[Cimetière][Paladin/Champion Heaum][H] Landric d'Øndåal

Citation :

Nom du compte joueur: IgnomniS

Nom du perso: Landric d'Øndåal

Race: Humain

Age: 23 ans

Alignement: Loyal Bon

Religion: Heaum

classe(s): paladin 20/ch. de Heaum 5

Arme de prédilection/domaines/école de magie: Marteau de guerre

Trait de Caractère: Il semble avoir plutôt mauvais caractère, il portera toujours un regard méfiant sur les personnes avant de les connaître parfaitement.
C'est un fanatique, pour lui, il n'existe que pour servir la Sentinelle et anéantir l'hérésie maléfique qui brûle les hommes! Il sera impartial si il le juge nécessaire, il n'y a pas de place pour le doute.

Description physique: Plutôt grand et légèrement musclé, un visage commun qui orne l'assurance du paladin et une attention permanente sur ce qui l'entoure.
Ses yeux sont bleu, ses cheveux noirs et il porte un petit bouc bien rasé. Landric le porte sur lui, c'est un paladin... et ça se voit!

Langue parlée: commun

Stat:
For 14
Dex 08
Con 08
Int 10
Sag 14
Cha 25

Suzail, capitale du Cormyr, une belle bâtisse parmi des centaines d’autres se dresse dans la grande cité des Dragons Pourpre. Un cri de femme déchire la tranquillité de cette adresse, des encouragements et les conseils d’une sage-femme, une naissance, un décès. Sur le grand lit en chêne sculté un corps gît les yeux ouverts, un homme en armure sort la pénombre de la pièce à moitié éclairée par la lueur vacillante d’une bougie. Il saisit la main de sa défunte épouse alors que l’enfant pleure pour la première fois. Dans geste lent mais assuré, il clôt le regard fixe et sans vie.
«Il est temps pour toi mon épouse de laisser le Vigilant veiller à ton sommeil éternel. Tu as accomplis ta mission ici bas, tu m’as offert mon héritier, un fils qui suivra la Sainte Voie que la Sentinelle lui tracera ! »
Le silence prit place dans la pièce, le père s’approcha du nouveau né que la sage-femme drapait dans une étoffe de soie marquée du sceau familiale et du gantelet orné d’un œil, il s’attarda quelques minutes à regarder son fils qui venait de s’endormir serein, inconscient de ce qui venait de se passer. Le chevalier se décida à quitter alors les lieux saisissant son épée bâtarde qu’il avait laissé à l’entrée de la chambre.

Landric fut entretenu par une mère nourricière qui logeait dans la maison familiale, en échange des soins qu’elle procurait à l’enfant. Il passa donc ses premières années auprès de cette femme alors que son père, le paladin Amric d'Øndåal vaquait à son devoir d’inquisiteur.
A l’âge de six ans, le jeune garçon débuta ses premiers cours de lecture sur des livres traitant des dogmes et des prouesses de l’Eternel Gardien auprès d’un vieux moine plutôt que d’aller jouer avec les enfants de son âge. Parfois Amric, consacrait un peu de son temps précieux pour son fils afin de lui conter les aventures que sa tâche lui menait à vivre tout en prenant soin d’appuyer certains points d’honneur et de droiture à tenir.

Ainsi peu à peu, Landric se mit à prier Heaum comme le voulait son enseignement. A cet âge, les enfants ont le regard plein de malice et un sourire innocent qui pend à leurs lèvres, pourtant le jeune Øndåal ornait une posture des plus droite et honorante, sur son visage se dessinait l’assurance d’un homme et une volonté d’acier.

Le jour de ses neuf ans, l’enfant quitta son lit sur les coups de six heures du matin afin d’aller prier avec son père dans la petite pièce chapelle comme à leur habitude. Ils rejoignirent le salon afin de prendre un petit déjeuner. A la fin de celui-ci, Amric décrocha un rare sourire à son fils et l’invita à rejoindre la cour intérieur de la bâtisse. Un homme en armure y attendait, fier. Il se présenta comme le cadeau d’anniversaire de son père, son maître d’arme. Le cœur de Landric fit un bond de joie à la nouvelle, le moment était venu pour lui de suivre la voie qu’il rêvait de suivre.

Prière, maniement de l’épée bâtarde, apprentissage des dogmes du Vigilant, études, écriture et lecture d’ouvrages choisis… un quotidien des moins ordinaire mais des plus normal pour lui.

Le jour de ses douze printemps, l’inquisiteur ordonna à son fils de mettre une armure de cuir renforcé par de lourde maille ainsi que de la couvrir par un tabar blanc orné du gantelet frappé de l’œil de la Sentinelle. Tout deux à cheval traversèrent Suzail jusqu’à la place principale. Fendant la foule massée pour voir le ‘spectacle’, ils arrivèrent alors auprès d’une rangée de paladin qui saluèrent Amric à son passage. Ils mirent pied à terre à côté d’un grand bûcher de bois sec et une estrade ornée de plusieurs drapeaux virevoltant légèrement dans le souffle doux d’un vent d’été affichant les symboles de l’Inquisition ainsi que les emblèmes de plusieurs divinités dont celui de Heaum. Le fils se fixa auprès du rang de paladins et de Dragons Pourpres en regardant son père surplombant alors le publique du haut de l’estrade. Il reconnu là son cadeau, il allait pouvoir, pour la première fois, voir et vivre l’œuvre de purification dans laquelle la famille Øndåal était engagé depuis des années, ce qui lui valait la reconnaissance du temple du Vigilant où le Haut Gardien officiait. Un parchemin se déroula et l’Inquisiteur Amric lu les chefs d’inculpation alors que la foule huaient l’homme au regard noir et au sourire maléfique qui se tenait dans une cage les mains et les pieds liés. Son corps semblaient meurtri en plusieurs endroits, sans doute les restes d’une ou plusieurs séances de torture… Le verdict tomba : coupable d’hérésie et adoration d’un dieu impie et discordieux. Le bourreau massif, s’avança, ouvrit la cellule et se saisit de l’homme puis le traîna jusqu’au bûcher afin de l’y attacher solidement. Les gueux du peuple sacrifièrent quelques légumes pourris en direction de l’accusé afin de jeter leur dévolu et leur haine du mal sur celui-ci et le marquer de honte avant sa fin.

Amric fit un geste au bourreau qui, de sa torche, alluma le brasier en plusieurs endroits. Le bois sec se mit à crépiter alors que les parents s’attelaient à cacher les yeux et à boucher les oreilles de leurs enfants. L’accusé qui commençait à sentir les flammes purificatrices lui lécher la peau brisa son sourire malsain pour déclamer une malédiction et la gloire de l’Unique jusqu’au moment où sa mâchoire se brisa sous le choc d’une pierre habillement lancé par le jeune fils du bourreau qui tenait encore sa fronde en main. Les derniers sons que produire le chevalier noir de cyric furent des cris de douleur puis il succomba. Landric ne perdit pas une miette du spectacle qui se jouait devant lui alors que la foule se dispersait. Il fallut une heure et demie pour que le corps soit totalement consumé et que le brasier s’apaise. Le père et le fils Øndåal se dirigèrent finalement au temple du Vigilant pour y prier puis rentrèrent dans le foyer familiale en silence.

une suite ?

[suite pas encore fini évidemment]

Les années s'écoulèrent lentement au rythme du jeune Landric. Son aciduité à l'apprentissage de la Foi et du combat comblait secrètement son père pourtant si occupé dans sa sainte mission.

Quinzième printemps... l'année du serment de dévotion. Le descendant de l'inquisiteur pouvait enfin rejoindre l'académie du paladinat. Le nom qu'il portait, attira dès le départ l'attention de ses memtors qui se voyaient drastique et sans aucun forme de tolérance pour les éventuelles échecs de Landric ; telles étaient les consignes de son père.

Ainsi donc la formation du jeune homme se poursuivrait sous l'oeil vigilant et sans sommeil des gravures à l'éphigie de l'Eternel Gardien. Le jeune d'Ondaal ne fiasait de place aux sentiments, seule pour lui comptait la Foi.

A de rare moment, il parevnait à voir son père, les sujets de discussion furent toujours identiques et orientés vers Heaum. L'inquisiteur confia à son fils qu'il allait partir vers l'Ouest afin d'absoudre une engeance maléfique apparu sous la forme d'un dragon noir au sein des Terres du Val de Bise. Les deux hommes s'étreignirent comme ils le purent avec leur harnois puis se saluèrent en bon paladin puis ceux-ci regagnèrent leurs occupations ; ce dont ils ne se doutaient point, c'est que c'était la dernière fois qu'ils verraient de leur vivant.

En effet, une année s'écoula dans le Cormyr avant que la caravane des inquisiteurs ne fassent son retour, un retour sous le rythme fuèbre du dueil.

une suite ?

Edit Zazza : Je viens de le redeplacer, il etait dans les BG supprimés *juste pour prevenir*

bon igno tu joues ton perso mais j'ai beau demander un suite elle ne vient pas.... je supprime dans une semaine si tu ne la met pas, tous les joueurs sont soumis aux mêmes règles

edit igno: humpf désolé je l'ai terminé la semaine dernière et je l'avais aps encore posté :s

La nouvelle de la défaite parcouru rapidement les murs de la cité. En haut des tours, un ruban noir rejoint les bannières des armoiries de Suzail, flottant au gré des brises légères de la saison. Le cœur du jeune apprenti paladin se sera en voyant la manifestation de solidarité de la cité envers ceux qui étaient mort pour le Bien, cependant, il ne versa point de larmes ni ne laissa transparaître ses émotions se souvenant les paroles de son défunt père :

‘Les émotions ne sont que les ouvertures de l’âme vers une faiblesse exploitable par le mal et la tentation.’

Fort de cette doctrine, il entama de lui-même une pénitence d’une année complète pour excuser la faiblesse de son père afin que celui-ci ne soit point déshonoré lorsqu’il se présenterait face à l’Eternel Gardien. Il devint l’un des élèves les plus brillant, ne relâchant sans cesse les travaux qui le mèneraient vers son destin. Sa voie lui était toute tracée depuis sa naissance, il ne devait décevoir celui qui lui dont il portait fièrement le nom.

Les cloches du temple de Heaum de Suzail résonnèrent à travers la cité, voilà presque quatre années que le jeune Landric avait fini de prier pour le salut de son géniteur, aujourd’hui était un grand jour dans sa vie. Tous les plus grands et nobles représentant du culte s’étaient réunis pour la cérémonie d’adoubement d’une cinquantaine de jeune hommes ayant fait preuve de suffisamment de foi et loyauté envers l’Eternel Gardien.

Le nouvellement paladin Sire d'Øndåal vint donc gonfler les rangs de l’inquisition dans laquelle son père fut maintes fois reconnu pour sa ferveur. Après deux années d’exercices de purification et de croisades diverses, Landric fut convoqué par les Hautes Instances du culte. Une mission de grande importance lui fut confiée, le Haut Prêtre Alaric lui-même avait transmit un pli scellé pour l’aider dans sa tâche sainte.

Landric prit alors la même route qui fut prise quelques années plus tôt par son géniteur et ses compagnons de foi. Le chemin fut long, cependant, le jeune dévot s’arrêtait afin d’accomplir ses devoirs de prières et de chevalier. Au fur et à mesure qu’il approchait de la Cité des Voiles, dernières étapes avant Padhiver, il ressentait le mal qui habitait ces terres.

Luskan, une cité dressée tel une forteresse et ses milliers de gardes patrouillant, pourtant, ce soir là, lorsque Landric mis le pied sur la place principale pour la première fois, il ne pu que voir ce fléau, debout là, exhibant son armure orné du symbole du fou. La conversation s’engagea entre les deux hommes aussi cinglante et incisive qu’un coup d’épée trancherait le bras d’un homme. Cependant, Landric était investit d’une mission pour le culte du Cormyr, il finit par se rendre à l’auberge locale, cherchant quelques informations sur le porte-glaive Fanatus. Garfaux, l’aubergiste, lui indiqua son ressent passage et sa venue régulière ses temps derniers. Le paladin du Gardien prit donc son mal en patience pour achever son voyage et s’installa pour la nuit dans une petite chambre suffisante pour lui permettre de prier et de dormir ses quatre heures quotidiennes de sommeil.

Au petit matin, on frappa à sa porte, l’aubergiste vint le prévenir de la présence du chevalier Fanatus. Les hommes se rencontrèrent alors, après les échanges de coutume de bienséance chevaleresque, Landric remit au porte-glaive le courrier du Seigneur Alaric. L’ancien paladin du Gardien trahis sa surprise et l’honneur de recevoir un tel pli par son regard et le fait qu’il manqua d’avaler de travers la lampé de bière qu’il venait de prendre. Ce jour là fut le début d’une histoire de maître d’arme et de foi à élève.

Après plusieurs heures de discussion, les deux hommes entreprirent de rejoindre le temple de Padhiver… ils quittèrent l’auberge et tombèrent face à un monstre imposant, la peau écailleuse, des cornes semblables à celles d’un démon et ses ailes noires comme les ténèbres, celle là même qui devait envahir le cœur de cet être impie aussi peu sur qu’il n’en possède réellement un. Les deux Heaumites posèrent un regard inquisiteur sur la créature, les accusations fusèrent d’un côté comme de l’autre, personne ne voulant intervenir par la crainte du courroux du monstre sans nul doute.

Dans sa ‘clémence’, le demi dragon noir imposa à Landric un délai de trois jours pour le tuer au-delà duquel, la créature viendrait à assassiner le paladin… la menace était lancée !

L’Inquisition se forma, rapidement, les premières engeances furent chassées et supprimées de la surface de Toril… le demi dragon fît parti des créatures purifiées. La côterie salvatrice ne reçu pas un accueil chaleureux cependant, quoi de plus surprenant pour une region tant gouverné par le vice et le chaos.

[hrp: cette scène me sert essentiellement de justificatif pour la classe de champion divin. L'action a été réalisé sous couvert d'anim et intégralement en emotes et jets. Je joins également le lien du post sur le forum: https://valdebise.1fr1.net/Partie-RP-c2/La-taverne-f6/La-coterie-de-la-Sainte-Purification-L-inquisition-de-Fer-t6741-30.htm]

*Récit tiré des rapports de la Sainte Inquisition de Fer*

IV. Preuve et force de foi!

Le bateau était à quai depuis plusieurs heures et l'écuyer et Paladin Inquisiteur de la Sentinelle Landric d'Øndåal mit enfin pied à terre après avoir règlé les dernières commodités avec le capitaine du navire qui neur avaient permis de faire la traversé entre Padhiver et Luskan.

Le jeune disciple du Chevalier Fanatus traversa la Cité des Voiles, la perdition se ressentait dans cette ville autre fois glorieuse. "Auberge de Garfaux" signifiait une vieille enseigne de bois accrochée au mur d'une ancienne batisse au centre ville. Le paladin franchit la porte où il savait qu'il pourrait retrouver ses frères de bataille Sire Fanatus et Dame de Valbataille. Landric poussa la seconde porte interieure afin de rejoindre la salle principale, lieu de débauche permanente où les résidus de paiens tuaient leurs journées. Dos à lui, un homme robuste en bure dont emmanait une odeur nausée abonde de mort et une puissante aura d'énergie négative. Face à cette engeance, Sire Fanatus et Amélia lui tenait tête dans un conflit verbal et offusquant visiblement.

Le Paladin D'Øndåal toisa la bure et s'engagea dans la conversation afin de soutenir ses amis. Le débat se fit cinglant et finit par une sommation simple et concise, offrant à l'homme de partir de ce lieu, cette cité, cette région... Il fit preuve d'une grande arrogance mais finit par sortir de l'auberge solidemment escorté par les Inquisiteurs.

Le cortège se stoppa en pleine place de Luskan... l'arrogance et les propos hérétiques de l'homme finit par mettre fin à la sommation faite par Landric. La foule de badauds regardaient de loin la scène, des Inquisiteurs dans la cité et un solide gayard en bure qui dissimulait mal une armure de plaque. Le paladin ota son gantelet levant la main vers le ciel implorant à l'Eternelle Gardien la puissance d'expier le mal. Un début de rixe entre Sire Fanatus et la bure permit à la paume luisante de se placer sous la capuche masquant l'homme (imposition des mains jouées en rp avec la prière et tout).

Les troupes d'élite de la garde s'approchèrent alors que l'engeance maléfique fit plusieurs pas de recul en se tenant la tête et hurlant de douleur... sa véritable nature était découverte dans l'esprit des Inquisiteurs présents. Pavois en avant, lame à demi sortit du fourreau, Landric d'Øndåal donna son nom et sa raison d'être au Sergent de la Garde qui cherchait à savoir qui se trouvait face à lui. Les hallebardes affutées pointaient alors l'homme qui arracha sa bure découvrant une armure de plaque noir et s'écriant qu'il était l'un des 7 Chevaliers Noirs de l'Ordre de Culte du Dragon.

MALEFICES... les Ordres reçus du Commandeur était clairs, la joute aurait lieu. La lame rougeoyante d'énergie négative jaillit de son fourreau, le Chevalier Noir usa alors de son aura grandissant pour faire jaillir sa haine. Les auras luttaient déjà entre elles, le paladin-inquisiteur faisant un travail énorme sur la sienne pour contrer le tourbillon maléfique qui se tenait face à lui.

Le Chevalier mit un coup violent sur le chef de la petite troupe de garde de la Cité et le tua rapidemment avant même que celui-ci n'eut le temps de réagir. Tous reculèrent alors... Landric fit un pas en avant, se mit à genoux et offrit une prière silencieuse au Vigilant avant de se lever arme au clair.

Le Chevalier le salua... le paladin ne répondit pas à se salue aussi pourrit que le baiser d'un lepreux. La joute débutta, le paladin se battant avec son épée batarde la main nue, frappa, chatiant le mal une première fois. Les deux hommes luttaient avec acharnement, l'un dominé par la haine et l'autre par la foi, enfin le Chevalier Noir trouva une bèche et plaça un large coup d'une grande violence dans le harnois du paladin, le tordant et lui brisant sans nul doute plusieurs cotes, pourtant Landric tenu bon et profita alors à son tour pour loger sa lame dans la fente entre le heaume et le harnois du 'maléfique'... les bruits de fer cessèrent, une gerbe de sang noir jaillit de la bouche masquée de son opposant, alors l'Inquisiteur usant de ses dernières forces fit cintiller son aura aux yeux du démon en otant sa lame et en abatant un dernier chatiment du mal de face sur le crane casqué de l'engeance qui succomba alors dans une explosion surnaturelle... L'aura maléfique se dissipa, le calme revint, le paladin se mit à genoux et posa son arme essoufflé.

L'Inquisition de Fer avait triomphé, Landric d'Øndåal pourra se permettre de faire falloir son droit désormais, preuve était faite, il n'était plus en rien un novice.

validé

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Petites précisions suite à une erreur de la cadre de présentation, plus les ajouts de la langue parlée ainsi que les stats:

Citation :

classe(s): paladin 15/ch. de Heaum 10

Langue parlée: commun


Stat:
Force 14
Dext 08
Const 08
Int 10
Sag 14
Cha 25