[Disparu][Druide][E] Aniriandel

Citation :

Nom de Compte : NikalPikal


Nom du PJ : Aniriandel

Race : elfe des bois

Classe : Druide 25

Arme : lance

Ecole : Invocation - Evocation

Alignement : CN

Religion : la nature en elle-même

Caractéristiques :
Fo 14
Dex 13
Const 14
Sagesse 22
Int 10
Charisme 10

Langues parlées : Elfe, humain, langage secret des druides.

Caractère : impétueux.

Description physique : elfe à la stature d'un elfe standard. A la différence de beaucoup de monde, n'est ni extrêmement beau, ni incroyablement musclé, et ne possède pas la stature impressionante qui force le respect auprès de personnes qui croisent son regard. :p (private joke pour 90% des PJ)

De son arrivée dans le nord sauvage.
(tous les éléments suivants se sont passé RP)

Jeune graine
J'ai longtemps cherché ma place dans ce monde, j'ai longtemps cherché quel était mon rôle, pourquoi j'étais là. Je ressentais la Seldarine autour de moi, mes frères elfes, mon état d'elfe. Mais j'observais les bois, les forêts qui s'étendait à perte de vue, immenses et profonde, et je ressentais la nature, vivante et puissante.
Je suis Aniriandel, et je suis druide.

*
* *

Jeune pousse.
J'étais jeune et insouciant lorsque je suis arrivé dans cette région, impétueux peut-être, inexpérimenté, surement. Cette cité étrange qu'ils nomment Luskan, une cité humain perdu dans le nord de Faerun, le Nord sauvage comme on l'appelle parfois. Et dans cette ville, je me sentais aussi à l'aise qu'un poisson l'aurait pu dans l'Anauroch.
Ces hommes si étranges, si nombreux, moi qui n'en avait presque jamais vu. Je n'osais leur parler, bien que je rêvais de les connaître.
Je décidai donc d'explorer la région, seul. Une erreur, car la région était tourmenté, en pleine guerre qui opposait les Bainites de Belle-Prairie et certains hommes qu'on appelait les Défenseurs de Luskan. C'était il y a longtemps maintenant, l'époque de Krighor, du guerrier Sombrelame, et de l'Impercepteur Arjran de Froideval.
Et les bois, comme toute la région était dangereuse, surtout pour un jeune elfe insouciant comme je l'étais.
Il y avait peu de gens pour m'aider, car je ne me mêlais pas à la population. Je préférai les observer depuis les bois, les observer de derrière les arbres. Comment protéger l'Equilibre de cette manière ? Je ne le pouvais pas, bien que j'ai juré de le faire. Mais j'étais bien trop faible pour m'opposer.
Et lorsque je vis cet homme, Keldorn, se faire mollester par des Bainites, je ne pus m'y opposer, et je ne réagis que par la fuite.

*
* *

Arbuste
J'ai longtemps cherché d'autres enfants de la nature. Pas des elfes comme certains le comprennait parfois, mais bien d'autres membres du cercle. Et la chance finit par me sourire lorsque je rencontrais Tert Dred, qui me présenta à sa compagne, Isang E'Neren, druidesse de Maillikki.
Femme de grande sagesse, elle prit sur elle de m'enseigner et de me transmettre ses connaissances et son respect de la nature.
C'était il y a bien longtemps maintenant, l'époque de Coralys la louve, Keldorn le paladin de Tyr et de Erkenbrand Winterstorm, champion de Tempus.
Mon enseignement commença par un pèlerinage vers ce qui était jadis un Bosquet, à Havredest, et il ne correspondait pas vraiment à ce que j'en attendais.
Ceux que je connaissais dans mon souvenir était majestueux, coeur des forêts, source de l'Equilibre. Celui-ci, perdu sous la neige ne protégeai plus rien. Vestige d'un passé révolu.
Mais devant ma déception, Isang E'Neren souhaita me présenter Keli des Runes, une druidesse du Nord. A elles deux, elles recréeraient le Bosquet du Nord, et je leur promis mon aide.
Mais la région était tourmenté, et les bois souvent patissaient de l'irrespect des guerriers des deux camps qui s'affrontaient. Les forêts étaient trop souvent le théatre de combat sanglant ou nul ne remportait le combat. Et les druides n'étaient plus respecter à leur juste valeur.
Jusqu'à ce jour...

*
* *

Arbuste dans une nuit sans fin.
Nous étions dans les bois lorsque le rugissement se fit entendre. Isang me demanda de la suivre, et le spectacle qui se présenta à mes yeux devant les remparts de Luskan m'effraya.
On l'a nommait "Armée des ombres", et elle ordonnait à Luskan de se rendre et d'accepter la domination shadovar.
Mais les protecteurs de Luskan refusèrent, comme on pouvait s'y attendre, et chose étonnante, ils demandèrent assistance au Bosquet.
Isang s'avança :
"De quel droit Luskan demande-t-elle notre aide ? de quel respect les bois bénificient-ils ?"
Les shadovars tentèrent de convaincre Isang de laisser le Bosquet en dehors de cela. Mais je réussi à ce que l Bosquet se range du côté des Luskaniens. J'étais jeune et inexpérimenté.
Le combat fit rage, et nous perdimes nombres de combattants, et les bois virent naître une malédiction en punition de l'affront que nous avions opposer aux Shadovars en aidant les Luskaniens.
Et le mal portait nombre déguisement, et lorsque je m'empressai de surveiller les aller et venu des magiciennes dans les bois de Luskan, je ne m'aperçu pas que, elles, elles m'avaient vu. Tortures, peut-être mort, au nom de Loviathar, je ne due mon salue qu'à l'arrivée d'un homme, qui deviendrais bientôt un ami proche, qu'on nommait à l'époque Certas Terenason, écuyer de Padhiver.
C'était il y a bien lontemps, c'était le temps qui verra naître les Veilleurs et mourir Keldorn.

*
* *

Une fôret sous la tempête.
La guerre était désormais plus que présente. Sous le couvert de leurs idéaux, les défenseurs de Luskan et ce qui allait devenir les Veilleurs, chassèrent la liche de Luskan, mais cette dernière prit la fuite vers le nord, avec maints guerriers à ses trousses.
Le combat s'engagea dans les bois, et je ne pouvais permettre qu'un mort-vivant souille le sol de son immonde présence et de ses sorts maudits. J'aidai donc les défenseurs. Mais j'étais jeune et inexpérimenté, et je ne vis pas, celui qu'on nommait Artemis Silverfang, le maître des Arcanes, qui révèla sa trahison aux yeux de tous, souvant la liche d'une destruction quasi certaine. Et dans cette victoire inattendue, ils emportèrent Keldorn loin au nord, à Targos.
La guerre était désormais déclaré. Et le Bosquet ne pouvait permettre qu'un homme qui avait toujours défendu les bois, bien qu'étant citadin, puisse être capturé par les bainites.
Les racines et les vents, la neige et les tempêtes s'attaquèrent aux armées bainites. La guerre était déclaré, et elle devait se terminer.
L'Equilibre devait être rétabli. La mort d'un homme de bien devrait se conclure par la mort d'un malfaisant.
Mais le Bosquet s'engageait dans une guerre qui ne le concernait pas.
Et lorsque nous aidâmes Louves et Veilleurs à libérer Port Last, pour des raisons qu'aujourd'hui j'ai oublié, j'y compris notre erreur.
Car les bainites ne laisseraient pas port last tomber ainsi. Et se fut la population qui le paya de sa vie.

*
* *

Tout perturbation de l'Equilibre à une conséquence.
Et c'est en participant à une guerre qui ne nous concernait pas que nous perdimes de vu ce qui était vraiment important pour le Bosquet. Le respect de la nature, et l'Equilibre. Nous étions là à aider des hommes de bien, pour qu'ils remplacent les bainites. Et quand je vois ce qu'est devenu Port Last aujourd'hui, chaque jour je me remémore mon erreur.

Les druides avaient délaissé le nord pour cette guerre, et Dix Cités souffraient désormais de l'influence des Bainites.
La population du nord était délaissé de tous, les bainites ont su leur tendre une main guère amicale, certes, mais une main tout de même.
C'était il y a bien longtemps maintenant, c'est l'époque qui vit le Bosquet payer de plus en plus cher ses erreurs, et qui vit se construire les fondations de la Cité des Milles Tours.

Mais au sein des ombres, j'appris une leçon qui me sert encore aujourd'hui. L'Equilibre est, et l'Equilibre sera. Et de la même manière que le chaos peut engendrer la loyauté, le mal engendrera le bien.

[...]

Chêne
Le temps a passé depuis cette époque, mais les choses ne changeaient guère. Isang était parti avec son enfant, Keli des Runes avait disparu suite à la mort de son époux.
Il ne restait que Thelias et Aniriandel parmi les druides du Bosquet, une lourde tâche au sein d'une région tourmentée.
Mais à la manière des feuilles qui tombent en hiver, les bourgeons du Bosquet allait donner naissance à de nouvelles branches.
Et c'est ainsi que Lomyril fit son apparition, rôdeur défenseur des bois, courageux, volontaire, et même parfois insouciant. Malwen Galentaur, elfe du soleil qui avait juré par le passé de bruler Luskan.
Et par la suite, Angèle, qui donnera sa vie pour la forêt et le Bosquet.
Tant d'enfant des bois qui nacquirent et mourrurent pour l'Equilibre.
Qui reste-t-il aujourd'hui ?

Une région tourmenté qui avait vu Angèle se sacrifier une première fois. Son corps fut détruit par les flammes, mais la puissance des druides était plus impressionnante que toutes les magies profanes de Faerun. Et d'un simple souvenir, le cercle druidique fit revivre Angèle.

Une région tourmenté qui vit l'ascension des Templiers et la construction de Lorgol. Des guerres de clans se battant pour des causes inutiles. Pendant que le Soleil Noir commençait son ascension à l'horizon.
Une guerre entre Luskan et un clan orc, que tous crurent qu'elle se termina par le massacre des Luskanien par une horde d'orc haineux d'avoir vu leur chef mourir pour une cause inutile.

Personne ne vit le shaman fou qui les dirigeait s'enfuir dans les bois, pour y continuer ses méfaits. La guerre contre les orcs se termina vraiment sur l'autel de la nature, dans un combat rituel opposant le shaman à Aniriandel, un combat qui vit la victoire du druide elfe. Les survivants de la horde durent renoncer à cette guerre, et partirent loin au nord, pour s'exiler. Des centaines de morts, humains elfes et orcs, qui auraient tous pu être évité.

*
* *

Une région tourmenté où le respect de la nature disparue. Et tout trouble de l'Equilibre entraîne une conséquence, et cette fois-ci, elle fut, inattendu.
Car un seigneur des vermines répondit à l'appel de l'Equilibre.
Un druide de l'ombre qui se nommait Sragern. Il souhaitait forcer les citadins à s'incliner devant la puissance de la nature. Il détruisit les récoltes de Luskan, incendiant les greniers de réserve en grain, assassinant les voyageurs dans les forêts.
Mais une fois de plus, les conséquences furent innattendu, car au lieu du respect et de la méfiance, la haine et la crainte des druides emplissaient le coeur des hommes. Et le respect qui demeurait disparu définitivement.
Dans une ultime tentative de sauver les bois de Luskan, Aniriandel s'opposa à Sragern, au sein même de la forêt. Le druide de l'ombre fut vaincu, mais le mal était fait. Les druides ne seraient plus respectés. Ils étaient vu avec haine, et on commença à les chasser et à bruler les bois pour les faire fuir.
Le temps panse les plaies, et beaucoup de druides quittèrent la région, et le Bosquet fut oublié.

*départ rp de aniriandel*

*retour rp de aniriandel et demande de reroll*

Citation :

Classe : Druide 25

Alignement : Neutre Strict

Caractère : a perdu son impétuosité. Désormais acerbe et imperturbable. Et ne faisant aucune différence entre un elfe ou un orc.

Caractéristiques :(au lvl1)
Force : 10
Dextérité : 14
COnstitution : 12
Sagesse : 24
Intelligence : 14
Charisme : 10

Arme : aucune

Ecole : aucune

Langues parlées : Elfe, Humain, Langage Secret des Druides, Orcs, Sylvain.

Physique : peu de changement par rapport à son arrivée dans la région. Une simple cicatrice maudite demeure sur son torse.

"Je suis parti longtemps. Des années que je n'étais pas revenu dans le Septentrion et le Valbise...

Mais mes voyages m'ont beaucoup appris.
J'ai gravi les montagnes les plus hautes simplement pour voir l'étendue des forêts qui se répandait à leur pied, et pour les ressentir.
J'ai rencontré des tribus d'orcs et de gobelins, j'ai appris leur langage étrange, et leur coutume, pour comprendre pourquoi ils étaient tant détesté par les autres, mais aussi pourquoi ils avaient le droit de vivre comme tous les enfants de l'Equilibre.
Ceux de ma race que je rencontrerais me le repprocherons probablement, mais peu importe."

Concernant les langues, peux tu développer ton apprentissage de l'Orc ?

De la sagesse et du savoir
J'ai voyagé longtemps et très loin de la région que je considérais comme chez moi, très loin des bois et des plaines que j'avais fait serment de protéger. Mais pour le bien de ces mêmes bois, j'avais dû partir.
Des nombreuses batailles avaient opposés toutes les races que la nature avait enfanté, et si un jour je souhaitais pouvoir les éviter, je me devais d'en savoir plus sur ces mêmes races.

J'entrepris donc de partir à la rencontre de tribus orques à travers les régions les plus reculés, et les forêts les plus profondes. Les orcs craignaient les druides, et évitaient de les croiser. Et lorsque je me présentai enfin à eux, ils eurent la réaction que j'attendais d'eux face à un elfe, et face à un druide.
Ils voulurent me capturer, la méfiance et des années d'harcèlement avait pris le pas sur quelconque sagesse. Et devant les hurlements haineux de leur shaman, je compris que je ne pouvais rien attendre d'eux, du moins sous cette forme d'elfe.
J'ai donc fui, en m'envolant sous les traits d'un faucon. Ce peuple tant haï, obliger de vivre par la haine de l'autre.

Je ne revins que plusieurs semaines après, sous les traits d'un peau-verte. Je pénétrai dans le camp, accueilli vomme l'un d'entre eux, malgré une méfiance toujours présente.
Je me mêlais à eux, essayant de vaincre cette méfiance maladive. Je ne parlais que peu, car je ne comprennais pas leur langage... juste quelques mots. Je n'avais droit qu'à une hospitalité orc toute relative, les peaux vertes n'étant guère habitué à ce genre de chose, et j'atais pour eux un orc qui ne parlait pas leur langue.
Les semaines passèrent, la méfiance diminua, je réussi à participer à la vie de la horde sans qu'ils jugent mes actes comme une agression.

Un jour, l'un d'entre eux m'adressa vraiment la parole. Et devant mon regard interloqué, il entreprit de m'enseigner la langue. L'apprentissage fut long et laborieux, mais aussi éloigné que les orcs soit des elfes, je réussi à comprendre puis parler leur langue.
Je restai encore plusieurs lunes, à apprendre leur coutumes, leurs craintes, leurs buts et leurs haines.
Je m'imprégnai de cette vie que peu cherchent à comprendre.
Cette haine ancestralle netre nos peuples, elle me semblait bien loin maintenant.

Je finis par partir, une nuit, sans dire aucun mot. Je repris alors mon voyage, en quête de savoir, afin de mieux comprendre l'Equilibre.

Ok, ça me va.

Je revalide