[Disparu][bretteur/roublard][H]Adrian

Nom du compte joueur forum : Khev

Nom du compte joueur module : DariusPriest

Nom du perso : Adrian

Race : Humain

Age : 17 ans

Alignement : chaotique bon

Religion : Tymora

Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : roublard 10 /Bretteur 15

Arme de prédilection : Rapière et épée courte

Langues : humain

Trait de Caractère :
Adrian est assez solitaire depuis la séparation avec son maitre. Peu enlun à parler de lui-même à cause de son passé, il a toujours une peur enfouie de se faire enfermé en prison. Il accorde sa confiance sans se presser, mais n’hésite pas à aider les inconnus s’il le faut. Si en plus il paye un petit quelque chose histoire qu’il puisse manger, c’est parfait. Adrian est assez sérieux et ne se bat jamais à la légère quand le combat est sérieux. Il déteste les injustices, et les faux semblants. Dans sa ville natale, les gens se targuaient de prier Tyr, mais uniquement pour punir les voleurs … sans prendre conscience que certains volaient pour leur survie. Il déteste les riches et les nobles qui étalent leur richesse sans aider les autres. Même si lui n’a pas grand-chose, il partage le peu qu’il à avec ceux qui sont dans le besoin.

Description physique :
Adrian a donc 17 ans. De taille moyenne pour un humain, il a des yeux bleus et des cheveux blonds. Il est assez musclé pour son âge mais n’en garde pas moins une souplesse et une dextérité assez remarquable dans ses gestes. Il arbore tout le temps deux lames à sa ceinture. Une rapière à gauche, avec une poigné assez ouvragée en argent, et une épée courte, toute simple.



Caractéristiques :
FOR : 15
DEX : 15
CON : 12
INT : 14
SAG : 10
CHA : 10

«- Oh voleur ! Oh voleur ? !
- grouille toi, on va se faire chopper, tourne la !
-c’est un cul de sac ! C’est la dernière fois que je t’écoute
-mais non, regarde, la planche …vite, vite »
Ainsi, deux garçons s’enfuirent avec leur butin dans une ruelle, décalant une planche avant de la remettre en place, pour finir par descendre dans les égouts.
«- tu vois, on s’en est sortie !
-fais le malin Adrian, fais le malin, n’empêche que ça devient de plus en plus dur de voler… dés qu’on sort, la moitié des gens nous repère.
-Bah, forcément, des voleurs à Daerlune … ça fais pas long feu … ça fait 3 mois qu’on tient, donc tu penses, on bat des records, du coup, tout le monde fait attention. Enfin, dépêche avant qu’ils comprennent qu’on est la.*
-ça te va bien de dire ça, on peut plus sortir dehors, à chaque fois on est poursuivi ou on nous reconnaît ! On reste dans les égouts tout le temps … avec les rats !
-eh qu’est ce que j’y peux moi ! C’est pas de ma faute ! c’est la vie qu’est comme ça, on a plus de parents, personne pour nous accueillir, et plutôt crever que d’aller à l’orphelinat, j’ai pas envie de devenir un larbin pour les nobles et me faire exploiter à faire le ménage et le reste.
-C’est peut être mieux que cette vie, condamner à se cacher, au moins on aurait un toi, et on aurait a manger !
-tu veux qu’on reparle de ce qu’on a vu y’a deux jours ? Les mômes comme nous, on sert, et âpres on nous jette. Ça se dit prier Tyr, mais c’est juste pour tuer tout les voleurs … sont trop cons pour comprendre …
-je suis sur que si on fait attention, si on sert bien, on peut être tranquille …
-pas moi …
-et tu va vivre toute ta vie comme ça ? Enfin …. Si tu ne te fais pas chopper …
-nan, je partirai, dés que je peux, je pars, et puis je deviendrai un grand guerrier comme celui qu’on a vu depuis le toit hier, tu sais le capitaine de la garde.
-ouais … tu veux devenir comme notre pire cauchemar …
-non mais à part qu’il est con, il se bat super bien… moi en plus, je serai intelligent !
-parait que les gens disent que c’est un betteur … il est peut être bête effectivement.
-bretteur … rha la la enfin… mange, on va changer d’endroit pour dormir après. »

Deux enfants qui dormaient dans les égouts …bientôt, un seul resta, l’autre en avait assez de cette vie, il tenta sa chance en servant les nobles… seul restait Adrian, 7 ans.

Daerlune, la plus grande ville proche du Cormyr, et la plus dangereuse aussi, du moins pour les voleurs : Les richesses de la ville proviennent de sa proximité avec le Cormyr, mais les aventuriers, et les voleurs sont loin d’être les bienvenus la bas. Les cachots municipaux sont bourrés de tout les miséreux, les malfrats…

Finalement, Adrian n’en pouvait plus, c’est dur de vivre seul, en fuyant tout le temps … après avoir chipé quelques provisions, il s’esquiva de sa tanière sous terraine, pour se diriger vers l’ouest, vers le Cormyr….

La route fut assez difficile, à 7 ans, c’est un peu normal … après la première journée et l’épuisement de son stock de nourriture, l’enthousiasme de l’enfant ne tarda pas à être réduit à néant. Finalement, il continua de marcher encore le lendemain et le framboisier trouver au bord de la route fut comme une bénédiction pour lui lorsque le soleil se couchait. Encore une demi journée … et il tomba d’épuisement et de fatigue … pourtant, dans les récits des bardes dans les tavernes, quand il écoutait discrètement, l’aventure, ça semblait être merveilleux … mais la vivre était une autre histoire.

Il se réveilla et manqua de tomber … de cheval ! Hein quoi ? Mais il était ou la ? On l’avait arrêté ?
L’enfant avait été trouvé sur la route par un barde qui f aisait route vers le Cormyr aussi.
Apres un temps d’affolement, Adrian comprit qu’il s’éloignait de la ville maudite de sa naissance, et il se laissa porter par le cheval, ne discutant pas trop avec son sauveur.
«- eh ben, t’es pas avars de merci pour ton sauveur gamin … t’as un nom au moins ?
-Chai pas, j’ai oublié
-Ha ha ha, t’es un petit malin toi, à en juger par ton état, tu serais dans de beau drap si j’te ramenais en arrière … alors met y du tient, qu’on fasse au moins bonne route
-… Adrian…
-Ah ben quand même ! Enchanté, moi c’est Ronan, barde itinérant. J’en ai un peu marre de la Sembie, c’est rempli de grincheux vers l’est et de faux cul vers l’ouest … et toi ? T’a fugué ? Ils sont où tes parents ?
-J’en ai pas … j’en ai jamais eut … fin, je m’en souviens pas , mais je part aussi …
-Et t’a un but ou tu t’en remets à Tymora ? Remarque elle t’a déjà bien aidé la …
-Bah … je veux être un grand guerrier ! Un bretteur hors pair !
-Oulla … rien que ça … va falloir que tu te remplume un peu s’tu veux mon avis …
- ben donne-moi à manger !
-hé hé, tu ne manques pas d’air, c’est bien garçon … on va faire un marché …
-quel genre ? … je vous préviens, si c’est de cirer vos pompes et faire le ménage, je n’ai pas envie d’etre un esclave …
-hé gamin, on n’a pas toujours ce qu’on veut dans la vie… tu veux à manger ? Tu veux apprendre à te battre ? Ben va falloir apprendre, et travailler … et en échange, tu va m’aider.
-vous aider ah ? Et qui me dit que vous savez vous battre d’abord ?
-bah … tu verras bien si c’est intéressant ou pas
-…. Ouais … on verra »

C’est ainsi que pendant 8 ans, le jeune Adrian devint l’apprenti de Ronan. Les débuts furent assez difficiles, le garçon ne voulant en faire qu’a sa tête, ce fut dur pour lui de se plier aux exercices du barde.
Il pensait le cheval, le brossait, portait un sac et marchait à coté jusqu'à l’épuisement, subissait des corvées dans les auberges, en étant désigné volontaire pour faire la plonge, et récurer le sol, et puis il y avait les leçons d’écriture … à la plume, avec des mouvements souples de poignets, sans toucher la tablette et des deux mains ! … mais à quoi cela servait d’écrire pour se battre , et de savoir le faire de la droite ou de la gauche ? L’entrainement martial n’arrivait pas, et le jeune homme s’impatientait, mais il mangeait bien … pourtant au bout de trois mois, il était impatient. Ronan lui fait une démonstration de son talent d’épéiste … et le jeune Adrian en resta bouche bée … les trois jours qui suivirent, le jeune homme sautillait partout, encore plus impatient de commencer, mais ne doutant plus de son maitre.

Les leçons d’écriture se transformèrent en leçon de vocabulaire, sans pour autant négliger l’écriture, le jeune homme recopiant les bases et les termes techniques de l’escrime dans un livre vierge que lui avait acheté le barde. Voici un extrait de ce livre.



La distance :

Dans le combat, la notion de distance est essentielle. Il en existe plusieurs
La hors distance :
Les combattants sont hors distance quand ils doivent se rapprocher pour croiser le fer. L’espace de combat n’existe pas.

La longue distance :
Cette distance est celle de l’escrime sportive, ou les adversaires doivent se fendre pour croiser le fer ou porter une attaque.

La courte distance :
La distance d’un allongement de bras sépare les combattants.
La distance de corps à corps :
A cette distance, le combat résulte plus du combat à mains nues.

Il est nécessaire pour être un bon bretteur de jouer sans cesse sur ces 4 distances et de ne jamais rester statique.



Le moment de l’attaque

Il existe trois types d’attaque :
L’attaque sur la préparation, c'est-à-dire avant l’attaque adverse.
L’attaque en opposition, donc pendant l’attaque adverse
Soit âpres l’attaque adverses, une riposte, qui suppose l’utilisation d’une parade ou d’une esquive.

Le rythme
Etre bretteur, c’est avoir un certains sens du rythme dans les combats, et enchainer les tempos d’attaques … lent, rapide, lent, rapide.

L’équilibre
L’équilibre est une base essentielle de l’escrime. Les moments de déséquilibre de l’adversaire sont à privilégier et il ne faut soit même pas être dans cette situation. Pour limiter les risques, il est nécessaire de privilégier des petits déplacements légers et rapides.

L’à propos
C’est la faculté de voir, créer, ou sentir le moment d’une attaque. Il faut bien observer son adversaire pour le comprendre et anticiper ses gestes. L’à propos, c’est ça, l’anticipation. Pour l’acquérir, il faut de l’entrainement, du temps, de l’observation, et de l’expérience.



Les attaques

On distingue deux grandes familles d’attaques :
L’estoc, c'est-à-dire un coup avec la pointe de la lame
La taille, donc un coup avec le tranchant de la lame.

Il est possible aussi de nommer les attaques par les intentions tactiques, simple, composée, ou feinte, ou encore par le lieu de l’attaque.
Dessus
Dehors Dedans
Dessous



La défense

Il existe trois grands systèmes de défense :
Le premier basé sur l’attaque
Le second sur la rupture du combat. Faire une rupture, c’est se soustraire à l’attaque ennemie, soit par une esquive, soit en jouant sur la distance
Et le troisième sur la parade. Parer c’est bloquer la lame adverse, mais ce n’est surtout pas attendre que celle ci débute. C’est la qu’il faut un bon à propos.



les déplacements
Ils sont désignés par la direction suivant un cercle.



Les déplacements, comme on l’a dit pour l’équilibre, doivent être de faibles amplitudes, et rapide. En effet, pour un déplacement de grande amplitude, le temps de transition est plus long et il est plus dur de réagir puisqu’instinctivement, on cherche en premier à rétablir son équilibre. Les déplacements s’effectuent les jambes fléchies. Les pieds doivent raser le sol, mais surtout pas le toucher. Trop lever le pied, c’est risquer d’être déséquilibrer. Dans la nature, plus le sol est accidenté, plus il faut lever les pieds pour ne pas tribucher ou être surpris, la encore, tout est question de nuance. Le talon doit toujours toucher le sol en premier, c’est le meilleur moyen de ne pas glisser.
Pour un meilleur équilibre, les pieds doivent toujours être placés perpendiculairement.

Il existe ensuite plusieurs familles de déplacements, sous divisées suivant la manière de déplacer :

La marche :
Le pied à l’arrière se rapproche de celui en avant, et celui en avant s’éloigne ensuite, ou l’inverse, mais jamais un pied ne passera devant l’autre.
La retraite :
C’est la même chose, mais en inverser, le pied arrière s’éloigne, puis le pied avant.
La passe :
La c’est tout simple, c’est une famille de déplacement où le pied arrière passe devant le pied avant, ou inversement.
Les voltes :
Ce sont des mouvements où il faut pivoter sur un pied. Dans la volte, le pied gauche sert de pivot, dans la contre volte, c’est l’inverse.
La fente :
Elle consiste à envoyer le pied avant en avant, dans un mouvement plus ample que la marche, le pied arrière restant en appui. C’est la manière de porté un coup d’estoc, mais les risques de déséquilibre sont importants.



L’arme

L'épée comprend : le pommeau, la fusée ou la poignée, la garde et ses quillons et la lame. L'extrémité de la lame est appelée la pointe.
La lame est divisée en trois parties :
Le fort, situé prés de la garde, c’est avec cette partie qu’il faut parer.
Le faible, situé à l’ opposé, sera utilisé pour porter les coups,
Le moyen, entre les deux, est utilisé pour les actions au fer.



Les positions de l’arme

Prime : La pointe de l'arme est plus basse que la main qui est renversée, pouce en dessous, le tout en pronation, c'est-à-dire la paume de la main et ongles orientés vers le sol.
Tierce : La main en pronation est plus basse que la pointe de l’épée, le bras est replié contre le corps jusqu'au coude, qui forme un angle perpendiculaire avec l'avant-bras.
Sixte : La main est en supination, donc paume et ongles vers le ciel et la pointe de l'arme est légèrement plus haute que la main. Le bras est replié contre le corps jusqu'au coude, lequel dessine un angle perpendiculaire avec l'avant-bras.[b]

L’entrainement physique apporté par les corvées se changea en entrainement pur et dur, des pompes, des tractions, des abdos, courses à pied, des enchainements de sauts. Le jeune homme se renforçant peu à peu et puis au bout de 6 mois en compagnie de Ronan, les exercices commencèrent enfin.
Au début, l’entrainement était sommaire, frapper un tronc d’arbre de la même manière, encore et encore, puis recommencer avec l’autre main. La rapière qu’avait acheté le barde était d’une facture robuste et tenait le coup. Ensuite venant l’adresse, suivre des contours de fils de fer sans décoller la lame du fil, et le plus rapidement possible.

Puis, il y eut l’entrainement d’esquive. Le barde lançait des pierres qu’Adrian esquivait ou parait avec le cimeterre, mais au début, il était presque couvert de bleus. Finalement, après trois mois d’entrainement de cette manière, le barde lui confia une autre arme, une épée courte et se mit en tête de lui apprendre quelques passes d’arme, s’entrainant avec lui, tandis que les exercices standards se répétaient en échauffement.

Les premières passent d’armes étaient simple, sans but précis que la décence, et l’esquive, l’art de la parade… et puis, après 2 mois d’entrainement, l’optique du combat se précisa. Adrian s’entrainait sur un mannequin de bois et de paille, répétant les mêmes gestes, sous le regard de Ronan, qui le corrigeait dans ses mouvements. Ainsi, le garçon s’entrainait à donner des coups précis et rapide, de plus en plus rapide, de manière à pouvoir contre attaquer. Ainsi était fait les actions, parade et ripostes précises.

Puis l’entrainement d’esquive devint plus difficile, puisqu’il fallait cette fois franchir des obstacles, rester en équilibre sur des poutres, tout en évitant les pierres lancées par le barde.

Finalement, après cet entrainement, et durant le reste du temps, Ronan combattit Adrian en duel, s’entrainant avec lui, et enchainant les passes d’armes et les bottes, pour lui apprendre, le guidant sur la position a adopté, les ripostes à effectuer. Avec le temps, la vitesse de combat augmentait et finalement, Adrian progressait assez vite.

« Tu vois Adrian, si le pied de ton adversaire est tourné vers toi, il y a de forte chance qu’il attaque par ce coté, alors que si il est large, tu ne risques rien.
-c’est l’à propos ? Ton expérience à toi ça ?
-t’a tout compris … mais il ne faut jamais se tenir quelque chose pour dire, car avec les feintes et le reste, tu dois toujours être aux aguets. Mais n’oublie jamais que tu as deux armes, l’épée courte pour parer, et la rapière pour attaquer. Dans certaines situations, ce sera l’inverse, à toi de juger ta manière de te battre.
-D’accord … mais comment on le sait, quand défendre, quand attaquer … tu me bas tout le temps sur mes erreurs.
-c’est parce que je te pousse à les faire, je découvre des endroits de mon corps et tu sautes à pieds joins dedans sans avoir l’avantage.
-L’avantage ?
-Eh bien … tu as l’avantage si la pointe de ton arme est tournée vers l’adversaire, et si la sienne n’est pas tournée vers toi.
- Encore faut-il arriver à dévier la lame adversaire … dans une parade ?
-Oui c’est à peu près ça, mais tu peux aussi contrer les feintes… t’a deux mains, deux armes, mais deux pieds aussi. Si quelqu’un veut te faire une feinte et que tu le sent, avec l’expérience, alors pare de ta lame, de la rapière, est rentre lui dedans ou donne lui un coup de pied pour faire une rupture.si tu te sens audacieux, tu peux aussi tenter de riposter en même temps que tu pares.
-D’accord, je crois que j’ai compris … il faut étudier l’adversaire, voir ses habitudes, et âpres, improviser …
-oui mais tu peux avoir un style de combat particulier. Certains ne jouent que sur la rupture, d’autres n’arrêtent pas de se fendre pour t’attaquer et te faire reculer. Une manière pour les contrer, c’est de les cueillir à l’arrivé. Tu lui offre une ouverture, il saute dedans, et tu esquive ou tu pare avant de riposter. Si tu pare, fais le efficacement, donc en attaquant. En bloquant sa lame de l’intérieur vers l’extérieur, maintient la pression sur son arme, en avançant, pointe vers le visage de l’adversaire. Tu peux parfois gagner sans utiliser tes deux mains.
-Et s’il est plus rapide que moi ? et qu’il se retire avant ?
-Dans ce cas la, tu lance des assauts, à force de se fendre, il perd son équilibre, pousse le, dérange le, tourne autour de lui jusqu'à avoir l’ouverture par ce qu’il a été trop long à reprendre son équilibre.
-Mais comment tu sais tout ça ? t’a fais tant de combat que ça ?
-oh oui gamins…. L’aventure à parfois son lot de peine et de tristesse… et de combat. Tu verra, un jour ce sera ton tour, et j’espère que tu te sera souvenu des leçons.
-Mais si je reste avec toi, tu me protégeras.
-ça marche pas comme ça Adrian, la c’est ta dernière leçon, âpres, tu devras partir faire ta route tout seul.
-mais ….
-écoute bien …. Le plus important, ce n’est pas le combat, ce n’est pas la manière de se battre, mais c’est la raison pour laquelle tu te bats …demande toi toujours si ça en vaut la peine … car en débutant un combat, il y a parfois des morts inévitables. Et surtout … surtout, n’oubli pas de vivre, aimes et vis ta vie, travaille, soit heureux, profite des moments de répits … tu sais, les moments de repos sont parfois si rares …. Et quand on regarde en arrière, on à l’impression d’avoir raté sa vie…
Ce fut donc la dernière leçon de Ronan. Il avait formé Adrian et cette fois, il jugeait le garçon prêt à continuer la route seule. C’est dans un lourd silence que les deux rentrèrent à l’auberge où il s’était installé, à l’auberge de Brasamical, au nord de l’Amn.

Au bout de 8 ans, il avait atteint le niveau de son maitre, où de son père adoptif … 8 ans …Adrian avait maintenant 15 ans, et l’entrainement des bases était terminé. D’après Ronan, il lui restait le plus dur à faire, développer son propre style, et acquérir de l’expérience … un bretteur ne devait jamais se laisser aller … trouver des techniques nouvelles, se battre, encore et encore, et observer les combats des autres pour les étudier, acquérir cette expérience qui faisait d’un homme un guerrier accomplis et vivre … vivre, entre tout ces moments.

Adrian continua donc sa route tout seul, vers le nord. Le barde ne lui avait pas apprit qu’à se battre, il lui avait aussi apprit quelques tours de jonglerie et ainsi, le jeune homme n’avait plus trop de problèmes pour gagner ça vie. Si les temps étaient parfois plus durs, il travaillait pour décharger les ports, ou à la plonge dans les auberges après avoir distrait les clients par quelques tours.

Finalement son errance le conduisit plus loin vers l’ouest, vers la ville de Luskan. Adrian avait 17 ans. Il s’était déjà battu …. Dés le troisième jour âpres avoir quitté Ronan…. En effet, Brasamical, situé le long de la cote des épées, est entouré de tribus d’orcs et de gobelours. Le premier combat qu’il dut livrer fut contre l’un de ses derniers, parti en chasse. Il ne dura que peu de temps. Fort de leçon de son maitre, Adrian bloqua la lame adverse de la rapière et avança, transperçant l’œil droit du gobelour en maintenant la pression sur la lame de se dernier. Et puis … il détala.

Il livra bien d’autres combats avant de rejoindre Luskan, contre des Orcs, des Gobelours … des animaux sauvages … et parfois, contre des humains. Certains bandits l’avait attaqué sur la route… il comprenait de plus en plus la dernière leçon de Ronan… est ce que cela vaut vraiment la peine, d’ôter la vie à quelqu’un ? De risquer la sienne ? Il n’avait pas de remord pour les bandits … il avait bien tenté de les épargner mais ceux ci avait failli le tuer alors qu’il s’éloignait.

Le style qu’Adrian a développé pour le moment est encore emprunt des enseignements de son maitre, mais derrière cela, il n’en reste pas moins audacieux, attaquant directement et sans faire de cadeau, quand l’occasion se présente. Ses gestes sont simples et mesurés, il n’est pas la pour se donner en spectacle à la différence de certains bretteurs. On dit parfois que ces derniers dansent en combattant, pour Adrian, c’est aussi vrai. Il danse une danse précise, sans fioriture, et clôt la danse quand l’occasion se présente.

Pour exemple, voici quelques bottes d’Adrian.

La première est très simple, elle consiste à parer avec la rapière, surprenant l’adversaire qui pensait voir s’opposer l’épée courte. Adrian lève l’épée adverse avec sa rapière, se fendant ensuite vers le flan de son ennemi pour porter un coup de couteau, passant ensuite derrière lui.

Il y a aussi une technique peu fairplay qui consiste à porter une attaque de taille au niveau du genou adverse, par l’arrière, provoquant ainsi, si le coup est réussi, l’incapacité de l’adversaire à utiliser sa jambe correctement.

La dernière évoqué, la plus audacieuse, et la plus mortelle, résulte d’un enchainement de placement durant le combat. Dans un premier temps, Adrian feinte d’estoc en laissant une ouverture provoquée et esquive en sautant sur le coté, avant de faire une acrobatie pour se retrouver sous la lame adverse, couteau près à parer la descente de l’arme au cas où. Avec sa rapière, il ne lui reste plus qu’a tirer un coup d’estoc dans la gorge de son adversaire en se relevant.

Pourquoi Guerrier ? Tu comptes porter l’armure lourde ? Dans ce cas il n’en est question nulle part je doute qu’un barde puisse t’entraîner au port de l’armure.
Sinon l’ensemble et bien écrit et agréable a lire, félicitation.

ah ben non, pas d'armure lourde ni intermédiaire, je reste en armure légere.

Et guerrier parce qu'a la différence des bardes, ou autre, il a suivi un entrainement physique plus intense. Enfin, il apprenait pas d'instruments, à part des tours de jonglerie pour se démerder un peu. Donc plus de temps en capacité martial ( et technique) et moins de temps en capacité de chant ou autre.

Et roublard 5, ben c'est parce que faut un minimum de 4 ou 5 je crois >< , vi a vis du début de ça vie, ou des grosses galeres ou parfois ... on retombe dans ses travers.

et pis merci, pour une fois, je me suis appliqué dans un bg XD.


*forcément ... toutes les semaines sans jouer, ça aide à réfléchir ><*

je te conseil de regarder les prérequis de la classe , tu verrat que tu n'est pas forcer d'etre guerrier entre autre

oui, j'ai bien vu que je suis pas obliger de faire guerrier, mais je vois pourquoi j'aurais pas le droit de le faire XD.

*moi chieur ? beuh *

Enfin, je sais pas ... ce sera une tanche en roublardise, (ben ouais, l'étais gamin) , donc si tu veux, je vire la classe de roublard, et je reste en guerrier / bretteur.

Et pour guerrier, je trouve qu'il est raisonnable de penser qu'une personne ne se destinant qu'au combat soit bretteur et guerrier, comme je l'ai dit, il à pas appris à chanter, ni à jouer de la musique, il était accés sur le corps à corps.

La classe roublarde est logique, pourquoi ne pas avoir fait roublard bretteur ?car pour moi le barde ta juste appris les technique des bretteurs.
Si tu veux une validation de ta classe guerrier il te faudra trouver une justification

Je rappelle ce qu'est un bretteur : un être porté sur la gloire qu'il tire des combats esthétiques. Il faut bien avoir à l'esprit un être proche du concept de Cyrano de Bergerac.
Le bretteur est un combatant en vêtement léger, il virvolte et ne fait que toucher son adversaire, de passe d'armes cinglantes et jamais sanglante.
C'est un personnage qui basé sur la dextérité et l'élocution. La langue aussi efflilée que l'épée. Il est l'image parfaite des héros de romans de capes et d'épées.

hop, je modif en roublard 10 / bretteur 15, c'est vrai que t'a raison Solen ^^.

Pour Volvic, ça va venir ce que tu décris, par rapport à ma maniere de le jouer, mais je veux laisser des surprises ^^.

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