Nom du compte joueur forum : Evorane
Nom du compte joueur module : Milou34
Nom du perso : Elyriel Celeb’rindal
Race : Elfe
Age : 110
Alignement : Neutre bon
Religion/Dieu : Rillifane Rallathil
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : druide lvl XX (je n’ai pas vraiment réfléchi a cela, si c’est possible de modifier ça dans un futur éloigné en fonction de l’évolution de perso, sinon pas grave tout en druide. Mais si il y avait un bi classage ça serait du genre rôdeur... ou pas.)
Arme de prédilection/domaines/école de magie : Arc long
Langues : Elfique
Langues parlées : Commun
Trait de Caractère : Souriante et pleine de bonne humeur quand elle est dans son élément mais aussi timide et réservée quand elle ne connaît pas les gens. Le fait d’être souvent enjouée la rend naïve ce qui est un défaut mais en même temps ce qui fait son charme, après tout elle rentre à peine dans l’age adulte. C’est une personne sur qui on peut compter dans la fourchette de ses compétences, elle sait être patiente écouter ce et ceux qui l’entoure. Aimable et courtoise elle se plait à contempler le monde qui l’entoure en compagnie de sa louve pendant des heures.
Description physique : Un cyprès, un bouleau, un roseau ! On pourrait la qualifier ainsi. Frêle et mince mais assez souple pour plier sous le vent. Des cheveux sombres roux emmêlés tels un amas de ronces. Un regard perçant, étrange mélange de curiosité et d’inquiétude. Elle ne prête guère attention à ce qu’elle porte n’ayant apparemment pas de don inné pour ce qui s’accommode ensemble.
Le seul geste de coquetterie de cette jeune elfe que l’on pourra dénoter est qu’elle mêle parfois à sa chevelure quelques fleurs et feuilles de saison. On pourra aussi remarquer des tatouages éphémères a base de tanin de la végétation environnante, ses couleurs de prédilection sont le vert rappelant le feuillage et le brun de l’écorce.
Caractéristiques :
FOR:12
DEX:16
CON:12
INT:10
SAG:17
CHA :10
Au lvl 4
BREF HISTORIQUE DE VOTRE PERSONNAGE :
- La petite enfance –
Elle vient de la Haute Forêt, légèrement au sud-est des pics perdus. C’est d’ailleurs cette forêt qui l’a vu naître. Ces premières années de sa vie ont étaient d’une grande quiétude, née de parents tout deux rôdeurs. Ils vivaient dans une petite communauté d’une cinquantaine d’âmes qui s’était établie ici pour vivre en toute harmonie avec la nature pour quatre-vingt d’années avant de changer à nouveau de région. Le grand sage de ce groupe, un druide du nom d’Oxalys, « dirigeait » la communauté, le reste de la tribu se partageait toutes les tâches en fonction de leurs propres compétences. Les enfants étaient gardés a tour de rôles par un mentor en fonction de leurs disponibilités lorsque leurs parents avaient en change des explorations ou divers missions.
Elle appris ces premières années à découvrir la nature, respecter la faune et la flore, écouter le chant de feuillage dans les vents, fabriquer des flèches avec du vieux bois, connaître l’écosystème l’entourant et le respecter.
80 années ont passés, il était temps pour la communauté de ne plus abuser des ressources que la nature leur avait apportées sur place et de partir ailleurs... enfin presque pour tout le monde. Un grand conseil eu lieu la nuit de du solstice d’été. Tout le monde était convié, les plus jeunes assis devant, le grand sage debout sur un vieux tronc d’arbre. Elyriel appris ce soir là qu’elle ne suivrait pas la communauté.
- L’adolescence -
En effet, a chaque déménagement, un enfant était choisi par le sage, et ce dernier restera avec lui finir sa formation et son éducation dans le camp qui l’a vu naître. Elle ne compris pas dès le départ que de ne plus voir les siens ne serait pas si simple, car elle apprécié énormément Oxalys, sa sagesse, son savoir et ses histoires.
Avec le temps elle s’y est finalement fait, suivant avec ferveurs les conseils de sont guide et vieux maître. Elle développa ses facultés et son union avec la nature suivant la voie druidique de son mentor. Il lui enseigna tout ce qu’il savait où du moins ce que la jeune elfe pouvait appréhender.
Les années passèrent, l’enseignement évolua, Oxalys devait lui faire connaître aussi le monde extérieur. Ils partirent alors en direction de la civilisation car Elyriel devait connaître aussi ce qui se passe de l’autre côté des orées des forest. Ils passèrent alors 14 ans à parcourir quelques petites villes au nord de la Haute forêt. Elle appris a connaître et côtoyer d’autres races, d’autres coutumes, d’autres joies mais aussi des déceptions et trahisons. Oxalys lui appris que la vie était ainsi, comme les animaux et les plantes certains prennes pas sur les autres, qu’il faut aussi savoir se méfier, les êtres vivant ne sont pas spécifiquement bons.
« La nature renferme une multitude de visage, a toi de les appréhender, de les connaître, de les affronter même si il le faut. Tu as assez appris, enfin tout du moins ce qui concerne les rudiments de la civilisation, on va rentrer chez nous et attendre»
- la patience –
Maintenant il fallait rentrer et attendre… mais attendre quoi ! Deux ans passèrent de retour a son camp natal, Oxalys vieillissait, il restait désormais au camps constamment et envoyé Elyriel aux taches quotidiennes. Elyriel se demandait bien du haut de ses 96 ans pourquoi elle devait rester là, à rien faire à part les corvées. Elle décida alors un jour de demander à Oxalys pourquoi, oui pourquoi ! Pourquoi rester ici, a ne plus rien apprendre a ne plus rien faire ?
« Elyriel j’attendait cette question, et je n’y répondrait pas et je ne répondrait plus jusqu'à ce que tu comprenne »
A partir de ce jour Oxalys ne lui adressa plus la parole, à part des mouvements de sourcils, des grimaces, des petits sourire ; elle n’eu plus de dialogue.
Il était difficile pour Elyriell de ne plus dialoguer, alors elle commença à se parler à elle-même, puis quelques temps après à la nature qui l’entourait, et enfin aux animaux qu’elle côtoyait, elle se surprenait parfois à siffler aux oiseaux ou à nasiller à un sanglier.
Sans s’en rendre compte elle échangeait son rôle avec Oxalys, c’est elle qui fesait vivre le duo. Les années passèrent, enfin un soir alors qu’elle rentrait au camp Oxalys était debout sur son tronc d’arbre, et fit signe à Elyriel de prendre place devant lui.
- le compagnon –
« Elyriel, mon enfant, la foret m’a parlé, la grand arbre m’a guidé, tu dois trouver ton guide et partir, ne me demande rien ton guide te trouvera d’ici peu, soit patiente » Il continua son discours comme dans le bon vieux temps, rappelant les bases de la communauté druidique et de ceux qui respecte la nature, ainsi que quelques anecdote qui avait tant amusé Elyriel dans sa jeunesse. Puis plus rien il se tue a nouveau.
Quelques mois passèrent, Elyriel repris ces activités journalières, jusqu’au jour, où, elle trouva au détour d’un bosquet une louve blessée, elle s’approcha doucement en jappant calmement comme elle parlait simplement à la nature. La louve se laissa faire mais ses blessures étaient trop profondes. La louve cala sa tête sur les jambes d’Elyriel lui adressant un dernier regard puis les paupières de l’animal tombèrent. Elle vit alors apparaître derrière un buisson un louveteau, se dernier alla se caller sur sa mère puis s’assis au près d’Elyriel.
Après avoir enterrer le corps de l’animal Elyriel rentra au camp avec l’orpheline. Oxalys souria en voyant le jeune animal. Quelques années passèrent, entre la jeune louve et Elyriel se construira une complicité sans pareil.
- le départ –
Quelques années passèrent, un rêve, un rêve plus qu’étrange, une course, une fuite elle ne sait plus, elle courait vers l’Ouest. Un réveil en sursaut, en sueur elle vit Oxalys assis devant son tronc d’arbre.
« Elyriel, tu dois partir, la foret t’appel, il me l’a dit le chêne, oui il me l’a dit ! Tu dois partir, partir à l’ouest ! Part, part avec Louve, vite la foret là bas à l’ouest t’appel, tu dois l’aider. Tu dois partir maintenant ! Après il sera trop tard, tu seras morte. Elyriel souvient toi de tout ce que tu as appris, fait confiance à la nature mais fait attention aux être que tu croiseras. Soit indulgente, suit ton cœur, ta nature est bonne, prend confiance en toi. Louve te guidera mais part ; part maintenant ! »
Nienna la louve attrapa doucement Elyriel part la manche l’attirant vers l’ouest du camp. Elyriel déstabilisé par cet événement telle une biche prise au dépourvu détala suivant la Louve, a peine sortie de la clairière que formait son camp qu’elle entendit du bruit, le bruit d’une troupe furieuse.
Il était trop tard, elle devait fuir et ne pas se retourner, elle couru toute la nuit durant vers l’ouest jusqu'à trouver un bel arbre majestueux. Sur la face ouest de l’arbre elle découvrit un tapi de mousse pas trop humide. Il fallait se reposer, elle pris place sur l’étendue contre le tronc, la louve blottie contre elle.
Au réveil elle vit la louve assise attendant qu’elle se lève pour continuer leur chemin. Elle ramassa son arc au pied de l’arbre et arrêta son regard sur le tapis de mousse, cela était étrange l’amalgame de mousse était différent, et n’avait pas la même forme. Elle mis ça sur le compte de la fatigue et de l’émotion de sa fuite.
Mais le même phénomène de reproduisa chaque soir, chaque matin elle trouvait légèrement différent le lieu qui devait l’avoir vu s’assoupir. Sans s’en rendre compte elle se rapprochait chaque jour un peu plus que prévu de sa destination.
- L’arrivée –
La nature devenait plus silencieuse, le bruit du vent dans le feuillage ne parlait plus, elle s’approchait de son but sans savoir réellement ce qu’il était. Stop ! Tel un loup à l’affût Elyriel s’arrêta net le vent venant de face, la respiration lente elle tendit l’oreille. Des bruits de courses sur un sentier, rester immobile, attendre, continuer à progresser, prudence, discrétion, une conversation, …. Oui ! Une conversation elle reconnu le langage elfique s’approchant prudemment. Après avoir étudier leur comportements, jugeant le situation sans danger elle fini par s’approcher.
Elle fit alors la connaissance d’Ainorë et de Drystan et se présentât. Ils lui apprirent qu’elle était arrivée dans la forêt dite de Luskan et qu’en ces temps dernier celle-ci n’était plus aussi sure pour les elfes. Elle leur expliquât succinctement qu’elle chercher un lieu proche d’ici sans savoir vraiment du quel il s’agissait. Ainorë lui appris que la forêt avait besoin d’aide en ces temps sombres et que toutes aide serait la bienvenue, elle lui proposa aussi de la guider au vu de son jeune age. Ravie de cette proposition Elyriel accepta sans hésiter une seconde, mais pour l’instant les lieux étaient bien trop dangereux pour elle. Drystan accepta alors de conduire la jeune elfe en un lieu plus sure, il lui demanda si elle s’avait « marcher » à travers les arbres, elle ne compris pas de suite pensant qu’il voulait certainement parler d’une manière de se faufiler. Mais non, ils s’arrêtèrent devant un arbre majestueux, lui tendant la main en demandant de le suivre. Elle pris sa main, posant la seconde sur sa louve, Drystan lui posa sa seconde main sur le grand arbre et se retrouvèrent alors dans un bosquet magnifique.
Tout en contemplant cet endroit, émerveillée regardant partout autour d’elle, elle compris qu’elle était arrivée là où elle devait. Il lui expliqua qu’elle était ici dans un sanctuaire où se retrouvaient les défenseurs de la nature et qu’elle y serait en sécurité. Il lui expliqua aussi que pour l’instant seul les initiés pouvaient la conduire ici et que plus tard, à son tour, elle pourrait y venir par elle aime lorsqu’elle aura suivi l’enseignement préalable. Elle se demanda alors si le fait d’être arrivée en si peu de temps dans ces forets n’était pas du à ce genre de phénomène dont elle n’avait jusqu’alors pas connaissance.
Elle fit connaissance de quelques autres personnes, mais la fatigue de son voyage l’avait fatiguée, elle pris congé de ses hôtes et chercha un lieu à l’écart pour s’endormir paisiblement avec sa louve.
Une fois de plus à son réveil, les lieux avaient changés, elle sortie de son bosquet et aperçu au loin les contour d’une citadelle, celle de Padiver. A l’orée de le ville elle rencontrât une humaine et son ours qui comme elle avait l’air d’arriver dans la région. Elles décidèrent ensemble de visiter un peu la région et d’y découvrir leurs premières embûches.
-premières réflexions-
Quelques jours se sont écoulés, Elyriel et Nienna connaissaient maintenant les lisières de la forêt bordant Padiver et son cours d'eau. Elle venait de se réveiller et l'astre qui réchauffe la terre était encore caché. Elle alla prendre place sur les berges de fleuve. Elle laissa son esprit divaguer sur ce qu'il fallait mettre en oeuvre.
Oui, il fallait franchir le pas, prendre son élan, murir, croitre ses connaissances.
Jusqu'à présent elle n'avait à affronter que les dangers de la nature elle même, mais aujourd'hui elle n'était plus seule dans cette environnement, d'autres personnes gravitent dans cet espace et malheureusement elles sont loin d'être toutes respectables.
Une certaine appréhension était née en elle, un soupçon de peur peut être même, mais il ne fallait pas que ce sentiment l'envahisse. Assise au bord de la rivière les pieds dans l'eau elle commença dans sa tête à faire quelques projets, mais pour cela il faut procéder par étape et être méthodique.
Comprendre quels avantages et quelles forces elle pouvait tirer du milieu, connaître les alliés de la nature. Il faudra donc une bonne prospection de la région pour la question pratique et retenir les conseils et les exemples que les protecteurs pourraient lui enseigner. Cela consistera donc à en bonne partie à un travail d'observation et d'apprentissage. Elyriel frissonna en pensant que cette étape comprenait aussi l'étude de l'ennemi car après tout pour mieux l'affronter il faut aussi le connaître, apprendre quels son ses forces et ses faiblesses, quels son ses buts et ses objectifs, comprendre comment il compte s'y prendre. Nienna, sagement assise, se mis à japper vers Elyriel la rappelant à l'ordre.
« Oui ma belle, tu as raison, je vais pas commencer maintenant à m'inquiéter sinon c'est même pas la peine que je continue, hein ! »
Comme satisfaite de la réponse la louve s'allongea posant sa tête sur la cuisse de son amie attendant quelques caresses.
Une main posée sur la tête de l'animal, de retour dans ses pensées, la jeune elfe se motivait intérieurement. En étant disciplinée, attentive et motivée il n'y avait aucune raison qu'elle ne puisse pas contribuer à protéger de son mieux la communauté des bosquets. Mais ce n'était pas en restant ici qu'elle progresserai, la première étape à franchir était de repartir là où elle avait rencontrer Ainorë aux abords de la forêt de Luskan, ou peut être un peu plus au nord. Les premiers tièdes rayons du soleil s'illuminèrent la région, Elyriel ferma les yeux laissant l'astre réchauffer sa peau. Elle chassa toute pensées de sa tête et commença sa communion matinale avec la nature.
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