Nom du compte joueur forum : oursnoir
Nom du compte joueur module : westaflex
Nom du perso :Ayanna Oursnoir
Race : demi elfe
Age : 27
Alignement : Neutre mauvaise
Religion : malar
Classe et nombre de levels (prévus) : Druide 20 – 5 rodeur
Arme de prédilection/domaines/école de magie : cimeterre
Langues : Commun [Race]Animal [Classe]
Trait de Caractère : haineuse envers la civilisation qu’elle considère comme une ennemie a éradiquer elle garde un certain calme et accepte de parler facilement
Description physique : une partie du visage bruler , elle a un certain soins d’elle-même quand elle part en chasse sa tenue et composer de differante partie recuperer sur sont gibier qu’il sois animal ou humain
Une vie :Paradis d’artifice
Tout a commencé sur l’île d’Illighon il y a vingt cinq ans déjà, j’avoue que je ne connais rien de mon passé ni de la raison pour laquelle je fus élevé par les gens de l’enclave de l’émeraude.
J’ai vécut au milieux des animaux et de la nature apprenant a la connaître intuitivement et bercer par les récits des druides et autre protecteur de la nature, les anciens de l’enclave disaient qu’il fallait se concentrer sur les besoins de la nature afin de contrer la progression de la civilisation humaine j’avoue que j’était effrayer quand j’entendez les récits de ceux qui partait pour le continent.
Les citée de pierre, je faisait des cauchemar en pensant a ces endroit stérile fabriquer par l’homme.. Un jours dans impulsivité je dit à l’archi druide de l’enclave qu’il faudrait détruire la civilisation.
Le vieille homme m’écoutât avec patiente et avec un sourire bienveillant ce qu’il répondit a ma colère restât dans mon esprit longtemps, l’être qui se dit civiliser et un aveugle mais il fait lui aussi partit de la nature nous devons lui montrez la voie et avec sont aide protéger la nature qui nous a donner la vie.
Nous guidons les bûcherons dans nos forets leur montrant les arbres malades et les bois trop touffu, nous les éduquons et cela doit être notre but et notre marque dans le monde.
Il faut petite leur apprendre a vivre en harmonie avec la nature autours d’eux dit t’il en conclusions.
C’est bien naturellement que je me tourner vers la voie du druidisme et des que j’eut l’age je commencer a accompagner les druides de l’enclave malgré tous je ne pouvait m’empêcher d’éprouver un certain dégoût et une certaine méfiance vis-à-vis des gens civilisée.
Je suivez les protecteurs qui guidait les bûcherons dans les foret pour éviter les coupes aveugle, j’apprenait à reconnaître les arbres et leur maladie comme le pourridié et c’est filament blanc grimpant sous l’écorce ou le chancre qui attaque le bois.
C’est vers ces arbres que nous guidions les bucherons choisissant parfois certain arbre aussi pour permettre au jeune pousse de voir le jours et de respirer
Quand je n’était pas en mission d’apprentissage j’avoue que je me consacrer beaucoup a l’étude de la nature qui nous entoure et mes camarades disait en plaisantant que je devait avoir était mage dans une vie antérieure, le comportement des ours me passionner ils étaient mes animaux fétiches.
L’ours et imprévisible même pour une druide, comment savoir si il bluffe quand il attaque ? Même les druides les plus expérimenter on du mal parfois a le savoir.
Dans tous les cas l’ours protégeras férocement ces petits, quand il est nerveux tous en lui ce modifie il s’écarte de sont chemin et s’élevé sur ces pattes de derrière pour regarder et sentir et si il vous repère et vous considère hostile il commence sont jeux, salivant abondamment sur ces pattes arrière frappant les objets l’entourant et chargeant.
Première transformations, rencontre avec ursa :
Le temps passât, je consolider ma connaissance du monde trouvant des réponses dans le murmures du vent ou dans les nuages.
Ma force se développer et ma nature me pousser a la solitude ce que les autres respecter, alors que je partait dans une de mes promenade solitaire je tomber nez a nez avec un objet de la civilisation qui me glaça le sang.
Aux milieux d’un buisson de baie touffu reposer une mâchoire de fer étincelante comme le mensonge des citée de pierres, l’objet était prolonger par une chaîne solidement attacher a une poteau et a la taille de l’objet je deviner que ce piège était réserver aux ours.
Je fut un instant étourdit par l’odeur de sang qui ce dégager de ce funeste objet, apparemment ce dernier avait servie et ces fébriles que je suivait les traces au sol.
Je les sentit et les entendit avant de les voir, son étrange de rire gras troublant la paix de la foret accroupit dans les buissons j’approchait en silence pour les observer, figer je regarder un groupe de trois hommes riant autours de dépouilles sanglantes il me fallut une temps pour reconnaître la famille d’ours que j’observait depuis un long moment.
La femelle gisait sur le cotée et la marque profonde a ça patte me prouver que c’etait elle qui avait était victime du piège d’acier, mon cœur se serait tandis que j’observait ces créatures dite civilisé dépecer une ourson d’on la patte bouger encore alors que le couteau faisait sont travaille.
Des larmes de rages m’aveuglèrent je me rappeler les heures a regarder la nature a étudier les ours, je me dressait le corps perclus de douleur la bave au lèvres et frapper l’arbre le plus proche de moi avant de charger …
Je chargeait dans un semi brouillard de rage, je charger et ne bluffer pas
Les regards de peur des braconniers ne firent qu’amplifier ma rage la pousser dans ces extrêmes limites, de coup de patte en coup de dent je réduit a néant ces monstres.
Tandis que je contemplait le carnage essayant de chasser le goût du sang dans ma bouche un gémissement me fit sortir de ma torpeur, le dernier oursons que ces bourreaux attaquer était encore en vie et ces le cœur serrer que je m’approcher de la bête qui essayer de ce lever.
Je rester sidérer quand j’approchait ma main du pelage ensanglanter, cette dernière était devenue massive couverte d’une fourrure brune terminer par de terrible griffe.
Un nouveaux gémissement de l’ourson me tirât de ma panique, je connaissait ce phénomène même si je n’en avait pas était témoin et je me concentrer sur l’image que j’avait de moi pour retrouver mon état normal.
Le retour a la normal fut douloureux, les poils rentrèrent sous ma peaux mes muscles se rétractèrent a bout de souffle je retrouver mes longues mains blanche a plat devants moi.
Je n’eut guère le temps de réfléchir on avait besoin de moi, l’ourson était dans un état grave et mon intervention avait juste empêcher que les hommes finissent leur gestes, je le soigner comme je le pus la nature déciderait du reste.
J’emporter cette victimes de la civilisation avec moi et naïvement je l’appeler ursa.
La vérité éclate :
Ursa survécut a ces blessures mais dans qu’elle état, mon compagnons devait garder de cette aventure de nombreuse cicatrice et une haine de l’homme qui altéra sont comportement.
Je devenez de plus en plus solitaire n’avouant jamais mon geste mes compagons goberent sans sourciller le mensonge d’un ourson trouver abandonner sur un lieux de braconnage, je me plonger dans l’étude de la nature et des plantes.
Je devint une spécialiste car je ne m’arrêter par qu’aux plantes de soins étudiant avec une égale obstination les poisons et les plantes utile a l’homme , je fut surprise d’apprendre avec le temps que selon les dosage dans une potions une plante pouvait tuer ou soigner.
Un jours l’archi druide me fit appeler, je pense qu’il avait hésiter longtemps face a mon comportement associable mais que j’était sont meilleur atouts.
Une maladie étrange frapper un petit village et aucun prêtre ne pouvait en trouver la cause, il me demandât d’aller voir et d’en trouver la cause.
Arriver dans le petit village je m’installer a l’écart observant cette civilisations que je détester, j’observait les symptôme hallucination et pertes de sensibilité.
De nombreuse plantes pouvait provoquer cette maladie mais mon enquête petit a petit m’amenât au champs cultiver par ces humains, c’est la première fois que j’approcher ce genre de culture a grande échelle et cela me fit plus rire qu’autre chose de voir des gens essayer de maîtriser la nature voulant faire pousser en rang les plantes comme autant de petit soldat.
Malgré tous je découvrit la source de cette maladie un champignons appeler l’ergot et qui se trouver dans le seigle qui leur servait a faire leur pain.
Je leur expliquer leur montrant comment s’en prévenir mais ma solution ne du pas leur plaire, trop longue j’imagine et il pratiquèrent quelque chose que je n’oublierait et ne pardonnerait jamais.. Les terres brûler.
Je sentit le feu comme si ce sa avait était a mes chairs qu’on avait coller la torche et ivre de folie je me précipitait dans les bois entourant les champs, toute sagesse m’avait quitter et c’est ursa qui me traînât fumante en dehors des bois.
Quand je me réveillait j’était marqué au cœur et aux corps, la folie des hommes m’éveillât a ma propre folie.
La nature na pas besoin qu’on lutte pour l’équilibre il fallait qu’on la laisse suivre sont courts ce sont ceux qui essaye de la dominer de la domestiquer qui la blesse et j’avait contribuer a cela en luttant contre une maladie naturelle.
Plus jamais ..
De nos jours ..
Ursa et moi errions longtemps dans les bois tuant les chasseurs et autre civiliser que nous croisions détruisant leur maisons..
Un jours je tomber devant une cicatrice en pleine foret encore la marque de l’homme et un obélisque de pierre graver de loi, étonnée je lisait ce tissus d’ineptie.
Qui oser ce dire défenseur de la nature et laisser des routes saignées la foret qui de la nature disait dicter les lois ?
Ma fureur se réveillait, j’avais trouvé un nouveau territoire de chasse