Le Val de Bise - Module NWN
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Le Val de Bise - Module NWN

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 [Parti][Validé][Guerrier/Chevalier noir][H] Agenor de Malves

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Dedal_evil
Eclaireur du flood
Dedal_evil


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MessageSujet: [Parti][Validé][Guerrier/Chevalier noir][H] Agenor de Malves   [Parti][Validé][Guerrier/Chevalier noir][H] Agenor de Malves EmptyJeu 14 Déc - 19:10

Citation :
Nom du compte joueur : Dedal_evil
Nom du perso : Agenor de Malves
Race: Humain
Age: 28
Alignement: Chao Mauvais
Religion: Cyric
classe(s): Guerrier/Chevalier noir (15/10)
Arme de prédilection/domaines/école de magie: Epée longue
Les traits de caractère et la description physique se trouvent dans son récit.

Un rêve ?

Un bruit lourd, une explosion mais qu’est ce donc ?
Est-ce le fruit de mon imagination ? Tout s’accélère …

Je suis à genou, priant, vénérant.

Le prêtre devant moi, s’effondre. Son regard déterminé devient pale.
Sa tête tombe à terre, mais …

Des mots résonnent dans ma tête : Hérésie, faux prophètes, triade …
Je me réveille en sursaut, tremblant et terrorisé.

Des lames s’entrechoquent, des membres tombent, du sang jaillit…

Je suis emmené par des soldats avec un étrange symbole, un crâne dépourvu de mâchoire inférieure.

Oui, je me rappelle à présent…

Une dévotion

J’ai suivi l’enseignement de l’unique durant mes 20 premières années, tant de temps aujourd’hui.
J’étais le fruit de la déraison, de la compassion du soleil noir.
Les chevaliers de l’unique m’avaient envoyé au prêt de leur clergé pour me montrer la voix, le chemin de chacun de nous.
Ils étaient ma famille et ma connaissance. Il n’y avait aucun doute.

Je vivais pour l’unique.
Cyric était ma façon de penser, d’agir ou encore de me conduire.
Les mots de ces fidèles m’apportaient le soulagement de mon être.
Je buvais leur parole ainsi que leur enseignement.

Tout était pour moi évident, rien ne transpirait de cet aveuglement. Je suis son serviteur.

Ma dévotion était grande, je ne ressentais point la douleur et mon esprit se tournait continuellement vers l’unique.

« Mort à tous ceux qui s’opposent à Cyric. Incline toi devant son immense pouvoir et fais couler le sang de ceux qui ne croient pas en sa suprématie. Craint et obéit à son autorité, mais tue ceux qui sont faibles. Envoie à la mort ceux qui s’opposent à l’unique ou font des lois ou la paix, l’autorité de Cyric étant la seule valable, toutes les autres étant à détruire. »

Ces mots, je me les répétais sans cesse. Il m’eut arrivé d’assassiner les infidèles se déguisant sous nos couleurs. De simples enfants sous le poids de l’amertume se demandant s’ils avaient fait le bon choix.

Un soir, alors que je n’avais que 13 ans, j’ai barricadé et mis le feu à notre dortoir.
On entendit de loin les cris et hurlement des enfants qui brûlaient. Ceux la doutaient, l’unique avait parlé et rien n’était plus clair pour moi.
Sans aucun doute que certain devait vénérer l’unique, mais le fruit de leur mort était louable.

Ce soir me fit comprendre que les infidèles ou faux prophètes se dissimulaient même au sein de notre famille. Nul ne pouvait douter de Cyric, les misérables devaient connaître leur châtiment et être purifiés.

Mes 20 premières années m’ont permis d’appréhender le monde avec des yeux éclairés. Je voyais avec la clairvoyance de mon Maître. Seul Cyric guidait mes pas et ma conduite. Et nul ne pouvait contredire ces mots sous peine d’être torturé et tué.
« L’autorité de Cyric est la seule, toutes les autres étant à détruire »

J’avais pris de l’assurance, mes années d’entraînement martial m’assuraient une grande habilité dans l’utilisation de l’épée longue.
L’épée longue, la main de Cyric, apportait mon épanouissement. Je la faisais tournoyer avec aisance et découpais les faux prophètes amenant désolation et tourments aux personnes de peu de volonté.

Ma dévotion était montée au plus haut et mes différentes actions étaient amenées au clergé de l’unique.
Mon fanatisme envers Cyric était total. Rien ne pourrait m’en détourner !

Il était temps pour moi, de répandre la volonté dé Cyric. Il me fallait devenir le bras armé de sa volonté.
6 années d’entraînement, d’acharnement et de dévotion m’ont permis de devenir Heaume noir de l’unique.

A présent je serais son bras, ces paroles et je châtierai les faux prophètes de ma lame…


Dernière édition par le Ven 15 Déc - 13:04, édité 1 fois
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Dedal_evil
Eclaireur du flood
Dedal_evil


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MessageSujet: Re: [Parti][Validé][Guerrier/Chevalier noir][H] Agenor de Malves   [Parti][Validé][Guerrier/Chevalier noir][H] Agenor de Malves EmptyVen 15 Déc - 13:03

La taverne :

Lieu de pèlerinage pour de nombreuses ethnies, des serviteurs de multiples divinités.
Elles se croisent, se parlent, se content, s’interpellent ou encore s’affrontent…

Dans l’une de ces tavernes, au plus profond des terres du Nord, le bas peuple cultivait l’essence même d’une vie paisible sous la tutelle de grandes puissances...

Malgré tout, des serviteurs des faux dieux tourmentaient cette populace si prompt à changer d’avis et se tournant ainsi vers ces païens !

Nul doute que la clairvoyance des ces villageois étaient faible, autrement ils n’auraient été tentés par cette misérable gangrène qui pourrit l’essence même de toute conscience et réalité…

(…)

Cette taverne abritait enfants, hommes, femmes et anciens du village. Nombreux venaient écouter les histoires des dits héros ou du simple paysan se battant contre des nuées de taupes féroces infestant son potager. Rien n’échappait, tout était riche à écouter.

Dans un recoin de celle-ci était blottit une petite troupe de personnes, quatre ou cinq tout au plus. Ils étaient habillés de vêtement gris et de calotte de même couleur. On les disait masochistes ou martyrs, les prêtres d’Ilmater offraient assistance et paroles apaisantes à ceux qui souffraient et ceux qui étaient oppressés ou dans le besoin.

Tout respirait la vie dans cette taverne, malgré le tavernier soucieux de voir ce groupe d’individu dans son auberge. On le voyait tremblant et apeuré…

(…)

La porte s’ouvrit brusquement, un vent glacial déferla dans l’auberge et glaça l’esprit de gaieté qui résonnait à l’intérieur. Les régions du Nord étaient connues comme étant sèches et froides en cette période de l’année.

Un homme entra, suivi de deux hommes lourdement armés d’hallebardes. Une longue robe munie d’une capuche couvrait intégralement le meneur. Sa capuche des plus pointue plongeait le visage de l’individu dans l’obscurité.

Le calme avait investit la taverne malgré les pas sourd et lourd de cet individu. De nombreuses personnes ne disaient plus mots et baissaient les yeux devant ces hommes. Au fur et à mesure de son avancement à l’intérieur de l’auberge, les lumières donnaient un meilleur rendu de l’individu. Les chaînes et ces plaques de son armure s’entrechoquaient sur chacun de ces pas. La gaieté était remplacée par la peur, l’horreur et la mort…

Les hallebardiers étaient revêtis d’armure lourde sombre et bleutée, d’une cape chaude de couleur pourpre. Ces armures étaient également parsemées d’argent. Ils tenaient fermement leurs hallebardes avec une détermination effrayante. Plus l’être encapuchonné avançait en direction du tavernier, plus d’autres soldats portant les mêmes couleurs entraient dans l’auberge. Chacun d’entre eux se positionnait à des endroits déterminés de l’auberge, arme en main.

Une fois arrivé devant le tavernier, l’homme d’une prestance incroyable retira sa capuche et laissa tomber délicatement, telle une plume, sa lourde robe sur ces épaules.

Les prêtres d’Ilmater n’eussent point l’outrance de dire mots devant l’ampleur des hommes armés dans la taverne.

Le tavernier, soucieux et tremblant, déglutinait devant l’être.
L’homme, qui se tenait devant lui, avait un visage gracieux malgré des traits fin et marqués.
Le temps avait sans doute eu raison de lui. Il portait une armure lourde également, cadavérique mais avec un zest de pourpre et des armoiries parsemées d’argent. Le symbole du soleil noir ornait en son centre.
Malgré la noirceur de son accoutrement, l’être se trouvant devant lui respirait un charisme et une prestance impressionnante.

Son regard était tout autre, d’un noir pur, déterminé, fou. Le tavernier tomba sur le regard de l’homme et par réflexe, il baissa rapidement la tête et les yeux.

(…)

Les soldats de l’unique avaient complètement pris leurs positions à l’intérieur de l’auberge, chaque sorties étaient à présent sous contrôle. Nul ne pouvait entrer ou sortir de l’auberge à présent.

Le meneur tourna la tête vers les faux prophètes puis revint sur le tavernier.


« Ainsi donc tu acceptes dans ta demeure des usurpateurs, faible personne que tu es ! »
Le tavernier ne su dire mot.

« Ne vois tu donc pas que cette gangrène est la peste des personnes ici présentes ?»
Le tavernier devint blanc, son corps tremblait au fur et à mesure des mots dictés par cet être.

« Par ta faute, tu laisse entrer ces vermines et tout ce beau monde s’en voit usurper. Que vais-je donc faire de toi ?»
Le tavernier sous le choque de cette dernière phrase s’empressa de lever les yeux croisant ainsi le regard de l’homme et voulu se défendre verbalement.

« Je…je… »
« Il suffit ! Je vois que tu essayes aussi de me corrompre de tes mots usurpés de ces faux prophètes »
L’homme fit signe au tavernier d’avancer devant lui et d’ainsi faire le tour de son enseigne.
« Ta langue et ta soumission ne sont pas à la hauteur du soleil noir, ainsi donc tu seras purifié de tes actes. »

D’un geste d’une grande noblesse, le chevalier sortit sa lame longue et trancha précisément les nerfs et tendons qui permettaient au tavernier de se tenir debout. Le malheureux tomba à genou dans un bruit sourd, les os rompèrent sous le choc avec le plancher. Le tavernier hurlait de douleur et la taverne se remplissait peu à peu d’horreur.
« AHHHHHahhhhhhhhhhhhhhh… »

Les regards des fidèles d’Ilmater se figèrent devant le spectacle, tétanisés et paniqués.
« Mais n’hurlent point ainsi, tavernier ! Ne vois tu donc pas que tu terrorise tes clients »
Le tavernier gémissait à terre.
« A présent, montre moi ta langue. Celle avec laquelle tu as donné asile à ces faux prophètes. »

Le tavernier, pris de panique mais soumis à présent, tendit la langue vers son agresseur.
Celui-ci d’une grande aisance, décapita la langue de sa bouche d’un coup précis et net.
Puis il rangea sa lame dans son fourreau.

(…)

Enfin il détourna les yeux vers les faux prophètes dument assis dans un des coins de la taverne. Les soldats, suivant tout les gestes de leur seigneur, prirent position au tour de la table guettant les serviteurs d’Ilmater.

Il s’avança devant les cinq acolytes et s’exclama :


« Ainsi donc vous, fidèles du néant, adepte du faux dieu, vous rentrez délibérément ici même et vous prônez des paroles usurpées à nos charmants jeunes gens et enfants. »
Un des fidèles répondit activement suite à la tragédie qu’il venait de se dérouler.
Mais avant qu’il n’eût dire un mot qu’une hallebarde fracassa le crâne de ce misérable, versant ainsi sur la table ce qui lui permettait de prôner ces paroles incestes sur le peuple.

Devant le spectacle macabre, les autres se tuent. Les soldats de l’unique les avaient encerclé. Aussi protecteur qu’il puisse paraître, intervenir ici serait acte de pur folie voir dangereux pour les personnes du beau peuple les entourant. Les fidèles d’Ilmater préféraient ainsi ne rien dire.


« Voyez la puissance de l’unique, infidèles ! »
Les yeux fous, un sourire sarcastique émanaient de du seigneur.
« Vos mots sont le fléau de cette auberge, voyez donc le fruit de vos paroles usurpatrices » *Montre le tavernier*

Puis il s’adressa aux soldats,
« Que chaque femme capable de mettre à bas et que chaque enfant en jeune âge soient amenés en dehors de cette auberge ! »
« Les femmes seront les mères de nos fils et filles de l’unique. Et envoyez les enfants au prêt de notre clergé, ils formeront demain le bras de l’unique ! »

A ces paroles, les soldats exécutèrent les ordres sans rechigner.
Les fous se croyant supérieurs devant un tel bataillon ou se prenant pour des héros, furent simplement éventrés ou décapités.

(…)

« Y a-t-il d’autres infidèles qui aimeraient recevoir le courroux de l’unique ? »
Le calme était revenu à présent dans l’auberge, il ne restait plus que des femmes d’un certain âge, des jeunes hommes et encore des anciens du village.
Il reposa son regard sur les infidèles, puis regarda les soldats tout au tour des serviteurs d’Ilmater.


« Attachez ces infidèles et mettez les devant moi debout ! »
A ces mots, l’un deux perdu son sang froid. Il se leva et dicta quelques mots :
« Nul n’a le droit de faire souffrir ou torturer des êtres comme vous le faites. Peuple lev… »

Avant même qu’il finisse sa phrase, un carreau transperça le crâne de l’infidèle.
Les soldats prirent au piège les derniers infidèles et les attachèrent solidement. Pris en étau ils n’avaient aucune chance de riposter ou voir même de se défendre.

(…)

Ils furent amener devant leur seigneur, debout attaché.

« Je déteste devoir parler à des faux prophètes. Malgré tout, avant toute purification, il s’ensuit qu’il faut être prévoyant.»
Regardant les fidèles d'Ilmater dans les yeux

« A présent, veuillez vous prosterner devant l’unique ! »
« Votre dévotion envers vos divers divinités vous force à dénigrer le soleil noir. Voyez comment celui-ci vous purifie ! »

D’un geste délicat, le seigneur ordonna aux Hallebardiers de trancher les genoux à chaque infidèles.
Les fidèles d’Ilmater tombèrent ainsi sur les genoux, seul appui véritable à présent.


« Bien, je vois que vous vous abaissez devant sa toute puissance ! »
Les fidèles, tant bien que mal, essayaient de se redresser mais le poids de leur corps faisait craquer leurs os et les genoux éclataient. Ce qui avait pour conséquences de les faire tomber au sol, à plat ventre, agonisant.

« A présent, vous voila d’avantage en position pour admettre votre compassion à l’égard du soleil noir.
J’apprécie grandement que vous vous baissiez si bas avec autant de soumission, sans même vous le demandez ! »

(…)

« Vous êtes à présent les serviteurs de l’unique, seul sa volonté vous apportera votre pardon »
« Vos yeux seront votre dévotion envers le soleil noir »
Le chevalier noir regarda les soldats de l’unique et s’exclama :
« Qu’on leur retire leurs yeux ! »
Paniqué à l’écoute de ces mots, les serviteurs d’Ilmater se débataient frénétiquement.

(…)

Le chevalier noir se tourna vers les clients de la taverne, pour la plupart terrorisé et dégoûté.


« Voyez quel est le prix de l’usurpation ! A présent vous allez connaître la purification de l’être.
Votre souffrance d’aujourd’hui sera le fruit des paroles abjectes de ces faux prophètes ! »
Le chevalier noir remit sa lame dans son fourreau d’un geste précis et distingué.
Il se détourna et commença à emprunter le chemin vers la porte.
Une fois sorti, il donna des ordres et les hallebardiers sortirent suivis des soldats du soleil noir.

(…)

Parmi, les corps inertes et découpés, il restait tout de même une vingtaine de personne de toute âge ainsi que les trois serviteurs d’Ilmater dans un piteux état.
Malgré tout, des cris de soulagement se firent entendre et beaucoup remerciaient le dieu fou de les avoir épargnés.

Une étrange fumée embauma la pièce suivit d’une chaleur grandissante. L’auberge était en feu, et les sorties étaient barricadées. Nul ne pouvait sortir et tous allaient y passer.
Ainsi les fidèles d’Ilmater auraient le fruit de leur parole.
Les cris agonisant seraient la volonté même de Cyric, les faux prophètes amenaient mort et atrocités à ceux qui les invitaient…

(…)

Le chevalier noir fit quelques pas, donna les quelques ordres aux soldats l’accompagnant et sorti sa lame de son fourreau.
Il la planta dans le sol, déposa un genou au sol et posa son front contre sa lame.

Un prêtre s’avança vers le chevalier noir en train de prier.


« Relevez vous, Seigneur Agenor de Malves. »
Le chevalier noir se leva aux mots du prêtre.
« Seul votre détermination, heaume noir, sera la volonté de Cyric. »
Le prêtre ajouta :
« L’Eclipse a besoin de vous ailleurs… Rendez vous en ce temple … » Lui tends un parchemin
« Bien Maître »

Le chevalier baissa la tête devant le haut prêtre et s’en va…
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Sethaïnal
Gourou du flood
Sethaïnal


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MessageSujet: Re: [Parti][Validé][Guerrier/Chevalier noir][H] Agenor de Malves   [Parti][Validé][Guerrier/Chevalier noir][H] Agenor de Malves EmptyVen 15 Déc - 14:27

Validé Guerrier/DK de Cyric.
Bonne continuation.
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Volvic
Gardien des Mystères
Volvic


Nombre de messages : 11689
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MessageSujet: Re: [Parti][Validé][Guerrier/Chevalier noir][H] Agenor de Malves   [Parti][Validé][Guerrier/Chevalier noir][H] Agenor de Malves EmptyMar 25 Sep - 21:24

Au chaud au cimetière
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MessageSujet: Re: [Parti][Validé][Guerrier/Chevalier noir][H] Agenor de Malves   [Parti][Validé][Guerrier/Chevalier noir][H] Agenor de Malves Empty

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