Nom du compte joueur forum : bobodu11
Nom du compte joueur module : psyko187
Nom du perso : MaA’Zzhar
Race : Humain
Sous race : Uthgardt
Age : 30
Alignement : Neutre mauvais
Religion : Malar
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Rodeur15/assassin10
Arme de prédilection/domaines/école de magie : Hache double
Langues : Commun, animal, illuskan
Familier/Compagnon animal : Panthère
Ennemis jurés (Si rôdeur) : Elfe, demi elfe, humain
Trait de Caractère :
Description physique :
Caractéristiques (Au niveau 25) :
FOR : 22
DEX : 12
CON : 12
INT : 14
SAG : 14
CHA : 8
Je suis né il y a environ 400 lune dans les frontières sauvages entre les marches d’argent et la côtes des épées. Mon monde se bornait aux terres déchues, cette ligne de territoire accidentées bordant la partie occidentale de l'Anauroch. Des êtres monstrueux peuplent les terres de mon enfance et bien peu d’humains arrivent jusqu’à mon age. La vérité sur ma longévité s’explique en grande partie sur le fait que mes parents, comme leur parents avant eux, priait avec ferveur et malgré sa mauvaise réputation dans le camp de notre tribu, le traqueur au sang noir. Très jeune j’appris la chasse et la traque en ces terres hostiles. La survie était pour moi une affaire de quotidien où seuls les fort tiraient leur épingle du jeu.
Je passait le plus clair de mon temps dans les bois à m’entrainer et à me muscler, seul les fort subsiste, a l’époque je pensais qu’il ne s’agissait que de physique, sans penser à la magie de la nature ou même a la furtivité, je me servait même d’arcs et de fléches, ce qui me serait impensable aujourd’hui.
Ma famille fait partie d’un clan de barbare Uthgardt sous les ordres du féroce Kralgar Mordeur d'os, l'organisateur en Uthgardt de la colonisation du Nid du griffon, qui rêve d'écraser une cité fortifiée sous la lame de sa horde barbare et de la diriger en maître absolu. Nous nous sentions protéger malgré le caractère rude de notre mode de vie, mais moi MaA’Zzhar je rêvait de voyager, d’apprendre la chasse en d’autre lieux avec d’autres personnes.
En se préparant pour sa guerre de conquête, Kraigar a créé la colonie la plus prospère et la mieux organisée de toutes les terres uthgardts. Contrairement à d'autres tribus, celle du Griffon est encline au contact avec les étrangers, particulièrement les aventuriers qui peuvent enseigner des ruses contre les combattants civilisés.
Un jour arriva au fort du griffon un voyageur et chasseur malarite qui tuait pour de l’argent, chassant aussi bien les bêtes que les humanoïdes. Malgré le sentiment d’affection que j’avais pour ma mère et mon père je décidai d’aller voir cet homme pour qu’il me prenne sous son aile. Peut être mon rêve d’aventures se réaliserait avec lui, cet homme qui priait la même divinité que moi et qui semblait tout connaître de la traque en terre sauvages.
Je partis donc avec lui le lendemain. Il m’apprit a développer mes sens, a suivre les pistes et traquer le même animal pendant des jours et des jours sans rien manger ni même dormir. Il m’apprit à renier les arcs et autres armes de tirs, car un malarite attaque au corps à corps et se délecte du sang de ses victimes au plus proche de la mise à mort. Il m’apprit à me servir de la hache double rituel de son ancien clan déchu, Les crocs de sang. A bien y regarder je remarquais que sa double hache ressemblait à d’immenses crocs de dragon, je pensais alors qu’il avait en d’autre temps tuer cette bête mythique et s’était fait faire cette arme avec le trophée de sa chasse.
Il m’apprit a combattre même aveuglé, dans la nuit la plus noir et dans les cavernes les plus impénétrable. Il m’apprit tout particulièrement à traquer certaine catégorie de race. Tel les elfes, les demis elfe et les humains, car il disait que c’était là les races qui construisait les villes les plus hideuse et les plus étendue. Furoncle au visage de la nature qu’il nous fallait harceler afin de soigner notre mère la terre.
Il m’enseigna la magie de la nature afin d’améliorer mes techniques de chasse, de renforcer mon camouflage dans la nature ou même d’invoquer de puissante bête pour m’aider dans mes traques. Il m’aida également à trouver mon compagnon animal, une magnifique panthère que nous allâmes chercher dans les terres du sud, plus chaude et propice pour trouver ce type d’animal. Enfin il m’apprit à tuer.
Tuer et chasser un animal n’a rien de compliqué, j’avais même déjà occis un homme sous les yeux de mon maître. Il ne m’avais pas féliciter, me sermonnant sur la manière barbare que j’avais eu de le massacré, même sous le couvert de la furtivité en ne faisant pas le moindre bruit. Il disait que la finesse de l’assassina s’acquiert de bien d’autres moyens. Malarite certes, mais subtil à la fois, il m’enseigna l’art du métier d’assassin. Est-ce la même chose que de traquer et de tuer en terre sauvage ? Je me rendit vit compte qu’il n’en était rien.
Il m’apprit a donner la mort d’un seul coup, il m’apprit a me déguiser pour infiltrer jusque dans les villes et à harceler voir tuer les dirigeants pour semer le chaos et la discorde. Il m’apprit l’anatomie des corps de mes ennemis juré de rodeur, fort proche, les elfes les humains et les demis elfes. I l m’apprit à trouver le cœur de ma victime en fouillant son torse de ma hache double. Mes coups devenaient incroyable précis pour une arme de cette taille et j’appris les attaques sournoises les plus dévastatrices. Il m’apprit à manier certain poison pour en enduire mes lames.
Il m’apprit la mort, ce qu’elle était et ce qu’elle représentait. Le summum ultime de ma formation, un tueur a l’état naturel, non pas un prédateur bestial, mais sournois et insidieux. Donner la mort, faire cesser toute fonction vitales nécessaire au maintient de la vie. C’est parce que la survie des plus forts par l’éradication des plus faibles est un don de Malar aux mortels que e tuerais de toutes les façons les plus subtiles au plus barbares, tous les ennemis de la seule vraie foi. Le point culminant de la vie est la confrontation entre le chasseur et sa proie, le moment précieux où l’on détermine qui vit et qui meurt.
Un jours je trouva mon maitre mort dans son someille, jamais je ne su son nom ni ses motivations pour m’apprendre tant de chose, je me disais souvent qu’il ne voulais pas que son savoir tombe dans l’oubli et qu’il voulais laisser une trace de son passage dans cette vie. Je pense souvent à lui et je le remercie souvent dans mes priéres.
Il me fallait un territoire de chasse où je pourrait exercer mon art d’assassin pour le compte du traqueur, je me rendit plus à l’ouest, vers la côtes, je n’avais jamais vu la mer et mon désir d’aventures n’était jamais asssouvis. Peut être pourrais je tuer des créatures marines ? je ne sais pas où je vais mais j’y vais, j’avance sans peur.