*Extrait du journal de Zaccharias Von Harkon*
Enfermé comme un rats. Quelque part je l'ai cherché.
C'est pour ne plus être en dette avec la ville où j'ai passé ma vie depuis mon arrivé dans le nord que je me suis livré de mon plein gré. Subir les sarcasmes de l'archimage n'a pas été aussi éprouvant que je l'ai cru. Apres tout il n'aurait pas pu réagir autrement. J'ai avoué toute les charges d'accusations, pour utiliser leur mots. Et je pense que c'était la meilleur choses a faire.
Me voila donc seul avec mes pensées. Attaché, privé de mes mains, avec un baillon entravant ma bouche. Je ne sent plus rien, assis dans le fond de ma cellule j'ai des envies de meurtre. Cacher ma colére, même lors du procès je dois donner l'impression d'être calme, je ne me soumetrais point à des bassesses d'enjoliveur de phrases.
Faut te méfier des roulures petit... Maugrey me manque.. Je l'ai laissé dans ma cachette avant de venir me livrer, j'ai laisser tout mes objets de valeur, tout mes grimoires, toute ma vie dans un coffre bien planqué. Personne ne m'apporte de nourriture, il se doute de quelque félonie de ma part. Comme ils se trompent sur moi je n'en revient pas. Cela m'amuse et en même temps je m'en éttone... Mais je ne mange rien depuis mon séjour dans la crypte. J'ai répendu tellement longtemps ma gueule d'assoiffé chez les sevré de la moelle que même l'idée de nourriture me parait ridicule et vide de sens.
Il me reste la méditation. Pour oublier mes blessures je voyage dans ma tête. La solitude et la méditation. Terrible spirituelle. C'est dans des moments comme ca que je pense à la projection astral. Sans malice pour mes boureau m'évader ! voyager dans d'autre plan en attendant mon heure. Pied et point lié dépourvu de moyen de communiquer, je n'ai aucun moyen de le faire, mais j'y pense.. j'y pense..
J'attend mon procès de pied ferme, s'ils me relachent tant mieux pour moi... S'ils me condamnent je part l'esprit libre
et compte m'amuser une derniére fois
avant d'embrasser la mort a pleine bouche.
...