[Validé/En pause][Barde][H] Hiraezh

Nom du compte joueur forum : seth29
Nom du compte joueur module : seth29
Nom du perso : Hiraezh
Race : humain
Sous race : ---
Age : 25 ans
Alignement : neutre mauvais
Religion : pas de dieux en particulier, tous dans leur ensemble
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : barde 25
Arme de prédilection/domaines/école de magie : ---
Langues : commun, illuskan, nain
Familier/Compagnion animal : ---
Ennemis jurés : ---
Trait de Caractère : Taciturne, froid, sombre, triste et mélancolique.
Description physique : Hiraezh est un bel homme, au port altier et au charisme séduisant. Ses cheveux argentés coulent en cascade sur ses épaules, encadrant un visage aux traits fins et doux. Quand il parle, on est séduit par la richesse des tonalités de sa voix qui se mêlent entre elles afin de former des sons harmonieux, charmant l'oreille de l'auditoire; bien que son ton reste triste, lent et dépourvu de joie. Mais le plus frappant chez cet homme reste le bandeau de toile fine et opaqe qui couvre ses yeux, dévoilant ainsi sa cécité qui n'est pourtant apparente qu'aux plus observateur de prime abord.

Caractéristiques (au level 1) :
FOR : 10
DEX : 14
CON : 10
INT : 14
SAG : 14
CHA : 15

Background

Un homme au corps fin et souple se dresse face à la salle enfumée et bruyante de l'auberge des trois délices. Ses habits sont de bonne facture mais sans fioritures, un chapeau à large bord projette une ombre sur son visage. Il se saisit d'un violon, et entame une courte mélodie aux accents lents et sublimes, mais teintée d'une tristesse profonde. Peu à peu la salle se tait, écoutant les notes gracieuses qui remplissent l'atmosphère de l'auberge. Même la catin de l'établissement arrête un moment de papillonner avec un client. Les doigts du musicien glissent avec souplesse sur le manche, faisant vibrer les cordes, décrivant des courbes compliquées et des arabesques subtiles. Puis, la musique se meurt doucement, et le musicien tourne sa tête vers son auditoire attendrit au cœur encore serré par la mélodie...

Oyez gentes dames et nobles sirs la triste histoire que je vais vous conter... Sa voix douce, semble faite de musique, et achève de captiver ceux qui ne l'étaient pas encore... Celle d'un homme au cœur brisé, dont le noir destin ne l'a guère épargné.

Parmi les douces collines bercées du chant paisible du Delimbyir, l'automne commençait à prendre place. Déjà quelques arbres s'ornaient de feu et de lumière dans la douce quiétude des fins de moissons. Le vent venait porter les senteurs du grain et des fleurs à ses sens. Elle était encore là, assise sur la colline dominant son village à profiter des derniers rayons de l'astre mourant. Elle laissait sa douce chaleur réchauffer sa peau de nacre, fermant ses yeux turquoise sous la caresse du seigneur du jour. Elle était bien, elle était heureuse. En elle grandissait la vie, et cette pensée ne cessait de lui arracher des sourires.
Cessant sa rêverie, elle rentra chez elle avant que la nuit ne vienne couvrir le chemin de son manteau; une pointe au cœur la gagnant comme à chaque fois. C'est ici qu'elle l'avait vu pour la première fois, lui qui l'avait séduite et comblée. Mais à présent il n'était plus qu'un souvenir doux et amère dont la mélancolie la gagnait, enveloppant son cœur d'une étreinte glacée....

Le musicien reprit son instrument pour jouer une courte mélodie; ponctuant ainsi une brève pause, un changement de décor, un nouveau chapitre .....

Et l'homme reprit, sa voix mélodieuse décrivant un nouveau tableau...

Le temps était écoulé, et elle le savait. Combien de fois avait elle redouté ce moment, sentir la vie la quitter avant de la tenir dans ses bras...
Elle fut aidée par les femmes du village et put enfin serrer son fils contre son sein. En le voyant pour la première fois, elle retrouva le regard de l'homme à qui elle s'était donné par une froide nuit d'hiver, les feux de leur passion les dévorant tout deux alors qu'ils s'abreuvaient l'un de l'autre en une multitude de baisers. A nouveau son cœur se serra, la blessure en elle n'était pas refermée, ce vide qu'il avait laissé un matin ne se comblerait plus ... sauf peut être avec cet enfant ...
"Tu t'appelleras Hiraezh..." lui dit elle en souriant, le visage encore rouge sous l'effort fournit.
A ces mots, le bambin lui rendit son sourire ... il entamait déjà sa trop courte réserve de bonheur....

Le temps passa, et Hiraezh grandit. Sunie avait du se pencher au dessus de son berceau pour lui sourire, car son charme était connu de tous. Ses cheveux argentés, qu'il laissait librement flotter dans le vent, venaient rehausser l'éclat émeraude de ses yeux; héritage de son père inconnu. De sa mère, il avait la nacre et le rêve. Ainsi on le voyait souvent flâner non loin du village, s'émerveillant du bruit de l'eau sur la roche ou du souffle du vent dans les arbres. On tenta bien de le faire travailler, mais là n'était pas sa place malgré sa bonne volonté, non il n'était pas fait pour ça. Il était fait pour l'Art.
Tous les jours, il puisait dans son imagination débordante pour créer moult aventures et récits héroïques dont s'abreuvaient ses compagnons. Il inventait des chants et des mélodies, usant pour cela de roseaux pris sur les berges du fleuve. Personne ne lui reprocha jamais son manque de travail car tous aimaient l'entendre raconter ses charmantes histoires ou chanter selon le vent de son humeur.

Il atteignit ainsi sa quinzième année, bercé par sa tendre mère qui n'avait de cesse de lui porter son affection. Il connu également cette année pour la première fois l'amour, dans les bras d'une fille du village, une amourette de passage... car il ne se sentait soumis à rien, à aucun liens. Il avait envie de partir, de découvrir ce que recelait l'horizon, d'aller voir où se levaient le soleil et la lune, et où finissaient les eaux du fleuve. Plusieurs fois il fit part de ses pensées à sa mère, qui à chaque fois le convainquit d'y renoncer. Elle ne pouvait se résoudre à laisser partir ainsi son fils, car cela aurait signifié laissait partir tout son amour, qu'elle avait mis entier en lui.
Le destin cependant vit les choses autrement...

Un barde s'arrêta quelques jours dans son village. Aldrin Jaroil. Il divertit les habitants, les charmant par son art et sa magie en échange de repos et de nourriture. Hiraezh ne le quittait des yeux, voyant en lui le guide qu'il lui fallait. Alors que le barde allait repartir après s'être reposé, il alla le voir pour lui demander de le prendre avec lui. Aldrin, qui avait entendu de nombreuses choses sur ce garçon, accepta de le prendre comme élève et de l'emmener sur les routes avec lui. Là où le cœur du jeune homme était en fête, celui de sa mère pleurait de chagrin. Elle fondit en larmes à la nouvelle, lui demandant, lui suppliant de rester. Hiraezh tenta de lui faire comprendre, de la consoler; mais rien n'y faisait. Elle restait là, à genoux devant la porte, ses joues ruisselants de larmes. Elle allait être abandonnée pour la seconde fois par l'être à qui elle avait tout donné, et la tristesse de se sentir à nouveau seule la submergeait de plein fouet. Le désespoir la prit.

C'est cette image que garda Hiraezh de sa tendre mère alors qu'elle disparaissait à l'horizon. Celle d'une femme en pleurs, prostrée devant son foyer. Celle d'une femme qui n'avait plus rien. Le coeur lourd, il s'essuya vivement le visage ... la pluie commençait à s'abattre ... celle du ciel... et celle de ses yeux; les premières larmes d'une trop longue vie....

Le conteur se tut un instant, laissant la salle se remettre d'aplomb. Quelques personnes s'essuyaient discrètement leurs yeux rougis, d'autres avaient les joues brillantes sous la lumières des bougies....

Il ne leur laissa pas beaucoup de temps pour se remettre, reprenant son récit après une courte pause musicale.

Les jours furent longs sur les routes et les chemins, par delà les montagnes et les bois, au travers des mers... Durant huit années, Hiraezh voyagea. Il vit nombre de choses merveilleuses, et d'autres terribles. Jamais il n'aurait pu penser le monde si vaste. Pendant quelques mois, ils furent, lui et son maitre, accueillit par des nains. Hiraezh trouva ce peuple étrange mais sympathique, profitant de son séjour parmi eux pour apprendre leur langue. Il l'apprit seul, se servant de son oreille si fine depuis toujours pour isoler les sons et formes récurrentes. Lorsqu'il put baragouiner, il alla voir Aldrin qui en fut étonné et fier. Il apprit l'Illuskan également au cours d'un voyage dans l’Epine, séduit par la sonorité de cette langue.

Mais ses voyages n'étaient pas que faits de rencontres. Sous la houlette du vieux barde, il apprit le chant et la musique. Il apprit à utiliser plusieurs instruments différents, à raconter des histoires. Ainsi il put seconder Aldrin lors de quelques spectacles et ce pour son plus grand plaisir. Cependant, au cours de son apprentissage, il s'aperçut que sa musique, que ses chants avaient une incidence sur son environnement. Bien sur il arrivait à captiver les gens, mais c'était plus que ça. Il arrivait à faire de la magie... Il lui suffisait de penser à l'effet qu'il désirait et à jouer une mélodie en conséquence, une inspirée par cette pensée; et l'effet se réalisait.

Les années passèrent, triste rivière au confluent tragique. En arrivant dans la ville d'Eauprofonde, Hiraezh rencontra une très belle jeune fille lors d'une représentation. Une fille simple, ni riche ni pauvre, ni laide ni belle. Elle le dévorait des yeux, ne pouvant faire plus car la timidité d'approcher un tel artiste la submergeait. Un soir, au baisser de rideau, elle vint le voir pour lui parler, et Hiraezh fut séduit par sa voix, son ton, ses yeux.... par elle tout entière. Elle lui avait ravi son cœur au premier regard qu'elle lui avait lancé, le laissant à sa merci sans qu'il lui en veuille... Et le temps de son bonheur arrivait à sa fin....

Il reprit son violon, jouant un air tragique, sombre, faisant ressortir un certain suspens, une anxiété. Des clients se penchèrent sur leurs tables pour mieux écouter la suite, totalement sous le charme du récit.

Validé

Merci trés agréable

Sans laisser de blanc, le conteur continua son histoire. Pour tout les spectateurs, il n’y avait plus que lui dans la salle, lui et sa voix sublime et envoutante. Pour chacun d’eux, l’auberge n’existait même plus, ils étaient à Eauprofonde entrain de voir les prémices de l’amour, et les ombres de la tragédie…

Célestes, sont tes yeux et ta bouche,
Ta peau et ta voix. Céleste,
Tu as ravi mon cœur d’une étreinte douce,
Que seuls les joyaux de ton regard
Peuvent donner ; célestes.
A présent je ne partirais plus,
Les routes n’appellent plus mes pas,
L’horizon ne recèle plus rien.
Rien ne m’attire, tout est ici,
Tout est folie, tout est chaleur ;
Tout, c’est toi et moi….

En entendant ce poème, cette déclaration, Céleste sentit son corps trembler. Des larmes lui vinrent aux yeux, coulant en minces filets sur un sourire merveilleux. Mais cet amour révélé sous la lueur des étoiles n’était que faible bougie parmi les ombres de la nuit.

Voila plusieurs semaines que les deux jeunes gens se fréquentaient, et même si Céleste ne disait que peu de choses sur sa vie, Hiraezh ne voyait plus qu’elle, Il avait laissé son vieux maître partir, dénigrant ses avertissements, écoutant ses conseils… Il était resté seul avec elle. Ils avaient passés d’agréables moments, s’étaient promenés dans le doux parfum des fleurs d’été. Chaque jours, Hiraezh n’attendait que le moment où il pourrait enfin poser à nouveau ses yeux sur elle, ses mélodies et ses chants ne reflétaient plus que cet amour trop grand pour lui tout seul. Il le partageait donc avec ceux qui l’écoutaient, en embaumait l’air de sa musique.

Mais là, sous les étoiles de la nuit et de ses yeux, la pâleur de la mort avait chassé le rose de ses joues. Tout autour d’eux, les ombres s’étaient rapprochées. Silhouettes sombres, menaçantes. Ils étaient encerclés mais qui ? pourquoi ? A coté de lui Céleste, plus blanche que la neige immaculée, s’écartait peu à peu de lui, effroi et désespoir mêlés dans ses yeux ; faisant faillir le cœur d’Hiraezh…

Le barde reprit lentement son instrument, ménageant ses effets. Au moment où il posa l’archer sur une corde, la salle retint son souffle. Une lente complainte s’éleva dans l’air, image du désespoir, de la douleur, de la souffrance. Beaucoup de spectateurs baissèrent la tête. Tous paraissaient vidés de volonté, ne laissant paraitre que tristesse et mélancolie sur leur visage…
Mais l’histoire n’était pas finie, et tandis que les doigts agiles faisaient vibrer les cordes du merveilleux instrument, la lente voix reprit le cours du récit. Son ton avait changé. De captivant et agréable, il était devenu triste et froid, chargé d’ombres venant affaiblir les corps et volontés de l’auditoire…

La folle romance d’Hiraezh se termina cette nuit là. Elle se termina sous l’assaut de ces voleurs, voleurs de biens et de vie, d’honneur et de bonheur. Il les entendit ravager Céleste, il entendit ses suppliques et ses appels, ses cris et ses pleurs… Lui était tenu fermement par une des brutes tandis qu’une autre finissait de se saisir de ses biens. Puis, une idée noire et cruelle traversa l’esprit du chef des malfrats ; et on força Hiraezh à regarder sa compagne et ceux qui la forçait. Hiraezh supplia de la laisser, et on rit de lui. Il leur proposa sa vie contre la sienne, et on lui cracha dessus. Finalement, n’en pouvant plus de ce terrible spectacle, il demanda à ne plus le voir ; et sa requête fut exaucée. On lui ouvrit grand les paupières, et la dernière vision qu’il eut fut celle d’un sourire mauvais déversant un liquide ambré sur ses yeux. Une douleur fulgurante lui arracha des cris de douleurs alors que l’acide ravageait ses pupilles. Et dans son esprit embrumé de souffrance, il n’entendit pas les derniers appels de Céleste alors qu’elle était emmenée.

Le jour se leva sans qu’il ne le sut. Les ténèbres étaient devenues son futur. Il ne pouvait plus que vivre avec elles ; jusque dans son cœur. Là où brillait une douleur qui ne s’éteindrait jamais. Et dans ce moment de solitude, prélude de son triste avenir, il repensa à sa mère, pleurant de douleur lors de son départ. Il repensa à son maitre, Aldrin, qui l’avait enjoint à le suivre, à ne pas rester en proie aux douces attaches de l’amour.
Le remord est chose cruelle, poison terrible, ennemi fatal.

Ainsi, dans l’aube sanglante, sous les premiers rayons du soleil, il pleura, pleura ; pleura.

Le conteur se tut un instant sans cesser de jouer. Une atmosphère froide s'était développée dans l'auberge. Tous ne pouvait plus que le voir, tous ne pouvait plus que l'entendre; mais nuls ne le voulaient plus. Ils étaient ainsi pris sous le charme de son Art sans espoir de lutter; ils étaient ainsi pris dans son désespoir, l'échine baissée...
La lumière elle même s'était affaiblie, et dans la pénombre grandissante, l'ultime acte aller se jouer. Conclusion tragique, empreinte de peine et de chagrin; à l'instar de la mélodie sublime qu'il jouait en ce moment là...

Et c'est le coeur lourd que le jeune homme reprit la route. Sa superbe n'était plus, sa joie était partit. Image du chagrin, avatar de la peine, il espérait cependant que cela ne soit éternel. Alors il prit les chemins qu'il foula auparavant, ceux de son passé, ceux de son destin; dans l'espoir de revoir celle qui l'avait tant choyé, dans l'espoir de se remettre auprès de sa mère tant aimé. Le voyage fut long et difficile, ses jours n'étaient plus que nuits et ses nuits n'étaient plus elles mêmes tant l'image de sa belle résonnait à son esprit.

Il parvint tant bien que mal sur sa terre d'enfance. Accueillit par tous, acclamé en chantant. Mais lorsqu'il demanda à voir sa douce mère, les mots qu'ils reçut le rendirent amer. Morte qu'elle était, morte de chagrin. Longtemps avait elle pleuré avant de les quitter, lorsque sa dernière larme sur sa belle joue avait coulée; morte de tristesse, morte un beau matin.... Et le coeur d'Hiraezh sous ce coup funeste ne put bien longtemps rester indemne; déjà affaibli par la perte de son amante, il se retrouva brisé, vidé de toute liesse.
Un sombre voile recouvrit ses traits lorsqu'il décida de faire comprendre à tous que la joie éphémère n'est que tromperie glacée, et que le désespoir à la fin nous attend tous.

Il reprit la route, changé à jamais. Tristesse et mélancolie gravées sur son visage, chagrin et peine nourrissant sa plaie. Mais de cette blessure à jamais ouverte naquit enfin un chant, le sien. Et sa douce voix rendue sombre et triste fut enfin l'instrument que mérite un tel artiste.

Il se perdit dans la nuit, il se perdit sur les routes; chantant à jamais la mélancolie que son coeur abrite ... soyez à l'écoute; il chante la peine que tout le monde redoute et dans votre âme, il l'invite.....

Le violoniste, se taisant enfin, conclut son air de manière exquise, arrachant encore quelques larmes de chagrin à son auditoire souffrant sous la bise; la bise de son art, qui les a glacés, enveloppés de sombres pensées...
Le sombre barde reprend sa route sous les rayons de l'astre naissant, faisant luire ainsi une pointe de diamant, coulant sur sa joue de nacre. Et cet avatar du chagrin succombe lui aussi à son chant alors que ses pas le portent vers le nord à présent.....

*FIN*

Afin de faire un peu le ménage dans les Bg validés et voir quel personnage n'est plus jouer afin de refaire les quotas si besoin, je voulais savoir si ce personnage était encore jouer.
Merci

perso en pause pour le moment

Bonjour!

J'aimerais reprendre ce bg avec les questions suivantes:
- puis je rajouter l'enchantement en école de magie dans la fiche du personnage
- puis je retirer 2 points de dextérité pour gagner un point de charisme
(passer de dext 14/ charisme 15 à dext 12/ charisme 16)
- et enfin la question importante: j'aimerais en faire un chantemort, est ce que c'est bon dans cette optique ou des points sont ils à préciser?

Si tu pouvais faire une demande de reroll pour la modif des carac ,pour chantemort je ne pense pas qu'il y ait de problème il faudra juste rééditer ton bg et voir si tu n'as pas déjà un perso avec classe de prc!

Oui bien sur la demande de reroll c'est logique ><, je viens juste de réaliser...

Et pour l'école d'enchantement?

Je relis ton Bg si c'est suffisant oui sinon je te demanderai de réécrire quelques lignes pour le valider

Pour les caracs j'abandonne l'idée, c'était plus un soucis "d'optimisation" (et oui je suis vil) que d'autre chose et je ne vais pas pondre une requete juste pour ça

Pour le chantemort c'est à moi d'éditer le titre? Sinon je vais remplir la répartition des classes Autre chose, je n'ai pas d'autre classe prc, mes autres persos étant : Morwenn (rodeur pur), Cas'telen (barde/guerrier)

Pour l'enchantement je suis en attente de ta réponse

a mettre au cimetière

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