[Disparu][Rôdeur/Prêtre][E] Scérélhiass En'Celeb

Nom du compte joueur forum : Antark'athla
Nom du compte joueur module : Antark'athla
Nom du perso : Scérélhiass En'Celeb
Race : Elfe sauvage
Age : 325 ans
Alignement : Chaotique Bon
Religion : Solonor
Classe : 15 rôdeur / 10 Prêtre
Arme de prédilection/domaine: Arc court. Domaines Guerre et Flore
Langues : Elfe, Commun, Sylvestre.
Trait de Caractère : Après une période durant laquelle il fût solitaire, Scérélhiass s'ouvre de plus en plus aux autres. C'est un elfe sage et posé, patient et assez discret, mais qui n'a pas peur de dire certaines vérités.
Description physique : Un elfe de taille moyenne, sa peau possède une teinte cuivrée, ses cheveux sont d'un roux flamboyant tandis que ses yeux ont une teinte vert feuille.
Ennemis Jurés: Gobelinoides, Morts vivants.

Caractéristiques lvl 25:
FOR : 10
DEX : 20
CON : 12
INT : 14
SAG : 16
CHA : 10

Haute Forêt.

Une brise légère souffle dans les hauteurs des arbres, le bruissement des feuilles offrant une douce mélodie à la faune vivant dans les environs. Tout semble si paisible, la nature règne en maîtresse incontestée et les haches des bûcherons humains ne causent ici aucun dommage. On dit ses bois bénis par Eldath et Mailikki et la beauté des lieux semble donner raison à ses rumeurs qui courent dans les territoires alentours. Un lièvre se déplace entre les broussailles, ses longues oreilles dressées à l’affût de tout bruit suspect qu’un prédateur pourrait laisser entendre.
Mais aujourd’hui l’animal n’est pas gibier, non… le gibier se trouve plus loin au sud. Un elfe guète avec attention le moindre signe d’une présence hostile, debout sur la branche épaisse d’un chêne, il tient fermement un arc dans sa main droite. Perché sur se promontoire sylvain, son regard scrute les environs, inquisiteur, il détaille tout ce qui s’offre à la vue imprenable qu’il a de si haut. Son attention se porte quelques instants sur un lourd massif montagneux, le sommet perdu dans les nuages n’est pas visible en ce jour, mais l’elfe imagine aisément la pointe couverte de neige qui orne ces montages comme un magnifique joyau, ce sont les monts étoilés. Un mouvement dans le ciel, peut être un aarakocas, non c’est sûrement le grand dracosire vert qui c’est installé dans une des cavernes il y a des années de cela. Pendant quelques instants il regarde ce point dans les cieux qui remonte vers les sommets de la montagne, puis tout d’un cou il tourne la tête, son regard ayant été capté par un léger volute de fumé s’élevant d’une petite clairière à quelques lieux de là.
L’elfe opine pour lui même, il semble être assez jeune, sa peau possède une teinte cuivrée qui lui a été offert par les tendres baisers du soleil sur sa peau, ses yeux sont d’un vert feuille des plus beau, tandis que sa chevelure possède un roux des plus flamboyant. Il lève alors lentement le bras gauche avant de fermer le poing, attendant quelques secondes il montre ensuite de sa main la fumée qui s’élève. De légers bruissement de feuilles s’entendent non loin de lui, quatre elfes sont sortis des frondaisons. Ils sont semblables à lui si ce n’est leur chevelure qui tend vers le marron. Un nouveau geste de l’elfe et ils s’élancent tous avec dextérité, passant de branche en branche avec une aisance qui peut sembler agaçante pour les autres races…
Ils mirent quelques heures avant d’arriver dans la petite clairière, prudent, le groupe reste en retrait attendant visiblement quelque chose. Les minutes passent puis une autre troupe d’elfes arrive, ils sont cinq eux aussi et dirigé par un elfe de grande taille aux épaules assez développés. Ses cheveux noirs sont striés de quelques fils argentés montrant son âge avancé, pourtant, par mis tous les elfes présent ici c’est sûrement lui le plus rapide et le plus vif. Ils sont tous vêtus de la même façon, des tenues alliant cuir et tissus de couleur vert foncé, leurs armes sont fièrement visibles, dagues, arcs, lames courbes. L’elfe s’approche lentement et murmure en elfique..

Le vent à porté à mes oreilles ta découverte Scérélhiaas, son regard vient se planter dans celui de l’elfe roux.

Oui, il incline la tête avec humilité et déférence, nous avons repéré de la fumée s’élevant de la clairière et en venant nous avons pu voir des traces de nombreuses empreintes .

L’ancien se passe une main dans les cheveux aux paroles du jeune elfe. Combien sont ils selon toi ?

Ce sont des gnolls. Ils se déplacent avec prudence et ont tenté de masquer aux mieux leur déplacement. Un léger sourire étire ses lèvres. Cependant ce feu fût une grossière erreur même si il n’a duré que quelques instants. Enfin.. ils sont vingt huit, peut être trente mais pas plus. L’elfe resserre machinalement sa prise sur son arc court, cherchant à savoir ce que pense le protecteur qui se trouve en face de lui.

Bien nous allons les rattraper, ils doivent revenir de chasse et tenter de rejoindre un endroit plus propice pour passer la nuit. Il donne une petite tape sur l’épaule de l’elfe roux en lui offrant un sourire. Attendons qu’ils sortent de la clairière pour les frapper. Ils représentent une menace pour nous et pour le futur que Turlang nous offre.

L’ancien se détourne, posant sa main sur la garde de sa lame courbe, puis il fait signe aux elfes de le suivre et d’aller prendre position dans les frondaisons. Tous le suivent sans un mot, ils savent ce qu’ils doivent faire, certains se placent dans les arbres, les flèches encochées, tandis que d’autres se placent derrière des buissons ou des troncs. Ils attendant silencieusement, alors que les minutes défilent puis les heures. Le soleil commence à se coucher quand les gnolls se mettent en marche. Ils sont trente comme l’avait supposé l’elfe roux, les archers attendent, chacun choisissant avec soin une cible dans le groupe. Ils attendent encore, laissant passer les éclaireurs, puis comme un seul elfe, quand un jappement se fait entendre, les flèches sont tirées, s’abattant avec précision sur les monstres qui tombent sur le sol, frappé de ce pluie de mort. Les combats sont rapides et incisifs et les gnolls sont tous tués jusqu’au dernier. Un symbole du Seigneur des Bête sera retrouvé sur la dépouille d’un des monstres.. puis les elfes partent rapidement vers leur campement, laissant les animaux se repaître de cette nourriture.

[BG en cour d'écriture.]

La Course de la Licorne.

Dans cette contrée merveilleuse coule la Course de la Licorne, prenant sa source dans la montagne qui se trouve au sein de la forêt, la rivière descend des Monts Etoilés en direction de la vallée du fleuve Delimbiyr. La Course serpente dans cette luxuriante forêt, formant alors de nombreux lacets et boucles, venant même jusqu'à creuser les falaises et donner naissance à de profondes gorges. Les cascades et chutes d’eau sont si nombreuses qu’une fine bruine s’élève des eaux. La végétation prolifère avec facilité sur ces territoires bénis, alors que sur les plateaux vivent des créatures féeriques comme des pixies ou des naïades. C’est un endroit que les elfes aiment particulièrement, c’est selon eux l’endroit le plus beau de Faerûn, et beaucoup viennent célébrer Hanali et passer un tendre moment avec leurs épouses le long du cour d’eau. Certaines communautés elfiques se sont établies le long de la Course, bénéficiant des bienfaits que procure la nature. La tribus du crocs gris compte environ huit cents âmes, ils ont élus domicile sur le versant d’une falaise peu abrupte et qui entrecoupée par quelques plateaux boisés permet une tranquillité et sécurité des plus enviable. Les demeures sont érigés entre les branches des immenses arbres, se mariant ainsi parfaitement avec ce lieux enchanteur. De grandes passerelles relient les différents arbres gris, la communauté s’est installée sur deux plateaux limitrophes, l’un étant plus bas que l’autre à huit mètre de l’eau, tandis que le second lui est élevé à une vingtaine de mètre, dans la ville haute se trouve les demeures des familles les plus importantes ainsi que des temples dédiés aux divinités de la Seldarine .
Dans la ville basse se trouve la plupart des maisons et des échoppes, l’endroit est particulièrement agréable à vivre et c’est ici qu’habite l’elfe roux. Parfois il s’amuse avec d’autres elfes à plonger du haut de la falaise dans le fleuve, le cour d’eau est ici plus langoureux que rapide, permettant ainsi à de petites embarcations elfiques de glisser sur les flots pour relier d’autres communautés. Aujourd’hui est un jour des plus particulier pour l’elfe, car il vient de finir sa formation d’archer et d’éclaireur, désormais il sera considéré par ses pairs comme un adulte et un protecteur de la communauté. Cette formation est offert par le temple de Solonor qui se trouve au sommet du plus grand arbre du second plateau, le Haut Prêtre et les adeptes y apprennent aux jeunes elfes l’art de la discrétion et du combat à l’arc. Tout cela dure une vingtaine d’années et permet à la tribus d’avoir un groupe de combattant des plus puissant dans la forêt, si bien que Turlang demande parfois à la tribus de se charger de certaines missions dans les bois de la Haute Forêt.
La patience est l’un des maîtres mots de cet apprentissage, il faut savoir observer sans être vu, analyser la situation et apprécier les environs pour savoir ou se poster, attendre encore et toujours le bon moment pour frapper et mettre hors d’état de nuire son ennemi. Tous les jeunes mâles de la tribus doivent en passer par la, mais des femmes viennent aussi apprendre à combattre bien que généralement elles préfèrent se tourner vers Rillifane. Enfin, aujourd’hui, l’elfe roux vient de recevoir du Haut Prêtre un arc en bois gris, il a été présenté aux chefs de la tribus comme étant l’un des plus prometteurs de sa génération et dans quelques jours il partira avec une troupe de huit elfes dans la forêt et cette fois ci, c’est lui qui les dirigera. Son sourire montre toute la fierté qu’il éprouve, toute cette joie qui emplis son cœur. Il honorera sa famille et montrera à tous qu’ils peuvent compter sur lui, il désire tant montrer à son père qu’il peut être un grand protecteur tout comme lui. Et puis cette mission lui permettra enfin de montrer toute l’étendu de ses capacités, il connaît extrêmement bien le nord de la forêt ou il a dû vivre seul pendant un an pour forger son caractère. Mais ce soir il préférera regarder avec admiration son arcs gris que de fêter la fin de son entraînement et puis dans deux jours il doit partir en mission alors il faut être prêt…

N’oublie pas tes caractéristiques ,tes domaines et tes ennemies jurés

Vengeance.

… La colère couve dans son regard alors qu’il détaille les cinq dépouilles en face de lui. Ses yeux sont brillants alors que des larmes montent lentement, mais il ne peut se soustraire à la vue de ses amis morts. Il a échoué, sa première mission est un échec, pourtant il le sait, il n’en est pas responsable, personne n’aurait pensé que des drows se seraient déplacés aussi loin en forêt et surtout pas en aussi grand nombre. Mais le résultat est là, cinq de ses compagnons sont morts. Les autres pansent leurs blessures, assis contre des troncs d’arbres, une escouade elfe est arrivée et n’a pu que constater l’étendu des dégâts, cinq jeunes elfes prometteurs ont péri. Le plus ancien de l’escouade est venu parler à l’elfe roux, tenter de lui faire comprendre qu’avoir réussis à survivre à cette rencontre prouvait amplement sa valeur, mais Scérélhiass ne l’entend pas ainsi, ses yeux restent plongés sur les corps allongés à même l’herbe, son esprit reste bloqué sur son échec, détaillant et analysant chaque moment et événements qui auraient pu changer le cours du combat. Dans son esprit devient limpide le fait qu’il devra venger l’esprit de ses compagnons tombés. Alors il attend, car bientôt il sait que l’escouade repartira pour la communauté ramené les morts et les blessés. Mais déjà Scérélhiass sait qu’il ne fera pas partie de se cortège, il ne rentrera chez lui que quand il aura vu ces drows morts.. L’elfe roux patiente attendant le moment opportun, puis quand l’attention de ses frères vient à être attiré ailleurs il part dans les feuillages, faisant alors attention à faire le moins de bruit possible et à laisser peu de traces. C’est ainsi qu’il part courant à moitié entre les feuillages et broussailles, sa vengeance se profilant au loin...

… Les jours passent, l’elfe roux est désormais seul, il guette sur un promontoire naturel les allés et venue d’un petit groupe de drows, cela même qui l’avaient attaqué lui et les siens quelques jours plus tôt. Un lourd fagot de bois dans le dos, il caresse négligemment son arc gris, ses doigts glissant sur le bois, appréciant les formes de l’arme comme si elle était une amante. Caché dans les feuillages il attend, puis la nuit commence à poindre, les drows sortent de la cachette qu’ils avaient choisis, une petite caverne couverte de végétation. L’elfe encoche une flèche puis redresse lentement son arc le bandant, il patiente encore attendant que quatre de ses sombres cousins soient sortis, sa respiration s’arrête, il regarde la cible, appréciant la pente et la distance puis il tire. La flèche dans un son mat vient frapper le quatrième drow au niveau du crâne le tuant sur le coup. Il ne fait plus aucun mouvement, les drows ne l’ont pas vue, bien que la nuit soit désormais tombée, l’elfe garde l’avantage de la forêt qu’il connaît bien mieux qu’eux. Il encoche alors une flèche et tire sur l’un des elfes noirs qui tentait de rentrer dans la caverne, l’être tombe dans un crie, puis le corps devient inerte. Les drows l’ont repéré, ils prennent leur arbalète en main et la charge , mais c’est engins mécaniques sont plus longs à utilisés, un trait vient s’abattre sur l’un des deux, puis un second vient percuter le dernier drow en vie. L’elfe roux se laisse alors tomber du promontoire se réceptionnant sur le sol comme un félin. Il s’approche de l’entrée de la cachette une flèche encochée et tire à travers la pénombre sur forme indistincte, un cri de douleur lui répond. Scérélhiass n’est pas idiot il sait très bien que si il entre à l’intérieur il perdra tout avantage, alors il laisse tomber les fagots de bois sur l’herbe et les places à l’entrée de la caverne, puis part se coller contre la parois de pierre, une branche et quelques brindilles devant lui avant de rapidement prendre deux silex et commence à les entrechoquer, puis des étincelles tombent sur le bois, le feu prenant rapidement, l’elfe attrape la branche et la lance sur les fagots qui s’embrasent alors. La Seldarine est avec lui, une brise légère pousse la fumée à l’intérieur de l’abris de pierre, l’attente recommence, la cachette n’est pas bien grande et commence à être rapidement enfumée, des bruits de toux se font entendre de l’intérieur. Il reprend son arme et encoche une flèche, se collant contre la parois attendant que les drows ne tentent une sortie, quelques secondes plus tard trois de ces êtres bondissent hors de la caverne, le premier ne fait pas un pas qu’une flèche se fiche dans son dos, le deuxième lui arrive à avancer de quelques mètres avant de connaître le même sort. Mais le dernier lui arrive à courir assez vite pour échapper à la mort, l’elfe roux attend quelques minutes d’être bien certain que plus personne ne puisse se trouver dans la cache, puis il débute la traque. Les heures avancent, la pluie tombe alors averse mais il connaît très bien l’art de la traque et suit sans difficulté sa cible à travers les bois, puis il le rattrape petit à petit, le drow est fatigué non lui, trempé sa chevelure colle à son visage, il voit son ennemi de visu, arme son arc et tire une flèche qui vient se planter dans le mollet de l’être, celui-ci tombe sur un genoux, sortant son épée longue du fourreau pour combattre, l’elfe décoche une nouvelle flèche qui vient se planter dans l’épaule de la créature mauvaise avant de lâcher son arc et d’arriver sur elle une dague à la main. Il saute sur sa victime et d’un coup rapide vient planter sa lame dans la gorge du drow, d’un second mouvement il ressort sa lame de la plaie des taches de sang voletant dans les airs. L’elfe le visage déformé par là colère, rejette la tête en arrière et hurle sa haine à la face du ciel…

Apprentissage.

Les années passent lentement, l’elfe roux vit reclus en forêt, patrouillant seul loin de ses frères. C’est une période d’apprentissage et de découverte, Scérélhiass comprend alors que sa formation n’avait jamais pris fin et qu’elle ne se terminerait jamais. La solitude le rapproche de la nature, son lien avec la faune et la flore ne fait que s’accroître, il découvre de nouvelles plantes, de nouveaux usages, il épie les animaux dans leurs vie de tous les jours, voyant leurs réactions face à leur congénères ou au danger. Il sillonne la forêt, son arc en bandoulière, passant d’arbre en arbre, la vie ainsi est dangereuse et pourtant elle devient aisée. Il sait sur quelles arbres se nicher, les techniques de chasses des prédateurs qui pourraient tenter de s’en prendre à lui. Sa perception du monde qui l’entoure c’est aussi accrus, désormais il ne se voit plus comme un elfe important, mais simplement une minuscule partie d’une immense toile qui se forme. Il apprend à se connaître et à contrôler ses sentiments, désormais il ne veut plus de cette colère qui avait pris le pas sur son entendement, pour vivre, il doit être son propre maître et non plus se servir de la colère comme partie dominante. L’arc l’aide à cela, les combats sont désormais éloignés, voir sans être vu, tout ce qu’il avait appris il le redécouvre, se battre à l’arc c’est garder une distance avec son ennemi et pour garder cette séparation, il faut analyser le terrain qui nous entoure, savoir ou nous porterons nos pas avant de les faire, mais surtout comprendre son adversaire savoir ce qu’il va faire pour ne jamais être pris au dépourvus, utiliser la forêt comme protectrice et cela pour la protéger. Tout doit être analysé avant le combat, la distance de la cible, mais aussi les variations du terrain, le souffle du vent… Beaucoup de combattant se laisse envahir par l’intensité du combat, mais l’archer doit rester maître de lui, ne jamais relacher sa vigilance, car la fougue mène à l’erreur et l’erreur à la mort. Pourtant il ne délaisse pas pour autant le combat au corps à corps, car il sait qu’un jour il sera mené à devoir se battre en combat rapproché et il doit être prêt. Alors il s’entraîne a attaquer ses ennemis avec des dagues, ses lames l’obligeant à être discret pour pouvoir se rapprocher de ses ennemis le plus possible avant de passer à l’attaque. La discrétion est une protection non négligeable aussi bien qu’une arme. Chaque soir il pria le Grand Archer, déposant quelques offrandes au creux des arbres, prononçant quelques paroles en l’honneur de cette illustre dieu, sa vie se dévolu à la protection de la nature et au combat à l’arc, un matin il se réveilla avec une certitude.. il devait rentrer chez lui et avoir une discussion avec le Haut Prêtre, car sa décision était prise, il servirait désormais le Grand Archer.

Quelques petites remarques :

L'apprentissage rôdeur est trés bien, mais tu indiques des ennemis jurés que tu n'as pas décrit ( à moins que j'ai zappé le passage ). Tu mentionne gnoll et drow dans ton récit, mais tu indiques gobelin et mort vivant dans tes choix.
Tu as normalement accès avec 15 lvl de rôdeur à 4 ennemis jurés ( tu n'est pas obligé de les chosir maintenant bien sur)

Au stade de ton Bg tu envisage d'entrer dans la prêtrise, cette volonté semble logique. Developpe une petite partie de ton noviciat lorsque tu souhaiteras prendre des lvl de prêtre. Pour le mment tu peux monter librement les lvl de rôdeur - ceux-ci n'étant pas soumis à valdation-

Noviciat :

L’elfe roux s’avance lentement sur le bord de la falaise, il est vêtu d’une tenue grisâtre, alliant le cuir pour protéger certaines parties sensibles à de l’étoffe de très bonne facture. Sur son bras gauche un long gant en cuir protège son avant bras et son biceps empêchant ainsi la corde de l’arc de venir meurtrir sa chair. Sur sa cuisse droite est attachée une fine dague, tandis que dans son dos est tenu par deux lanières de cuir un carquois. L’elfe lève alors son regard vers le ciel admirant le doux clair de lune qui vient de ses lueurs éclairer la forêt. Il tend lentement son bras gauche, se cambrant alors très légèrement en arrière, tandis que de sa main droite il encoche une flèche sur laquelle est gravé le nom de sa divinité. La corde se tend petit à petit, alors qu’il semble viser l’astre lunaire d’un regard imperturbable. Puis prononçant quelques mots il tire, la flèche partant avec vitesse et force pour disparaître dans les cieux. Ô toi Grand Archer dont le regard surveille inlassablement nos forêts entend mon humble prière qui célèbre ta sagesse ancestrale, le dévouement que tu portes à ton peuple et à la glorieuse nature. Derrière lui d’autres elfes habillées de la même façon le regarde, le grand Prêtre de ses yeux scrutateurs l’observe, puis il opine à ses mots en entamant lui aussi une prière, avant de tourner les talons et de monter vers la ville haute ou dans laquelle se trouve le temple. L’elfe roux attend quelques minutes ainsi, le souffle lent et régulier, un sourire serein dessiné sur ses lèvres, puis il se détourne du vide pour partir à la suite du Haut Prêtre et des autres fidèles...

… Le lendemain Scérélhiass descend dans la ville basse en compagnie d’un elfe bien plus âgé que lui, Gris Faucon comme l’appelle les autres habitants de la communauté, l’un des meilleurs combattant de la tribus. Servant de Solonor Thelandira il a comme charge en la cité d’apprendre aux jeunes elfes de la tribus à savoir se battre à l’arc. Durant ses journées l’elfe roux est désormais instructeur au côté de ce vénérable mentor, ils entraînent tous les deux les combattants de la cité, leur apprenant du mieux qu’ils peuvent l’art de l’archerie. Cet enseignement à une double fonction, d’un côté il donne une place et un rôle à Scérélhiass dans le culte, accomplissant ainsi l’une des taches des suivant du Grand Archer, mais aussi et surtout l’elfe roux apprend petit à petit le rapport à l’autre, comment transmettre son savoir et venir en aide à la communauté, gagnant alors en sagesse et devenant lentement une personne plus austère. Il prend son rôle très à cœur offrant aux jeunes gens certaines des découvertes qu’il pu faire durant son séjour en forêt, sans pour autant tout leur dévoiler, leur laissant ainsi certains mystères qu’ils devront découvrir par eux même. Son esprit s’éveille ainsi petit à petit et après avoir pris connaissance de sa place dans la nature, il comprend désormais quelle est sa place dans la civilisation, car c’est une part du monde que l’on ne peut rejeter et avec quoi nous devons d’avancer. Parfois Scérélhiass mène lui même quelques expéditions en forêt accompagné de jeunes combattants, chassant les gobelins et autres créatures agressant excessivement la nature, reprenant alors confiance en lui même et faisant fie de son passé douloureux. Le soir il prie Solonor au clair de lune avant de retourner dans son petit chez soit ou il travaille des arcs et des flèches avant de partir en rêverie. Chaque jour il apprend à faire ses choix avec soin, car tout acte à des conséquences.

Ca me convient, je valide