Présentation
Nom du compte joueur forum : atanatar2
Nom du compte joueur module : atanatar2
Nom du perso : Oone Dar’val
Race : Elfe de Lune
Age : 136 ans
Alignement : Chaotique Bon
Religion : Prie la Seldarine, plus pariculièrement Hanali Celanil et Angharradh
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Roublars ,Guerrier
Arme de prédilection/domaines/école de magie : Rapière / lecture de divers parchemins
Trait de Caractère : sociable bien que discrète et réservée au premiers abords
Description physique : Jeune Elfe à l’allure élancée, cheveux brun mi-longs aux reflets bleutés, les yeux couleurs noisettes
Caractéristiques :
FOR : 14
DEX : 16
CON : 12
INT : 14
SAG : 12
CHA : 10
Description
Une jeune elfe de la Lune, paraissant particulièrement attentive à son environnement. Lorsque vos yeux se posent sur elle, un sourire amical se dessine sur son visage...
Elle porte un collier dont le pendentif représente la rose captivante, la dame au coeur doré, Hanali Celanil. Sa cape est attachée par une broche où l'on reconnaît les symboles d'Angharradh, la divine divinité., reine d'Arvandor...
Historique
Une enfance douloureuse …
C’est par une nuit sans lune que Oone Dar’val naquis il y a 59 ans de cela. Une nuit où les ombres furent reine …
De sa très jeune enfance au sein de la communauté Elfe qui la vit naître, elle ne garde aujourd’hui que peut de souvenir. A 8 ans, son village fut dévasté par une horde de barbare venue du Nord. Seul quelques enfants furent épargnés, dociles esclaves dont la vie ne dépendrai que de leur rendement à extraire le minerai dans une mine où ils passeraient le reste de leurs jours.
7 années passèrent dans cet enfer, où Oone vit nombre de ses camarades succomber sous la rudesse de leur tache, des coups de fouet, du manque de nourriture ou de la maladie. Dans ses mines, elle appris à profiter des ombres environnante pour se soustraire régulièrement à ses bourreaux, le temps pour elle de s’accorder un peu de repos et chaparder à toutes occasion favorable quelques surplus de nourriture. Ces années furent longues et douloureuses, mais lui forgèrent un caractère fort. Grâce à sa témérité et le fruit de ses vols, elle parvint à rester en vie en ce lieu de cauchemar plus longtemps que la plupart des autres enfants partageant son sort. A 15 ans, elle resta la seule survivante de son village d’origine. Elle compris alors que tôt ou tard, son tour arriverai si elle ne s’échappai pas de cet endroit maudit.
Alors, petit à petit, se mis en place dans son esprit le plan de son évasion. Elle le mit en pratique 6 mois avant son seizième anniversaire. Profitant de la nuit, elle sortie sans difficulté de la mine et esquiva sans soucis les gardiens somnolant. Mais une difficulté inattendue arriva. Sortie de la mine, se trouvant en hauteur, elle vit malgré la nuit l’immensité de la vallée en contrebas. La hauteur du ciel, et cette impression grandissante de vide firent monter en elle une angoisse difficilement maîtrisable. Accoutumée depuis 7 ans aux espaces clos, n’étant jamais sortie de la mine, la peur fini par remplacer l’angoisse et elle se trouva pétrifier, incapable du moindre mouvement. Elle dû faire appel à tout son courage et force de caractère pour laisser sa peur de coté, puis reprendre le chemin vers la liberté.
Un temps précieux s’écoula avant qu’elle se remette en mouvement. Par chance, la situation ne profita pas aux gardiens qui ne la détectaire pas. Sans bruit, sous couvert des ombres de la nuit, elle arriva au bout d’une heure de patience, d’angoisse, de peur, de témérité et d’audace, à sortir du camp barbare.
Elle se trouvait à cinq cent mètre du campement quand elle entendit les cris d’alerte des gardiens. Elle ne su jamais se qui l’a trahi et permis aux barbares de se rendrent compte si tôt de son échappé.
Affolée, elle se mit à courir droit devant elle, trop inquiète du sort que lui réserverai les barbares s’ils arrivaient à la rattraper. Au bout de deux heures de courses effréné, à bout de force, la peur comme seule motivation, elle arriva devant un obstacle qui lui imposa de s’arrêter. Une rivière en crû, impossible à traverser. Ne connaissant pas les lieux, ne sachant s’il était possible de traverser cette rivière en amont ou en aval, et n’ayant plus la force de tenir sur ses jambes, elle se résigna à faire la seule chose qui pourrait encore la sauver.
Mobilisant ses dernières ressources, elle tira dans l’eau une branche d’arbre mort tombée à terre. Une fois dans l’eau, elle s’agrippa à cette branche et se laissa emporté par la rivière en furie, avant de succomber à la fatigue ….
Une rencontre marquante …
Elle se réveilla bercée par les vagues qui l’avaient déposé le long d’une des berges de la rivière. Moribonde, transit de froid et affamé, elle se hissa plus haut sur la berge, puis se retourna sur le dos et se redressa légèrement.
Le soleil était sur le point de se coucher, et le paysage avait bien changé.
Elle compris que la rivière l’avait emmenée très loin des ses bourreaux. Lasse et fatiguée, elle se rallongea et s’accorda un peu de repos …
Quand elle ouvrit les yeux, une couverture bien chaude la recouvrait, et un bon feu crépitai à ses pieds. Une délicieuse odeur de potage vint également lui taquiner l’odora. Elle tourna la tête pour apercevoir un homme, vieux, les cheveux et la barbe en bataille, aux vêtements privilégiant la pratique à l’esthétique. Il la fixa de son regard bienveillant. Dabord prudente et méfiante, Oone se détendit très vite en présence de cet homme, qui par l’assurance et la noblesse qu’il dégagea, la mit rapidement à l’aise et en confiance. Il lui expliqua qu’il l’avait trouvé au bord de la rivière deux jours plus tôt. Sa patience à la soigner et les soins qu’il lui prodigua la remirent rapidement sur pieds.
Très vite une saine affection et complicité s’installèrent entre elle et lui, et ils décidèrent de faire route commune. Ainsi apprit elle à mieux le connaître, et fini par le considérer comme un père. Atropos de son nom, fut jadis un puissant paladin qui connut un jour la disgrâce. Malgré ses efforts, Oone n’appris jamais complètement la véritable histoire d’Atropos, qui ressentait une telle blessure à évoquer la part d’ombre de sa vie qu’il n’osa jamais ce confier.
Il l’a pris sous sa protection, et décida de lui enseigner son savoir. Ainsi apprit elle l’art de la guerre, le maniement des armes, et reçue une éducation basée sur le respect d’autrui.
Elle n’en demeura pas moins fidèle à celles qui lui avaient jadis sauver la vie ; les ombres. La lumière naturelle ou artificielle n’en gardait pas moins toutes leurs beautés à ses yeux, car ces lumières devenaient génératrices des ombres qu’elle chérissait tant. Ainsi inclus t’elle dans son apprentissage du combat une certaine sournoiserie, propre à ceux qui savent frapper leur adversaire avant que celui ci ne les détecte.
Atropos n’estimai pas vraiment cette facette de son élève, non conforme à la « chevalerie », mais accepta de bonne grâce, mais aussi par affection, de la laisser s’épanouir ainsi. Se réfugiant dans les ombres quant elle en avait besoin, préférant l’esquive à l’affrontement direct, Oone parvint ainsi à se créer un certains style de combat dans lequel elle se sentait à l’aise, et pu ainsi affronter les danger qui se dressèrent sur son chemin.
Atropos avait choisi une vie de vagabond depuis son éviction, mais n’en gardais pas moins la prestance, l’élégance et l’aura des grands et nobles guerriers. Oone le suivi pendant de longues années, durant lesquelles ils exploraires de nombreuses régions. Parfois dangereuses, parfois enrichissante ou non, mais jamais sans intérêts.
Leur voyage commun dura 40 ans, avant qu’Atropos ne meurt d’extrême vieillesse…
Nouveau départ
Après la mort d’Atropos, Oone resta perdue pendant prêt de six mois, ne sachant où allez, que faire, et n’arrivant pas à faire son deuil.
Ses mois furent long et emprunts de tristesse. Elle vagabonda sans but et sans raison, et surtout sans espoir. Enfin, la peine s’atténua, la vie repris le dessus.
Atropos ne lui avait pas révélé se qui l’avait poussé à vivre cette vie d’Hermite et de vagabond. Sa déchéance au sein de son ancien groupe de paladin resta un mystère. Cependant, la bonté et l’aide aux nécessiteux avaient guidé ses pas tous au long de sa vie, sans jamais faillir. C’est cet état d’esprit qu’il voulu donner à Oone toutes ses années passées ensemble.
Une idée de la vie, et de la façon de la vivre. Bien qu’il n’ai pas réussi à faire de sa protégé une paladine, il réussi tout de même à l’empêcher d’être tenté par les appâts du mal. Ainsi n’éprouvait elle pas de haine pour les terribles années de sa jeunesse, simplement un besoin de justice, sa justice…
Le bien, le mal, deux facettes d’une même pièce que Oone se refuserai de servir. Toutes ses années qui avaient marqués sont enfances, puis son adolescence, et enfin le début de sa vie d’adulte, lui forgèrent un caractère fort, et lui permirent d’appréhender au mieux bien des situations délicates. La liberté avant tout, d’esprit et de corps, voilà se qu’elle souhaitai. La loi serait celle qu’elle accepterai et non celle qu’on lui imposerai, ainsi n’hésiterait elle pas à la transgresser si son jugement personnel le lui dictai.
D’un naturel calme et sociable, elle continuerai son voyage en cherchant à rester le plus prêt possible des valeurs qu’Atropos lui avait enseigné.
Ainsi, par une matinée pleine de promesse, elle pris ses affaires et s’engagea sur les chemins menant vers une région connue sous le non de « cote des épées ».
-« Peut être y trouverais je des informations sur mes origines » se dit elle …
La communauté Elfique
Sont voyage dura plusieurs années, prenant le temps d'explorer les régions qu'elle traverssa. Elle arriva en Amn et remonta vers le Nord, fini par arriver à Eauprofonde, puis continua son chemin jusqu'à Luskan en passant par Padhiver.
C'est à Luskan, qu'elle rencontra des personnes qui la marqueraient pour le restant de ses jours. Tout dabord des Sharessiennes, avec lesquelles elle devint amie, puis elle prie contact avec les membres d’une communauté Elfique, basée dans la foret voisine. Une communauté d'elfe dont la cité portai le nom évocateur de "haut refuge". Un havre de paix pour tout elfe désirant se rapprocher des siens, et de la Seldarine.
C'est là que Oone rattrapa un peu son retard sur la connaissance de sa race, son histoire, ses coutumes......elle se rapprocha aussi de la Seldarine, choisissant de vénérer la rose captivante, dame au coeur doré Hanali Celanil, ainsi que la divine trinité, Angharradh.
Elle s'épanouie dans cette communauté, vivant des déceptions, des moments de bonheur et de doute, d'espoir et de joie.......et aussi et surtout l'amour.
Voila maintenant trois ans que Oone était arrivé dans la région de Luskan. Beaucoup de choses s’étaient passés, parfois heureuse, parfois triste . Parfois pleine de promesse, parfois annonçant des jours sombres.
Il y avait eu cette période, où les malarites, venu du Nord, ne cessaient leur raide meurtrier dans la foret de Luskan. De nombreux Elfes étaient tombés sous leur coups, et elle en avait réchappé de peu à plusieurs reprisent. Une période de trouble, où le sol de la foret était bien souvent couvert de sang.
Elle avait appris ainsi que le Nord était une région bien plus dangereuse que nul autre, une région abritant des cultes cruels et sanguinaire, des hommes haïssant les Elfes, ou ne désirant que se battre et verser le sang.
Une fois, alors qu’elle explorai une crypte, loin au nord, elle était tombée sur un homme, en armure. Elle se rappellerait longtemps de ses paroles :
- « je suis l’impercepteur Noircolline, haut prêtre de Baine, à Targos, et je haie les Elfes »
Ces derniers mots lui avaient glacé les sangs. Il lui avait demandé de lâcher ses armes, et de le suivre, jusqu’à sa cité, où il l’aurait au mieux rendu esclave. Elle préféra se sauver plutôt que de tenter l’affrontement. Utilisant un parchemin puissant, elle réussi à passer sur un autre plan, et se sauver.
Elle couru jusqu'à la foret de Luskan, loin au Sud, sans se retourner…
Depuis, elle évitai le Nord, et ne s’y était rendu qu’une fois, pour rendre visite à une amie habitant Termalaine.
Elle avait également rejoint un groupe de guerrière, se nomant « les Louves ». Des femmes, hors mis un Elfe, Dardan Ju’endel, faisant également parti de la communauté Elfique. Ses femmes étaient soudées, unis, et là résidaient leur force. Dans une période où Oone doutai de la communauté Elfique, elle trouva chez les Louves se qu’elles n’avait reçue ailleurs. Le sentiment d’être écouté, soutenu, un sentiment de fraternité…
Les Louves et la communauté était très liée, et Oone se sentait bien maintenant dans les deux groupes.
Récemment, l’une des Louves avait été capturé par des cyriquistes. Cette Louve, malgré les efforts des Elfes et des Louves, n’avait pu être récupéré vivante. Encore une amie, une sœur, tombée sous les coups de ses ennemis….
Enfin, dernièrement, Oone avait subi la pire de ses expériences. Elle s’était faite capturé par des adeptes de Loviatar. Elle s’était faite torturée, mutilée, et plusieurs fois elle cru que l’heure de sa mort était arrivée. Sa dignité aussi en avait pris un coup. Car ses bourreaux l’avait privé de personnalité, l’obligeant à ne plus se considérer comme une personne, mais comme une esclave, soumise et docile.
Heureusement, elle avait été libérée après quelques jours de détention, celle avec qui elle partageai sa vie étant venue la chercher, moyennant une forte somme. Gravement blessée, mutilée, humiliée, elle s’était remise doucement de ses blessures physique et morales au près de ses frères et soeurs de la communauté Elfique et de sa compagne.
Cette dernière expérience l’avait endurcis, et elle se décida enfin à franchir le pas.
Elle décida qu’elle s’entraînerai dur, pour que plus jamais, elle ne tombe dans un tel piège. Qu’elle puisse aussi protéger celles et ceux qu’elle aime, contre les dangers particulièrement présents dans cette région.
La communauté Elfique ne se laisserai pas ainsi insulter, et tout acte envers l’un de ses membres serait sérieusement sanctionné.
Depuis quelques temps déjà, elle regardai son ami, son frère, Dardan Ju’Endel, manier ses épées. Il avait la maîtrise et la grâce de ceux qui ne font qu’un avec leur arme. Un maître d’arme, un Danse Lame.
Elle aurait voulu qu’il lui enseigne, mais Dardan manquait de sagesse, de patience pour pouvoir enseigner correctement. Elle apprendrait donc seule. Peut être irait elle lui demander de parler de la « philosophie » du maître d’arme, pour avoir une meilleur idée de la façon dont on approchai de la parfaite harmonie entre le guerrier et ses armes. Mais sa formation se ferait d’elle-même, de manière autodidacte. Elle se souvint de la façon dont se battait Atropos. Il n’était pas maître d’armes, mais pourtant un valeureux et très efficace guerrier. Elle tirerai le meilleur de ses techniques. Elle se documenterai aussi sur les Danse Lame de son peuple. A force de volonté et de persévérance, elle apprendrai à ne faire qu’un avec ses épées.