- Citation :
- Nom du compte joueur: Zackkiske
Nom du perso: Zeik Krieg
Race: Humain
Age: 25 ans
Alignement: Loyal Mauvais
Religion: Baine
Classe: Guerrier (12 lvl je pense) Chevalier noir (13 je pense aussi)
Arme de prédilection: Epée longue; Morgenstern
Trait de caractère: Ambitieux, froid, indifférent aux autres, mais bizarement sociable pour quelqu'un d'aussi malsain que lui, violent et sadique sous l'emprise de la colère, ne tue jamais de sang froid, et s'est fixé comme principe de ne pas tuer les enfants et les femmes, sauf s'il est en mission pour son clergé, là il peut devenir monstrueusement abjecte.
Description physique: Il a les cheveux roux, virant un peu sur le rouge. Il est d'une taille imposante mais pas trop, un bon 1m85; les yeux sont de couleurs noir; Il est assez musclé, et son dos porte les stigmate de sa dévotion pour Baine: il a scarifié sa peau avec le symbole du Seigneur Noir. Il se déplace toujours avec une majestuosité qui prouve bien son ancien rang.
Depuis quatre générations, la famille Krieg a toujours vécu à Lorgol, et s'était imposé comme une des familles les plus puissantes sur le plan militaire.
Cette famille a aussi jurer fidélité au Seigneur Noir. Pas un seul membre n'a rejeter une proposition du clergé, et a toujours proposé son aide aux prêtres.
Depuis la première génération, les seigneurs de guerre devenaient des chevaliers noirs, afin de confirmer leur puissance et leur loyauté envers Baine. Et ainsi transmettaient une partie de leur sombre héritage a leurs enfants. Les enfants qui naissaient obténaient un énorme pouvoir dès leur premier jour, une énergie négative aussi palpable que de l'eau.
Chaque enfant, arrivé a l'age de volonté propre jurai fidélité au Seigneur Noir.
Le père entrainait lui même son héritier au combat, car celà permettai de tissé des liens entre les deux générations, pas un lien d'amour, mais de loyauté, car le père ne transmettait le flambeau de la maison qu'une fois qu'il poussait son dernier souffle de mort naturelle ou lors d'une bataille de grande envergure.
Les armes de la maison étaient toujours composé d'une épée longue et d'une morgenstern, par loyauté envers leur seul maître: Baine.
Les chefs de famille participaient au conseil de Lorgol, et s'arrangeait toujours pour que la puissance de la ville soit toujours amplifié.
Les Krieg avaient aussi développé un certain sens du devoir: celui qui les trahissait ou qui échouait était voué a un châtiment qu'ils appelaient le châtiment des armes: le martyr affrontait successivement dix adversaires dont le vainqueur recevaient une forte somme pour service rendu a la famille. Si la victime réussissait a survivre, il était raccompagné indemne aux portes de la ville, mais il était aussitôt pris en chasse par des assassins sur gage payé par la famille afin de bien faire comprendre au prochain qu'il n'y a aucun échapatoire à la trahison et à l'échec.
Il en va ainsi depuis longtemps, c'est ainsi que la famille à toujours été considérée comme impitoyable.
Chaque seigneur krieg avaient pour prénom Zeik, et ce depuis le tout premier, afin de confirmé leur noblesses.
Seulement, la quatrième génération vit quelque chose de perturbant: des jumeaux naquirent, au lieu d'un seul héritié, l'un avait les cheveux d'un noir de nuit, et l'autre d'un rouge de sang.
Autre problème, il ne pouvait y avoir qu'un seul Zeik Krieg quatrième du nom.
La compétition fut rude, et l'enfant qui naquit avec les cheveux de couleur rouge sang fut nommé Zeik Krieg, l'autre survit, mais avait largement moin de pouvoir, et il obtint le nom de Tales Krieg. Tales partit et vécu de lui même pendant 11 ans. Zeik appris plus tard que Tales avait jurer allégence a Baine, mais n'avait aucune loyauté envers lui, mais Zeik n'a jamais eu l'occasion de réglé ce différent.
Puis Zeik Krieg le quatrième eut lui aussi un fils, avec des cheveux d'un roux virant au rouge sang.
Cet héritier avait hérité des traits de caractère de la famille: sang froid et calme, mais il était clair qu'il avait aussi une puissance négative importante. Zeik IV y trouva une immense fierté et sut que son fils seraient une bénédiction pour la famille.
L'enfant promettait vraiment beaucoup: il avait un sens inné du combat, et un intelligence appréciable. Son père pensa qu'il serai encore plus impressionnant une fois sacré chevalier noir, afin de confirmé son rang et sa puissance.
Zeik IV apprit à son fils la terrible histoire de son oncle, et développa ce jour même une haine envers ce parent qu'il n'avait jamais vu. Pour lui il était un traitre qui pourrait provoquer des problèmes pour le clergé et pour la ville plus tard.
Arrivé à l'age de 10 ans, Zeik le cinquième fut témoin d'une tragédie.
Tragédie qu'il avait imaginé plus tôt, car ce qu'il redoutait arriva.
Son oncle trouva le moyen de s'accaparer les terres de son frère, et assassina ce dernier, ainsi que sa femme.
Tales ne tua pas son neveu, mais il l'exila de Lorgol, et l'envoya le plus loin possible, et là où il serai sur qu'il ne s'en sortira jamais: Zeik arriva en Amn.
Puis les mouvement de la maison Krieg n'apportèrent plus rien au clergé de Baine, ni a la ville, Tales s'était arranger pour que tous ne lui porte pas préjudice. Il s'arrangeait pour que tout ce que sa famille avait construit comença a se détruire.
Pendant 15 ans, Zeik V se débrouilla seul, et il survécu a de nombreux traquenards. Ses compétences martial et l'apprentissage de son père lui a permis de rester en vie. L'energie négative qui se dégageait de lui s'intensifia avec la haine qu'il porta a son oncle qui avait détruit tout ce que sa famille avait bâtit. Cela créait autour de lui une espèce d'aura malsaine, qui avait le don d'effrayé quiquonque tentait quelque chose a son égard. Cela lui prouvait aussi que son héritage n'avait pas disparut, et qu'il trouverai le moyen de faire renaître son nom.
Arrivé a l'age de 25 ans, Zeik arriva a se faire engager sur un bateau de contrebande, et arriva sur le Val de Bise.
Il est revenu afin de faire redorer le blason de sa famille, et il est déterminer a récupéré son héritage.
Plusieurs semaines après son retour à Lorgol, Zeik fit en sorte d'évité de faire ébruité sa présence en ville. Il accosta une personne portant le symbole du Seigneur Noir, et lui raconta une partie de son passé. L'homme qui l'écouta l'emmena au temple, où l'impercepteur l'acceuillit comme il se doit.
Ils s'entretinrent longuement sur le retour de Zeik, et le prêtre lui dit ainsi:
"Si tu souhaite recouvrir ton titre et nous prouver ta force, tu dois défié ton oncle, sinon tu n'aura rien, le Seigneur Noir désignera la personne la plus fiable par la mort de l'un ou l'autre."
Sur cette dernière phrase, Zeik s'inclina et sortit du temple.
Après cet entrevue, Zeik commença par faire résonné son nom, afin que son oncle apprenne son retour.
Il commença a l'auberge de la Plume Noire, où il était sur que son nom serai renvoyé a l'oreille de son oncle.
Puis il commença a tourné autour de sa demeure, comme un loup qui épi sa future proie.
Il restait ainsi pendant quelques jours.
Et du jour au lendemain, il alla se présenté directement a la porte d'entrée, comme si de rien était.
Il du tué au passage des hommes fidèle a son oncle, et fit route directement jusqu'au cabinet de son oncle.
Il entra sans frappé, s'avança, son oncle le regarda comme si il était un fantôme, puis il pris place en face de lui.
Zeik : "Bonjour mon oncle, celà va faire longtemps."
Tales: "TOI?"
Zeik : "Oui, moi, tu ne t'attendais pas à mon retour apparament."
Tales : "Misérable cloporte, je t'avais laissé une chance de rester en vie, et toi tu l'a fait sauter d'un coup. Que veux tu? j'espère que tu ne cherche pas a reprendre cette demeure, ce serai une blague de mauvais gout."
Zeik : "Et si c'était le cas, vieille loque? Tu pollut trop longtemps cette ville, et de plus, tu t'encroute dans cette demeure comme le lache que tu es. Il vaut mieu que tu me laisse cette demeure tout de suite, et que tu t'en aille illico."
Tales : "Ou sinon quoi? des menaces?"
Zeik : "Oh que non, ce n'est pas une menace, mais une proposition. Tu t'en va, et tout ira bien, autrement, je te fait quitter cette ville... et par la même occasion cette vie, les pieds devant."
Tales : "Et tu compte me tuer tout de suite? Avoue que je suis une proie facile actuellement."
Zeik : "C'est tentant, mais non... J'ai une bien meilleure idée."
Puis le regardant avec une envie de tuer palpable.
Zeik : "Je te défie, pauvre loque que tu es, dans 2 jours, je veux te voir sur l'arène, et ne viens pas dire que ce n'est pas vrai aux prêtres, car je les avertirai, et je t'attendrai patiemment sur le sol de l'arêne. Tu aura intérêt a venir pour ta santé. Même si elle ne vaut plus rien dernièrement."
Tales : "Pauvre fou, tu ne sais pas que je suis réputé dangereux au combat? Tu as signé ton arrêt de mort. Soit, tu veux te faire tuer, alors d'accord, j'aurai ta tête, larve que tu es."
Zeik : "Dans 2 jours n'oublie pas. A moin que tu ne sois déjà sénile pour l'oublier."
Il partit sur ces entrefait.
Il retourna au temple prévenir les prêtres qu'il a lancer le défi, ils lui dirent que l'un d'entre eux l'observera se déroulé.
Puis il retourna a l'auberge et pris une chambre, et patienta tout le temps des deux jours. Il ne pensais plus qu'au combat qui allait provoquer un croisement a sa vie. Si il gagnait, il recouvrirai son titre et sa demeure familliale. En revanche, la défaite entrainerai la mort, et la fin de sa lignée avec lui.
il jura qu'il ne perdrai pas. Pour lui, sa défaite serai une insulte au Seigneur Noir.
Il commença alors à Le prier sans relache durant les deux jours qui passaient. Il Lui demandait d'accepter d'être Son bras lors de ce combat. Il Lui jura qu'il ne perdrait pas face à ce traitre.
Puis le jour du combat arriva. Zeik s'arrangea pour être le premier sur les lieux. Il s'adossa a un mur près de l'arène, et patienta, comme patiente un tigre avant de se jeter sur sa proie.
Puis une fois qu'il compris qu'il se sentait bien pour ce duel, il s'avança vers le haut du fossé.
Comme le reflet d'un miroir, son oncle arriva au même môment.
Aussitôt un climat de haine se fit sentir. Tales commença alors ameuter tout les badauds, afin qu'il y ai des spectateurs pour le combat. Les insultes et les promesses de mort filèrent d'un côté à l'autre.
Et puis, Zeik entra le premier dans l'arêne. Il mit son heaume, tira son épée et ceint son bouclier, et attendit patiemment que son oncle vienne.
Il arriva, mit son bouclier, et pris sa hache de guerre.
Les deux guerriers se fixèrent un petit moment, puis le combat commença.
Les coups filèrent à une vitesse et à une force incroyable. Les deux adversaire ne se faisaient vraiment aucun cadeau.
Suite a un enchainement rapide de coups, Zeik porta un coup d'épée aux jambes, évitant ainsi un coup de hache qui aurai pu être fatal, son épée fit de brèves blessures, mais rien de grave. Puis il remonte le manche de son épée, et frappa Tales d'un coup de la garde, lui faisant craché du sang et quelques dents.
Le combat continua, après une feinte Tales réussit a porter un coup au flanc. La blessure fut terrible, mais Zeik teint bon, il repris un enchainement de coups rapide, Tales fut pris par surprise, et ne pouvait pas suivre car l'épée était plus rapide que la hache. Zeik réussit à blesser Tales au bras, celui portant son bouclier, puis porta un coup à la poitrine, et réussit à blesser grièvement son opposant. Tales porta un puissant coup, repoussant Zeik.
Le combat dura longtemps, les deux guerriers donnant leur maximum. Tales avait cependant un large désaventage: son adversaire était plus jeune que lui, et disposait d'un niveau de combat digne de n'importe quel expert.
Arrivé au milieu de l'arêne, il frappa de totue ses forces sur le bouclier de son adversaire. La protection de Zeik vola en éclat, et le choc brisa son bras, mais tales se déconcentra trop vite, et Zeik, resistant à la douleur, plaça un coup de sa lame sur les tendon des jambes de Tales.
Le combat était finit pour le vieu guerrier. La sentence était tombé. Il se vidait de son sang, sentait la vie le quitter. Zeik s'approcha de Tales, et lui trancha le bras droit. La douleur et la blessure achevèrent le vieil homme.
Zeik ne s'arrêta pas là, il trancha l'autre bras, puis les jambes, et enfint la tête. Il ordonna aux soldats escortant son oncle d'aller mettre les restes bien en évidence au public.
Puis, Il quitta les lieux du combat, et repartit vers l'auberge.
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