Nom du compte joueur forum : Misère
Nom du compte joueur module : Miseres
Nom du perso : Delith Amanesh
Race : Elfe
Age : 125 ans
Alignement : Chaotique Neutre
Religion : Solonor
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : 25 rodeur
Arme de prédilection : Arc long
OstMirïel est une cité elfique qui ressemble à bien d’autre. Bien loin d’être une grande cité, elle était nichée dans la forêt épaisse de GladGwaeren, les habitations étaient en harmonie avec la nature environnante et très souvent en hauteur dans les arbres et avait un charme certain.
Humblement la vie y était agréable et la tranquillité perdurait depuis quelques générations.
Parmi ce peuple vivait un couple dont leur union et leur amour donnait naissance à une fille nommé Delith.
Son père Norfyndel était l’archer mage de la colonie et le maitre d’apprentissage des jeunes elfes à l’arc.
Delith apprit avec les autres à tenir en arc en main à peine savait’ elle marcher, une chose assé habituelle chez les elfes.
Les étés succédèrent aux hivers el la petite grandissait pour atteindre ses 70 ans et elle était la fierté d’Edlothia, chose normal qu’une mère voit en son enfant toute les qualités, bien qu’elle n’avait pas tord car on savait l’enfant sage et à l’écouter des enseignements de Solonor et divers qu’on lui prodiguait avec sérieux et attention, mais Edlothia se trouvait souvent fatigué et les soigneurs lui conseillère l’arrêt de la chasse pour prendre du repos plus régulièrement. Son absence manquait peu à l’équipe de chasse qui était en nombre suffisent et son époux prit d’avantage de temps pour rester auprès de son épouse.
La fatigue la prenait d’avantage avec les jours passant sans que l’on puisse être certain d’où venait son mal, surement son cœur mais tous n’était pas en accord avec cette hypothèse.
Peu à peu elle ne quittait presque plus sa couche, se fatiguant rapidement à effectuer les taches ménagères son époux et sa fille se chargeait désormais de tenir la maisonnette en ordre. Mais au fur et à mesure que la mère gardait le lit, le père perdait son sourire et les cernes lui virent marquer son visage.
L‘hiver suivant elle ferma les yeux pour la dernière fois et se fut un déchirement pour tous et d’avantage encore pour son époux.
Celui-ci prit d’ailleurs une décision qui surprit tout le monde, après les honneurs rendu à la défunte il prit quelques affaires, sa fille et quitta la cité sans donner plus d’explication.
Ils s’installèrent alors très loin de la cité mais sans pour autan quitter la forêt de GladGwaeren.
Une petite maison fut arrangé et rebattit à la hâte, les jours devenaient monotones et le Norfyndel s’enferma peu à peu sur lui même, sa joie de vivre n’était plus.
Malgré ses changements radicaux, Delith gardait son sourire. Mais sa ressemblance avec sa mère était tel que son père en soufrait chaque jour d’avantage et bien souvent il restait les nuits à regarder les étoiles en pleurant doucement.
Au fil des jours Delith comprit la peine de son père et bien qu’elle la partageait la sienne n’était pas si grande et profonde, l’union qui le liait à son épouse lui pesait lourdement et il ne pue s’habituer ni se résoudre à ce vide qui était depuis en lui.
La patience du père n’était plus et ses colères sous de futiles prétextes se déchainaient.
Il fini par interdire à sa fille de prononcer le moindre mot, il n’y avait pas en elle que les traits de son visage qui était ressemblant à sa mère, elle avait également le même timbre et la même douceur dans sa voix.
Comme une fille respectueuse et aimante elle lui obéit et passa les lunes suivantes à s’occuper d’eux deux, elle chassait pour les besoins du logis en nourriture et cuir pour se vêtir et elle trouva en la nature le réconfort et le souvenir de sa mère.
Là elle était libre de sourire et rire sans crainte d’en rajouter à la peine de son père.
Pendant ce temps son père dépérit peu à peu, il ne se nourrissait plus et n’avait plus aucune autre préoccupation que son chagrin.
Elle prit soin de lui jusqu'à ce qu’à son dernier souffle puis le ramena à la colonie d’OstMirïel , sur un brancard qu'elle fabriqua pour l'occasion et rentra à la cité maternelle.
Il fut dés lors pour l’elfe difficile de rester parmi les siens, elle avait prit une trop grande habitude à la solitude.
Ses pas l’amenèrent à voyager ici et là, puis elle rencontra de nouveaux frères de sang. Leur gentillesse était grande et leur accueil fut chaleureux, elle essaya de s’intégrer à eux.
Sa timidité la gardait souvent silencieuse et sa mal maitrise de leur langue ne l’engageait pas à discuter de trop. Certains lui apprirent avec patience à mieux parler mais comme un appel venant de la forêt Delith ne resta pas parmi eux et reprit la liberté de vivre seule.
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