- Citation :
- Nom du compte joueur: larme coeur
Nom du perso: solen fauchevie
Race: drow
Age: 290 ans.
Alignement: chaotique bonne
Religion: elistraee
Domaine : bien et faune
Classe(s):(pretresse 15 rodeuse 5 barde 5 )
Arme de prédilection: epée batarde
Langues : Drow, Commun, commune des profondeurs, Elfique(Apris avec la CE)
Trait de Caractère: il lui manque trois doigt a la main gauche sont bras et constament couvert cachant des marques de tortures.
FOR 17
DEX 14
CON 8
INT 14
SAG 19
CHA 14
Le Passé..C’était il ya longtemps dans un royaume que je croyais ou plutôt que j’espérais avoir oublié.
Le royaume des drows , la bas l’amitié et l’amour n’existe pas ou si peu.
Mon destin et commun trahisons meurtre … je suis issue du bas peuple au dessus des autres races mais si peu.
Nous vivions au plus bas de la citée les familles noble ayant élevée leur manoir dans les hauteurs de la caverne ; certain pense que nous habitons un monde noir mais ce n’est pas le cas.
Chaque maison en ombreterre et une œuvre d’art qui s’illumine de mille feux, cela serait merveilleux à voir si ces œuvres n’étaient pas dédier au mal et a la grandeur du mal.
Mes parents sont née dans les bas quartiers baignée par la souffrance comme tous les membres de ma races, j’ai peut de souvenir de ma génitrice je pense qu’elle choisit mon père pour ca force et ca capacité a ce battre.
Il faut dire qu’il n’était pas vraiment beau, je me rappelle de sont visage couvert de cicatrice il était plus grands que la moyenne mais le plus troublants et qu’il lui arrivée de sourire il aurait put être une maitre d’arme ou un soldat dans une famille nobiliaire mais sa laideur etait t’elle qu’il était fuit ! les elfes noirs on en horreurs tous ce qui est laids.
je pense que mon père fut flatté de voir une femelle le choisir exclusivement.
La mort et une chose commune dans les profondeurs encore plus quand on n’est pas noble car la disparition d’un pauvre n’est rien aux yeux de tous, mon père fit vivre ma mère et par la suite moi a la force du poignet et je pense qu’il développât une affection réelle pour ma mère.
Ma mère elle n’avait dieux que pours les hautes sphères du pouvoir et le temple et de cabale en cabale elle finit par ce faire remarquer, une place de servante étant a ces yeux une grande avancée elle écoutât sont intérêt avant tous quand on lui proposât d’entrée au service d’une maison et nous abandonna tous les deux sans aucun remord
Mon père était un habituer des bas fonds il se battit pour notre survit mais surtouts il me coupa les cheveux et m’habilla en male, j’imagine qu’il ne voulait pas qu’on m’enlève a lui.
Tous ce passa pour le mieux en tous cas pour un temps …
Les nobles avaient un jeu dont ils raffolaient !de temps en temps il faisait une chasse dans les bas quartiers, les prêtresse rassembler leurs males et la traque commençait..
Monter sur leurs lézards les nobles n’épargnait personne drow du bas peuple sous races… et autres.
Un jours de traque je fut sur leur passages.. J’étais rêveuse un mot mortel pour les gens de ma races et je me rendis compte trop tard du silence qui régnait dans les rues.
Quand je levais les yeux aux plafonds de la caverne je les vus les lézards … j’étais repérée.
Je me mis à courir dans les rues mais c’était sans espoirs ce genre de bête ne lâchait pas ca proie.
Le cœur fou je perdait haleine quand.. D’un coup je me retrouvée projeter dans les airs et je finissais ma course folle dans un tas d’ordure.
Je me voyait déjà morte mais je fut surprise en voyant un grands drow devants moi.. Le visage couvert de cicatrice il me sourit
« vie ma fille »
C’était mon père et je ne pus même pas crier sont nom avant de m’évanouir.
…silence , larme…A mon réveil j’étais seul, et je crois que la folie avait touché mon âme. Je vécus un temps plus proche de la bête que de la créature pensante, j’en voulais a tous pour la mort de mon père et je commençais à traquer les jeunes drow a l’extérieure de la citée ou je finis par m’installer.
J’ai eut a cette époque une chance isolante en tous cas je réussit a survivre et a grandir ..
Je finis par être même un peu gênante.
Ma méthode était la même, suivre un groupe et au fur et a mesure éliminer les trainards.. Je choisissais les jeunes males les plus imprudents.
Un jour que je suivais un groupe et que j’avais déjà choisit ma proie je fus prise au piège et alors même que mon couteau frapper le mal qui fermait la marche je fus projeter en avant par une douleur immonde dans le dos.
« voila donc notre rodeuse .. «
On me retournât rudement sur le dos et ces avec un ricanement horrible les males qui m’avait piéger commencèrent a m’entailler la peaux souhaitant visiblement prendre leur temps..
Je me savait perdu et je savait que j’allait souffrir..
.. lumière éblouissante, les yeux brulant, les cris ..
Est-ce cela la mort ?J’avait était sauvée.. Le hasard la chance a pris le visage d’une déesse elistraee. Comme je l’appris bien plus tard
J’avait était sauvée.. Le hasard la chance a pris le visage d’une déesse elistraee. Comme je l’appris bien plus tard.
Les prêtresse de la déesse de la danse avait comme l’habitude de partir dans une sorte de pèlerinage de quête afin de convertir les drow d’outreterre , et les males n’était pas les seul a me cherchait.
Elle m’observait depuis un moment et alors que je sombrais dans l’inconscience elles se décidèrent d’intervenir.
Je ne repris conscience que bien plus tard, imaginez ma panique …
Les males étaient cruel mais les femmes encore plus, me voyant déjà sacrifiée sur un autel de Loth j’essayais de me lever pour fuir.
Surprise, elles me rattrapèrent sans difficulté affaiblit par le poison comme je l’étais.
Dans ma panique je mordis une des prêtresses qui ironie du sort devin ma meilleur amis par la suite, elle me parlèrent me rassurèrent avec douceur.. Des mots que je n’avais jamais entendus dans le royaume des ombres.
A chacune de mes insultes de mes agressions elles répondirent par la gentillesse et la douceur et c’est sous leurs regards bienveillants que je m’endormis.
L’initiation.Je fus réveillée par une vive lumière avec un cri je reculée me cognant rudement au mur de la caverne ou j’étais enfermée, dans mon semi hébétement je sentais la panique à nouveau s’emparée de moi.
Acculée je n’eus pas d’autre choix de me calmer la douleur irradiant de mes yeux, avec une certaine détermination j’ouvris mes sens a mon nouvelle environnement.
Le silence d’ombreterre fut remplacé au fur et à mesure par divers bruit que je n’avais jamais entendus des sifflements des bruissements emplirent un certain moment mes sens.
Des bruits qui pour moi ne signifier rien, l’odeur même était différentes un peu comme l’encens des prêtresses d’outreterre et pourtant subtilement différant..
Mon plus grands choque fut quand j’ouvris les yeux, les plafonds semblait étrangement lointain et couvert de tache lumineuse il me fallut un temps certain avant de m’apercevoir qu’il n’y avait pas de plafonds et que ce que je contemplais était ce que les pires légendes appelait le ciel.
Ecrasé par cette immensité je me coller au mur en proie a une panique animal, je baissais les yeux sur les murs de pierres essayant de retrouver le rassurant vase clos des souterrains qui m’avait vus naitre.
Je tombais nez a nez face a un étrange dessin, une bonne moitie de la caverne était couverte de représentation de drows nue ou presque le visage tournée vers l’ouverture du plafond leur regards et leur expressions était étrange comme si ils avaient étaient figer en pleins dans une danse sauvage.
Leurs mains était tournée vers le ciel vers un symbole que je ne pus qu’apercevoir temps la lumière vive du ciel me forçaient à baisser les yeux.
Un globe d’argent traverser d’une épée voila ce que j’aperçus en levant furtivement les yeux vers le ciel incendiaire.
Je remarquer que chaque drow était reliée par la taille au sol un détail intriguant de plus je n’étais plus a ca prés.
« Tous unis a la terre »
Je tournais mon regards vers la voix, dans l’ombre une drow me regardait elle était belle comme toute celle de notre race mais je me méfier car je savais la beauté de ma race empoisonnée alors qu’elle s’approchait je me recroquevillée contre la roche essayant de deviner dans qu’elle obscure piège jetait tombée.
« tu a peur.. Je comprends. Imagine un monde ou tu n’aurais plus à avoir peur ! Peur de voir tes enfants sacrifiée ou tous serait égaux ou tu serais libre d’aimer loin des toiles du mensonge »
Je dus blêmir visiblement sous l’effet du blasphème car elle se permit un sourire
« Ce n’est pas un pièges mais tu a était nourrit trop longtemps du mensonge pour t’en apercevoir tu a besoin de temps écoute.. »
Je tendait l’oreille et je commençait a percevoir un chant sauvage.. D’une beauté troublante qui me fit venir les larmes aux yeux..
Ce chant parler de liberté d’amour de beauté autant de mot que les drows s’interdisaient comme autant de faiblesse de tare affaiblissante, au fur et a mesure que le chant s’emparait de moi l’image de mon père me revenait en mémoire .
Je l’avais méprisé mais lui m’avait répondu en se sacrifiant de multiple façons, qu’est ce que le pouvoir sans amours.
Aveuglé par mes larmes et la lumière je levais mes main vers la lumière vers mon père et je sentis à peine les mains qui me saisirent me firent sortir du trou.
Je pleurais a en perdre le souffle ne sentant pas les bras qui me choyait la tendresse qui m’était donnée je me libérais des toiles d’un passée trop lourds à porter.
Quand je finis par m’endormir d’épuisement je n’entendis qu’un mot … qu’une phrase
« Bienvenue parmi nous ma sœurs »
Les nuits qui suivirent ma sortit du trou furent comme une renaissance j’avais l’impression d’avoir vécut dans un rêve enfin plutôt un cauchemar pendants des années.
Je passais des sombres plafonds des cavernes à l’ infini ciel étoilée de la surface, de la peur au droit de rêver.
Avec curiosité je découvrais mon environnement avec l’avidité d’une nouvelle née. J’étais fascinée par la lune et parfois je me surprenais à fredonner en le regardant à la plus grande joie de celle que j’appelais par la suite mes sœurs.
La journée je m’isolais le soleil était une torture et malgré les nombreuses couches de tissus avec lesquelles je me voilais les yeux je ne supportais pas de me tenir dehors.
Malgré cela les sœurs ne me laissait pas seul et j’avait toujours de la compagnie pendant mes heures d’aveuglement.. elle me parlait de tous et de rien de la dogme et aux fur et a mesure je me détendait je prenais confiance me nourrissant de leurs amours des dogmes de la vierges noirs et de la beauté du monde du dessus..
Au fur et a mesure j’en arrivée à aimer le chant et la vie et surtouts à avoir confiance !
Je trouvais du plaisir a danser.. Et à partager ma joie.
Je savais qu’un jour je serais tester mais je rester insouciante pressée de vivre et d’exister, mon épreuve arrivât plus vite que je ne le croyais.
Un soir de chasse un soir de liesse, nous venions de danser et le froids caresser nos peaux nue.
Je ne serais dire si c’est l’excitation de la chasse ou le froids qui faisait ainsi vibrez mon cœur..
Toujours et t’il que je retenais mon souffle quand le son du dernier cor fut lancé a la lune et que comme toute les autres je me mis a fixée avec intensité la prêtresse qui menait la chasse.
« que chassons nous ? » demandait je dans un souffle..
« Tous les monstres que mettra la déesse sur notre route » fut la réponse.
J’observais la prêtresse qui menait la chasse tourner sur elle-même et mon cœur fut prise dans l’excitation de la chasse et quand ca lame ce tendit vers le nord je me précipitais sans réfléchir.
Mes sens tourner vers la chasse il me fallut un long moment pour me rendre compte que j’étais seul et a l’instant même où la question m’effleura l’esprit je chuté lourdement.
Je dut sombrée dans l’inconscience âpres un instant je rouvris les yeux, le noir le plus complet m’entourée.
Il me fallut un instant pour adaptée ma vision c’est la que l’horreur me saisie.. Des araignées m’entouré grosse comme mon poing, un craint superstitieuse m’envahit et je rester tétaniser jusqu’a que l’une d’entre elle me pique.
Avec la douleur les souvenirs se mire a affluer dans ma mémoires combattant les préceptes de mon enfance, je vit mon père..
Et surtouts ce que je n’avais pas vut, les fois ou il se privait de manger pour moi et tous ces petits gestes ces sourires.
Aveuglée par la douleur et le chagrin je commençait a me défendre , d’abords des mouvement désordonné puis porté par mon cœur et ma mémoire mes gestes ce firent danse..
Je me surprise à chanter pour accompagnée chacune des vibrations de ma lame,
« Par le chant je porterais la torche de l’espoir qui guiderait les miens a la lumière par l’épée je frapperais le mal et trancherait la toile »
Avec le recul je ne pense pas que mon chant était très beau mais il était portait par le cœur et quand a bout de souffle je laissait mon épée tomber au sol j’était seul ..
En accomplissant l’ultime blasphème pour un drow des profondeurs je m’étais délivrée en reconnaissant dans mon cœur l’amour de mon père j’avais franchit un pas.
Je me réveillait au camps..et je me dit avec une certaine ironie que cela devenait une habitude.
Une de mes sœurs me veillait et me repoussât sur le lit
« tu est impulsives jeunes prêtresse mais tu a encore beaucoup a apprendre.. »