- Citation :
- Nom du compte joueur forum : Zackata
Nom du compte joueur module : Zackata
Nom du perso : Shakmung
Race : Humain
Age : 28
Alignement : loyal bon
Religion : Ilmater
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : moine d'Ilmater 13 / prêtre d'Ilmater 12
Arme de prédilection: poing nu
Domaines: soin et force
Langues : commun
Trait de Caractère : très calme, sensible aux autres. N'aime pas ceux qui ne respect pas les plus faible que soit. Toujours près à aider les pauvres. Il semble un homme plein de sagesse qui fut transmit par son père.
Description physique : habillement de moine bien ordinaire... devenu fort par son entraînement durant tout sa jeunesse. Ne portant aucune arme mais que des trousses de soins et des potions...
Langues parlées : commun
Caractéristiques :
FOR : 21
DEX : 12
CON : 10
INT : 10
SAG : 16
CHA : 12
Shakmung
Quand chacun des peuples avaient son clan… la loi pouvait quand même combat le mal comme beaucoup, donnèrent tous les efforts pour y parvenir. Peu connu par le peuple aidant les autres qui sont dans le besoin, de leur bonté et leur air chaleureuse. Les Vaux étaient de braves âmes qui avaient tout à donner. La vie, source d’inspiration, les guidait vers les faibles et les plus démunies. Ces moines, aussi appeler les Fourbus ou Brisés n’habitaient pas d’endroit de précis, parfois lorsque par malheur… ils n’ont pas trouvé un refuge, ils vont dans les temples d’Ilmater qui est toujours près à les accueillir.
Née de l’amour de ses parents, Shakmung devient le premier élève de son père. Sa mère laissa la garde à son père juste avant qu'il aille six ans, elle avait encore à faire par ce monde parfumé d'embûche. Elle voulait que son fils devienne un homme bien... Égaré dans les grand de la région, assit tranquillement avec son père vers l’âge de huit ans. C’était d’un temps printanier au tôt petit matin, le soleil faisait que éclairer que l’aube de l’horizon que son père était entraîné de faire le petit déjeuner…
Le père : " *regard son fils endormie sur le sol* Shakmung, c’est le moment de te levé. "
Shakmung : "*un peu ébloui par la lumière du jour qui regardait son père en souriant*Je m’en vient, père. "
Il écouté toujours son père, il le voyait comme une marche à suivre. Il aimait bien mangé des petits fruits et les petits pains que son père trouvait durant les voyages. Après un bon déjeuner, ils commencèrent, longue était les heures passé
à ce concentré à découvrir son énergie intérieur, le Ki était la force de tout moine. Tous voulaient arriver à le maîtriser par la méditation. L'état de l'âme, persistant à faire le calme dans leur esprit. Méditer était au centre de leur vie, être en étal spirituel pour mieux apprendre à ce servir de son corps et de ses sens vitaux. Son père pouvait bien lui montrer comment faire mais seul son fils pouvait y arriver par lui même. Shakmung ne se décourageait pas même si parfois il n'y arrivait pas à calmer ses esprits. Il persévérait dans son contrôle de soi pour faire enfin un entre l'esprit et le corps, le temps pouvait s'écoulé mais lui restait en contrôle de son être. C’était le moment où il pouvait faire le vide dans son esprit, lui qui repensait aux bons actes qu’il avait fait avec son père. Quand vient le moment de passé à l’entraînement, Ils se levèrent pour aller aider un paysan qui avait besoin d’aide pour labourer son champ. La forêt bordait le chemin de la ferme, ils n’avaient pas campé trop loin, surtout qui avait encore quelque jour à aider cet homme. Ils marchèrent vers la direction de la ferme où l’homme l’entendait.
Le père : "Bonjour mon cher ami, je suis venu vous aider comme promit. *d’un air respectueux*"
Le fermier : "Bien bonjour Héorold, je vous attendiez… j’ai encore 2-3 champs à labourer et à enlevé les herbes *tout en souriant et tellement heureux qui soit venu*"
Héorold : "Très bien, je vais vous aider à arracher le brin d’herbe dans votre champs avec vous et mon fils s’occupera de labourer. "
*pendant que son père et le fermier prenait le temps de discuter un peu avant de ce mettre au travaille, Shakmung était déjà parti continuer le champ qu’il n’avait pas encore terminer. *
Le fermier : "C’est vrai qu’on commence à ce sentir vieux… je ne suis pu enforme comme avant, une chance qu’on a ces jeunes! *lui qui espérait tant avoir un fils*"
Héorold : "Ne soit pas hâtif mon cher Olinramjo, vous allez avoir un enfant bientôt. "
Olinramjo : " je sais, je sais mais j’espère avoir un garçon…"
Héorold : "Ne soit pas trop pressé l’ami, assez parlé, allons arracher ces herbes!"
Ils se rendirent dans le champ voisin… son père était fier de son fils, lui était déjà pour passer à l’action… le voyant qui commençait davantage peu à peu, à venir plus fort. Rendu au soir, vers le soleil couchant la femme d’Olinramjo avait préparé un poulet cuit sur la broche avec de bonnes patates et du pain. Ils avaient faim après une grosse journée au soleil. Après avoir mangé à sa faim, ils remercièrent le fermier et sa femme pour le souper avant de partir vers une petite clairière pas trop loin…
Le soleil n’était pas encore couché que Héorold devait se préparer pour l’entraînement au combat pour lui montrer comment accéléré ses coups mais parfois son fils se blessait sans pour autant de plaindre de douleur. Son père lui faisait comprendre que c'était important de bander les plaies pour éviter l'infection et comment bien faire les bandages pour que ça soit couvert en entier. Shakmung devenait plus fort à force de faire des travaux quotidiens, mais il venait à ne pas être capable de battre son père au combat. Il était encore trop expérimenté, Shakmung voyait qui devait encore pratiquer et pratiquer pour un jour… arrivé à battre son père.
Héorold : "*Étant prêt à combattre, saluait son fils* aujourd’hui, je vais d’apprendre comment assommer son adversaire surtout quand ce n’est pas vraiment nécessaire de le tuer "
Shakmung écoutait son maître avec attention, il enseignait l’art d’assommer un adversaire d’un coup de poing. Son art de combattre s’avait grandement amélioré depuis un an. Son père avait attendu pour qu’il soit capable de se défendre, pour lui montré la bonne voie d’Ilmater. Cette voie permettait de mieux comprendre comment la vie est importante et comment venir en aide au peuple dans le besoin. Savoir redirigé sa colère vers ceux qui font souffert et torturent les autres. L’art de se défendre était digne des maîtres moines… il résignait de faire le lien entre la force physique et spirituelle. La force physique représente leur ténacité comme le mal et aider les plus démunis dans leur réussite sociale comparé à la force spirituelle consiste à faire valoir en quoi Ilmater sera toujours près à l’épauler dans ces démarches. Il n’avait rien qui lui disait qui devait se battre… l’inspiration quotidienne les guidait à pourfendre le mal pour contrer l’injustice. Son entraînement avait commencé très jeunes même malgré cette jeunesse, il était de tempérament calme d’un bon combattant tenace, toujours près à relever son prochain. Sa force avait grandement augmenté par les mois passés à aider des villageois avec son père et les soirs à améliorer ces techniques de combat. Il ne refusait jamais de ne pas aider le peuple dans le besoin, les travaux ne manquaient pas … que ça soit de lever des troncs d’arbre, les coupés à la hache pour enfin les cordés pour l’hiver. Pendant une couple d’année de son existence consacré à son apprentissage dans l’art du combat des moines et les durs travaux. Tout en étant attentif au conseil de son maître par sa bonne sagesse pleine de bonté. Shakmung était un combattant loyal voyant que la beauté de la vie était un tel cadeau qu’osé la détruire…
Par un soir qu’ils avaient décidé avec respect de rester au temple, étant devenu un adulte que Shakmung avait décidé d’y rester pour quelque semaine. Son père n’avait autre choix que de le laissé aller, lui qui croyait en son fils. Quelque chose lui disait qu’il était enfin près pour voyagé seul, pour encore plus ce rapprocher d’Ilmater.
Héorold : "Rien ne te retient mon fils, je vois que tu es enfin près à parcourir son monde plein d’embûche… Tu devras apprendre comme moi à te débrouiller seul quand il vaudra aider le peuple. Le mal essaiera d’embrouiller ton esprit mais soit fort car Ilmater sera avec toi. "
Shakmung : " Tout ce que tu as apprit est mien, j’oublierai jamais votre bonne sagesse et je tâcherai de ne pas te faire défaut. "
Prenant son père dans ses bras, avant de lui souhaiter bon voyages. Il savait qu’Ilmater veillera sur lui. Shakmung entra s’abriter dans le temple. Il pouvait passé des journées entières… passionner par sa lecture, rêvant d’acte de héroïque. Les livres avaient tant à raconter, tout ce que le côté spirituel que son père lui avait enseigner
que les plantes pouvant guérir divers maladies et maux. Shakmung avait commencé à apprendre comment fonctionnait le corps de plusieurs races, leurs organes, les nerfs et les principaux vaisseaux sanguins. Beaucoup d'information figurait dans les livres du temple comme essentiel à leur apprentissage. Comme de nombreux principes des moines d’Ilmater figurait dans les bibliothèques du temple. Rêvant aider le peuple en arrêtant l’injustice et tous les tyrans… nul devait rester impunis. La souffrance n’avait pas sa place surtout qu’Ilmater sera là pour l’aider. Le temps avait passé par sa grande maturité qui devait tracée son chemin vers cette être, plein de lumière, où le corps physique n’a plus d’importance. Les prêtres du temple l’avaient guidé vers le droit chemin, Il consacrait tout son temps dans l’apprentissage pour mieux servir Ilmater comme étant son serviteur, aidant tous les mortels.
Shakmung avait commencé à apprendre comme implorer son dieu et à la force de maîtriser l'utilisation de son énergie positive qui mettait à rude épreuve sa propre conscience. Il avait bien présentie que cette énergie, qui ne faisait pas vraiment partie de son être. Dans un temps,où son Ki était la seul chose auquel il pensait atteindre la perfection. La perfection du Ki a été un moment important à la compréention de l'énergie positive malgré qu'il ne consacre pu autant de temps à son apprentissage de moine mais pour ne pas pourtant le laisser de côté. Il voulait toujours mieux contrôler l'énergie positive qui a force de mieux la maîtriser le rapprocherait d'Ilmater. Shakmung n'avait plus besoin d'avoir obligatoirement des bandages pour guerir des blessures sauf si ces même blessures étaient trop grave où là, il préférait le soulagé de leur souffrance. Il pouvait toujours compter en Ilmater et son bon contrôle de soi pour soigner une personne malade, il avait beaucoup plus de facilité à savoir qu'est-ce qui devait faire pour lui rendre en aider, ayant apprit pendant plusieurs année, la connaissance des plantes et de la médecine. Shakmung se distinguait par sa compréhension du corps lui même, juste par le touché. Il devait se concentrer, son esprit devait être en transe pour sentir les malaises des autres. À la fois, calme et reposé, se servant de sa bonne compréention de l'anatomie et de ses sens contrôlés. Shakmung devait bien diriger sa colère intérieur, même un ennemi avait droit au pardon s'il avait commit aucun pêcher. Cette nouvelle énergie, d'une grande puissance, il voyait qu'il avait toujours une limite à ne pas dépassé. Il présentie que c'était préférable d'utiliser des méthodes conventionnelles qu'utilisé l'énergie positive qui sommeil en lui. Il avait rarement besoin de sa magie divine, des simples bandages faisait surement bien le travail. Ayant le contrôle de son esprit, voulant se servir de ses énergies pour mieux parfaire ses connaissances. Il lui avait apprit à crée des potions grâce au pouvoir divin ou part les plantes pour aider le peuple par la même occasion. Après quelque année, Il était enfin près à faire son chemin.
C’était un temps où il avait un aventurier qui était présent, voyageant depuis sa jeunesse ayant tout à aider, gardant la foi en lui comme un symbole de sa venue. Il avait tellement connu du paysage… qu’il espérait tant rencontré d’autre être cherchant comme lui à faire le bien pour le peuple. Après avoir prit conscience de la triade et de Lathandre qui sont alliées à son dieu. C’était temps pour lui de faire son bout de chemin pour faire avancée l’avenir.