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- [quote="Zackkiske"]
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- Nom du compte joueur: Zackkiske
Nom du personnage: Thrion Kelelin
Race: Elfe
Age: 250 ans
Alignement: CB
Religion: Corellon
Classe: Guerrier (13 lvl) / roublard (5 lvl) / MDA (7 lvl)
Arme: Epée longue
Langue parler: Elfique et commun
Trait de caractère: En général: joyeux et simpatique, parle tout le temps parfois pour ne rien dire, aime passer pour un pitre, ce qui peut lui arriver de poser des problèmes; il ne peux pas s'empêcher de se moquer ou de taquiner tout ses proches, il est arrogant et excentrique, vantard. Quand il devient sérieu, il a tendance à rester calme, sur de lui, et n'hésite pas quand il faut faire quelque chose. Quand il se met en colère, il ne s'exprime pas ouvertement en hurlant comme beaucoup de personne, mais il devient froid comme de la glace, et ses yeux restent inexpressifs dans cet état d'esprit.
Description physique: Il mesure 1m70, il a les cheveux noir ébène, et les yeux d'un gris acier. Il est plutot attirant. Il marche souvent avec grace, comme pour se donner de l'importance. Il porte une armure de couleur or et sang, ou sinon un vêtements en cuir noir. Il porte en permanence une épée longue sur le coté.
Caractéristique
For: 17
Dex: 13
Con: 14
Int: 14
Sag: 8
Cha:9
Thrion est né dans un village elfique, du coté de la cote des épées. Dès sa naissance, il avait les yeux d'une couleure gris acier, mais il avait le regard amusé le plus souvent, ses parents en conclurent qu'il sera une personne avec une bonne âme.
Thrion, dans son enfance, passait le plus clair de son temps à jouer avec ceux de son âge. Il était très énergique, et passait toute ses journées a déambuler afin de s'occuper. Quand il ne savait pas quoi faire, il allait observer l'entrainement de la milice de son village. Voir tout ces fiers combattant de sa race était vraiment un bonheur pour lui.
Son propre père fesait partie de cette milice, son but étant de protéger ceux qui lui était cher. Thrion était totalement fier de son père.
Le maitre d'arme du village se nommait Caldion, et il était un maitre étrange: sévère avec ses élèves lors des entrainements et des cours martial, et attentifs avec eux hors des cours.
La vie de Thrion fut vite brisée.
Durant une nuit, une attaque Drow les frappa dans le dos. La milice, prise au dépourvut, mit du temps à réorganiser ses défenses.
Les drows firent un carnage. Thrion vit son père partir au combat. Sa mère, totalement prise par la terreur de perdre son compagnon, sortit de leur maison, alors qu'ils étaient cachés. Thrion, appeuré dans cet endroit par la solitude, décida de les suivre, malgré le tumulte et les bruits d'aciers s'entrechoquant au dehors.
Il assista impuissant à la mort de ses parents... Alors que son père affrontait un drow, un autre elfe noir approchait de lui par derrière. La mère de Thrion sauta sur ce drow, qui la mit à terre, et la tua. Le père de Thrion réussit à tuer celui qui lui faisait fasse, et assista à la mort de sa compagne, impuissant. Fou de rage il se rua sur le drow, qu'il réussit à tuer, avant de mourir, transpercer apr un carreau d'arbalette. Thrion s'approcha des deux corps sans vie, les larmes aux yeux. Un autre drow s'apprêtait à l'envoyer dans l'autre monde.
Thrion, sentant la menace pesé sur lui, se retourna d'une seule traite. Il vit la mort s'abattre sur lui.
L'arme du drow dévia lorsqu'il se fit tailler en trois pièce par Caldion, qui n'avait pas pris une seule égratignure.
- Nous ne pouvons plus rien pour les autres, ils ont été tué, mais nous, nous devons survivre.
Tel furent les mots de Caldion, celui qui sauva la vie de Thrion.
Ils partirent vers Baldur. De là ils prirent un navire pour Lunargent, une ville où Caldion y avait un frère. Millyo, tel était son nom, était plus jeune que son frère, et avait décidé de vivre dans une société proche de l'humain... Mais n'a jamais oublier ses racines et aida ses hôtes.
Plusieurs années plus tard, Thrion avait grandit. Il avait atteint le bon âge de 120 ans. Il aidait dans la maison de Millyo, ce qui lui valut comme un entrainement: sa force avait augmenter, de même que son endurance.
Une fois qu'il se senti près, il alla voir Caldion.
- Caldion, je souhaiterai vivement que tu m'enseigne ton art, tout ce qui te sera possible.
Caldion regarda celui qui était un gamin quand ils vinrent ici, et pris soin d'observer le regard inplacable et sérieu de Thrion. Il accepta volontier, soulignant que celà lui manquait de ne pas corriger un élève qui commet une erreur dans ses manoeuvres.
Thrion commença par apprendre le maniement de l'épée, arme qu'il choisit de lui même, et aussi parce que c'était une arme courante parmit les leurs. Caldion lui enseigna les base, avant de se mettre à l'affronter par jeux et par entrainement. Thrion, lorsqu'il commettait une erreur, se faisait frapper par le plat de la lame de Caldion, qui ne manquait pas un seul mouvement du jeune elfe. Les coups de son maître résonnent encore sans son coeur à l'heure actuelle.
Dès qu'il était possible, Caldion enfermait Thrion dans une salle complètement sombre, aucune lummière n'y filtrait. Il dsait que celà permettrait à Thrion d'obtenir un controle de ses mouvements et de son attitude en combat: un maitre d'arme ne devait jamais perdre le controle des choses, sans quoi celà peut lui couter la vie. Thrion s'asseyait toujours au centre de la pièce en tailleur, puis se concentrait sur sa respiration. Quand Caldion pensait que Thrion devait être près, il entrait toujours le plus discrètement possible. Une fois entré, il lançait des pierres sur Thrion, espérant qu'il ferai ce qu'il attendait. Il fut long pour Caldion d'avoir le but escompter. Durant 10 ans, Thrion n'arriva jamais à esquiver la pierre, la première fois il en fut même assomer. Passer 20 ans, il commençait à réagir, en esquivant à l'avance les pierres, mais Caldion, jouant sur ce réflexe et cette habitude, enchaina avec une autre pierre, que Thrion n'arrivait jamais à voir venir. 10 autres années plus tard Thrion esquivait les pierres toujours au dernier môment, afin de ne pas se faire avoir par le jeu de Caldion. Lorsqu'il fut sur de lui, il fit exprès de faire un grand pas pour esquiver. Caldion ne manquit pas l'occasion de tenter de le toucher, mais ce fut Thrion qui fut le plus rapide. Il réussit à renvoyer la pierre lancée d'un coup de son fourreau, manquant de peu son maître, le sentant comme si c'était palpable.
Cet exercice, Caldion le faisait recommencer tout les mois, afin de s'assurer que celà allait rester au fond du cerveau de Thrion.
Puis ils recommencèrent les entrainements de combats à l'épée, afin que le maitr enseigne à son élève les techniques de combats, et les bottes secrète liés à la manipulation d'épées, afin que Thrion ne soit pas surpris. Thrion mit 20 années à apprendre par coeur chaque botte, et chaque parade à ces techniques à l'épée.
Hors de son temps d'entrainement, Thrion passait son temps en compagnie d'une bande de chenapan voelur des rues, qu'il sauva quelques années auparavant, en les cachant chez lui.
Ils lui enseignèrent rapidement l'art de crocheter les serrures. Celui qui les dirigeait était, quand à lui, un halfelin, qui n'hésitait pas à se servir d'une lame. Il apprit à Thrion comment frapper afin de provoquer le maximum de dégats, quand son adversaire sera pris au dépourvut.
20 années plus tard, Caldion emmena Thrion dans une pièce vide, où il n'y avait aucun contacte avec l'extérieur. Caldion annonça à Thrion que celà serai son test final. Thrion devait réussir s'il voulait être considérer comme un maître dans le domaine des armes.
Leur combat dura longtemps. Thrion et Caldion n'arrivait pas à se départager. Caldion était quand même fier du combattant qui se tenait devant lui. Il fut même surpris des quelques attaques sournoise que Thrion lui lança afin de le deséquilibrer. Caldion avait l'oeil sur tout. au bout d'une heure, Caldion brisa un médaillon, et la pièce s'enferma dans un épais rideau de ténèbres. Thrion ne voyait lpus rien, mais Caldion savait se battre ainsi, il le savait. Il se devait de parer tout les coups que son mentor allait lui envoyer.
Celà fut plus facile qu'il le crut. Chaque vibration de l'air obligeait le bras de Thrion à réagir. Son épée devenait une extension de son bras, comme si l'épée réagissait à ces vibrations.
Une fois qu'il fut sur d'où trouver son maître, il fonça droit devant lui. Caldion, surpris, frappa directement de taille,m ais Thrion, sa roublardise toujours présente, esquiva vers le bas en une glissade, où il réussit à déséquilibrer Caldion. Mettant du temps à retrouver son équilibre, Thrion fit pleuvoir une avalanche de coup afin de ne pas laisser à son mentor le soin de se remettre de sa surprise. Caldion eut un mal de chien à parer tout les coups. Sur le final, il réussit à bloquer l'épée de Thrion rapidement, recouvrant son équilibre au même instant. A ce môment il fit plier Thrion en deux en le faisant avancer de force grace au poignet maintenant l'épée du jeune elfe. Thrion réagit rapidement, en enroulant l'épée de son maître à cause du point faible de l'attaque: son maitre devait lacher le poignet afin d'exécuter le coup final. Puis l'épée quitta les mains de son maître, la lame de Thrion sur le cou du mentor.
Les ténèbres s'estompèrent. Thrion, ecarquillait encore les yeux, n'arrivant pas à reconnaitre sa réussite.
Hélas, Caldion s'effondra comme une masse. Thrion lacha son épée, et le souleva. Caldion était brulant de fièvre.
- Celà devait arriver un jour où l'autre, autant que ce soit après avoir vu ta réussite.
- Que vous arrive t il, maître?
- Lors de l'attaque des drows, une prêtresse ne réussissant pas à m'abattre me lança une malédiction avant de mourir. Celui qui me battra déclanchera un poison magiquement enfermer en moi, et me tuera. J'ai tenter de me débarasser de cette malédiction, mais hélas, aucun prêtre n'y arriva. Mais ne pleure pas, j'ai été heureux d'avoir put faire de toi un Tel'quessir vaillant. J'espere que tu trouvera uqoi faire, sacré chenapan, car tu ne tien pas en place.
Ce fut ses dernirèes paroles, il mourut dans les bras de son élèves.
Il fut enterrer au cimetière de Lunargent, non loin de la maison de son frère.
Thrion décida de partir, il se devait de faire comme son mentor et son père: trouver une place à protéger, mais avant celà, il lui fallait retourner sur les ruines de son village.
Sur sa route, il croisa un elfe aux yeux bleus et à la chevelure blanche, malgrer sa jeune apparence. Il s'agissait de Xion. Ils eurent une discussion longue, et Thrion apprit qu'une communauté des leurs s'étaient former près de Luskan. Thrion lui assura qu'il viendrai un jour afin d'accomplir son but.
Sur sa route, il offrit son aide aux caravanes, qu'il défendait vaillament contre les pillards et bandits de grand chemins.
Il arriva sur les ruines de son village, et se receuillit devant les tombes qui furent ériger. Visiblement des personnes de bonnes intentions ont du passer, et ont enterré ceux qui ont été tué, il y a de celà plusieurs dizaines d'années. Une fois qu'il termina e s'être receuillit, il repartit pour Luskan.
En cours de route, il apprit par des rumeurs que Xion a été tué. Thrion se hâta afin de se rendre là où les siens avait besoin de lui.
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