- Citation :
- Nom du compte joueur forum : Cyprien lefebvre
Nom du compte joueur module : draconique
Nom du perso : Elmera
Race : Elfe
Age : 120
Alignement : neutre bon
Religion :
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : 10 druide 15 metamorphe
Arme de prédilection/domaines/école de magie :
Trait de Caractère :
Description physique :
Caractéristiques :
FOR: 10
DEX: 10
CON: 12
INT: 14
SAG: 18
CHA : 8
Langues parlées
- elfe
- commun
- Langage Secret druidique
-- langues comprises liées aux métamorphoses--
[Draconique, drow]
Mes parents, Eleona et Eleren ce sont connue quand ils étaient enfant. Tout deux ont décidé de suivre la voix des arts profanes et ils se sont retrouvés dans la même tour de magie à suivre des enseignements commun. Au cours de leur séjour la bas, ils se sont pris peu à peu d’un amour passionner et en sont venus a s’intéressé à un sujet commun pour leur thèse de fin d’étude : la capacité des humains à apprendre la magie si vite et pour si peu de temps. Au cours de leur recherche pour leur théorie, mes parents se sont fait beaucoup d’amis parmi les humains. Si bien que lorsque le temps est arrivée pour eux de retourné à Luminor, leur cité natal, ils ont gardé néanmoins beaucoup de contact et effectuaient même des visites régulières à leur amis.
Des années plus tard, Eleona et Eleren donnent naissance à une petite fille : Elmera.
Très jeune, Elmera se révèle turbulente. En faite elle est même intenable et ses professeurs s’arrachent les cheveux de ses farces aussi nombreuses que de gout douteux qui ne font souvent rire qu’elle-même au détriment de la victime. Elle fait cela pour attiré l’attention car elle a vite compris que l’attachement de ses parents aux humains lui donne une mauvaise réputation à elle aussi et que par conséquent les enfants de la cité la tienne à l’écart de leur jeu. Malgré ses efforts pour attiré l’attention, Elmera se sent de plus en plus seule, exclus des jeux, sans amis réelle, et bien souvent la bête noir des autres de son âge quand les professeurs plus tolérant leur font des activités commune. Elmera forte, refuse de se confié à ses parents et finit avec le temps par devenir une marginale préférant sa solitude à la compagnie de gens qui la rejette de toute façon. Pendant ses moments de solitude, Elmera se refugie en foret de plus en plus souvent. Au début elle ne s’en rend pas compte, mais un jour elle se découvre un talent certain pour comprendre les animaux et interprété leurs réactions :
Tout commence alors qu’Elmera viens d’être éliminer la première par ses camarades de classes a un jeu de leur âge… d’ailleurs elle a été choisit la dernière, personne ne voulant d’elle dans son équipe.
Habitué mais pas insensible, Elmera décide d’aller se refugier dans la forêt. Alors qu’elle évolue entre les buissons, elle sent son ventre gargouiller et décide de se mettre en quête de baie sauvage qui foisonne dans la région. En écartant les branches d’un bosquet, elle tombe nez à nez avec un blaireau particulièrement agressif, qui montre les crocs et racle le sol. D’abord terrifiée, Elmera sais qu’un blaireau en colère est terriblement dangereux. Elmera commence à hésiter et écoute son intuition. Elle commence à reculer prudemment en replaçant les branches dans l’état exacte qu’elle les a trouvé. Un ranger qui passait par la observe la scène et interpelle Elmera une fois celle-ci éloigner. Pour le ranger, peut lui importe qu’Elmera est des parents qui aime les humain ou qu’Elmera ne soit marginale, non ce qui compte c’est de comprendre comment Elmera a fait. Elmera lui explique simplement qu’elle s’est mise a la place de la bête dont l’antre a été déranger. Le ranger approuve :
« Tu sais Elmera, la nature doit être respecté et protégé. Elle vie sous la forme d’un cycle à l’équilibre fragile. Et toute intervention maladroite et non éclairé, quel soit dans de bonne ou mauvaise intention, peut nuire à cette équilibre. Ta réaction de tout remettre en place à limité ton intervention intempestive dans le cycle de vie de ce blaireau. Que dirais tu, de suivre une formation au druidisme, car tu semble avoir des dispositions à la compréhension du monde qui t’entoure. »
Elmera décide d’en parler à ses parents avant de prendre une décision.
Formation au druidisme
Apres avoir reçut l’aval de ses parents, Elmera se rend au cercle.
Un druide décide de la prendre sous son aile et la forme petit à petit. Il commence par la connaissance de flore, puis de la faune pour laquelle elle se passionne littéralement. Elle apprend à communiquer avec les arbres et les animaux, à les apaiser, ou à les écarter des zones de vie quand ils s’en approchent trop. Elle apprend également à plus ou moins discuter avec, à connaître leur cycle naturel et à communiquer avec eux. L’enseignement évolue ensuite de la compréhension au monde qui l’entoure à celui de l’usage des force caché dans ce monde : la magie druidique. Elle commence petit à petit à demander à la nature de lui accorder ces dons et à s’en servir avec sagesse. Elle demande à la nature de lui transmette les pouvoir druidique, au départ simplement à faire apparaître de l’eau. Elmera se sent enfin utile et plus seule, et accepter. Une force à défaut de quelqu’un : la nature, accepte de la comprendre et de l’aidé. Les animaux sont ses amis, et l’accepte tel qu’elle est.
Un jour, après une longue étude d’une louve vivant assez loin de là, le druide lui apprend à prendre la même forme pour l’approcher. Alors que peu à peu ses mains deviennent des pattes, que son nez s’allonge, que son visage devient une gueule, elle se sent de plus en plus libre. Une fois défaite de son corps détesté, plus proche de la nature qu’elle affectionne tant, cette aventure lui plait. Depuis ce jour elle adore sa balader sous la forme d’une louve ou d’une panthère, elle décide de comprendre, tous types de créatures vivantes. Son apprentissage du druidisme a déjà commencé depuis vingt ans et continue durant dix ans. Sa passion pour les animaux, et son envie de connaitre les créatures ne fait qu’augmenter à partir de ce moment là. Un jour son maître lui parle d’une branche du druidisme très proche du changement de forme : la métamorphose. Pour Elmera qui ne pense plus être une elfe, c’est la révélation. Elle peut n’être qu’elle-même tout en cachant sa véritable nature et cela c’est ce qu’elle désire. Ainsi peut lui importera les railleries et quolibets elfique, elle trouvera toujours refuge auprès d’une espèce en adoptant sa forme. Elle pourra aussi mieux étudier leur mode de vie et leurs coutumes.
Formation à la métamorphose
Son maitre lui apprend la base de la métamorphose. Comme il n’est pas doué dans ce domaine il décide de recommander Elmera auprès d’un de ses confrères, un expert en métamorphose qui a élu domicile dans les montagnes distante de 3 jours de marche au sud de la ville.
Elmera fait à la hâte son baluchon, empoche la lettre de recommandation et se rend donc dans les montagnes. Naturellement Elmera désire faire forte impression auprès de son future nouveau maitre aussi décide t’elle de prendre la forme d’une louve pour s’y rendre.
Elle trouve refuge dans une caverne et commence ses recherches… trouver un métamorphe dans son élément est extrêmement ardue et la tache lui prend pas moins de 5 jours. Comment pourrait elle déniché un maitre qui peut prendre la forme de son choix et qui s’il est un expert peut même imiter les attitudes des espèces choisit ? Le temps passant, Elmera doute de jamais retrouvé cet expert, elle a beau interrogé les animaux des environs, aucun ne peux lui répondre. Ses journées sont simples : Se nourrir, faire sa recherche, puis aller dormir. Jamais elle ne dérange les lieux plus que nécessaire et elle s’efforce constamment de tout remettre en place quand elle dérange quelque chose. Au crépuscule du 5eme jour, Elmera renonce et prend le chemin du retour vers sa ville natal. Elle aperçoit, au bord d’un torrent qui coule un vieil ours en train de péché. Pour elle la chose est anodine mais un peu en retrait elle constate la présence d’un feu au dessus duquel cuit des brochettes de poisson. L’ours la regarde alors et d’un geste de la patte typiquement humain il l’invite à se joindre à son repas. Elmera qui n’est pas complètement stupide sais qu’elle a trouvé l’ermite, elle se joint donc a lui. Elle interroge pendant tout le repas l’ours mais ne reçoit aucune réponse si bien qu’enfin de compte, elle finit son repas en silence. A la fin du repas l’ours prend sous ses yeux une forme humaine.
« J’ai bien crue que tu ne te tairais jamais ! J’aime manger en silence petite elfe. Tu viens d’apprendre ta première leçon : La patience… »
« Comment ? Mais…mais vous saviez que je venais pour suivre votre enseignement ? »
« Evidement tu n’as pas cessé de venir m’interrogé pendant ces 5 jours ou tu me cherchais. Souviens-toi l’écureuil qui réunissait des noisettes pour l’hiver… la biche qui paissait tranquillement dans la clairière... Le faucon qui traquait une proie *il énumère ainsi une longue liste de rencontre qu’Elmera a faite* Et pendant tout ce temps, je t’observais. Tu as brillamment réussit le test je te félicite tu es digne de te faire appeler druide. Mais je devine que tu ne désire pas en rester la d’où ta présence ici… quel sont tes motivations ? Et qui es-tu ?»
Elmera lui répond. Le vieil ermite lui repose encore une fois la question, et encore, et encore… inlassablement les deux mêmes questions se posent et Elmera y répond sans varier mais après un nombre incalculable de question- réponses identiques, Elmera s’emporte et exige de comprendre l’intérêt de ces répétitions de questions.
« L’entrainement que tu va subir Elmera te conduira à modifie ton corps mais aussi ta façon de penser et d’être. Et si tu n’y prends pas garde cela finira avec le temps par modifié ton âme au point de te changé définitivement en la créature que tu auras choisit de devenir. »
Ainsi débute l’entrainement d’Elmera…chaque jour et a tout instant elle se doit de ne jamais oublié qui elle est et ce qu’elle veut. L’ermite prépare l’âme d’Elmera autant que son corps et son esprit. L’entrainement au Métamorphose est dit il : simple, mais le contrôle de ces métamorphoses voila ce qu’Elmera doit apprendre en cas d’échec elle deviendra définitivement ce en quoi elle change.
(Elmera sais donc désormais se changer en situation calme à volonté et reprendre sa forme originelle. Néanmoins j’ai eut envie de pimenté un peu le rp de métamorphe et voici ce que je suggère : Si Elmera se transforme en situation de combat ou de stresse, une fois le moment de crise passé, elle doit jeter 1D de pourcentage pour déterminé si elle parvient seule a sortir de sa condition métamorphosé. Le DD de base est de 5% d’échec il monte ensuite de 5% pour chaque niveau de métamorphose.)
Une fois l’esprit et l’âme d’Elmera fortifié, le maitre l’emmène dans les montagnes étudier les dragonnets lui montrant leur milieux de vie, en général les sommets enneiges des hautes montagnes ou les grands glaciers ou ils font leur caverne dans une faille. Elle étudie Leur manière de s'organiser socialement : la mère élève les petits jusqu'a un certain âge.
Dès qu’ils deviennent assez forts pour trouver assez de nourriture ils partent vivre seuls. Bien que cela n'est pas sans risque, ils se nourrissent beaucoup de yeti et autres grandes créatures.les petit se nourrissent de loups arctique, leur immunité au froid les protègent de leur haleine gelée. Elmera apprend tous se qui fait de ces être des être particulier, mais surtout et le plus difficile, les comprend, et comprend comment les étudier. Les études d’Elmera se poursuivent et chaque jour Elmera découvre une autre créature. Au fur et à mesure de ses études elle voit se que chaque créature a d'unique, et se qu'elle partage à d'autre. La capacité d'une panthère à se servir de sa queue comme d'un balancier, celle d'un yeti à se dissimuler dans les glaces, ou d'un dragon à vivre la ou ses résistances naturel l'avantage, le regard pétrifiant d'un basilique qui lui permet de survivre, toutes ces spécificités propre à chaque espèces ont un usage commun : la survit dans des milieux hostiles, leur capacité à s'adapter à leur environnement.
Enfin son mentor lui dit un jour :
« Elmera nous avons passé des années ensembles toi et moi. Je t’ai appris tout ce que je savais sur les animaux et créature que je côtoie. Mais ta soif d’apprendre est insatiable aussi il est temps pour toi de visité le monde. »
Apres des adieux touchant, Elmera sous sa forme fétiche de louve, s’en va non sans regret. Elle avait trouvé une maison… L’avenir et le monde s’ouvrant devant elle, après un rapide passage éclaire dans sa famille à Luminor, elle prend la route à la découverte des richesses d’espèces du monde.
Rapport d’étude sur le dragonnet des glaces :
Milieux :
Dans les hautes montagnes et dans les glaciers nous trouvons souvent des petit dragon qui cherche a survivre. Nous les observons a une distance respectable pour éviter de nous faire remarquer et perturber leur comportement. Nous les avons observé très longuement et je conçois ce que la nature a mit au point pour l'aider dans sa tache.
Sa vue:
Améliorer par son sang de nature magique il voit mieux que n'importe quelle créature sur toril, cette afflue de magie lui permet de voir au delà du plan physique, ainsi que dans le noir et au travers de la glace.
Le vole:
La qualité remarquable de ces ailes lui permet de changer de direction instantanément, en plus du fait que sa façon de combattre se fait sur trois dimensions et non deux comme pour les créatures terrestres
Ces écailles :
Les 15863 (chiffre approximatifs) écailles qui recouvre son corps on plusieurs fonction, la première est de protéger leur corps contre un type d'élément destructeur, le froid pour les dragons blanc. Elles ont aussi le rôle de le protéger des coups physiques comme une armure. Enfin elles sont si serrer quelle permette un meilleur déplacement dans les airs.
Les griffes :
Leurs griffes ont une puissance d'attaque très appréciable pour qui combat a son coter elle leur permette aussi d'enserrer quelqu'un dans une patte.
La gueule :
La mâchoire d'un dragon est très dangereuse, mais le pire est sont souffle qui permet au dragonnai des glace d'être redoutable sur terre en bloquant ces proie que dans les airs en paralysant leur ailes les rendant vulnérable.