Extrait du journal de Valya à une époque charnière.
La neige, transformation naturelle de gouttelette d’eau donnant au paysage une blancheur immaculée. Il y a autant de vie et de mort qu’il y a de flocon différents. À mon sens ceci est une parfaite analogie de la vie sur féérune.
C’est cela que ma fait découvert une amie, le soir ou mon esprit vagabondait alors que mon corps était enseveli de cette neige éternelle. J’ai compris pourquoi le destin m’avais amener ici.
Je me rendis donc dans cette cité qui refuse ma présence, du au fait de ma simple race, que je rendis à une chapel. Une chappelle qui englobe trois divnité. Umberlie, Talona et Aurile. Avant tout j’étais inquiette. Pourquoi c’est divinité ont elle accepter que leur adeptes puissent batir un lieu de culte sous un même toit ?
Je me suis dis : pourquoi ? Pour un intérêt commun ? ce qui me sonne faux à mes oreilles, car tous et chacun sais que lorsque nous avons un intérêt commun, celui-ci prend fin lorsque que l’objectif fut atteint ou échouer. Pour des dogmes communs ? Peut-être pour umberlie et Aurile, mais Talona ? Certes, je peux comprendre que le poison peut rendre froid tout créature, mais en réalité le poison souille nos corps, souille notre sang et par conséquent souille la beauté et transcendance qu’un hiver au blanc somptueux peux apporter. Par manque d’or dans leur culte respectif ? J’en doute fort, ce sont avant tout des cultes ayant suffisamment d’orgueil pour ne pas s’associer a une autre divinité par manque d’or.
Il s’agit d’une interrogation à laquel je ne peux pas répondre pour le moment. Toutefois alors qu’Aube la neige couvrait champs et pavé. Je fis cette rencontre que j’attendais depuis déjà une lune. À cet époque charnière voilà la direction que prend ma destiné.