[Validé][Guer/MDA][H] Van Roey

Nom du compte joueur forum : Le Truc
Nom du compte joueur module : C'est le Truc
Nom du perso : Van Roey
Race : Humain
Age : 30 ans
Alignement : Loyal mauvais
Religion : Baine
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : 15 guerrier/10 mda
Arme de prédilection/domaines/école de magie : Rapière
Trait de Caractère : A découvrir
Description physique : A découvrir sur la feuille de perso IG

Caractéristiques :
FOR : 10
DEX : 18
CON :
INT : 13
SAG :
CHA :

Langues : Commun, Damarien



Passé:

Né d’une famille indigente et choyé par les liens familiaux. Par une mère qui ne cessait de copuler pour gagner sa vie et d’un père alcoolique qui ne cessait d’inculquer son fils à son image par le fouet, le martinet et tout ustensile qui lui passait sous sa main.
En effet, il souhaitait inculquer la jeunesse décadente, et pour éviter que la civilisation me pourrisse, il a jugé bon de m’endurcir sur la réalité de la vie.
Je naquis dans le royaume de la mer de lune, dans un petit village aux alentours de la cité phlan.
Je du concevoir mon futur dans cette terre stérile et maudit des dieux, le froid mordant les chairs et la faim tenaillant nos estomacs chaque jour.
Il n’était pas rare de voir des personnes parier sur qui ne passerait pas l’hiver.
Les personnes âgées étaient souvent délaissées, comparées à des carcasses qui avaient plus d’une fois connu la rigueur de l’hiver dans l’antan.. Dans leurs yeux mornes où la seule étincelle de vie était visible dans les victuailles que nous apportâmes.
A dire vrai, il n’y avait pas de vie dans ce village.. Nous étions asservit par une idéologie tyrannique où seuls les forts subsistent et les faibles périssent.
Notre cri de guerre était " Ose, et garde-toi ! ". Nous fûmes tous des lâches, nous avions peur des oppresseurs et des dirigeants du château zenthil.
Château zenthil, qui contrôlait toute la région d’une poigne de fer.
A mes 8 printemps, mes parents me vendirent au château zhentil pour une poignée de pièces de cuivre. Les mots qui parvinrent à mes oreilles à ce moment là étaient « c’est pour ton bien ».
C’était pour le leur surtout.
Je fus conduit dans une file d’attente, une file d’attente de plusieurs centaines de personnes... surveillées sans cesse par les séides noirs du seigneur ténébreux.
Mes pieds foulèrent la pureté de la neige, rougit à certains endroits.. Dans ce paysage féerique, on entendait les pleurs et les souffrances constamment.
Certains moururent de froid dans l’attente.. Pour ma part, je m’étais glissé dans les jambes d’une femme d’âge mure. Nous étions tous agglutinés les uns aux autres, dans la chaleur humaine.
Je fus séparé d’elle quelques heures plus tard et fut conduit devant un prêtre.
Ce dernier m’accueillit avec un sourire glacial et me pointa du doigt, il me questionna sur ma vie et mes attentes, sur le fait que je priais le prince des mensonges ou que je fus un serviteur d’un dieu bon ?
Puis il me lança un sort, en l’occurrence, une détection du chaos et du bien.
Sans bouger, dans mes yeux mornes où on pouvait déceler la peur constante de la mort, je le vis hocher lentement la tête d’un air satisfait.
C’est à ce moment là que je compris que j’étais moi-même une carcasse sans vie.
Il me promit la nourriture, un lit et la vie, je ne pus qu’accepter, surtout au vu des décapitations qui se produisirent à quelques pas devant moi.
Les têtes ornèrent la file d’attente, les bainites devaient certainement penser que c’était plus convivial dans l’attente d’un jugement.
Par la suite, on m’envoya avec d’autres enfants, nous avions tous des précepteurs qui se languissaient de nous enseigner la seule et véritable idéologie de ce monde.
On avait jugé bon d’opter pour une carrière militaire pour ma personne.
Je fus donc initié à l’art martial, à la théologie et sur la manière d’asservir les peuples.
Quelques jours plus tard, j’appris de mes oreilles indiscrètes que mon village avait été rasé. Les agents de la main noire semblèrent se réjouir, clamant que c’était pour la gloire du seigneur des ténèbres.
Les bainites faisaient souvent des rafles, capturant femmes et enfants principalement, c’est pour cette raison que je n’en ai jamais voulu à mes parents car tôt ou tard, j’aurai été conduit devant les portes ténébreuses de ce château.

Les années s’écoulèrent et sans m‘en rendre compte, j’étais moi-même un agent de la main noir.
Mon physique n’était pas des plus grandioses malgré les entraînements physiques imposés et répétés
J’échouais souvent aux tests d’aptitudes physiques, j’étais qualifié de « médiocre ou d’incompétent».
Les armures lourdes étaient encombrantes. Ne cessant de choir, objet de moqueries de mes camarades, je fus maltraité par ces derniers. Les entraînements se succédèrent chaque jour jusqu’à ce qu’un maître d’arme me remarqua alors que j’étais à genoux dans la neige, la tête baissée et le dos voûté. S’approchant d’un pas nonchalant, il s’arrêta à quelques pas de moi, je pu alors entendre le crissement de la neige sous ses bottes ferrées jusqu’à ce que je vis ces dernières.
Il repartit si tôt et demanda au comandant de ce bataillon que je le rejoigne.

Je rejoignis ses quartiers, installé sur un trône et mangeant une pomme sous mon regard plaintif. Il fit ma connaissance et souhaita que je rentre à son service comme disciple. Il voulu que j’accepte une voie qu’il nommait « la voie de la peur et de la tyrannie » .

Il m’expliqua que c’était une démonstration de talent, un art de combat qui visait à forcer le respect, une danse macabre… Il fallait faire montre de dextérité et de souplesse pour acquérir un tel style de combat.
Tout ceci dans le but de tyranniser le peuple. Les faibles ne se dresseront jamais contre les puissants, c’est la dure loi de la vie.
J'imposerai mon art, mes adversaires seront forcés de reconnaître ma veleur, par cette valeur, leur seul salut sera de reconnaître la puissance du seigneurs des ténèbres. Ainsi, je répandrai ses préceptes et j'asservirai ceux que je rencontrerai, telle sera ma voie.



Mon entraînement consista en des efforts physiques qui devaient me vider l’esprit des futilités de l'être, je du courir chaque journée deux heures dans la neige du matin
Un esprit las ne pourra en aucun cas lutter pour sa survie.
Un corps sain dans un esprit sain, telle était la devise que je devais suivre.
Je du m’entraîner à l’art martial avec mon maître, nous utilisâmes divers armes pour l’entraînement, des joutes simples qui me permirent d’acquérir une certaine expérience mais je du reconnaître que je n’en avais aucune des champs de bataille.
Par la suite, je du choisir une arme qui concordait avec mes capacités. Mon attention se porta sur l’escrime avec l’utilisation de la rapière. Un art noble et élégant, un art où les coups sont portés sciemment et avec certitude.
Je me suis donc concentré uniquement à l’escrime, sous toutes ses formes d’utilisation.

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Mon entraînement se porta sur plusieurs années, je ne saurai véritablement dire avec certitude quand cela a commencé et quand cela va se finir.
Tout ce que je savais à l’époque, c’est que je n’avais pas le choix et que je devais honorer le seigneur des ténèbres.
Je fus un témoin de la violence qui se produisait chaque jour au sein de l’enceinte du château.
Les bainites avaient depuis longtemps lancé une croisade contre les cyriquistes et ils étaient prêts à tout. Les rafles furent monnaie courante, c’était un moyen radical pour débusquer ces chiens.
Sans m’en rendre compte, j’étais de l’autre coté de la barrière.
Du haut de mon destrier, je me souviendrai toujours des visages déformés par la peur.
Cette fameuse file d’attente avait marqué ma jeunesse, désormais, je la marquais dans les esprits des peuples.
C’était plutôt ironique de se retrouver à la place de ses propres oppresseurs mais j’avoue que cela ne me déplaisait pas.
J’avais reçu une éducation qui interdisait la trahison, d’ailleurs, je n’ai jamais exprimé le besoin de les trahir.
Les agents du bien pensent tout savoir sur tout, eux qui prônent la justice et qui défendent la veuve et l’orphelin.
Je suis harassé d’entendre pareilles stupidités, ils devraient être présent sur ces terres et constater la décadence humaine. Eux qui ont été favorisé par le destin.



La loyauté par l’obéissance, l’obéissance par la tyrannie, la tyrannie par la peur.
Désormais, je fus un loyal serviteur qui obéissait aux ordres sans poser de questions.
Mes entraînements continuèrent mais ces derniers étaient plus portés sur la connaissance et la maîtrise du Ki.
Un maître d’arme est un stratège qui a le devoir d’assurer la victoire, il doit maîtriser les champs de batailles et utiliséer toute stratégie afin d’infliger le plus de pertes à son ennemi et garantir la sécurité à sers hommes.
J’eus des cours d’architectures, connaître les fondations des forteresses, châteaux et autres cités fortifiés.
J’eus des cours sur les sciences, en l’occurrence l’anatomie et les points faibles du corps.
J’eus des cours sur le maniement des machines de sièges et sur l’usage de toutes les armes en temps de guerre.
J’eus des cours pour l’éthique, les maîtres d’armes rejoignent souvent les cours afin de dispenser leur savoir à leurs seigneurs, par conséquent, ils doivent faire preuve de jugement et connaître les manières de la bourgeoisie.
J’eus des cours sur l’utilisation d’un champ de bataille selon sa topographie
J'eus des cours sur la géographie et l'histoire, l’histoire nous donnait des leçons sur les erreurs produites par le passé.
Puis vient l’apprentissage du ki, mon maître me disait toujours que mon arme serait ma sœur bataille et mon amie dans les moments les plus difficiles de mon existence.
Je ne quittais jamais cette dernière, même quand je dormais. C’était une chose habituelle, un lien s’était formé entre l’arme et le maître sans que je m’en sois aperçu.
Je pense que je me sentais en sécurité avec elle, elle me fut offerte par mon maître et garantie ma servitude à l’encontre de cette personne.
Je lui avais donné un nom, « sombre désir », elle témoignait de mon estime pour elle et elle serait désormais l’outil dont j’userai pour répandre la véracité des dogmes de Baine.
Je dédierai ma vie pour sombre désir et elle dédiera la sienne pour ma personne, ainsi, nous répandrons tout les deux la parole du seigneur ténébreux.
Elle était devenue l’incarnation de ma voie.

Globalement il y a ce qu'il faut pour MDA.
Cependant je trouve que tu n'insistes peut-être pas assez sur les spécifités de la rapière.
Développe peut-être également les relation ki+arme. Tu évoques bien le ki, mais il semble indépendant.
Tu devrais orienter un passage sur la façon dont le ki va sublimer ton arme pour la rendre aussi mortelle.
Concernant ton obédience au seigneur ténébreux, peux être peux tu pointer plus sur l'idée d'une tyrannie martial. Le maître d'arme imposant son art par sa maîtrise à tous ses adversaires.

Sinon, tout le reste est bien.

Pense aussi à indiquer tes caracs manquantes et les langues.

Up ! *rajout en vert*

pour les stats, je les mettrai quand je pourrai créer le perso >.< mais je tenterai d'augmenter le charisme et l'intelligence le plus possible ainsi que la dex.

les langues! je ne vois plus le topic détaillant les règles gnii^^

Comme chuis super sympa (sisi !) je te le copie colle là :

Spoiler:

Sinon, globalement c'est là dedans :
https://valdebise.1fr1.net/background-f8/regles-concernant-les-bgs-t12223.htm
et là dedans aussi :
https://valdebise.1fr1.net/monde-de-faerun-f128/les-differents-langages-de-faerun-t16960.htm

Pour ce que je t'avais demandé ça ira.

Manque plus que les langues et les caracs et on sera bon.

miciii !! je t'aurai fait un bisous si tu étais cycy mais en l'occurence!!


langue! c fait!

carac!! je verrai


manque surtout plus que le val xD

Globalement, si tu ne mets pas une sagesse inférieure à 10, les autres caract n'auront pas de d'effet sur la validation.

Etant donné que tu as mis 18 en dex tu as largement assez de points pour que les autres carac soient au moins égales à 10
Je te valide donc sous la condition que tu mettes au moins 10 en sagesse.

ouki doki !