[Validé/disparu][Roublard/bretteur][PG] Hog Prébrûlé

Citation :

Nom du compte joueur: Le_Scribe

Nom du perso: Hog Prébrûlé

Race: Halfelin Pied-Léger

Age: 23 ans

Alignement: Chaotique neutre

Religion: Brandobaris

classe(s): Roublard 18/

Arme de prédilection/domaines/école de magie: Rapière

Trait de Caractère: Curieux, audacieux, possède le don de se fourrer dans des situations délirantes et inextricables, il est de plus espiègle. Mais sa petite taille et sa voix à peine audible le rende difficile à remarquer, et il est facilement oublié (don insipidité^^).

Description physique: 92 centimètres, 15 kilogrammes. Yeux noirs, cheveux noirs, peau bronzé. A de très beaux favoris, qui sont sa fierté.

[HRP : Je mettrais à jour au fur et à mesure pour justifier le fait qu'il devienne bretteur, je pense que je ne peux pas justifier dans son passé qu'il devienne bretteur, puisqu'il est seulement lvl 1 au départ et qu'il ne pourra devenir bretteur que quand il aura un certain vécu, qu'il aura sur le Val ]

*valide pas les BGs de ses potes*

On validera donc le Bretteur en fonction de ce que tu écriras

Né dans les Plaines des Arpents Verts, au Nord de l'Amn, Hog est un halfelin comme les autres.
Comme les autres? Non pas vraiment.
Hog est un Pieds-légers, du clan des Prébrûlés. Comme tous les siens, il vécu sur les routes pendant toute son enfance. Voyageant au travers des terres comme tout bon Pieds-légers, il appris à chasser, à marchander et à se battre pour défendre son Clan.
Grand collectionneur d'objet religieux et de sous vétements féminins, il vous offrirai le monde pour une telle relique. Attention, ce halfelin est un malin... Il ne collectionne que des reliques véritables; portées et chéries par leur anciens propriétaires!

Sa vie sur les routes et son sang ont fait de lui quelqun de rusé, débrouillard, agile et de bonne compagnie. Un halfelin parmis d'autres en somme...
Cependant, alors que les autres jeunes halfelins s'amusaient et grandissaient au sein du clan, Hog entretennait un certain individualisme. On le voyait souvent battant l'air avec deux (vieilles épées courtes) ou courrant après un kobold des plaines, isolé. Au fur et à mesure des années, il gagna en agilité et en adresse.
Certains disèrent qu'il était solitaire, renfermé. Qu'il chachait quelque lourds secrets ou sentiments. Rien de tout ça... Hog est un réveur. Il n'a jamais cessé de réver... réver au Monde, aux créatures étranges et dangereuses, aux trésors, à la gloire, et surtout... aux sous-vétements. Un monde fait des créatures superbes et étranges; nymphes radieuses, elfes charmantes et humaines généreuses (en poitrine).

Hog parle peu de son départ et reste relativement évasif.
A 17ans, il laissa son peuple et son clan derrière lui. Allant de villages en cités, il cotoya d'autres peuples, d'autres races. Là, il fut confronté au mépris, à l'ignorance et à la méchanceté. Rapidement, il dû mettre à profit ses maigres talents. Il devint expert de la débrouillardise. Jouant de persuasion et de bonne humeur, il se tailla une place dans ce monde. Sa vie était insouciante. Il vivait libre et heureux, usant de ses deux lames lorsqu'il le fallait, démontrant alors une adresse exeptionnelle.

Agé de 23ans, Hog pose pour la première fois ses pieds dans le Val de Bise. Un peu menteur et très charmeur, ses deux lames dans le dos, ce petit halfelin compte bien laisser son empreinte sur ces terres... et sur les fesses d'une ou deux demoiselles.

C'est ainsi qu'un beau matin, il arriva à Luskan, ses lames dans le dos, sa collection de dessous dans son sac et le tonnelet de bière (de Luiren, naturellement) sous le bras. Il fut fasciné par l'agitation qui règnait dans cette cité, les disputes, les discussions inutiles mais drôle, les troubles-fêtes, les petits et grands rigolos, et surtout la diversité qu'on pouvait y rencontrer ! Des paladins, des bainites, des assassins, des saints, des seins, des chastes, des coquines, des fous, des sages, des futés et des pigeons ! Le lieu rêvé pour passer un bon moment, et pouvoir enfin ressentir le Grand Frisson, l'Aventure !

Au départ, il eut du mal à attirer l'attention, mais à force d'entêtement, il réussit à se faire une place, sur les genoux des dames notemment. Mais certaines méritent une attention toute particulière ! Tel Mary, une femme grande, belle malgré ses muscles saillants, aux longs cheveux blancs, au parler franc et aux yeux pailletés d'orangée qui donne à son regard quelque chose de magique. Elle attira de suite son attention, lorsqu'elle chanta avec lui une chanson qu'il adorait, et ils se lièrent d'amitié rapidement. Malgré un caractère de cochon des Plaines Sauvages de l'Est, le jeune Hog Prébrûlé se mit à éprouver pour elle des sentiments sincères et fort, peut-être trop. Grâce à elle, il put découvrir certaines choses sur cette étrange contrée qu'est le Val de Bise, et certains faits des plus troubles...et il put découvrir ce qu'était ressentir véritablement les choses, et non plus uniquement les jouer. En plus d'être complice, ils commencent à devenir compagnon d'arme, se complétant l'un l'autre, Mary apprenant à Hog à se battre, apprenant surtout à essayer de frapper au point où sa petite lame fera le plus mal, Hog sachant évidemment qu'il n'a ni la carrure ni l'envie de devenir un guerrier sans cervelle tapant fort un peu partout.

Une autre personne importante à ses yeux, Zofia, une femme gentille, dévouée, mais qui lui semble parfois avoir une bien triste destinée. Celle-ci lui a appris l'importance de la persevérance, le sens du sacrifice, quoiqu'il préférera encore escroquer ou se tirer d'une situation par la ruse plutôt que la subir pour sauver quelqu'un. Elle ne put lui apprendre grand-chose, mais cette femme exceptionnelle méritait d'être cité.

Bien d'autres personnes lui apportèrent des choses, complétant sa formation, apprenant au contact des autres. Ainsi, une jeune elfe du nom de Lorelei et lui ont débuté des séances d'entrainement harassantes, où ils apprennent à parer leurs coups et à manier avec agilité leurs armes, une dans chaque main. Avec une autre, Lia, il apprend à esquiver avec agilité les coups, à les sentir arriver, ce qui lui sera sans doute utile pour éviter les baffes des jeunes femmes choquées par ses mains balladeuses !

Qui sait ce que ce jeune chien fou deviendra? Tout dépend des gens qu'il connait, et de ceux qu'il rencontrera ! Mais son avenir s'annonce des plus interessants.

On attend encore pour le bretteur mais continus, c'est bien partie
Par contre :

Citation :

aux sous-vétements. Un monde fait des créatures superbes et étranges; nymphes radieuses, elfes charmantes et humaines généreuses (en poitrine).

Enfoiré tu as crée ton bg pour m'emmerder en fait

*voici un extrait du journal de Hog Prébrûlé, qui nous offre un aperçu de sa part de responsabilité dans les évènements récents, ainsi qu'un aperçu de son point de vue vis-à-vis de ceux-ci. L'écriture est ronde, aisée, soignée.*

Cher journal,

Bon, je déteste cette formule totalement stupide, mais les traditions sont les traditions. J'écrivais donc : cher journal, il s'en est passé des choses depuis la dernière fois ! Par où commencer? Il me faut mettre tout ceci en ordre dans mon esprit.

Voilà : le chaos règne dans cette bonne ville de Luskan. Une louve du nom de Laet'Naethal, d'après Laurelin, est fiancée à un certain Saling Hallian, un terrible bainite qui souhaite prendre la place du Patriarche Ethan de Mortevallée ! Bon, quel rapport avec moi me diras-tu? Hé bien il se trouve qu'une expédition a été envoyé vers Padhiver, pour extrader une criminelle du nom de Marinelia, la fiancée de Perido. J'ai discrètement suivi cette expédition. Marinelia s'est suicidée juste avant l'arrivée des gardes de Luskan, j'étais présent lors des soins qui lui furent prodigué...elle fut sauvé, et mené au Temple de Lathandre. Rien d'interessant, certes. Mais il se trouve que le paladin de Tyr Belzac accusa le lieutenant, ou sergent, on s'en fiche, Galanas d'être un bainite.

Chouette ! On allait pouvoir s'amuser. J'arrivais donc au secours du paladin Belzac, signalant que Galanas avait obéi au Lieutenant d'Unther qui commandait la phalange Ruine (signalons que ce lieutenant est lui-même souvent en ruine), alors qu'ils se trouvaient à Luskan. Ainsi la dispute passa des extraditions et des rapports entre Luskan et Padhiver à la culpabilité de Galanas, les Templiers réclamant qu'il soit soumis à une épreuve, le Capitaine de la Garde souhaitant éviter une telle humiliation à son homme. La dispute s'échauffait, un peu plus et on frôlait la guerre ! Pendant ce temps, ce brave Azhal me demandait de porter un message pour la capture de Saling Hallian, si l'Alliance payait plus que les bainites, Saling leur serait donné. J'accourais donc au Temple de Lathandre où la Matriarche, la Haute-Louve et quelques elfes qui n'ont rien de fêtard s'étaient rendu.

Quel ne fut pas ma surprise de voir que Laet' l'emplumée essayait de "voler" Marinelia pour la mettre dans le camp des Louves ! Sans doute pour la sauver. Mais ce fait était interessant : la Haute Louve la protégeait, alors que sa soeur s'était entiché d'un des ennemis de son groupe. Je ne perdis pas mon temps en vaine reflexions : je faisais passer le message, puis repartit voir ce qui allait se passer avec le Capitaine, la Générale des Templiers et Galanas. Quel ne fut pas ma surprise quand je vis un des Maîtres de l'Ordo Arcanum aider les Templiers a humilié la garde de la ville qu'il était sensé servir...ils sont fous ces grandes-pattes ! Chacun finit par repartir de son côté...quel soulagement ! Marinelia était sauvé, Galanas aussi, tout avait fonctionné comme prévu, et la Haute Louve que j'avais trainé jusqu'au Capitaine a pu réagir comme je l'avais prévu...mon accusation de Galanas avait porté ses fruits.

J'appris quelques jours après que le Maître de l'Ordo Arcanum avait commit un véritable massacre sur la place de Luskan, en partie par ma faute. Etrange. Une cascade d'évènements venait d'être déclenché par mon témoignage. Alors que l'on se disputait Mary, Perido et moi après avoir assisté au bal de Lorgol, où je n'ai pu que très peu montrer mes talents en danse, et où Mary vit Perido embrasser une autre légionnaire alors qu'un quart d'heure je lui apprenais pour l'accident avec sa fiancée. Bref, nous nous disputions, quand Laet et Saling débarquèrent dans notre chambre, où ils furent très mal accueilli...apparemment, ils souhaitaient que nous rampions devant eux, car j'avais dis que Saling n'avait aucune chance vu tout ceux qui voulait l'attraper. Bref, la situation s'échauffait, Laet se préparait au combat. Heureusement que j'ai réussi à fuir de la chambre alors qu'elle lisait un parchemin. Par ma fuite, j'avais évité un combat sanglant.

Trois jours après, je portais plainte à Galanas, Saling n'allait plus pouvoir venir à Luskan ! Et mon intervention auprès de Perido avait sans doute sauvé son couple avec Marinelia. Je suis un diplomate talentueux on dirait ! Grâce à ceci, Saling fut attrapé par la Légion Ecarlate peu de temps après. Et livré aux bainites. Ainsi mes prédictions s'étaient révélés juste !

Dernier point : ma rencontre avec la Matrone Vaporiana Sultar m'a hissé au rang de Marchand de la Ligue du Nord, et celle avec sir d'Estarios au rang de Représentant Attitré de la Confédération Minière des Vaux. Ces positions me permettront d'acquérir une véritable petite fortune, que je pourrais dépenser en bière, et en dagues ! Car en plus d'être un diplomate et un marchand (ou voleur) hors pair, je désire devenir un guerrier, subtil, raffiné, capable de se défendre et d'attaquer avec élégance : une danse mortelle ! Et je m'entraine chaque jour pour atteindre ce but, je suis à présent capable de parer, d'attaquer avec deux armes avec une agilité digne du plus agile des halfelins !

Ah, ça fait du bien de se jeter des fleurs de temps à autre. Mais au moins, j'ai le mérite de m'élever en dépassant les autres, non pas en les rabaissant. Et je suis condamné à me battre jusqu'au dernier instant de ma vie, ma naissance m'y contraint. Mais je m'en accomode, et l'aventure m'attend ! Je me battrais pour tout ce en quoi je crois, pour m'amuser et pour impressionner Mary ! D'ailleurs, je devrais aller lui parler...mais je dois te laisser, Journal, je dois encore m'entrainer ! Dure vie que celle d'un halfelin marchand voleur et duelliste.

bretteur abandonné, roub pur

(Je complète son BG, pour le plaisir !)

Me voici sur le navire en direction d'Eauprofonde. Les choses ont changé. J'ai changé. Je pourrais essayer de raconter mon histoire, ma vie, ce que je suis à un des membres de l'équipage ; mais il ne me croirait pas. Il me prendrait pour un fou, un rêveur, un menteur.

Luskanien, halfelin et pauvre, je me suis retrouvé lorgolite, humain et richissime.

J'étais halfelin, à l'époque ; je le suis toujours, au fond de moi. J'aimais Mary, follement, étant prêt à me damner pour elle. Mais notre amour était impossible : j'étais halfelin, et elle demi-elfe. Les choses n'allèrent pas en s'arrangeant, au fil des mois : je fus engagé par un elfe étrange, fascinant, Luniel, et, échelon après échelon, je me vis catapulter à la tête de la Ligue Marchande du Nord, le plus puissant et le plus riche empire commercial de la région. Ligue qui ne tarda pas à s'opposer à la Légion Ecarlate, groupe auquel appartenait Mary. J'étais déchiré, mes sentiments s'entrechoquaient : mon devoir, mon interêt était d'absorber, ou de détruire, la Légion Ecarlate ; mon coeur me murmurrait, dans le secret de mes pensées, de tout abandonner, de tout risquer, pour la rejoindre. Mes hésitations, mes doutes me faisaient souffrir, aucun être vivant ne devrait avoir à se retrouver face à un tel dilemme : c'est là la pire des tortures. Je finis par me décider, choisissant une solution médiane : je resterais l'Administrateur de la Ligue Marchande du Nord, et je mettrais ma vie en jeu pour changer un des deux problèmes de l'équation : ma taille. J'engagea ma fortune, et ma vie, auprès de l'Ordo Arcanum : je me proposais en tant que sujet d'expérience, l'expérience devant avoir pour but de me donner taille humaine. Les chances d'échec étaient d'une sur deux ; qu'importe, si je devais mourir, ce serait en essayant de réaliser mes rêves. Inutile de préciser que j'ai survécu à cette épreuve ; par amour, je m'étais damné.

La Ligue Marchande du Nord, amorphe, inerte lorsque je vins à sa tête, repris rapidement des couleurs : mon enthousiasme y était peut-être pour quelque chose, mais je crois que, surtout, il y eut une conjonction opportune, que je saisis au vol, comme tout bon opportuniste l'aurait fait : des individus talentueux, avides souvent, mais convenant à la Ligue surtout, migrèrent dans la région. Je ne tardais pas à les recruter, ou à les faire recruter. Ensemble, nous avons pu redresser la Ligue, ensemble, nous avons pu redevenir le groupe prestigieux qu'il fut à l'époque des Sultar. Tout me souriait ; un soir d'été, je partageais même la folle étreinte, auquel j'ai tant rêvé, avec Mary. Une étreinte inoubliable ; la seule qui me revienne encore en mémoire. Je portais un masque d'arrogance, à cette époque ; je le porte toujours, sans doute. Je devais me gonfler de mon importance, pour ne pas me sentir vulnérable, faible. Je ne devais pas faillir. Je ne faillirais pas.

Je me souviens de tous ces épisodes horribles de ma vie. De toutes les choses mals que j'ai faites. J'ai été enlevé par les cyricistes ; j'ai dû négocier pour m'en sortir vivant. Leur vendre des informations. Avais-je le choix? Oui, ça ou la mort. Mais, à cette époque, j'avais peur de mourir. Et, lorsque la peur de mourir vous tient, aucune liberté n'est envisageable. Je me souviens de l'Inquisition de Fer, et de ma lutte contre. Je me souviens d'Azhal et de la Légion, du viol odieux et de la guerre, du duel de Jerk et de sa mort, du massacre qui s'ensuivit. Je me souviens de la Coalition du Sombre Espoir, des batailles d'Hundelstone, qui ont rasé la ville, de Lorgol, qui ont mis à mal notre empire. Je me souviens du front, du sang, de la douleur : je m'en étais sorti indemne, mais je souffrais, j'avais mal de voir tant d'orphelins, tant de morts, tant de mes amis mourrant, un tel gâchis. Je me souviens de Mortespoir, aux côtés de qui j'ai lutté pour défendre Lorgol, un être qui a trahi Lorgol au nom de Cyric, en tentant de renverser Selfaril ; un coup d'état raté, qui a failli réussir, de peu. Je me prenais à regretter ma vie insouciante d'autrefois, la nuit, seul, dans mon lit. Je me souviens de la mort de Mary, à Belle Prairie, alors qu'elle combattait aux côtés des nains contre les bainites. Je ne leur ai jamais vraiment pardonné, au fond. Je me souviens de mes prières, et de la sensation glacée, froide, qui s'insinuait en moi, petit à petit. Les yeux arides, le coeur sec, je continuais mon chemin. Je reconstruisais Lorgol, les Dix-Cités. Je plaçais des hommes à moi à la tête de certaines des Dix-Cités ; ou des "têtes" de l'organisation bicéphale ; mais je n'en dirais pas plus ici. Nous possédions trois des cités, et nous avions un rôle majeur à Lorgol ; nous surclassions la Confédération Minière des Vaux ; nous surclassions les nains. Nous êtions présent, à Luskan, et même si nous n'êtions pas particulièrement apprécié, un lourd passé d'esclavagistes étant derrière nous, nous y êtions une force avec laquelle il fallait compter. Nous êtions une famille ; c'est ce que je veux croire. Je suis parti un temps, je suis revenu ensuite. Tant d'actions, de rêves, de tensions, une vie palpitante, faites de diplomatie, de stratégie, de politique : l'or, le sexe, le pouvoir, voilà ce qui guidait ma vie, alors.

Je revenais de mes "vacances" auprès de mes racines. Ma famille m'acceptait, même monstrueusement grand : j'étais soulagé. Je retournais à Lorgol, donc, sous le masque d'acier de Lazare de Thay ; je supplantais Tyza Vinya, une talentueuse et ambitieuse jeune femme, Haute Marchande à mon départ, Administratrice à mon retour. Je me replongeais rapidement dans le "grand bain", menant mes affaires à nouveau. La Garde d'Or fut formée à cette époque, à peu près, par Sethaïnal, mon second, en qui j'ai une totale confiance. Je flirtais avec le monde des ombres, mais je préfèrais la vitrine, sans aucun doute : c'était plus "sain". J'ai fait souffrir les "traîtres", je le confesse. J'ai été dur. Mais c'était ce qu'il fallait faire ; c'était mon rôle. J'avais déjà vu un coup d'état ; le Conseil des Lames allait mal ; les intrigues devenaient malsaines ; la situation se dégradait, petit à petit. Je me suis mis à rêver d'un autre Nord, d'un autre gouvernement. J'organisais une trahison. Et je fus moi-même trahi, par le Patriarche de Baine ; ça aussi, je ne le leur pardonnerais jamais. Je fus trahi par tout le monde, j'en étais persuadé, alors qu'on me jetait en geôles, sous la Tour Octane. Emmuré vif. Une mort lente, douloureuse. L'air passait, malheureusement pour moi. J'avais devant moi une carafe de poison, une d'eau. Mourir vite, ou mourir lentement, la résignation ou l'espoir? Je ne pouvais me résoudre à me résigner. J'espérais, toujours. Et mes espoirs ne furent pas trompés. Je remercie ceux venus me sauver ; je taierais la façon, de crainte qu'un jour ce parchemin ne tombe entre les mains des sbires de Selfaril. Une évasion spectaculaire, alors que j'étais au bord de la mort. Le monde des ombres au secours de sa soeur, la lumière. Je pleure la mort de celle qui s'est sacrifiée pour moi ; je resterais à jamais infiniement reconnaissant à ceux qui ont mis leur vie en jeu, pour moi.

Je restais des mois sous Lorgol. Là-haut, le chaos régnait. La garde s'entretuait, des bombes explosaient, des assassinats, des complots, un inconnu prenant le pouvoir, les bainites chassés de Lorgol, la fuite de la Tour du Sombre Espoir, tout se bousculait ; je n'en recevais que quelques vagues échos. L'incompétence de Selfaril, ou ma folle ambition, avait déclenché une guerre civile, menaçant mes frères, mes soeurs, l'empire marchand à qui j'avais consacré ma vie. C'est à cette époque que je m'éclipsais : je ne devais plus être un fardeau, c'était le moins que je pouvais faire.

Tout se brouille, tout se mélange. Guerres, guerres civiles, meurtres, complots, est-ce là ma vie? Je ne crois pas. Ceux qui m'ont cotoyé sont soit morts, soit sont devenus sans coeur. Un goût de cendres, voilà ce que j'ai, à cet instant précis. Il me reste mon immense fortune, imméritée, sans doute. Mais se plaindre ne résoudra rien, jamais. Je veux consacré ma vie à mes anciens rêves : bâtir une communauté halfeline, un jour ; devenir un véritable duelliste. Diplomatie, finesse, rapidité, précision, j'ai tout ça. Mais il me manque le style, l'astuce, la classe. Je me souviens de la façon que Luniel avait de se battre ; ces images restent gravés dans ma mémoire. Je dois trouver mon équilibre, trouver mon Idéal, et tendre vers lui ; devenir meilleur que celui que j'étais hier. Le passé ne peut être nié ; mais au final, seul l'avenir m'intéresse, et m'a toujours intéressé.

J'ai amené avec moi mon ancienne collection de sous-vêtements féminins ; on ne sait jamais, ça peut servir. J'ai emporté avec moi des copies d'archives, pour me remémorer du bon vieux temps. Je me demande ce que devienne Arkenn, Calista, Elis, Armand ou Sethaïnal. Ils ont commencé très modestement, chacun ; puissent-ils bâtir quelque chose de bon, de bien, dans leur vie, contrairement à moi. Mais il me reste plus d'un siècle à vivre, j'ai le temps.

Je vois Eauprofonde, au loin. Le temps de ma renaissance est venu.

réactivation du Pj ?

Citation :

Nom du compte joueur: Le_Scribe

Nom du perso: Hog Prébrûlé

Race: Halfelin pied-léger

Age: 33 ans

Alignement: Chaotique neutre

Religion: Brandobaris/Mask/Tymora

classe(s): Roublard 15/Bretteur 10

Arme de prédilection/domaines/école de magie: Rapière

Trait de Caractère: audacieux, il l'est toujours, indubitablement. Espiègle, il l'est devenu un peu moins, bien qu'il soit resté aussi impulsif que dix ans auparavant. La mélancolie est un nouvel élément de son caractère, ce trait lui ayant été totalement étranger par le passé : les évènements tragiques dont il a été le témoin, et l'acteur, lui ont fait découvrir la nostalgie, la peine, la douleur.

Description physique : 1 mètre 70, 62 kilogrammes, cheveux noirs, yeux d'un noir de jais, la peau bronzée, le visage fin, les traits tirés, il n'a plus de favoris

Langues parlées : commun, halfelin, langages des signes

Caractéristiques :
FOR : 12
DEX : 26
CON : 10
INT : 14
SAG : 8
CHA : 10

Je me suis acheté une demeure spacieuse, à Eauprofonde. Une des salles est aménagé en bibliothèque ; une en salle à manger ; une en chambre ; une en salle d'escrime ; une en salle de bain cossue ; une dernière en salon confortable. Je ne compte pas la cuisine et la cave. Mes journées sont pleines d'activité : escrime tout les jours, encore et encore, apprenant l'art du maniement de l'épée : la garde, la sixte, la tierce, le corps tendu, toujours, prêt à réagir ! La pointe vers l'adversaire, toujours. Très académique, pour le moment ; je me déplace avec aisance, par bond avant ou bond arrière, n'hésitant pas à me retirer ou à fendre, à double fendre ou à feinter l'adversaire ; j'enchaîne les flèches, pour me perfectionner, encore et encore. J'ai parfois l'impression que tout cela est inutile ; je suis déjà entraîné. Mais je dois rester vif, ne pas me laisser aller. Et puis, un peu d'exercice ne fait jamais de mal ! La difficulté fut de me trouver un maître, un mentor capable de m'enseigner quelque chose ; je n'en ai pas encore trouvé. Je m'entraîne sur des humains arrogants, n'ayant jamais vu quelqu'un mourir, n'ayant jamais mis sa vie en jeu. C'est mieux que rien. J'esquive, je pare, j'attaque, et le tour est joué.

Je crois néanmoins avoir compris quelque chose : certains utilisent leur force brute, pour donner de la vitesse à leur arme, et devenir ainsi plus difficile à parer, d'autres utilisent des armes légères et leur reflexes ; je suis de cette seconde catégorie. Mais j'appartiens également à une troisième catégorie : utiliser ses reflexes est une chose, utiliser sa tête en est une autre. L'art de l'épée consiste non seulement dans le fait d'acquérir l'endurance et les reflexes nécessaires, mais aussi le sens de l'analyse, la rapidité de reflexion nécessaire pour percer la défense adverse, et comprendre ses intentions avant qu'il n'attaque, pour mieux parer ou esquiver. Pour cela, il faut avoir ce que j'appellerais une lecture "corporelle" : lire dans le corps de l'ennemi. Le pied avant et le talon perpendiculaire, les jambes légèrement fléchies, je m'avance avec rapidité et précision, je vois que l'ennemi va tenter une feinte sur le côté droit ; j'utilise moi-même une feinte, lui faisant croire que je tombe dans son piège ; au dernier instant j'esquive, frappant du talon au sol pour surprendre l'adversaire, et profiter de cette infime instant de surprise pour pencher mes épaules en arrière, évitant sa lame, et je riposte dans l'ouverture béante offerte, l'adversaire ayant le bras tendu, la lame dans le vide ; il ne me reste qu'à tendre le bras, lui doit ramener son bras, tourner son poignet, ainsi que son corps dans ma direction ; c'en est fini de lui. Une simple lecture corporelle, et on peut aisément esquiver, parer et contre-attaquer : c'est là tout le plaisir de ce jeu.

Néanmoins, il me fallait devenir plus fort. J'étais parvenu à l'apogée de ma capacité d'analyse corporelle ; je ne pourrais m'améliorer de ce côté-ci ; grâce à un entraînement intensif, j'étais parvenu à devenir plus vif encore qu'auparavant. Je m'adonnais également à des exercices de contorsion : j'avais acquis une souplesse extraordinaire de cette façon. Mais il me manquait quelque chose, quelque chose qui ferait que je me reconnaîtrais dans ma façon de combattre ; une façon de combattre bien à moi, avec mes propres parades, mes propres attaques, "l'esquive basse Prébrûlé", ça sonne bien ! Je me remémorais la façon de se battre de Luniel, d'Armand, de Sethaïnal ou encore de la Maîtresse des Ombres ; je les visualisais ; chacun avait sa propre façon de faire : je ne comptais pas les copier : le premier combattait de façon esthétique, précise et mortelle, chaque coup ayant un sens, un but ; le second avait une façon de combattre frontale, directe et brutale ; le troisième était aussi direct, mais se battait de façon plus..."stratégique", invitant l'adversaire à commettre les fautes qu'il désirait, pour pouvoir frapper fort ; enfin, la dernière ne se battait que sur son terrain, soigneusement préparé, tout dans la minutie, l'efficacité. Je devais m'inspirer : être agile, précis, stratège, avec de l'esthétisme, tout en restant efficace. Je reflechissais longuement à la façon de me démarquer, de devenir "unique". Pour cela, il me fallait savoir qui j'étais, ce que je voulais, pourquoi j'existais. En sachant cela, je pouvais découvrir ce qui fait ma force, et où sont mes faiblesses : je pourrais ainsi adopter un style qui exploiterait ma force, la sublimerait, transcendant ainsi mes faiblesses.

J'en suis là, à présent. Je m'interroge ; et lorsque je me sens sur le point de perdre la raison, je me détend en allant dans une quelconque soirée, une quelconque fête, m'amusant à discourir, à railler, à m'inventer une identité, à raconter des histoires vraies, ou des histoires crées de toutes pièces : je me sentais vivre, ainsi.


(Oui, je le réactive, pour le faire valider bretteur ^^)

Tu veux passer en évolutif Bretteur ?

(Ouaip, je le ferais revenir pour se ressourcer, se retrouver, et atteindre l'apogée de son art, donc évolutif, ça serait bien ^^)

Peux tu developper une ou deux bottes martiales ou insister un peu plus sur l'aspect bretteur et ensuite je te passe en évolutif.

La veille de son retour à Luskan, Hog Prébrûlé s'en allait joyeusement boire un dernier verre dans un bar mal famé des docks aquafondais. Là, il se retrouva au coeur d'une sombre affaire d'insultes, le terme macaque revenant souvent sur les lèvres, qui entraîna une bagarre : quatre individus armés contre le joyeux Hog, éméché par la bière (de Luiren, naturellement). S'ensuit un extrait de la dite bagarre :

Quatre ennemis, un armé d'un pied de chaise, un d'un couteau, un autre d'une chaîne -où diable l'a-t-il dégotté?- et le dernier de ses seuls poings. Ils me cernent ; deux dans mon champ de vision, deux dans mon dos. Celui armé du pied de chaise et du couteau en face de moi ; celui à la chaîne derrière moi, à ma gauche, l'autre à ma droite. Je suis debout sur une table ; il faut les laisser venir à moi, et commettre une erreur. S'ils viennent tous en même temps, je suis fichu...à moins que...

-*Brute* Une seule fois j'ai rencontré plus lâche que toi
-*Hog* Il a dû t'apprendre tout ce que tu sais
-*Brute* Maintenant, je connais la laideur et la stupidité *en le toisant*
-*Hog* Je vois que tu as passé du temps chez tes parents



Comme prévu, cet idiot au pied de chaise me fonce dessus ; il me lance le pied de chaise ; je me penche sur le côté, alignant mes épaules pour donner le moins de surface possible, une chope dans une main, une bouteille dans l'autre ; il me fonce dessus ; je bondis, faisant un saut périlleux pour la forme ; je retombais sur mes pieds, il était dans mon dos, buttant contre la table ; je lui brisais la bouteille sur le crâne sans me retourner, jettant mon bras en arrière ; le second s'était précipité sur moi, détendant son bras avec énergie une fois à portée, frappant de toutes ses forces...en vain, ayant pivoté sur mon pied droit, en penchant mon buste légèrement en arrière, évitant le coup. D'un ample geste circulaire, du bas vers le haut, j'assene un coup du cul de sa chope, venant cueillir la brute au couteau au menton ; je me laissais tomber sur le genou gauche, tandis que notre ami à chaîne venait porter secours à son confrère à moitié sonné et à l'autre assomé ; je fis un roulé-boulé sur l'épaule, évitant les épais maillons, qui fondirent à l'emplacement exact où je me trouvais une seconde plus tôt. Les autres clients de l'auberge regardaient, formant un cercle tout autour, les paris allaient bon train ! Je me relevais, trois mètres plus loin, époussetant ma chemise de soie.

-*Hog* Je suis ici, mon gros
-*Brute à la chaîne* Aujourd'hui j'ai tué douze quidams, tu vas être le prochain
-*Hog* Vu ton ventre, tu as dû les manger
-*Brute à la chaîne* Grrr...C'est du muscle ! J'ai des muscles à des endroits dont tu n'as jamais entendu parler !
-*Hog* Dommage que tu n'en aies pas dans les bras *sourire narquois, tout en s'inclinant bien bas, imitant une révérence, balayant le sol d'un chapeau imaginaire*

Il me fonce dessus, comme prévu ; il vient au corps à corps, abandonnant sa chaîne, ce gros imbécile : il perd sa portée, aveuglé par la colère, comme prévu. Je me jette en arrière, me réceptionne sur les mains, mes pieds venant le cueillir au menton, puis j'appuie sur mes bras, profitant de l'élan, pour me rétablir sur mes petits petons. Un flip, comme on dit en halfelin ; il tient encore debout, assénant un coup de pied bas : saut carpé, flip saut carpé ! Belle enchaînement ; je retombe sur mes pieds ; je m'accroupis ; je fais un saut de tête, évitant un coup au passage, pour me retrouver sur le côté du gros furieux, je lui assène un coup des deux pieds dans la face, profitant ensuite de l'élan pour plonger par-dessus son corps qui s'effondre, exécutant, tranquillement, mon second roulé-boulé. Je ramasse le couteau, tranquillement, sur le type assomé à côté de la table ; la foule m'acclame, je salue la foule d'un signe de tête et d'un sourire charmeur. Quel talent. J'écarte mes jambes, me campant fermement sur mes pieds. Celui au pied de chaise avait repris ses esprits ; celui au poing était resté à distance. Je n'avais pas le droit à l'erreur, je voulais être beau, pour mon départ. Deux vaincus, deux restant.

-*Hog* Les gars, on fait la paix? Non? Je vous fais un bisou, si vous voulez
-*Brutes* Va au diable !

J'adoptais une position de défense basse, le buste droit, le talon arrière perpendiculaire au pied avant, couteau vers l'adversaire, un bras dans le dos. Il me fonce dessus ; une ouverture au flanc, une autre au genou droit, une autre à la tête. L'embarras du choix, décidément. Je bondis en arrière, me mettant debout sur une chaise, le pied avant sur le dossier ; il vient à moi ; légère pression du pied avant sur le dossier, la chaise se renverse en avant ; je plonge moi-même en avant, accompagnant le mouvement de la chaise, lui assénant un coup de couteau à la main tenant le gourdin improvisé ; un petit saut de l'ange comme je les aime. Je me redresse, ne me retourne pas ; il crie ; il n'osera pas continuer. Je fixe mon dernier adversaire. Position de défense basse, à nouveau. Je lui souris. Clin d'oeil. Je me penche en avant, sans le perdre des yeux ; je pose mon couteau au sol ; je l'envoie de côté d'un petit coup de botte. Il est mal à l'aise, limite terrifié : il ne s'attendait pas à tant de confiance en soi. En un contre un, je ne risque plus rien, même à mains nue, vu le niveau de l'adversaire. La parole est parfois une arme plus utile que la rapière, que j'ai laissé chez moi à l'occasion. Il hésite encore ; il fuit. Ses amis ne se font pas prier. J'ai gagné ; je paie ma tournée générale ; je répare les dommages collatéraux au tenancier. Encore une soirée bien animée ! Je lance un clin d'oeil à la serveuse, au passage...Elle me sourit...Mmm...La soirée risque vraiment d'être animée.

(Est-ce suffisant? :p J'peux commencer son "journal" depuis son retour, même dans la partie en cours, tout en répondant à tes attentes?)

Ca suffit pour te passer en évolutif. Continue à poster son évolution, journal toussa

Luskan n'a pas changé. Toujours avec autant de problèmes, quoique ceux-ci soient moins apparent, plus en "profondeur". Peu m'importe, je ne participerais plus aux guerres ; la violence inutile me dégoûte.
J'ai commencé mon oeuvre ; je commence à refaire parler de moi. Ma réapparition ne devrait pas gêner, étant lié à Selfaril, son successeur et d'autres éléments qui sont morts ou qui sont partis.

Un livre est en cours d'écriture sur moi. Je dois admettre que côté discrétion, il y a mieux ; mais je n'ai pas pu résister à l'honneur fait. La gloire a ses avantages, et je dois la retrouver au plus vite, tout en restant indépendant. Dame Isiolia m'a offert en avant-première son oeuvre, je ne résiste pas à l'envie de recopier ce qui a été dit sur moi :

Citation :

Hog prebulé ..histoire du nord



Le début :

Début d’une vie un peu sombre
Mendiant un peu voleur un peut moins qu’une ombre
Un halfelin collectionneur de petite culotte
A sa particularité sont hobby rien n’ôte

Le hasard lia hog a sont entourage
Existence de survie pas de rage
L’amour et étrange il lui apparut
Elle s’appeler mary et dans sont cœur plus jamais le désir se tu

De cette étincelle dans le ruisseau
Naquit une rivalité et l’amitié ancienne tombât a l’eau
Jerk et hog dos a dos

L’amour enflamma le petit homme
Mais la race se dressait entre eux comme une lame
Elle guerrière demi elfe au cœur de perle
Lui petit halfelin habile comme le merle

Le destin d’hog changeât un soir
Quand l’astre lunaire apparut dans le noir
Il s’appelait luniel prince des voleurs
Et entre eux s’installât une amitié sans leurres

Du caniveau au palais marchands
De la mendicité a marchands itinérant
La route de la vie guidât hog
Dans une ville appeler lorgol

Palais marchand

L’ancien mendiant devint rapidement maître en sont art
L’élevé dépassât le maître et pris sa part
Une vérité bien placée à la personne voulut
Et hog s’élevât a perte de vue

Hog devint haut marchand
Et a sont destin lia deux enfant
Fitz et jean orphelin
Leçons, nourriture et parfois amour aux enfants de lin

Murmure des lames dans les rues
Destins ambitieux et voulus
Ombres guettant les ombres c’est certain
Ascensions foudroyante du jour au lendemain

D’administrateur a la tête de ligue
L’ascension de hog a la vitesse d’une gigue
Mais le vent de la bataille souffler dans le nord
Et une guerre aller faire couler sang et or

Hundelstone

Un petit village perdu dans les montagnes
Un bout de terre lieux de duel et de hargnes
A une heure ou templier et louve regardèrent le nord
Une guerre éclatât dans le froid et l’horreur

Le sang de nombreux esclave coulât
Et aux portes de la ville l’épidémie arrivât
Mais l’alliance de la ville de montagne tenue bon
Les remparts protégeant nain templier et autre comme un don

Le nord se leva contre cette menace
Velsharonite ,malarite et loviatar firent face
Dans leur forteresse l’alliance se préparât à l’assaut
Et une aube sanglante se levât assez tôt

La ou les armes furent briser
Les bainite attaquèrent d’une manipulation oser
Et proposèrent a l’ennemie une paix en échange de la cité et de leur départ précipité
Tempusien et veilleur trouvèrent l’arrangement correcte et partir sans se faire prié

Sous une pluie de tomate et d’ordure offert par leur ancien allier
L’épée de tempus et le drapeau des veilleurs partir crotter
La haute louve et sont amante restèrent dans la citée assister par les nains
Malgré cela la ville était fortifiée et ces défenseurs se tenez main dans mains
---
Les servant de velsharoon un dracoliche invoquèrent en secours
L’armée du nord forçat l’entrée et sous le flot des flèches entrèrent dans la cour
Ce fut un massacre sans bornes
Une tuerie hors normes

Le chant de bataille fut couvert par le bruit de cor étranger
Une horde d’orc balayât les restes des deux armées
Un defaite pour les deux camps
Et l’annonce des premiers pas de la sombre coalition dans le temps

Une guerre qu’elle resultat

Ruine d’une alliance templier vielleur, mis a mal face au combat
Beaucoup de sang de mort
Et hog ou était t’il dans le nord ?
Il attendait refusant d’user de ces forces pour une place forte qui avec le temps deviendrait leur, avait t’il tord ?

La sombre coalition

Coalition du sombre espoir
Géant du froids, kobold, orc et gobelin flambeaux noirs
Ce fut le début d’une guerre longue avec la région
Et encore une fois les morts furent légions

Tous souffrirent
Luskan faillit se faire envahirent
Et lorgol par deux fois fut toucher..
Et le cœur de la citée devint un instant un bûcher

Hog dans ce combat ne fut épargnée
Mary combattait à ces cotés
Sombre et blesser
Mary et jerk roucouler
Et la ou tous le monde la victoire feter
Hog des larmes amer pleurer

La legion

Le temps continu sont chemin
Et la folie de la jalousie avait marqué ça main
Hog doucement recruté tyza et sethainal
L’avenir reprenez une teinte de miel

Magie sombre de l’ordo arcanun
Fit d’un halfelin un homme
L’avenir vu de haut
Hog voulut rajouter la légion a sont lot

Les choses se précipitèrent
La légion des loups noirs accouchèrent
Azhal et d’autre sombre métamorphose
Un enlèvement pour une rançon

La jeune elfe enlevée
Vit sont innocence a jamais défloré
La jeune fiancer de jerk vit sont destin a jamais brisée
Sang et de déception
Un plan bien huilé qui échoue dans le fond
Cela marquât le début d’une longue guerre entre la ligue et la légion

La fin de jerk

Un mois de chasse
Sur un pont ils se jetèrent un défi .. Une impasse
Jerk et azhal combattirent
Le combat prie fin la vie de azhal faillit finirent

Mais dans l’ombre cassandra crow veiller
Et d’une lame dans le dos jerk finit par être tuer
Ils prirent la fuite immédiatement
Et hog faisait partie du groupe les traquant

L’ancien halfeline fut blessé
Mais d’un heaumite fut aider
Le traînât sur le coté de la route
Et le perça de sont épée avec un regards brillant de nul doute

Frapper par l’inquisition de fer , hog reposé sur le cotée la peaux bleuis
Jerk rejoignit la tombe a jamais trahi
Mais la seconde bataille de lorgol approcher
Et personne pour jerk n’eut le temps de prier

La seconde bataille

La coalition refit parler d’elle
Et au nord coupât ces ailes
De sa base elle visait les environs
Hog fut designer avec elinah de velsharoon pour faire front

Etrange alliance du sud et du nord au qu’elle rien ne manquer
Le jour venait d’arriver
Les gens de lorgol tenez le siège
Tandis qu’a revers le sud tender le piège

Hog et mortespoir de front
Fitz et jean sans langue de plomb
Mortespoir marquer de mikrul dirigeant de la ville
Hog prebulé lame de lorgol près à défendre sont île


La bataille fit rage dans les bas quartiers
Les murs d’enceinte avez cédé sans pitié
Hog armer de ces pièges frapper
Tandis que beaucoup d’autre succomber

Quand vint la retraite
Mortespoir et hog durent tenir la ruelle traite
D’une baguette de feu l’ancien halfelin
Semât la mort dans le rang des ennemies autant que dans celui des pauvres qui était siens

Sous second rempart la victoire par lorgol fut emporté
Mais a qu’elle prix lorgol ne fut que ruine ensanglanter
Hog était un des seuls à s’en être sortie indemne
Et les bas quartiers avaient eut leur lot de peine

Note : voici la fin de la première partie de l’étoile du nord l’histoire d’une vie et d’une ville au qu’elle j’espère ajouter d’autre témoignage.
Le livre ne fait que dévoiler la vérité sur un mendiant devenus seigneur, un halfelin devenus grands.. Sont âme n’est pas exempte de tache mais ce n’est pas a moi de juger je doit juste écrire la vérité.

La seconde partie devrait bientôt arriver, et faire d'autant plus fureur. Il ne me reste plus qu'à rappeler leur passé à la communauté elfique, mon engagement à créer un bosquet druidique auprès d'Ainorë il y a de ça bien longtemps et mon rôle pour venger une des leurs.

J'ai commencé mon acquisition de nouveaux clients ; je leur en ai mis pleins les yeux, ils ont la bave aux lèvres...Et leur bourse vide, pour le moment. Mais j'ai donné un sens à leur vie ! Acquérir les produits Hog Prébrûlé. Je suis parti en reconnaissance dans les alentours ; j'ai trouvé une salle d'entraînement parfaite. Il ne me reste plus qu'à trouver un partenaire pour m'entraîner. Je songe également me trouver un garde du corps. J'ai fait poser les affiches suivantes, à grand frais, à Luskan, dans ce sens :

Citation :

Tu cherches la gloire? La fortune? Tu lis la bonne affiche !

Hog Prébrûlé, grand héros du Nord, t'offre ses services de tuteur ; si tu désires apprendre les ficelles du métier de marchand ; si tu désires apprendre les bottes d'escrime ultimes ; si tu désires apprendre à manier la rapière comme un dieu ; si tu désires apprendre les secrets de la réthorique ; si tu désires en savoir plus ! N'hésite pas à le contacter, à Luskan.

Hog Prébrûlé, marchand itinérant, peut également vous proposer des marchandises d'une exceptionnelle qualité, si ses services de tuteur ne vous intéressent pas. Bijoux, armes, vêtements fins, potions, parchemins, baguettes, bâtons de mage, pierres iouns, gemmes de lumière, il peut également changer votre or en pierre précieuse !

Si tu es un gros bourrin, que tu aimes cogner, mais que tu aimes encore plus être payé, Hog Prébrûlé cherche un garde du corps à son service exclusif.

Vous le reconnaîtrez aisément, futurs élèves, clients ou gardes du corps : vêtu d'une fourrure d'un jaune à la beauté exquise et d'un chapeau à l'exotisme rafraîchissant, il vous attend à Luskan.

Merci de votre lecture attentive.

Je vous aime.

Il ne me reste plus qu'à convaincre Juju de m'affronter en duel, pour que je puisse apprendre "sur le tas" quelques techniques de combat elfique. C'est fourbe, mais nécessaire à mon apprentissage. Je cherche d'autres individus ayant le profil que je souhaite, pour pouvoir m'inspirer ; je les noterais ici pour aider ma mémoire défaillante.

De nouvelles journées, de nouveaux évènements. La guerre civile approche ; peu m'importe. Les humains, les elfes ou les nains veulent tous tirer leur épingle du jeu, je le sens bien. Ca se tire dans les pattes. Mais ça ne me regarde en rien, j'ai bien assez joué à ce petit jeu-là pour savoir, qu'au final, on y perd des plumes. La gloire s'acquiert en accomplissant ce qui mérite d'être écrit, et en écrivant ce qui mérite d'être lu ; je compte écrire moi-même l'histoire du Nord, mon histoire, et l'histoire des évènements se déroulant. Je souhaite agir de façon héroïque, sans mettre ma vie trop en danger, néanmoins. Et une nouvelle étape vers le renom et l'excitation face au danger a été franchi hier.

Je vendais mes armes, comme à mon habitude, quand je vis un garde m'approcher. Remballant à la hâte ma marchandise, je me fis passer pour un vendeur de fruits, filant à l'auberge. Là, je trouvais un client en or, qui me permettra de faire savoir à tous que je suis le meilleur marchand de Faerûn. Rien de bien excitant, au fond, les petites affaires qui reprennent....A ce moment là, une dizaine de gardes déboulent dans la salle commune de l'auberge de Garfaux. On se dirige vers moi. Ca sent le roussi. Je reste calme. Je regarde le chef de la garde droit dans les yeux.

-On m'a dit que vous vendiez illégalement des armes.
-Mais non, je ne vend que des fruits...Regardez...



Je met alors ma main à ma ceinture, prenant un des multiples petits sachets y étant accroché. J'ouvre le cordon.

-Du raisin...Voyez donc.

Puis je jette le sachet en l'air ! La poudre se disperse, retombant sur moi, dans mes cheveux, sur mes vêtements...Et je disparais de la vue des gardes ! J'en profite pour fuir agilement, à pas de loups, me dirigeant vers la sortie. J'ai le temps de filer, en évitant les patrouilles, jusqu'au Nord, profitant du passage d'aventuriers pour me faufiler, invisible, l'air de rien. Je dois être recherché, à présent, mais peu m'importe : ce n'est que la sixième évasion depuis que j'ai pour la première fois mis un pied dans la région. Ca doit jaser dans les chaumières. C'est ce que j'appelle une évasion classe.

Contraint de fuir Luskan, j'erre en forêt...Quand je tombe sur Juju'Endel qui court vers l'Est ; je le suis, naturellement. Il sonne du cor : les malarites et bainites attaquent ! Quelle horreur !...En fait, je n'en ai rien à faire, je n'ai pas grand chose à voir avec eux, ils font ce qu'ils veulent tant qu'ils ne s'en prennent pas à moi, et tout le monde sera content. Je regarde de loin ; je les vois se séparer ; ça sent mauvais. Se séparer, c'est se condamner à une mort certaine. Je préfère m'évanouir dans la nature, le temps que ça se calme : je ne peux affronter seul une dizaine d'ennemis aussi redoutables. Question de bon sens.

Plus tard, une fois les choses tassées, je sors de ma cachette. Je file à Luskan, sous un autre déguisement. Je conclus une excellente affaire avec "Cap'taine Arkenn", je ramasse un message m'apprenant qu'on veut devenir mon élève, je reçois quelqu'un voulant devenir mon garde du corps puis je file. Je suis à présent dans ma planque ; j'en taierais l'emplacement exact ici. J'observe, et j'attend le moment opportun pour débarquer, et sauver Luskan...je me vois bien, me balançant au bout d'une corde, à passer à travers une vitre pour débouler dans la salle où se trame le terrible complot qui pourrit Luskan de l'intérieur, dégainant mes rapières pour combattre deux gardes ! Enfin, ça ne se passe jamais comme prévu...La prochaine fois que j'écrirais ici, nous saurons si j'ai réussi...ou échouer.