: 18


Traits de Caractère: Silke n'ayant guère eu le loisir de s'épanouir durant son adolescence est restée très immature. Elle a tendance à se montrer nerveuse lorsqu'elle ne se sent pas en sécurité c'est à dire très souvent.
Soucieuse d'éviter les ennuis et à peu près dépourvue de bravoure, sa résistance au stress est cependant limitée et si une situation de tension se prolonge, elle finira bien par dire ou faire une bêtise.
Malgré ses sautes d'humeur et ses gamineries fréquentes, elle reste toujours attentive à son environnement et réfléchie, même si elle n'a le loisir d'analyser une situation qu'à postériori.

Description physique: Une jeune femme blonde aux yeux d'un bleu très clair, de type nordique, petite et menue, mais plus endurcie qu'il peut paraître à première vue. Autrefois défigurée, elle avait reporté tout son art et tous ses artifices sur sa voix, une voix mélodieuse, maîtrisée, et qu'elle sait faire vibrer d'émotion à volonté.
A présent que la cicatrice qui barrait sa joue a disparu, elle n'essaye plus de dissimuler son visage aux traits agréables encadrés de cheveux blonds mi-longs. Cependant un observateur attentif remarquera une ligne blanche presque invisible sur sa joue, vestige d'une violente dispute avec Armand Mender, ainsi que le tic fréquent qui la pousse à la gratter lorsqu'elle est pensive.

(Up et MAJ titre du fil et cadre suite au reroll, le BG évolutif se poursuivant en privé)

Validé en privé

[Note: Le perso est en pause pour une durée indéterminée, je ne sais pas trop comment ça se passe niveau classe de prestige...
Juste pour dire que si vous aviez besoin d'une place de quota, vous pouvez la reprendre, au pire je demanderai un reroll en barde pur si je réactive le perso un jour.
Merci.]

Pour le moment, je te laisse dans les quotas, on verras ce qu'il en sera au prochain recensement.