[Validé/disparu][bretteur-barde][H]Nicolas Vanderhoeven

Avertissement : LES PARTIES EN ROUGE FONCÉ SONT CELLES D'ALEXANDRO ET CELLES EN BLEU FONCÉ SONT À NICOLAS. LES DEUX SONT MISES EN COMMUN CAR L'UN COMPLÈTE L'AUTRE, TOUT SIMPLEMENT. ILS ONT VÉCU TOUTE LEUR VIE ENSEMBLE ET SONT TRÈS PROCHES L'UN DE L'AUTRE.
Merci de votre compréhension, il ne s'agit nullement de paresse.

[Cliquez sur le spoiler pour voir l'image]

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Nom du compte joueur forum : Opium
Nom du compte joueur module : Twaanou
Nom du perso : Nicolas Vanderhoeven
Race : Humain
Âge : 23
Alignement : Chaotique bon
Religion : Waukyne/Sunie/Tymora
Classes et nombre de lvls : 9 Bretteur / 16 Barde
Arme de prédilection : Rapière, luth
Langues : Chondathan (langue de région: Cormyr), elfique
Traits de caractère : Bon vivant, curieux
Description physique : Nicolas a les cheveux blond paille coupés courts reflétant le soleil, un teint pâle d'aristocrate et des yeux d'un bleu profond.
Avec son visage indéniablement masculin plutôt agréable à l'oeil, ce jeune homme de 23 ans est généralement vêtu de façon élégante et certaines de ses postures et manières rappellent celles des gens de la noblesse.

Caractéristiques : (au niveau 1)
FOR : 12
DEX : 15
CON : 12
INT : 14
SAG : 8
CHA : 15

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[Partie 1]

Comment osez-vous me parler de mes fils !? Ces ingrats qui n'ont jamais su apprécier tout ce que je leur ai donné! L'éducation, l'argent, le prestige! Ils ont tout pris, tout ce qu'ils désiraient, et ont jetté le reste sans jamais m'être reconnaissant de quoi que ce soit! Ils n'ont toujours fait que ce qui leur plaisait, c'est-à-dire, des arts! La musique, le dessin, les langues, le combat... Ah oui! Parce qu'ils considéraient les langues et le combat comme des arts, je n'allais pas les contredire puisque ça m'arrangeait ! Mais c'est bien parce que c'était nécessaire pour la relève de la famille et non parce que c'étaient des arts! C'est leur mère qui les a encouragés à tout ça, même s'ils essaient de le cacher, j'en suis certain, c'est elle qui tient à cette stupide tradition d'apprendre aux enfants à jouer d'un instrument de musique. J'ai bien essayé de les remettre dans le droit chemin mais ils ne voulaient rien savoir de l'administration et du commerce, ils n'en faisaient qu'à leur tête. Ma dernière tentative, ça a été de vouloir les marier. De bonnes filles, avec des avantages politiques certains. Nicolas devait marier la fille d'un baron qui nous offrait plusieurs terres en échange et Alexandro devait marier la fille d'un autre comte afin de rétablir de bonnes relations entre les deux familles. J'avais tout préparé, tout prévu, même des gardes pour les surveiller pour qu'ils ne songent pas à fuir jusqu'au jour des mariages. Je n'ai même pas eu le temps de leur annoncer la nouvelle, ils avaient déjà fuit, je ne sais comment ils l'ont appris. Et ces salauds ne sont même pas réapparus après les dates de mariage! S'ils reviennent vous pouvez être certain que plus jamais ils n'auront l'occasion de redisparaître!



[Partie 2]

Alors, comme cela, nous sommes décadents ? Peut-être, après tout...

Mon frère et moi avons toujours été portés sur l'alcool et les jolies filles. Une compétition fraternelle s'était naturellement développée entre nous et c'est devenu un réel plaisir que de chasser l'amour comme nous chassions le gibier. C'est d'ailleurs lui qui m'a tout appris... Les filles des faubourgs avoisinants nos terres étaient aussi agréables qu'accueillantes et ouvertes à bien des propositions. Mais là n'est pas vraiment le sujet qui nous intéresses, si ?

Pour en revenir à des préoccupations moins charnelles, j'adorais et j’ai appris bien vite la peinture. Naturellement, pour ce faire, je dus apprendre un minimum le dessin, mais je ne serai sans doute jamais au niveau du coup de crayon de mon frère. Par contre, lui, ne sait pas extrêmement bien peindre… Sauf si on aime l'art abstrait, peut-être ? Héhéhé...

Mais rassurez-vous, je ne suis pas sérieusement médisant. J'adore mon frère et il me le rend bien, même si nous adorons nous chamailler pour tout et n'importe quoi. Chaque prétexte est bon pour se lancer une remarque cinglante qui sera surenchérie par une autre et ainsi de suite. Des frères, quoi !

Nous prîmes tous deux des cours d'escrime pendant plusieurs années quoique la technique plate de notre instructeur nous lassa rapidement. Nous lui préférions, déjà à l'époque, un style moins conventionnel, plus "libéré". Il nous appelait pour la peine des "libertins du sabre". Quel surnom approprié ! D'ailleurs, il ne nous a jamais appris que l'art des duels. Nous préférions être capables de nous défendre face à plus de situations que ce cadre réducteur et, pour cette raison, nous avons développé notre style de combat bien particulier en duo autodidacte. Un de nos grands avantages est d'être ambidextre... Hors, en duel, un gaucher à l'avantage inestimable du manque d'habitude de ses adversaires face à une telle garde.

Notre initiative en combat, et parfois ailleurs aussi, a toujours fait le bonheur de Mère, d'ailleurs. Elle qui avait toujours rêvée avoir des fils, elle nous adorait comme si nous étions des êtres parfaits et idéaux, dénués du moindre défaut... Ce que nous étions naturellement loin d'être et qui a toujours fait notre amusement lorsque nous faisions les quatre cents coups et qu'elle plaidait en notre faveur, persuadée de toute sa bonne foi que nous ne pouvions penser à mal.

Aaaah, Mère...

Lorsque nous avons quitté le manoir, les cris de Père devaient se faire entendre à bien des lieux : il devait être furieux ! Je me souviens encore d’avoir imaginé l'entendre jurer depuis la carriole dans laquelle nous faisions route, bien loin du manoir familial.

Mais nous n'étions pas fait pour la vie rangée à laquelle il nous destinait. Du moins, c'est ce que nous nous sommes toujours dit avec un sourire jusqu'aux oreilles. Nous aurions trompé ces pauvres femmes à tout bout de champ et les aurions délaissées pour tout et n'importe quoi. Nous ne pouvions pas faire une chose si cruelle à des jeunes filles, sans aucun doute, charmantes pas vrai ? Cela aurait été un acte cruel, vil et... loin d'être amusant. Notre plaisir nous guide ? En effet ! Nous sommes de grands enfants ? À n'en pas douter !

Mais n'est-ce pas ce qui fait le charme de deux jeunes nobles comme nous, des frères à la relation étroite et sans aucun doute parfois un peu trop intime ?

Je vous laisse sur cette toile de mon cru représentant notre sœur la plus jeune, Elizabeth. Qu’en pensez-vous ?

*Regarder la toile (cliquez sur le spoiler)*

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[Partie 3]

Père, il n'a jamais compris ce qui nous motivait, il n'a jamais accepté que nous ne soyons pas ce qu'il avait imaginé, il ne nous a jamais aimé comme ses fils... Et je ne l'ai jamais aimé comme un père. Depuis le début il m'accusait d'avoir une mauvaise influence sur mon frère et avec les années, ça n'a qu'empiré, les engueulades en lui et moi étaient fréquentes et plus il essayait de nous tenir en cage, plus nous tentions de nous évader.

J'oserais presque dire que je comprenais parfois son désarroi... Son fils héritier préférait la musique au commerce et le dessin aux préoccupations politiques. Je n'aurais pas assuré une bien bonne relève, en même temps, je n'ai jamais voulu de cet héritage de toute façon. À quoi sert d'être riche si cette richesse nous cloue les ailes?

Heureusement que Mère nous encourageait. Elle m'avait dit plusieurs fois qu'elle souhaitait notre bonheur, qu'elle souhaitait que nous fassions tout ce qu'elle n'avait pu faire, voyager, faire ce qui nous plait. Elle qui avait toute sa vie été prisonnière du carcan de la vie de comtesse, c'en était presque une joie malsaine qu'elle éprouvait à me voir me disputer avec Père. Jamais elle n'avait elle-même osé prendre sa place, dire ce qu'elle voulait vraiment dire, faire ce qu'elle voulait vraiment faire.

Même nos sœurs Maria et Elizabeth nous encourageaient à continuer dans les arts. Ariane était un peu plus de l’avis de Père mais elle nous adorait quand même, ça se voyait dans ses yeux lorsqu’elle nous reprochait quelque chose mais qu’au fond, elle ne nous en voulait pas vraiment. Elles me manquent toutes, Mère aussi, j’espère que nous aurons la chance de les revoir un jour…

Les dernières semaines passées au manoir étaient insupportables… Il ne se passait pas un jour sans que Père ne vienne me crier dessus ou m’insulter, pas seulement devant notre famille mais aussi devant des invités. Quand Mère nous a informée qu’il avait décidé de nous préparer des mariages politiques, ç’a été la goutte de trop dans le vase. Ce fut une chance pour nous qu’elle ait surpris une conversation de cet arrangement assez tôt sinon nous aurions sûrement été enchaînés à ces obligations.

Après notre départ précipité, nous avons vite du apprendre à nous débrouiller, nous nous en sommes bien sorti mais c’était franchement différent de la vie de manoir où j’allais me servir sans demander dans les coffres quand Père avait le dos tourné… Mon frère et moi avons continué à perfectionner notre technique de combat, c’est d’ailleurs l’une des choses qui nous a permis de voyager jusqu’à Luskan. Nous participions à des joutes de duels pour gagner un peu d’or. Aidé par quelques petits chants magiques discrets avant les combats, nous avons souvent eu l’avantage avec en plus nos méthodes particulières à nous deux que nous avons développées ensemble à la rapière. Nous y avons aussi parfois perdu quelques plumes contre des adversaires plus coriaces mais c’est normal, non ?

Ce fut un changement radical dans notre vie. Tout était différent : les accents, les langues parfois, la nourriture, les coutumes, la façon dont nous étions perçus, reçus. Ça nous a encore plus rapproché Nicolas et moi. Nous avons appris à nous adapter. Les seules choses qui n’ont pas changé, je pense, c’est nous. Nous sommes restés les mêmes jeunes hommes avec un penchant, peut-être un peu trop fort, pour l’alcool, les femmes et l’art.

Maintenant, nous ne pouvons qu’espérer que Sunie, Tymora et Waukyne veilleront sur nous encore longtemps.

Alors le récit et sympathique mais bretteur et pour l’instant suspendu et on ne sait pas encore en quoi il seras remplacer.
Dans tous les cas les deux classes sont effleurées sans être développé.

Pour bretteur :
C’est une classe toutes en finesse , tu devrait développer ton cotée bretteur et tes passes d’arme particulière tu parles de ton coté gaucher continue en développant les feintes etc

Pour barde :
Qu’elle genre d’art pratique t’il et qu’elle est leur rapport vis-à-vis de la magie bardique , en deux mots qu’elle genre de barde est t’il

UP : Mise à jour.

la partie barde me convient la partis dueliste et un peu courte a mon gouts mais dans l'ensemble l'esprit et bien respecter !
j’hesite a te placer en evolutif ou a te demander d’appronfondir un peu ^^

C'est à dire que les bottes expliquées ici sont des bottes qui n'auront plus (Ou presque) de chances de marcher en RP.
Et oui, on appelle pas ça une botte secrète pour rien !
De quel autre manière pourrais-je développer le coté bretteur, sinon ?

[Partie 6]

Voici votre première leçon.
Retenez bien ceci, jeunes Vanderhoeven !

Le duel est un combat, soumis à certaines règles, opposant deux adversaires, l’un ayant demandé à l’autre réparation par les armes d’une offense ou d’un tort. Les combattants sont assistés de témoins qui veillent aux respect des règles, ainsi qu’aux conventions particulières fixées avant le combat.

Les règles formalisant le combat concernent :

• Ses limites, définies à l’intérieur d’un champ clos
  
• Son officialisation, par la désignation comme président d’un personnage important, appelé le maréchal de camp, assisté de juges et de hérauts
  
• Son caractère solennel, par un cérémonial et des pratiques religieuses
  
• Son impartialité, par le contrôle des deux adversaires et la désignation équitable des places de chacun d’eux
  
• Les armes permises selon l’appartenance sociale des combattants
  
• La désignation d’un combattant substitut dans le cas où une des personnes concernées ne pouvait se battre, (femme, enfant ou ecclésiastique).

Le rôle de duelliste prend ses racines profondément dans les traditions des classes supérieures, dans la haute société particulièrement. Bien que les nobles aient toujours été connus pour leur tradition martiale, la richesse, le pouvoir et l’oisiveté tendent à les éloigner de leur fier et, parfois, violent passé. L’art du duel et son importance parmi les gentilshommes assurent que la noblesse peut toujours satisfaire son goût pour le sang d’une façon raffinée et hautement sophistiquée.

Cela peut sembler étrange, mais il est sans doute plus important de connaître les lois des duels que de maîtriser les armes. Les règles entourant les duels sont nombreuses et variées et cela peut prendre des années, voir des décennies, pour les appréhender car chaque école d’escrime, chaque culture et même chaque cour a ses propres règles, habitudes et standards en matière de duel. Si quelqu’un remporte un duel, mais d’une façon qui n’est plus à la mode, cette personne sera ridiculisée et moquée sans merci.

Dans sa forme la plus primitive, un duel n’implique que deux combattants. Pour être légal cependant, un duel nécessite un juge ou des témoins. Pour être socialement acceptable, un duel a besoin de bien plus que ces expédients de base. Un duel respectable nécessite deux assistants, un par duelliste, deux porteurs de bannières, afin de communiquer avec leur égal de quelles règles seront utilisées, et un médecin pour prendre soin d’un éventuel blessé ou mourant. Les duels les plus absurdes impliquent aussi de nombreux observateurs et leur entourage, des serviteurs pour tous ceux qui prennent part, l’entraîneur personnel et les armuriers des duellistes voire même des musiciens pour distraire la foule le temps que les salutations et ultimes négociations soient faites.

Il y a aussi un côté sombre dans l’art du duel. Les plus dangereux et psychotiques s’en servent pour commettre des meurtres et terroriser les environs en se reposant sur les règles du duel pour se protéger de toute poursuite. Certains utilisent simplement les duels pour se débarrasser de leurs ennemis de la façon la plus sanglante qui soit acceptée par la société. De cette façon, beaucoup ont augmenté leur pouvoir et étripé leurs rivaux. Un duelliste avide de sang et couronné de succès peut terroriser ses pairs avec peu d’efforts. D’autres utilisent les lois du duel pour commettre des assassinats excusant le meurtre par les circonstances. D’autres défient de malheureuses victimes dans un duel à mort pour se lever d’une prétendue injustice puis leur extorquent une forte somme pour éviter le duel et donc la mort. Il y a aussi ceux qui, malhonnêtes et tortueux, feront tout pour gagner un duel : modifier les règles en leur faveur, conspirer contre l’autre duelliste, avoir recours au poison, au sabotage ou à des assistants malfaisants pour distraire leurs rivaux à l’instant critique.

Duelliste n’est pas reconnu comme une profession à part entière, mais un titre ou un talent auquel on aspire. Une personne ayant l’intention d’être duelliste ne se réclame pas d’une profession, mais déclarera plutôt ses titres à une personne considérée comme également talentueuse et possiblement rivale.

Néanmoins, il y a ceux qui vivent de leur rôle de duelliste. La plupart sont des étrangers faisant à l’occasion office de professeur ou ayant été instruits par des professeurs étrangers. Ces maîtres sont à l’origine des guerriers, rarement des nobles, car un noble n’accepterait qu’avec dédain d’être payé par un autre noble. Ainsi, les façons snobinardes des nobles permettent à des personnes de plus humbles origines, mais aux manières cultivées, de servir de professeur à la noblesse. Les plus pauvres de ces maîtres sont ceux qui enseignent à de pauvres nobles dans leurs domaines campagnards ou à de pauvres marchands.

Les maîtres les plus demandés servent un large panel de nobles, ce qui leur permet de gagner des sommes astronomiques, tout en se faisant de nombreuses relations et devenant des figures familières et acceptées des cours. Pour ces quelques chanceux, la leçon rapporte une véritable petite fortune, que les nobles paient avec entrain. C’est une marque de prestige que d’être entraîné par un professeur populaire dont les prix exorbitants sont communément connus, car cela témoigne de la fortune des nobles en question.

Les maîtres les plus habiles, bien que rares, ne peuvent progresser au-delà d’un certain niveau, car ils sont retenus par des patrons particulièrement exigeants en tant que professeurs. Un noble particulièrement riche veut avoir son propre maître, dont les secrets sont les siens et inconnus des nobles rivaux. Ces maîtres ne sont pas payés à la leçon, ils sont généreusement récompensés. On leur donne les habits à la mode les plus recherchés, les plus belles armes, puis ils deviennent membres de l’entourage du noble et sont même considérés comme l’égal du noble. De fait, ils sont traités avec respect et déférence par les nobles eux-mêmes. Peu sont les personnes d’origine roturière traitées avec un tel respect. Le coût d’un tel maître est parfois l'équivalent par année de la rançon d'un roi.

Avant les duels, il était de coutume de résoudre les disputes par l’intermédiaire d’un Champion de Justice, homme se battant pour le compte d’un noble. Cette tradition est toujours populaire et, dans certains cas, ordonnée par les tribunaux. Cependant, l’art du duel est bien plus cavalier et exigeant, il insiste même sur le fait que le noble se batte lui-même. Les affaires d’importance ne doivent pas relever d’une personne engagée pour l’occasion, quelles que soient ses compétences. Ainsi, le duel entre parfois en compétition avec un jugement par champion interposé.

Malgré tout, le duelliste que l’on rencontre généralement est en fait un noble. C’est la noblesse, avec son argent, ses loisirs et certaines formes culturelles, qui rend et a rendu l’art du duel possible. C’est en effet la pratique du duel par les nobles, et les leçons, donc les professeurs qui vont avec, qui sont les fondements de la société des duellistes. Se battre en duel est une extension des moyens particuliers pour la noblesse de résoudre les conflits, ainsi que de ses traditions martiales. Ce sont également les nobles qui se sont jetés corps et âme dans la pratique du duel, dépensant au passage sans compter. Certains disent que la plupart des nobles ne pratiquent le duel que par pression sociale, mais une poignée de nobles est profondément impliquée dans les duels et tend à être aussi compétente et redoutable que n’importe quel duelliste.

( Sources :
D comme duelliste, ABCDaire du vieux monde.
http://www.sden.org/spip.php?page=mj_article&id_article=4059
Wikipédia, Duel (combat)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Duel_(combat) )

valider

Est-il possible de valider de la même façon le BG d'Alexandro ?
Étant donné que nos BGs sont communs, et histoire qu'il n'y ai pas de mal-entendu.

je n'est pas encore regarde l'autre bg

C'est exactement le même, vu qu'il est écrit par nos deux personnes.
Le double post est juste une question de formalité, histoire de respecter les règles, puisqu'il semblerait qu'un post pour deux soit illicite.

Ils n'ont pas de personnalité différenciée ? l'un à la vision identique du monde ?

Perso, j'ai du mal à voir un intéret à faire un clone ( aussi bien physique, que psychologique ) sinon, excuser la paresse de faire deux Bg différents.
Faut surtout éviter de valider un bus de perso parce qu'ils ont vécus la même chose. C'est a mon avis plus une facilité qu'une originalité. Même des jumeaux ont des différences.

Voila, j'ai fait un petit ajout à la tête du début du post de cette histoire.
J'ai pensé un instant que l'histoire était suivie dès le début et que la démarcation de couleurs - Ainsi que les mentions de noms dans le texte - étaient assez explicites.
Nicolas qui parles de son frère Nicolas, ça n'a choqué personne ?

Enfin bref, comme dit ci-dessus, les parties en rouge sont celles d'Alexandro et celles en bleu de Nicolas. Les noires sont (Faut il vraiment le préciser ? Mais je préfère éviter un autre mal entendu) celles d'un tiers, respectivement le père pour la première partie et leur professeur d'escrime pour la dernière.

Pourquoi les deux sont-elles mises en commun ?

Simplement car ils ont vécu leur vie ensemble, et sont fort proches. Ce sont pourtant des personnes distinctes, avec une façon de penser sensiblement différente de celle de l'autre (Bien que ce soit subtil), et donc il ne s'agit pas de clônes ni de jumeaux.

Merci de votre attention...

Je rapelle aussi une chose :

Les classes ajoutées du val sont en suspension pour le moment et on ne doit passer ses lvl de bretteur qu'après la validation et non avant comme c'est le cas ici.

Donc, le mieux c'est de concidérer le bg comme barde, quitte à prendre guerrier en plus. a vous de voir, mais pas bretteur pour le moment, vu les chnagements prochain que ces classe va connaître.

J'ai cru comprendre qu'elle serait remplacée par celle de duelliste ce qui, RP parlant, est identique...

Nous ferons la transition lorsque le temps sera venu. =)

elle ne sera pas identique, nous n'avons pas encore statué sur la définition rp de ces nouvelles classes. Ceci dit le suspend de la validation des classes ajoutée reste maintenue.

Je replace ton Bg en cours pour voir ce que tu décides: faire barde guerrier en attendant (ou barde pur ) ou laisser en attente de la redéfinition des nouvelles classes ?

Laissons donc en attente alors.
Je suppose qu'en attendant, je peux tout de même continuer à prendre normalement mes niveaux de bretteur ?
Histoire de ne pas rester Ad Vitam Eternam bloqué dans le jeu...