[En cours][Moine][E]Nakami

Nom du compte joueur forum : Sadoruro
Nom du compte joueur module : Epiquemonk
Nom du perso : Nakami
Race : Elfe
Sous race : Elfe sauvage
Age : 111
Alignement : Loyal Neutre
Religion : Aucune
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Moine 25
Arme de prédilection : Kamas
Langues : Commun et elfe

Description physique : Une taille moyenne, dans le metre soixante-dix, un corps fin et svelte, a la musculature féline, des cheveux mi long d'un blond cendré argenté lui tombant en cascade sur les épaules, un visage fin et ovale avec des yeux étirés, tel est l'apparence de Nakami.


Caractéristiques :
FOR : 10
DEX : 18
CON : 12
INT : 10
SAG : 16
CHA : 8

Histoire (elle est bien baclée a la fin, mais désolé j'avais plus d'inspiration... Je la reprendrais sans doute plus tard, si elle est valid& comme telle):

Il y a une éternité pour les humains, mais une fraction de vie pour les elfes, les habitants d’une grande foret isolée au nord des royaumes ne trouvaient pas la paix. Une ombre verte planait sur leur bosquet, du nom de Xyloritach. Le dragon, d’un vert émeraude, avait passé le siècle précédent à grandir a l’ombre des arbres immenses de la foret, usant d’un certain mélange de fourberie, de lacheté et d’opportunisme afin de survivre dans un monde où tous feraient tout leur possible pour se débarrasser de lui. C’est pour cela que, patiement, il attendit que les années remplissent son corps d’un vigueur draconique.
Et il avait réussit a survivre jusqu'à l’age adulte. Et dès lors, il commenca a répondre a l’appel de violence qui était inscrit dans son sang.

La foret tremblait devant la magnificience saurienne hérité de ses ancetres, Xyloritach le savait, et il s’en délectait. Et cela le rendait plus fort. Mais aussi plus ambitieux. Ambitieux au point qu’un jour, il tourna ses yeux reptiliens vers la petite communautée d’elfe sauvage qui venait de s’intaller sur son térritoire. Dans son regard, par dela la cruauté, se lisait l’envie.

Du point de vu d’un elfe sauvage, la petite communauté ne s’était pas installé dans la foret depuis longtemps. Mais tout allait deja de bon train, tout le monde s’était construit une habitation, et le village commençait petit a petit a prendre vie. Comment le dragon put passer inapercu pour les elfes, au fil de tout ce temps, reste et restera un mystere, mais quoi qu’il en soit, ils ne s’apperçurent jamais de sa presence dans l’immense foret. Les elfes continuerent donc leur vie reclusent et tribale, ne cherchant que la paix dans ce monde tumulté. Et c’est ainsi qu’ils furent sans défense quand le dragon décida de passer a l’attaque.

Xyloritach était fort, et il le savait. Il avait parfaitement, comme son enfance de survie lui avait apprit a le faire, estimé la menace que representait la communauté.
Le dragon avait passé quelques temps, sous forme métamorphosé, a observer les elfes afin de parfaire son plan d’attaque. Il était absolument certain de sa supériorité, mais il était prudent.
Il n’y avait pas de lanceur de sorts de haut niveau, ni meme de combatant émérite, c’était une communauté somme toute banal. Mais elle possedait quelques richesses. Bien peu face a la soif du dragon… mais il devait bien commencer la collecte de son tresor quelque part.
Il n’y avait plus de raison d’attendre. Le saurien se lanca a l’attaque.

Les arbres semblaient comme s’écarter devant lui, tandis que le dragon sortait en volant, toutes ailes déployé, de la foret profonde. Quand les elfes l’appercurent, une vague de terreur enserra leur cœur comme un poing de glace, devant le spectacle de la magnificience draconique de ce membre de l’espece la plus puissante de Toril. Les yeux remplis de larmes, incapable de générer la moindre pensée rationnelle dans leur esprit, les elfes commencerent en une vague de panique a courir de tout ce que leur etres était capable afin de fuir la mort qui venait du ciel.

Xyloritach exultait. Jamais il n’aurais immaginé un seul instant que cette chasse allait etre si divertissante. Les elfes fuiyait comme des cafards devant lui, tous sous l’emprise de sa terreur, mais ne pouvait esperer rivaliser de vitesse avec lui. Il en attrapa un au passage, et broya son corps sous ses dents tandis que l’infortuné poussait un dernier crie. La viande d’elfe était succulente ! Neanmoins, les tentatives de fuite des elfes irritait le dragon. Il aurait préféré qu’ils soient tous rassemblé au meme endroit afin de pouvoir les massacrer sans plus d’effort, et sans trop risqué d’abimer les richesses. C’est alors que Xyloritach eut une idée.
Il se precipita dans les airs juste au dessus des fuyards elfes, et lança son térrible souffle acide en une forme circulaire autour de la population. Il en resulta qu’un cercle d’acide entoura bientôt les elfes comme une prison infranchissable, qui fit rapidement fondre les pieds et jambes, puis petit a petit tout le corps des elfes de tete qui avaient mit les pieds dedant. Que les elfes étaient fragile ! Et ils étaient maintenant tous regroupper au meme endroit ! Le massacre prometait d’etre amusant.

Les elfes avaient tenté de fuir, mais ils s’étaient retrouver prit au piege a l’interieur d’un cercle délimité par un acide qui avait fait fondre les plus rapides. Il n’y avait plus aucun espoir, voila ce qu’ils se disaient maintenant. Il allaient tous mourir ici ! La plupart des elfes s’effondrerent par terre, en pleurs hystériques du a la terreur. Bien peu avait le regard encore assez sec pour pouvoir apercevoir la silouhette en train de traverser comme si de rien était le champ d’acide qui leur faisait face. Elle était d’une taille entre le moyen et le grand, et portait un habit ample et étrange d’un bleu nuit brodé de fin dessin argentés, le tout sous un long passe muraille de la meme étoffe, doté d’une capuche qui masquait le visage de l’interressé .
Elle avançait a travers l’acide, ses bottes le protegeant, d’un pas immuable qui exprimait sa tranquillité. Seul l’eclat mauve de ses yeux permettait de voir qu’elle était consciente, yeux qui semblait luire dans l’obscurité de son couvre chef.

Mais c’est quoi CA !?! Voila ce que se dit le dragon a cet instant. Une petite creature, inférieur, osait traverser SON acide dans un air de défis !?! Il ne pouvait le permettre ! Il était Xyloritach, le futur seigneur de cette foret ! Personne ne pouvait se permettre cet affront sur SON térritoire !! Avec une secousse qui fit trembler le sol alentour, le dragon se posa juste devant la sillouhette qui venait de finir de traverser l’acide, et lui hurla toute sa fureur et se fierté dessus. L’etre ne cilla pas. D’un geste précis et rapide démontrant l’expérience, il décrocha à sa ceinture deux armes étrange, genre de petite faucille dont les lames étaient espectivement noires et blanches. Le dragon ne savait pas ce que c’était. Mais il était un DRAGON ! Les autres étaient INFERIEUR ! Avec toute la furueur de sa fierté draconique bafouée, Xyloritach se jetta a l’assaut.

Trop rapide. C’est ce que que les elfes regardant le combat se dirent. Tout s’enchainait a une vitesse incroyable. Le dragon ouvrit l’attaque par deux coups de griffes puissants suivit d’une tentative de saisit de son adversaire dans sa gueule. Ce dernier déjoua ces attaques avec une facilité déconcertante, esquivant de gauche et de droite. Le dragon retenta une attaque a l’aide d’une de ses puissantes pattes, mais l’etre reussit a sauter sur cette derniere, y prenant appuis pour ensuite se propulser a toute vitesse vers la tete du saurien. Et ses faucilles trancherent l’air avec une telle rapidité que ce dernier siffla, avant de rencontrer les écailles du dragon.

« Non, ce n’est pas possible ! Comment ca a put arriver !?! » Xyloritach avait la tete en sang, les faucilles de son adversaire lui ayant labouré son crane saurien en y traçant de profond sillons. La douleur était insoutenable ! Ces armes n’étaient pas magique. Cet adversaire n’était pas normal ! L’instinc de survie que le dragon avait dévellopé durant toute son enfance, qui était ancré en lui et lui avait si souvent sauvé la vie, refit alors surface. Il devait s’en aller ! Il reviendrait plus tard, plus fort… mais plus tard !
La dragon fit alors demi tour, et déploya ses ailes, dans une tentative pour s’envoller. Il releva et tandis la tete vers les airs, haté de retrouver la sureté des airs. Mais tout ce qu’il vit, fut l’etre, juste devant lui, ayant comblé la distance en une fraction de seconde. Pour la premiere fois de sa vie, la peur passa dans les yeux du dragon.

Et il s’effondra, un douleur infernal lui taillant le coup. L’etre, tout comme son visage, venait de tailler une dizaine de sillons sur toute la longueur du coup du dragon. Sa tete heurta le sol, tandis que les blessures a son coup laisser s’echapper un sang d’un rouge sombre, presque noir. Le dragon essaya de parler, mais seul un horrible gargouillis se laissa entendre. Il ne pourrait jamais plus s’exprimer. Meme dans son agonie. Pour la premiere fois de sa vie, il avait peur. Sa derniere vision fut celle de l’etre, se tenant debout juste devant sa tete, le regardant de haut d’un regard dedaigneux emplis d’un eclat mystique. Et les ténèbres le prirent.

Le dragon gisait la, au millieu du cercle d’acide qu’il avait lui-même crée. La vision d’une telle creature morte avait quelque chose de mystique pour les elfes, ils ressentait, meme malgres la colere qu’ils avaient envers le saurien, que cette vision n’était pas dans l’ordre des choses. L’etre, a qui ils devait leur survie, décrocha de sa ceinture trois petite fiole contenant un liquide d’un jaune de feu, qu’il brisa en trois point sur le corps draconique. Aussitôt, le feu magique se repandit, ne devant s’arretter de bruler que lorsqu’au sol il ne resterai que des os au sol.
Sa sillouhette se découpant sur la barriere de flammes derriere lui, l’etre se retourna vers les elfes, lentement, puis, tout a la meme vitesse, abaissa sa capuche.

L’etre était un elfe de la lune. Il releva la tete pour fixer le peuple devant lui, qui put a cet instant se rendre compte de l’intensité, surnaturelle, de l’eclat mauve qui illuminait ses yeux.
Ses traits étaient fins, et ses cheveux argentés tombaient en cascade sur ses épaules. Il était d’une taille entre le moyens et le grand, et son corps possedait une musculature souple rappellant celle d’une panthere. Avec une grace qui semblait presque tenir du surnaturel, il s’avanca de quelques pas vers les elfes devant lui, se detachant ainsi des flammes qui semblait consumer le corps du dragon sans fumée. Le corps d’un dragon était un grand trésor. Lui n’en avait pas besoin… Mais il n’aimait pas partager.

L’elfe de la Lune s’avanca alors vers les autres elfes encore ébahis de ce qui venait de se passer. Il n’osait le croire. Un Elfe venait de terrasser un dragon sans effort apparent… et ce juste devant eux. Ils n’osaient parler… c’est pourquoi l’elfe de la lune fut le premier a prendre la parole.

« Je m’appelle Unen. Ne vous méprenez pas. Si je suis venu ici, c’est pour tuer ce dragon. Neanmoins, maintenant, vous avez une dette envers moi. »

L’elfe a qui il avait choisit d’adresser son discours, un des rares elfes encore debout, acquiesca lentement, ce qui fut repris par le reste de la communauté.

« Bien. » continua Unen.

Puis, il continua sa marche à travers la foule. Sa demarche était d’une droiture noble, ou plutot disciplinée, et ce sentiments était renforcer par les regards qu’il jettait autour de lui au elfe qui était toujours au sol lorsqu’il passait. Son regard sembla s’arretter sur un petit elfe, encore un bébé, qui semblait avoir perdu ses parents durant l’affrontement… ou plutot que ses parents, sous l’emprise de la terreur indicible provoqué par le dragon, avait abandonné en ne s’enfuyant qu’en pensant a leurs vies.

Ce ne fut que lorsqu’il l’eut traverser en entier, suivit des yeux par l’ensemble des elfes, qu’il s’arretta, et annonca sans un regard en arriere :

« Dans quelques années, je reviendrais. A ce moment la, vous m’offrirez la chose que je désire. »

Puis, d’un bond, il disparu dans les hauts arbres de la foret profonde. Une fois arrivé sur une branche, a l’abris des regards, il en jetta un dernier vers le village des elfes. Oui, il allait revenir. Il avait tout son temps, surtout qu’il n’en souffrait plus les afres. Un petit sourir apparut sur ses levres.




Le temps passa sur la petite communauté d’elfe sauvage, sans reussir a attenuer la douleur de l’attaque du dragon, qui restait presente dans tout les esprit. Neanmoins, meme si tous savaient qu’ils devaient leur salut à l’elfe de la nuit, bien peu avaient eut les esprits assez clairs pour se rappeller de prescisement de ce moment la, et aucun ne se souvenait de ce qu’il avait dit afin de les quitter. N’ayant rien prit dans le village, ni or, ni bijoux, rien, il finit par etre representé dans les esprits comme un sauveur désinterressé. Mais cette vision allait finir par etre boulversée.

10 ans finirent par passer. L’enfant qui avait perdu ses parents, celui qui avait été abandonné par eux, avait grandis jusqu'à l’age de la petite enfance, prit en charge successivement par tout les membres de la communauté comme leur propre fils. Mais il était encore un bébé trop jeune pour se rendre compte, et se rappeller, de ce qui se passait.
Ce fut donc dans la dixieme année, une fraction minuscule de temps pour un elfe, que la sillouhette refis son apparition a l’entrée du village, aussi soudainement que la derniere fois, comme si elle avait juste prit consistance la. Tous le reconnurent, mais, etrangement, sa présence avait quelque chose d’hautain, un petit sentiment qui ne conduisait pas a l’eufforie de la foule. C’est donc dans le silence le plus total, qu’encore une fois il traversa le peuple du petit village, les dizaines de pairs d’yeux le composant le fixant a chaque pas, la respiration retenue.
Il finit par arriver au centre du village, et c’est la qu’il s’arretta, ménageant son effet par de petite pause et une demarche calme, effet qui devait lui servir a obtenir ce qu’il voulait.
Ce ne fut qu’une fois la qu’il prit la parole, d’une voix assez forte pour etre entendu de tout ceux rassemblé autour de lui.

« Je viens chercher mon due. »

Voila la seule et simple phrase qu’il prononça. Le choc était grand pour les elfes, au moins autant que leur surprise. Mais un eut la force d’articuler :

« Mais… que voulez vous ? »

Il fut facile pour l’elfe de la nuit de retrouver l’enfant, le seul de cet age present sur la petite place au centre des hutes. Il n’avait pas changé depuis l’époque, et il s’était muté en un enfant dans la petite enfance, tout juste capable de marcher. Mais le plus important… il était sevré. C’était ca qui lui importait.
Alors, l’elfe désigna l’enfant d’un regard.

« Je le veux lui. » annonca t’il enfin.

Ce fut un choc pour la communauté.



Elowendyl et Analael était de jeunes frere et sœur, faisant partit des peu de jeunes gens ayant survecu a l’attaque du dragon 10 ans plus tot. Mais cela avait laissé une profonde cicatrice en leur cœur qui les brulait encore quand ils repensaient a ce carnage. C’était un traumatisme qui avait reveiller quelque chose ne eux. Une volonté farouche de combattre et de ne plus se laisser opprimer. La volonté d’etre fort pour proteger ceux qu’ils aimaient.

C’est pour cela qu’ils s’étaient décidé a s’entrainer, se faisant la promesse de devenir plus fort, beaucoup plus fort, chacun dans leur voie.
La jeune sœur, Analael, suivit la voie druidique, s’abandonnant completement a la nature, esperant ainsi pouvoir prevenir un nouveau drame de la meme ampleur que celui du dragon. Elle fit la rencontre de druide non loin de la foret, qui avait entendu l’appel farouche de sa volonté a servir la nature. C’est avec eux qu’elle partit suivre leur formation au loin de son village, avec la promesse de revenir vers les siens et de prendre en charge la forets ou ils avaient élu domicile. Apres 10 ans d’une dévotion totale pour les forces naturelles, elle avait enfin tenue sa promesse et était revenu vers le siens sous un nouveau jour, celle d’une puissante druidesse.

Elowendyl, lui, avait préféré suivre la voie des armes et de la survie dans la nature, celle du rodeur. Lui aussi n’avait que le désir d’aider son village, et c’est pour cela qu’il commença, au debut tout seul, a s’entrainer au métier des armes. Mais lui aussi finit par trouver un professeur en la personne d’un rodeur qui avait traverser la grande foret une année, et qu’il avait finit par convaincre de le prendre comme apprentit. Lui aussi était partit de longue année pour apprendre, et était finalement revenu au village, sur de sa nouvelle force.

Quand l’elfe de la lune annonca qu’il venait chercher l’enfant, ce fut un choc pour le frere et la sœur, un choc qui percuta les braises en leur cœur et raviva la flamme en leur ame, la flamme qui brulait en eux et qui leur disait de proteger les leurs. Cet enfant était innocent. Il avait deja assez souffert, il avait perdu ses parents, avait été elevé a tour de role par les familles du village. Tout le monde le considérait comme un petit frere.
Pour Elowendyl et Analael, il était hors de question de laissé faire ca. Plus aucune personne ne disparaitrait de leur village de par la faute de ce maudit dragon.

« Jamais ! Tu entend !?! JAMAIS !!!! » hurla alors Elowendyl.

L’elfe de la nuit tourna alors ses yeux remplis de leur intense eclat mauve vers lui.

« Ce n’est pas négociable. Vous avez tous une dette ici envers moi, et nous avons passé un contract que vous ainé ont accepté il y a 10 ans. Celui de me donner la chose de mon choix quand je viendrais la réclamer. Et c’est aujourd’hui. »

L’elfe avait parlé avec un calme méprisant qui avait fait bouillir Elowendyl de l’intérieur.

« NE TE FOU PAS DE MOI !!!!!! » hurla t’il, en se jattant sur l’elfe.

Le combat était lancé, Elowendyl se jetta a toute vitesse sur l’elfe, dégainant son épée batarde qui lui était si chere.
A coté de lui, sa sœur, sa fidelle allié, commençait deja a incanter un sort puissant, faisant appel aux forces de la nature les entourants.
Elowendyl combla la distance en un instant, arme a la main. Mais l’elfe ne cilla pas. Meme pas quand son coups l’atteint.

« Mais c’est quoi, ca ? » pensa Elowendyl.

Son arme avait bien touché le corps de l’elfe, mais s’était arretté net, comme si elle avait touché un corps en acier. L’elfe n’avait rien.

C’est alors que le sort d’Analael fut achevé. Elowendyl avait deja put constater plusieur fois la puissance des forces de la nature auquelles faisait appel sa sœur, il se désangagea alors du combat d’un bond, un sourir au levre, la victoire ne faisant plus aucun doute pour lui. Mais l’elfe ne cilla pas.

Il y eut un eclair aveuglant. Tout les elfes se couvrirent les yeux, se réjouissant de la reussite du sort d’Analael, meme si il n’en comprenait pas les effets. Mais l’intérressée, elle, savait qu’il s’était passé quelque chose d’imprevu.
La lumiere revient petit a petit a la normale. Toujours aussi immobile. Touche aussi calme. Mais les regardant maintenant d’encore plus haut.

« Vous ne pouvez RIEN me faire. » annonca t’il alors sur un ton hautain.

Le rodeur et la druidesse se trouvait tout devant l’elfe, mais a une distance respectable. Ils était tout les deux completement attéré, et n’avait plus la force de faire quoi que ce soit. Ils avait encore échoué. Ils allaient perdre de nouveau l’un des leur.

Ce fut cette pensé qui redonna un peu de force a Elowendyl, ou en tout cas juste assez pour reitérer ses propos, les larmes aux yeux.

« Non ! Non ! On ne te laissera pas faire ! » cria t’il a l’intention de l’elfe, les larmes lui coulant sur la joue.

« Je le sait… et je respecte ton courage et ton devouement. Mais ce n’est pas négociable. » annonca t’il doucement.

L’instant d’apres, il était derriere Analael, 10 metres plus loin, ayant comblé la distance en une fraction de seconde. C'est les larmes aux yeux que Elowendyl et sa soeur tenterent de tourner la tete afin de jetter un dernier regard vers l'elfe... avant qu'ils ne s'écroulent sur le sol, inconscient.

Ils avaient échoué.

L'elfe se tenait la, au centre de la place, d'un calme a tout épreuve, venant de mettre KO comme si de rien n'était les deux meilleurs combattants du village.
Une énorme apprehension régnait sur le village a cet instant, car le peuple de ce dernier avait comprit que quoi que l'elfe voulait, il allait l'obtenir.

Ce dernier s'avanca alors vers l'enfant innocent, qui ne comprenait rien a ce qu'il se passait, sous le regard de tout les membres du village. Quand il arriva a sa hauteur, il s'accroupit pour se mettre au meme niveau que l'enfant, et le fixa, l'eclat mystique de ses yeux dansant sur ses pupilles. Et puis il sourit vers le petit elfe.

"Maintenant, tu va venir avec moi." lui dit il.

L'elfe avait prevu. Il avait deviné et avait comprit ce qui allait se passer. Cet enfant allait grandir sans pere ni mere dans un village tribal. Il serait donc receuillit par tout les familles, tres certainement a tour de role. Changer de parents allait donc etre pour lui une chose naturel.
Et il ne s'était pas trompé. Le petit elfe attrapa la main qu'il lui tendait.

Et ce fut ainsi qu'ils quitterent le village, ensemble.


L'elfe avait maintenant ce qu'il voulait. Un disciple. Une personne a entrainer. Un eleve qu'il allait rendre plus fort. Plus fort que tout, plus fort qu'aucun autre. Plus fort que lui. Et a qui il allait enseigner la valeur de transmettre son savoir. Il allait ainsi débuté une lignée de maitre a élève. Une lignée qu'il voulait la plus forte au monde. Qui laisserait sa marque sur le monde.



Le petit elfe acquis un autre nom, donné par son désormais maitre. Il s'appellerait Nakami.
Ainsi commenca sa vie d'entrainement.

Unen, son maitre, fut pere severe mais bon, bien qu'intrensigeant avec son entrainement. Au depart, le petit elfe avait moult question enfantine dans son esprit, comme "pourquoi ne change-je plus de parents ? " ou encore "Pourquoi on rentre pas au village ?", mais, la vie passé de l'enfant aidant, il les oublia bien vite. Désormais, Unen allait etre pour lui son seul et unique pere.

L'elfe de la lune commenca alors son grand oeuvre, l'entrainement de son disciple, ce dernier étant en age de le commencer. Il avait depuis longtemps réfléchis a la meilleur façon de le faire, afin qu'il porte le plus de fruits possible. Mais un nouvel élément vint s'ajouter a la satisfaction de l'elfe: son disciple était doué, tres doué meme dans le style que son maitre lui enseignait.

Il ne fallut que quelque mois, passé en voyage, pour que Nakami maitrise les bases du style de son maitre, comme les positions, les déplacements les plus simples, et les gardes les mieux adapté a chaque situation. Tout ceci était une partie fondamentale, une fondation indispensable pour construire le style dessus. Elles furent faite.

Et ces fondations furent utilisées avec le plus grand soins. Les années passerent, faisant fleurir la croissante aussi bien physique que mental du petit elfe, désormais entierement dévoué, comme il le fallait, a son maitre. A force d'exercice, d'effort et de douleur, Nakami se forgea bientot le physique excéptionnel que se devait de posseder tout moine afin de reussir son entrainement. Il affina dans le meme temps ses bases, ses techniques et son savoir faire, jusqu'a ce qu'il arrive a un niveau de maitrise jugé suffisant par son maitre pour qu'il puisse élever son éleve au niveau supérieur.

"Maitre, qu'est-ce ?" demanda Nakami, alors que son maitre s'approchait vers lui, tenant deux especes de petites faucilles dans les mains.

"Ce sont ce que l'on appelle des Kamas. Désormais, ce sera avec eux que tu t'entrainera. Tu ne devra plus jamais les quitter. Afin de pouvoir maitriser leur art subtil, sache qu'il te faudra repartir de la base de ton entrainement, au tout debut, et refaire tout le chemin avec eux. Mais sache aussi que faire ce chemin au prealable, seul, était aussi nécéssaire."

Nakami acquiéca aux paroles de son maitre, sans trop véritablement les comprendre. Pourquoi son maitre lui donnait il a maitriser un autre art maintenant, a lui qui avait passé tant d'année a s'entrainer au premiers ?
Il ne comprenait pas vraiment, était un petit peu frustré, mais fit neanmoins confiance a son maitre, le contraire ne lui ayant de toute façon meme pas éffleuré l'esprit. C'est ainsi que, une nouvelle fois sous la tutelle de son maitre, Nakami commenca a apprendre l'art subtil des Kamas.

Petit a petit, il comprit de quoi son maitre parlais. Les kamas étaient des armes capricieuses, qui nécéssitait une vigilance de tout les instant et une technique infaillible pour etre utilisé sans risque pour son propore corps. En fait, plutot qu'une remise au point de départ, il sentait plutot que toutes les techniques qu'il avait appris au prealable, toutes les bases premieres, étaient nécéssaires a leur utilisation. Les kamas trancendaient l'art du moine.

C'est ainsi qu'encore une fois, les années s'écoulerent, dans la monotonie de l'entrainement, neanmoins ponctué d'évenements intense dont Unen avait le secret, comme une éxploration de ruine ou encore une chasse aux gobelins proche de leur campement, qui permettait a Nakami, en plus de rompre la monotonie ennuyeuse, de comprendre a quel point l'entrainement était important. Il ne devais jamais savoir que tout ceci faisait partit du plan d'entrainement élaboré par son maitre.

Ce fut lorsqu'il rentra dans l'adolescence que son maitre fit prendre a son entrainement une dimension spirituelle. Il l'initia a la méditation, a la recherche sur ses sens, a son moi intérieur, a la puissance qui était enfouie en chaque etre vivant. Tout cela ayant pour but d'atteindre la maitrise de son corps, mais surtout, de son Ki. Nakami n'était pas avare dans ses efforts, et meme si il mit du temps a intérioriser la notion de Ki, il passa brillement les épreuves imposé par son maitre, au fils des ans, comme par exemple etre capable de résister a la plus térrible des maladies, la peste, en maintenant un controle absolue sur son systeme immunitaire.


Encore une fois, le temps passa sur l'éleve et son maitre, énormement de temps pour les humains, seulement quelques temps pour les elfes.
Bientot, les Kamas devinrent pour Nakami une extension meme de son propre corps, se servant d'eux dans son art comme s'ils avaient toujours fait partie de lui. Son corps, son esprit et sa technique ne faisaient plus qu'un en lui, relié par les liens de Ki qu'il avait tissé entre eux, sous la tutelle de son maitre.
Il venait d'arriver a l'age adulte. Sa vie d'entrainement sous la tutelle de son maitre se terminerais bientot, il le savait, car il allait bientot devoir passer sa derniere épreuve. Son maitre l'avait prévenu. Elle serait pour bientot.

Nakami était a la fois éxité, appeuré et honnoré quand vint le jour de sa derniere épreuve, celle qui devait mettre fin a son entrainement. Mais il fut émerveillé devant l'imagination de son maitre quand a cette derniere. Ce dernier avait construit, rien que pour l'évenement, un parcours d'obstacle qui devait mettre a l'epreuve autant son sens de l'equilibre que sa vitesse, son endurance, sa force, et tout ce qui faisait ses bases. Un merveilleux agencement de pieges et d'épreuves spécialement concut pour éprouver sa technique, le tout constituant un parcours s'accrochant aux arbres de la foret.

"Maitre, mais ou avez vous trouver le temps de construire tout ceci ?" demanda Nakami, avec des yeux ronds.

"Disons qu'un "Ami" m'a aidé a construire tout ceci... depuis quelque temps." repondit le maitre.

Le disciple se demanda si il pouvait etre vraiment satisfait de cette réponse, mais il n'eut pas plus de temps pour s'attarder sur cette pensé.

"Bien. Je crois que tu dois comprendre ce que j'attend de toi pour cette derniere épreuve. Va jusqu'au bout de ce parcours, et finit le entier. Tu a le droit de t"aider de tout ce que tu a apprit, et de tout ce que tu a en ta possession. Le chemin n'est pas difficile a suivre, je l'ais meme indiqué par des fleches. Et bonne chance. Montre moi ce que tu sait faire !"

Sans autre forme de cérémoniel, son maitre fit débuter l'epreuve. Nakami se lanca alors.

Le premier obstacle fut un mur qu'il franchis aisement a l'aide de quelques bonds depuis des surfaces judicieusement placées aux bons endroits. D'un bond, il fut facilement au sol. C'est alors qu'un enorme rondin taillé en pointe tomba de la canopé, retenu par une corde qui lui faisait decrire un mouvement circulaire. Nakami esquiva de justesse l'attaque, avant de se refugier encore une fois sur le dessus du mur qu'il venait de passer.

"Prend toujours le temps d'analyser ce qu'il se passe devant toi avant de te jetter dans la mélée."

Voila une des leçons que Nakami avait appris de son maitre et qu'il avait oublié d'appliquer ici. Il se rendait maintenant compte de l'etendu de ces mots, qui ne s'appliquait pas seulement au combat.
Il prit donc le temps d'analyser ce qu'il y avait devant lui. C'était un petit champ découvert de quelques metres de long, qui finissait sur un autre mur de bois, ou cette fois ci il n'y avait aucun endroits ou s'appuyer afin de le franchir. Mais une idée germa alors dans l'esprit d'Unen.
Pour la deuxieme fois, il bondit au sol, et dépassa le premier rondin. Comme il s'y attendait, il déclancha un nouveau piege, un nouveau rondin tombant droit sur lui. Mais cette fois ci, Nakami bondit dans les airs, et d'un ample mouvement gracieux de ses Kamas, il trancha les cordes retenant le morceau de bois meurtrier. L'attrapant alors entre ses deux pieds en plein air, il dirigea la pointe droit vers le sol qui s'y ficha facilement. Nakami se retrouva donc en équilibre sur le rondin planté dans le sol. De la, il utilisa ce support pour bondir devant lui, et, tendant les mains le plus loin possible, arriva a attraper le rebord du second mur qu'il devait passer, un petit sourir en coin.

Esquivant les pieges, faisant preuve d'intelligence et de technique, Nakami progressa le long du parcours, déjouant les épreuves que son maitre lui avait préparé, jusqu'a ce qu'il en atteigne la fin. Il se laissa tomber du dernier mur, marquant la fin du parcour. Son maitre était la, devant lui, ses kamas a la mains. Il s'était trompé, il lui restait un dernier obstacle a passer.
Degaina ses propres kamas, il salua son maitre qui lui rendit le salut. Et puis le combat commenca.

Nakami n'avait absolument aucune chance de gagner contre son maitre, il le savait. Mais ce dernier lui avait toujours appris a ne jamais abandonner, a toujours combattre farouchement face a n'importe quel adversaire. C'est pour cela qu'il se décida a faire de son mieu.
Les coups, les techniques et les parades s'enchainaient a une vitesse inouie, bien plus vite que ce que Nakami avait put imaginer un jour atteindre, mais qui n'était rien pour son maitre. Ce dernier prit rapidement le dessus, et, bien qu'il était la pour tester son eleve, finit bientot par le désarmer et lui faire admettre sa défaite.

"Tu a admirablement passer ta derniere épreuve, Nakami." annonca t'il apres quelques instant, tandis que son élève était resté les fesses au sol.

"Mais... n'avez vous pas gagner ? N'ais-je pas perdu ?" demanda l'intérressé.

"La victoire ou la défaite ici n'importait en rien. Ce sont tes compétences que je voulais tester. Et en cela, je suis parfaitement satisfait. Tu est devenu assez fort, maintenant, pour pouvoir voler de tes propres ailes."

"Mais, maitre, qu'est-ce que cela veut dire ?"

"Cela veut dire que désormais, tu marchera sur ta propre route, seul. Le reste des choses que tu dois apprendre, tu doit les apprendre seul, les découvrir par toi meme. En cela, je ne peut plus t'aider. Quand tu les aura découverte, tu comprendra pourquoi. A ce moment la, reviens me voir, pour me montrer a quel point je peut etre fier de toi."


C'est ainsi que, peu de temps apres la fin de l'epreuve, apres plus d'un siecle passé ensemble, le maitre et l'élève se séparerent afin de marcher sur des routes qui un jours devaient se recroiser. Quand son élève fut finalement hors de vue, Unen se retourna, un sourir cruel au bord des levres. Il avait parfaitement remplis son role.

Salut ^^

Citation :

Coucou,

Tout d'abord, je trouve que 12 en sagesse ce n'est pas assez pour un moine, une sagesse pas assez élevée ne lui permet pas de développer sa sensibilité au ki et d'en tirer ses capacités hors du commun.

Pour moi, un personnage nait avec les caractéristiques qu'il a, et ne les choisit pas en fonction de la classe qu'il veut prendre dans le futur. Nakami est né avec ces caractéristiques, il les assume. De plus il n'y a pas de prérequis comme caractéristique pour devenir moine.

Citation :

Nakami est un nom japonais, non pas que je sois contre les noms qui sont dans ces sonorités là, mais ici on ne sait pas pourquoi le maitre de ton perso, elfe de la lune, qui n'est visiblement pas karaturien, et qui n'a lui même pas de nom à sonorité japonaise, lui donne ce surnom là. Je ne pense pas qu'on choisisse des surnoms si éloignés de nos origines si on a pas une bonne raison.

Unen est pour moi aussi un nom a sonorité japonaise. Mais c'est un point de vue. Nakami a recut son nom de son maitre, dans la toute petite enfance, tout comme son maitre l'avait recu du siens, etc... La tradition monastique venant de Kara-Tur, les noms transmit ont donc été de conotation orientale.

Citation :

Il faut aussi rappeler que le moine ne fait pas qu'étudier les arts martiaux et le ki, il acquiert des préceptes, une philosophie, des dogmes, et cela se fait dans un monastère ou avec des membres d'un ordre.

Ceci est une vision éroné du moine. Certe je reconnais qu'il y a plusieurs ordre dédié a des dieux dans les RO, mais ils sont en réalité une minorité, et dans la quasi majorité une déviation "occidentale" de la tradition monastique Kara-turienne qui elle était, pour 95% des ecoles, athée.

Il n'y a donc aucune nécéssité pour le moine d'apprendre des dogmes, et la philosophie qu'ils apprenent est une philosophie liée a l'élévation spirituelle et a la recherche de la perfection uniquement, leur entrainement ne se faisant, en effet, que sur la recherche de celle ci par les arts martiaux et le Ki.

Ceci est d'ailleur dit dans la section Bibliotheque partie BG des moines, il il est dit mots pour mots:

Citation :

Contrairement aux prêtres et aux druides, les moines ne choisissent pas forcément de divinité patronne (même si la plupart le font), tout comme ils n'ont pas l'obligation d'entrer dans l'une des écoles des Royaumes.

Dans l'absolue, le moine agissant comme un paladin pour le dieu tutélaire de son ordre est une totale abération, car certe de nombreux ordre dans les RO "occidentaux" ont des divinités tutélaire, mais les moines les acceptent plus en regard de la philosophie de leur dogme (comme "toujours privilégié les idée novatrice" pour lathandre, ou "etre aussi pur et destructeur que le feu" pour Kossuth) plutot que de les prier et les servir comme des pretres.

Citation :

De quel ordre fait partie le maitre de ton personnage?

Bien que dans les RO (encore une fois occidentaux car a Kara Tur, ceci se fait encore plus souvent), quand on parle de moine on pense tout de suite a monastere, la tradition d'enseignement monastique directement de maitre a élève (beaucoup plus Japonaise IRL que Chinoise) est aussi tres présente. Les maitre enseigne donc Leur style a leur élève, un style qui leur est totalement personnel car hérité de leur propre maitre puis modifié
a un tel point que la notion d'ordre ne peut plus s'appliquer a eux.

La citation de la bibliotheque explique aussi ce point, en disant que les moines ne sont pas obligé de rentrer dans une ecole (un monastere).

Citation :

Pourquoi choisit il cet elfe sauvage pour devenir son disciple? (que signifie ce sourire satisfait à la fin du récit?)

L'occasion a fait la laron, le maitre de Nakami, d'une nature loyal, ne pouvait se voir voler un enfant. Neanmoins ce n'était pas non plus dans sa nature d'établir des relation d'amitié pour s'en faire donner un. Il a donc profiter du fait que le village avait une énorme dette pour revendiquer l'enfant en toute tranquilité pour sa conscience.

Citation :

Quels sont les objectifs de ce maitre?

C'est expliqué dans l'histoire. Ce qu'il veut, c'est débuter une lignée "maitre-élève" de moine qui soit la plus puissante au monde, c'est pour cela qu'il a élevé Nakami des son plus jeune age en le conformant au plan d'entrainement qu'il avait longement réfléchis dans les années precedent son adoption.

Citation :

Quelle est la philosophie de ton personnage, ses préceptes, les dogmes qu'il a intégré? A-t-il des objectifs?
N'oublie pas que le moine vise la perfection spirituelle.

Pour les dogmes et préceptes, il n'en a pas, j'ais donné l'explication au dessus.

Pour ses objectifs, comme tout moine, il cherche la perfection aussi bien physique, spirituelle que technique dans la voie qu'il s'est choisit, c'est a dire celle de la maitrise des Kamas.

Citation :

On ne ressent pas l'elfitude de ton personnage. Que sait-il des elfes et des elfes sauvages?

Nakami a été enlevé de son village alors qu'il n'avait environs que 2 ans et demie en age humain, et encore, tout comme son maitre aupravent, car la tradition d'enseignement de maitre a élève veut que le disciple passe sa vie aux cotés de son maitre pour tout apprendre de lui.
Les deux n'ont donc absolument aucune notion "d'elfitude", notion qui s'acquiert généralement que grace a l'apprentissage chez les elfes.

Citation :

Les elfes sauvages sont encore plus chaotique que la plus part des elfes qui sont eux déjà chaotique de base. C'est vraiment rare pour un elfe d'être Loyal et encore plus pour un elfe sauvage et encore plus pour ce qui représente l'extrêmisme du loyal, à savoir le loyal neutre.

Rare en effet mais pas impossible, comme pour beaucoup d'autre persos sur le val.
Nakami est surement en effet un etre tres rare, comme son maitre. Mais pour moi il y a aussi une autre explication qui m'est personnelle, celle qui dit que l'éducation stricte peut permettre de faire taire et d'a la longue faire disparaitre les pulsions chaotiques naturelles d'un individue, mais c'est une vision personnelle.

Citation :

On voit que ton personnage se lie à ses armes, ce qui est plutôt quelque chose de propre aux MDAR, en soit ce n'est pas grave, mais il faut bien comprendre que MDAR et moine sont chacun entourés d'une philosophie différente.

Les deux classes sont en effet éloignés, mais aussi tres proches. Quand un moine décide de se dévouer a la maitrise d'une arme au travers des arts martiaux, il se rapproche beaucoup du maitre d'arme. La difference tient au fait que le moine lui va s'entrainer a la maitrise de son arme au travers des techniques d'arts martiaux codifiées, comme il le fait avec son corps, tandis que le maitre d'arme, lui, va le faire en renforcant le lien qu'il a acquis avec son arme grace a l'expérience jusqu'a meme créer un lien si fort avec cette derniere qu'il est capable de transmettre son Ki en elle.

Citation :

des détails moins important mais quand même:
-le maitre de ton personnage tue un dragon avec facilité, rien qu'avec des Kamas, en combat singulier, dans l'absolu pourquoi pas, mais peut être qu'il faudrait viser quelque chose de moins gros?

J'ais particulierement insisté dans l'histoire pour faire comprendre que le maitre de Nakami était d'un niveau épique. Sur le val, a Luskan il en marche des dizaines au Km². Donc pour moi integrer ce fait a l'histoire ne posait pas trop de probleme.

Ensuite, sans doute l'ais-je pas assez fait comprendre dans l'histoire, mais les Kamas du maitre son magiques, et bien bourins. Ca se trouve a Luskan, donc le maitre pourrais en avoir lui aussi.

Enfin, selon le manuel du joueur, le Niveau de Challenge d'un Dragon Vert adulte est de 12. Le maitre étant épique et bien équipé, en effet, il n'a pas vraiment eut de mal a s'en defaire.

Citation :

-deux des personnages de ton histoire deviennent un druide puissant et un rôdeur (l'arme du frère est une épée bâtarde, or ils n'apprécient pas vraiment le fer et la métallurgie, le "village" est en construction ce qui n'est pas le for des elfes sauves non plus) en seulement 10 ans. C'est court, surtout pour un elfe.

Je ne suis pas un spécialiste ni des druides ni des rodeurs, je pensait vraiment que 10 as était suffisant. Sans doute me suis-je trompé, neanmoins c'était nécéssaire dans mon histoire.

Voila j'espere avoir répondu a tes questions.

Coucou,
Désolé mais non cela ne répond pas à mes questions, tu as une attitude négative quant à mes commentaires.

Pour ce qui est des caractéristiques, 12 en sagesse je maintiens que ce n'est pas assez. La plus part des dons, compétences, et bonus sont liés à cette sagesse qui traduit sa capacité à la perception. Un combattant qui n'a pas 13 en sagesse ne pourrait même pas réaliser un uppercut. C'est pourquoi je ne pense pas qu'on puisse accepter un moine qui a moins de 14 en sagesse. On atteint de toute façon pas cette perfection spirituelle si l'on a pas cette capacité à la perception.

Pour le nom, encore une fois je n'ai pas dit que ce n'était pas acceptable, mais il ne faut pas que cela sorte de nulle part. Ce nom a-t-il une signification? Pourquoi ce nom? Quand on gagne un surnom, cela a une signification.

Pour ce qui est des préceptes, de la philosophie, des dogmes, je t'invite à me relire, je n'ai pas parlé de divinité. Que ce moine soit dévoué à un dieu ou pas, il obéit à des codes, des préceptes, une philosophie (liée au ki, à une conception de la vie certe, ou à une divinité), or cela n'apparait pas dans ton BG. En effet, il n'est pas obligatoire qu'il fasse partie d'un ordre, ou qu'il y soit affilié, mais il doit avoir intégré des enseignements auprès de son maitre, et pas seulement en arts martiaux. Sinon il suffit de faire un guerrier spécialisé dans le combat à mains nues, le moine ça n'est pas que ça.
Donc, si tu ne veux pas que ton perso soit affilié à un ordre, il faut montrer sa philosophie, ses préceptes, sa ligne de conduite, ses dogmes, bref ses enseignements acquis.

Citation :

L'occasion a fait la laron, le maitre de Nakami, d'une nature loyal, ne pouvait se voir voler un enfant. Neanmoins ce n'était pas non plus dans sa nature d'établir des relation d'amitié pour s'en faire donner un. Il a donc profiter du fait que le village avait une énorme dette pour revendiquer l'enfant en toute tranquilité pour sa conscience.

Tu ne fais que déplacer le problème, en te servant du maitre de ton personnage comme prétexte. C'est un peu trop facile. Avait il une meilleure raison de choisir cet enfant (elfe sauvage en plus) plutôt qu'un autre? Il faut expliquer ces raisons.

Et aussi parler un peu plus de ses objectifs, quitte à ce que cela serve de préceptes à ton personnage. Tu auras donc compris qu'un moine qui ne suit pas de préceptes, cela ne marche pas.

Pour l'elfitude, encore désolé mais non. Cela ne s'acquiert pas que par l'apprentissage chez les elfes. Il y a une nature elfique innée, exactement comme des traits raciaux. Comment ton personnage arrive-t-il à concilier cette nature à sa vocation de moine?
Il faut aussi bien différencier l'aspect chaotique du comportement et l'aspect chaotique de la vision du monde. L'alignement est avant tout une vision du monde qu'un comportement.

Pour ce qui est du rapprochement entre mda et moine, je suis ok, mais il faut bien que tu comprennes la différence dans le RP.

Citation :

J'ais particulierement insisté dans l'histoire pour faire comprendre que le maitre de Nakami était d'un niveau épique. Sur le val, a Luskan il en marche des dizaines au Km². Donc pour moi integrer ce fait a l'histoire ne posait pas trop de probleme.

Ensuite, sans doute l'ais-je pas assez fait comprendre dans l'histoire, mais les Kamas du maitre son magiques, et bien bourins. Ca se trouve a Luskan, donc le maitre pourrais en avoir lui aussi.

Enfin, selon le manuel du joueur, le Niveau de Challenge d'un Dragon Vert adulte est de 12. Le maitre étant épique et bien équipé, en effet, il n'a pas vraiment eut de mal a s'en defaire.

Il ne faut pas tout comparer entre les ROs et Nwn, et le val. Sur le val, il n'y a pas de pjs qui battent un dragon au corps à corps en RP. Son maitre le tue au corps à corps avec une facilité déconcertante. C'est un peu trop ambitieux.

Voilà, encore une fois n'hésite pas à poser des questions en cas de soucis, et note bien que ces remarques ne sont pas tant là pour te brider dans tes envies de jeu, que pour t'aider à construire quelque chose de cohérent.

Pour ce qui est des dogmes, je maintient que ceux ci font partie d'un contexte religieux (les dogmes étant les enseignement ou actions pronné par le dieux et que le fidele se doit de respecter au mieux) qui pour moi n'a pas de place dans ce personnages.

Par contre, j'aimerais que tu devellope ce que tu entend par preceptes et ligne de conduite. Si par ces deux termes, tu entend par exemple "s'entrainer tant de temps par jours" ou alors "toujours faire attention a ne pas manger plus que de raison, ni a consommer des substance pouvant alterer l'esprit", ceci est la ligne de conduite normal d'un moine, et forcement celle de son maitre et donc forcement celle que suivra Nakami.

Si par ligne de conduite tu entend la meme chose que pour le paladin, par exemple chercher a aider les gens, ou faire des choses en plus de son entrainement, j'ais peur que ce ne soit pas la bonne vision du moine.
Les moines on en effet une ligne de conduite a tenir, mais celle ci ne concerne que leur entrainement (ce que je pense avoir fait apparaitre dans l'entrainement de Nakami par son maitre, ligne qu'il suivra donc obligatoirement dans le futur), et, en théorie pour tout les alignement possible du moine, en dehors de suivre cette derniere pour acceder a la perfection, rien d'autre ne les interresse ni ne les émoit dans le monde.

Pour la philosophie, encore une fois je ne vois pas ce que tu veut dire. Me demande tu d'integrer au personnage un autre philosophie que celle de la recherche de la perfection, qui serait un autre genre de ligne de conduite a suivre pour mon personnage ?

Ou plutot me demande tu de rendre mon personnage plus tourné vers la philosophie ? Si c'est le cas, je pense que tu voit trop les moine comme les peres supérieurs du monastere Shaoling, capable, certe, mais quasiment entierement tourné vers l'esprit. Ces moines existe, mais ils sont une minoritée. Les moines sont avant tout des combattants recherchant la perfection par les arts martiaux, l'action et la méditation. Certe, ce sont des personnes sage, mais leur sagesse represente surtout leur perception du monde qui les entourent. Ce sont en priorité des guerriers, ils sont sages, mais je pense que bien peu pourraient reécrire la philosophie de Platon.

Pour les objectifs, que me demande tu ? Je pense avoir mit dans le BG que les objéctifs de Nakami, comme son maitre le lui dit a la fin, était de devenir plus forts, meilleur, et de se rapprocher de la perfection. Nakami n'en a aucun autre, et ils sont les principaux des moines.

Ensuite, pour "l'elfitude" innée, pourrais tu me donner un lien ou me renseigner, car j'ais lut la section sur les elfes dans la bibliotheque d'Elminster du forum, et je n'ais rien trouvé la dessus ?

Pour le choix de Nakami par son maitre. Non, il n'avait pas d'autre raison. Réussir a obtenir un enfant par des moyens non illegaux n'est pas une tache facile ni dans notre monde ni dans les RO. On ne trouve pas des nouveaux née au coin des rues. Mais il avait besoin d'un enfant, et cette dette allait lui servir. Qui plus est, comme je l'est parqué dans l'histoire, il a choisit Nakami car ses parents avaient été tué par le dragon, et que cela allait "faciliter son adoption".

En ce qui concerne les carrac, je persiste a dire que l'on nait avec les carrac que l'on a, et qu'on les choisit pas en fonction de sa classe. Qui plus est il n'y a pas dans les regles de prérequis en carrac pour la classe de moine.
Et puis, comme l'a dit Lillith, 12 dans une carrac correspond au niveau d'un champion régional dedans, 14 un niveau national, 16 international et 18 olympique. Donc 12, deja, ce n'est pas rien.

Pour ce qui est des niveaux des lvl de PJ RP, j'ais deja vu des gens utiliser en anim des competence de lvl épique et cela avait été validé. C'est pour cela que je ne comprend pas tres bien ce que tu me dis.

Enfin, pour finir, je voudrais dire que je ne prend pas de façon négative tes commentaires. Je pense simplement que l'on a pas la meme vision du moine. Je crois que tu a une vision du moine des RO qui reste tres standard, comme le personnage tres philosophique qui s'assied en haut d'une montagne pour contemplé le paysage et méditer. Certe, il en existe des comme ca, mais quand on lit tout les bouquin qui leur sont associé dans l'univers de DD, on se rend compte qu'en fait, le moine est un sérieux combattants, beaucoup plus tourné vers le combat et l'action qu'on ne le pense.
C'est un personnage comme cela que j'ais envie de jouer, et en fait, ce que j'essaye de te faire comprendre, c'est que dans ce BG, je ne pourrais, ni meme ne voudrais, dévelloper un personnage qui se conformerait a ta vision, non pas qu'elle ne soit pas bonne, mais que tout simplement que ce n'est pas celle la que j'ais envie de jouer, mais une autre, et je te demande de me croire, qui existe dans les RO et est coherente.

En ecrivant ce post, je ne veut pas faire croire que je manque de respect a la fonction de scribe sur ce forum. J'ais beaucoup de respect pour les connaissance de ces derniers. Mais ce que je voudrais dire, c'est que meme en n'étant point scribe, on peut nous aussi avoir des spécialité dans une race ou une classe et avoir des connaissances sur ces derniere. Peut etre pour Soron est-ce les elfes, peut etre pour Alays ce sont les mages, pour moi, ce sont les moines.
Et ces connaissances que l'on a sur les classes peuvent vouloir nous ammenner a jouer des personnages qui ne corresponde pas a la vision que ce font les scribes d'eux, mais qui neanmoins reste reel et coherent a l'esprit des RO, puisque present dans les supplements.
Et c'est ce que je veux faire quand, ici, je veux jouer un moine qui sera sans doute moins philosophique que la vision que tu te fait de cette classe.

(Désolé du double post, mais je prefere que ca tranche bien avec le precedent)

Apres avoir dit cela, je confirme neanmoins que je vais reprendre la fin du BG car de toute façon elle ne me conviens meme pas a moi meme dans l'esprit du moine que je veux jouer.
Comme je l'ais dit au tout debut de l'hisoire, j'avais perdu l'inspiration avant la fin de l'histoire, d'ou le baclage de cette derniere.
Je la reprendrais donc, en tennant compte de ce que JupiterJazz m'a dit, mais en gardant neamoins l'esprit du moine que je veux jouer.

Je ferais ca a partir de la semaine prochaine, car je vais etre absent a partir de demain aprem jusqu'a dimanche.

Il y a je pense une erreur sur la définition du mot dogme:http://fr.wikipedia.org/wiki/Non_dogmatique

Citation :

un dogme est une affirmation considérée comme fondamentale, incontestable et intangible par une autorité politique, philosophique ou religieuse qui emploiera dans certains cas la force pour l'imposer

Citation :

Le mot dogme est d'origine philosophique puis devient religieux avec le christianisme.

C'est pour cela que depuis le début j'ai utilisé plusieurs termes différents pour te faire comprendre ce à quoi je voulais en venir: préceptes, dogmes, lignes de conduites, philosophie, enseignements.

Citation :

Pour la philosophie, encore une fois je ne vois pas ce que tu veut dire. Me demande tu d'integrer au personnage un autre philosophie que celle de la recherche de la perfection, qui serait un autre genre de ligne de conduite a suivre pour mon personnage ?

Non justement, je ne te demande rien d'autres que de développer cette recherche de perfection spirituelle, une philosophie qui révèle cette perception du monde dont tu parles, des préceptes solides qui motivent ton personnage à emprunter la voie de moine. Je ne te demande pas de faire un BG de paladin, je n'ai je crois pas laissé d'ambiguïté à ce sujet jusqu'à présent. Je ne t'ai pas dit non plus que le moine n'était pas un combattant, mais tu ne trouveras pas d'arts martiaux qui ne comporte pas autour une philosophie articulée. Attention ensuite à ne pas confondre une philosophie (ce que je te demande, une philosophie de vie par exemple), et LA philosophie (Platon, aristote, socrate etc.)
Tu peux très bien l'articuler autour du ki et de cette quête de puissance, mais il faut que cela apparaisse dans ton BG. En effet le ki n'est pas assez évoqué.
Il faut aussi ajouter que la quête pour la perfection de l'être ne signifie rien s'il n'est pas en regard d'une optique, d'une philosophie, d'une voie. La perfection de l'être c'est la perfection dans sa voie. Un moine de gantelet de fer, un moine de la salamandre, un moine de la mort longue ou un fourbu n'auront pas la même perfection à accomplir.
Ensuite, la perception développée du moine est l'une de ses caractéristiques, liée à sa sagesse, il n'y a pas de galipette possible à ce niveau. 12 n'est pas suffisant pour un moine pour développer ses capacités extraordinaires, et lui permettre d'atteindre la plénitude qu'il cherche.
Si tu veux faire un combattant qui n'a pas cette sagesse, cette philosophie, qui cherche simplement à devenir un bon combattant à mains nues ou aux kamas, pourquoi ne pas faire un guerrier pur?

J'ai envie de dire la même chose pour la race. Si tu veux jouer un elfe sauvage, qui n'a aucune idée de son espèce, ni même la curiosité de se demander ce qu'il est: un elfe, pourquoi vouloir jouer un elfe?
Je vais te répondre simplement pour ce qui est de la nature elfique:
la nature d'une race est par définition innée. Dans le cas des elfes sauvages il s'agit d'une sensibilité à la nature d'une tendance à une vision chaotique, une vie particulièrement longue qui leur donne une autre perception du monde, c'est pourquoi je te demande simplement de montrer comment ton personnage arrive à faire cohabiter sa nature elfique avec la voie du moine (vision loyale), qui n'est pas sa voie de prédilection à priori.

Le fait que ton personnage soit elfe est important, et devra être joué. Il ne suffit pas de dire: mon personnage est elfe mais ne connait rien des elfes car il n'a pas grandi chez eux.

Citation :

Pour ce qui est des niveaux des lvl de PJ RP, j'ais deja vu des gens utiliser en anim des competence de lvl épique et cela avait été validé. C'est pour cela que je ne comprend pas tres bien ce que tu me dis.

Il y a une marge entre utiliser des compétences à niveau épique en anim, et tuer un dragon au CaC en combat singulier. Il n'existe pas sur le val de pjs, tout level 25 qu'ils soient, qui aient tué un dragon au CaC, seuls et avec une telle facilité. Voilà pourquoi je trouve cet épisode de ton BG un peu démesuré.

Ce que j'ai dit pour le nom est toujours valable. Tu peux avoir un surnom exotique, mais pourquoi ce nom là? Un surnom a une signification. Est-ce qu'il évoque quelque chose? Un évènement?

Je t'avais aussi demandé ce que signifiait ce sourire "cruel" du maitre de ton perso à la fin du BG.

Voilà ce que je voulais dire par attitude négative: tu as l'air de penser que je veux t'imposer un rp de moine, mais il faut bien que tu comprennes que je ne fais que soulever les points qui me semblent incohérent dans ton BG. Je ne me prétends pas non plus spécialiste des moines contrairement à toi, je ne t'ai d'ailleurs que je sache pas présenté ma vision du moine sur laquelle tu spécules. Je ne fais que demander des pré-requis basiques.

Voilà, bon courage. Toujours à ton écoute, prend bien le temps de relire mes commentaires pour t'appercevoir que ce que je te demande peut tout à fait s'accorder avec l'orientation que tu souhaites.

Comme je l'ais dit je modifierais le BG par la suite.

Pour les caractéristique, puisque je ne peut rien y faire, je les aient modifié.

Pour le nom, en effet, j'avais oublié ca dans mon dernier post. Nakami veut dire "Lame" en japonais, en référence a la lame du kama qui est une des rare arme de moine a en posseder.

Pour le sourir cruel, j'étoferais le BG.

Ensuite, pour le dragon, il était dans la catégorie d'age "adulte" cela signifie qu'il avait un CR (Challenge Rating) de 12 selon le Manuel des Monstres, soit qu'un aventurier de niveau 12 avec un matos normal pour un niveau 12 pouvait le battre seul.

Les dragons gagnent de la puissance avec l'age, donc bien sur ce dragon n'avait rien de la puissance que peuvent avoir les plus vieux jusqu'au Dracossirs, qui eut sont les monstres les plus puissant du monde. Mais la ce n'était qu'un monstre pour niveau 12.
C'est pour cela que le maitre de Nakami, qui est d'un niveau épique, le tue facilement.
Neanmoins, si ca ne peut etre accepté, je modifierais aussi la premiere partit pour rendre le combat plus difficile pour le moine.

Je reprends ce Bg.

Des nouvelles des rajouts/modifs ?

Je souhaiterais la mise au cimetiere de ce BG pour le moment, car je n'est plus l'envie de jouer ce perso. Je le reprendrais sans doute quand l'envie reviendra. Merci d'avance.