Le Val de Bise - Module NWN
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Le Val de Bise - Module NWN

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 [Validé][Barde/Chevalier Noir][H] Lazslô De Denetthia

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AuteurMessage
Twrch_Trwyth
Sanglier de Malheur
Twrch_Trwyth


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Habitat : Du Haut D'un Promontoire Rocheux Dans Les Marais Trügar, Entouré de bestioles qui font "Gruik" !

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MessageSujet: [Validé][Barde/Chevalier Noir][H] Lazslô De Denetthia   [Validé][Barde/Chevalier Noir][H] Lazslô De Denetthia EmptyJeu 23 Avr - 17:24

Citation :
Nom du compte joueur forum : Twrch_Trwyth
Nom du compte joueur module : Twrch_Trwyth
Nom du perso : Lazslô De Denetthia
Race : Humain
Age : 48
Alignement : Chaotique mauvais
Religion : La Pucelle De L’infortune
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Barde 16/Chevalier Noir 4
Arme de prédilection/domaines/école de magie : Fouet

Langues :
1: Commun
2: abbyssal (chevalier noir)
3: Midani (régional)
4: A voir en RP
5: A voir en RP


Trait de Caractère :
Qualitées: D'apparence serviable, Bonnes manières, Charmeur, Accessible, Mondain, Souriant
Défaults: Sadique, comportement souvent aléatoire pour ne pas dire chaotique, Fanatique, Intolérant, Peteux, Superficiel.

Description physique : Peau blanche et lisse, yeux verts et brillants toujours vifs et alertes. Front orné d'un symbole tatoué au fer rouge.Une bague marquée de la lettre "D" orne sa main droite.

Caractéristiques :
FOR : 15
DEX : 10
CON : 10
INT : 14
SAG : 14
CHA : 14


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Chapitre I : LazSlô De Denetthia



La foi fleurit sans printemps sur les justes…

Je ne savait pas si mes enfants Ssorcha et ravrak était en vie, ou s'il était reparti en campagne dans leurs interminable guerre contre les templiers. j'était prêt a faire face à l'une comme à l'autre des deux situations : Affronter le destin ou attendre. je n'était toutefois pas prêt au spectacle de niitra ravagé par la guerre, les orcs n'avais rien laissé. je n'avais jamais été proche de mon demi frère Tzaräch, nos deux univers avait toujours été différents. j'était l'ainé mais à la mort de mon père je ne reprit pas le flambeau a la tête du domaine de niitra. Cette partie de l'aunoroch était sous la domination de beshaba avant l'avenement des orcs, mais à présent une terre ravagée.

Mon pays est une immensité rocheuse, glacée et désolée. La seule trace de civilisation dans la steppe se constitue de quelques tentes de tribus nomades, de ruines vétustes d’un passé révolu et de temple poussiéreux. C’est là que je suis née, Laszlô est mon nom et je suis un Ongle de la dame du culte de la pucelle.

Je suis née en 1347, ma mére était une débauchée que rien ne semblais atteindre et mon père un baron coureur de jupon notoire, ne faisait rien pour faire reculer les hordes d’orcs attaquant sans cesse notre domaine. Ma jeunesse se constituais de fête interminable que nous finançions sur le dos des paysans travaillans pour nous.

Je refusais la débauche et la pauvreté dans laquelle nous vivions, à l'inverse de ma soeur Mhynn qui se vautrait dedans. Je restait la plupart du temps dans la bibliothèque, a lire des romans de légendes ou à jouer du violon, sensible et rêveur je n’avais aucune idée de ce qu’était le monde dans lequel je vivais. A 20ans, en 1367 Année du Bouclier, J'eu une femme nomé isabelle qui me donna deux enfant nomé ssorcha et ravrak. Un jours mon père accéda a ma demande de rentré dans les ordres du culte de la pucelle et m’envoya au temple de beshaba, comme tout les jeunes de la famille. Mon travail consistait surtout à écrire sans relâche des kilomètres de parchemins en abyssal, mais aussi en Midani, la langue des nomades de l’aunauroch. J'apprit a me servir du fouet, l'arme sacrée de la pucelle.

Nous étions crains et respectés dans la steppes car les tribus nomades nous prenait pour des adeptes du dieux des vents. Nous en profitions pour propager le malheur pour le plus grand plaisir de notre déesse friande de sadisme.

Citation :
Mon frère
De l’autre coté des montagnes qui bordent le domaine de notre père, un monde nouveau m’attend. Je t’écris pour te dire que je prends la route, je quitte les étendues glacées de l’aunoroch et le domaine de niitra où nous avons grandit. Rien dans cette terre ne fera mon malheur autant que sur la côte des épées, beshaba m’en soi témoin. Les murailles noires de notre château vont me manquer, moins que tes reproches lassants et continuels. Je garde encore de la rencoeur contre toi depuis ce qui s’est passé, c’est pour cela que je profite de cette lettres pour t’avouer une chose. Alors que je jouais du violon sur la place du marché bédouin, un homme dans l’assemblé à traiter ma mère de prostitué et mon père de bourse molle.

Je ne peux suporter plus longtemps ces humiliations perpétuelle, qui me glace le cœur jours après jours. Je te fait donc cet aveux, notre père culbutais toute les putasses de fermes de la régions et ta mère était l’une d’elle, une elfe au nom imprononçable tellement stupide et à l’esprit si étroit. Tu ne peux comprendre je le sais bien, le plaisir qui fut le mien quand je la fouetta à mort pour avoir engendré un bâtard tel que toi. Elle est toujours en vie, tu voudras sans doute le savoir, sans doute est elle à présent la putin d’un rat d’égout paysan, comme tu l’es toi-même même avec l’éducation noble que tu a reçue.

Je me souviens de nos jeux d’enfant, j’aimais casser tes instruments de musique faisant passé la chose comme un incident. Père te rachetais toujours les meilleurs harpes, je l’ai haï pour cela. Mais je t’aimais aussi et je te protégeais, tu n’as jamais su tes origines car c’est moi qui te le cachais, j’espère à présent que ça te restera dans la gorge, pourvu que tu en crèves.

Ton demi frère qui te hait
LasSlô De Denetthia


Je ne revint plus jamais à niitra. Au temple de beshaba les prêtresses voulaient faire de moi un novice qui deviendrait plus tard un porte poisse, mais je ne suivis pas cette voie. Dans ce même temple vivait un chante-malheur, virtuose et spécialiste des chants de malheur à faire glacer le sang. Il m'apprit à éveillé la magie du barde en moi, il me fit comprendre que la famille Denetthia avait un lointain ancêtre extérieur maléfique. je comprit qu'il me fallait prendre contact avait lui plus tard au moyen d'un rituel pour lui demander qu'il m'investisse de sa puissance. Me servant de mon violon et de mes chants comme focaliseur, j’était assez doué pour les chants de malheur grace à mon mentor, et le culte en appréciait la teneur sombre et envoutante.

Citation :
Au sein d’horribles nuits macabres,
Imposées à coups de pieux, de sabres,
Je rêve de souvenirs implacables
Pourtant ils ne sont que du sable.

Avant que je n’empoigne cette arme
Charogne au pied d’une montagne d’or
Pour que tes murmures soient morts
J’achète ton silence à mon âme

La marche funèbre suit notre voie
La souille d’une étrange odeur
Enfouie vers le fond de ton cœur
Pour empester l’arrogance, la foi

Je ne veux pas oublier
Mon vœu qui doucement se meurt
Je ne veux plus oublier
Ma belle empêtrée dans la peur

La brume de mes cauchemars
Et si je ne peux la vérifier
La couleur de ce cadavre blafard
S’impose dans notre psyché

Sans souvenir, désarticulée
Poupée de chiffons, la cire fondue
J’aurais voulu encore aimer
Bien que ton cœur soit toujours cousu

Au gré d’immenses remparts, gigantesques
J’erre pour entrevoir ton signe
Enfermé dans mon monde dantesque
Avant de trancher la létale ligne

Les doigts noirs assassinaient pour nous, la prêtresse allait ensuite soigner les maux et accepter les dons. Nous offrions pour notre part des armes aux tribus qui s’entretuaient et asséchions les oasis quand nous descendions au sud, dans le désert aride. Nous donnions de fausse indication aux caravanes marchandes usant d'illusion pour les perdre a jamais dans le désert. Je décidais de suivre plus intensément ma foi et le dogme de la pucelle, en effectuant un rituel de dédication a sa gloire. J’allais offrir ma vie entière à la vierge de l’anarchie. Le porte poisse m’initia au savoir divin et à la théologie.

1387 Année de la triade, le jours de mon anniversaire à 30ans, dans le temple de Beshaba, Le porte poisse me fit jeûner et me dicta les gestes à accomplir pour invoquer le démon qui me liera à beshaba. Je placais une bougie noire et une bougie rouge au centre de l’autel, les assassins et doigts noirs du culte se placèrent aux quatres points cardinaux. Je déboucha du vin et en rempli un verre. Attendant le calme et le silence je me permit une gorgé de ce délicieux breuvage.

Tout autour de l’autel je tracais un pentacle avec une craie rouge et m'installais par terre, les jambes croisées. Apres une bonne demi heure de méditation et de concentration je me levais et tendais les bras vers le ciel, implorant beshaba de m’entourer de ténèbres et que mon allégeance soit acceptée. J’allumais toutes les bougies autour du cercle.

« Que mon âme soit baignée par les vagues malfaisante de la haine et de l’obscurité qui s’éveillent en moi.
Que je sois submergé par une vision des temps anciens,
Où le savoir sacré baignait les mondes,
Et que j’en apprenne les secrets. »

« Que mes mains soient bénies par l’élément de l’air,
Que son souffle m’apporte la clairvoyance,
Que l’air sacré ouvre mon troisième œil.
Et me permette de reconnaître mes dons psychiques »

« Que les larmes qu’apportent les rimes et les écrits,
Soient exemptes de ma vie, grâce à l’élément de l’eau,
Qui baigne toute chose.
Qu’il me soit permis de plonger dans l’océan de cette eau sacrée qui donne la vie et la connaissance. »

« Que la peur de la mort qui croît m’habite,
Et que toutes les créatures servent mes buts et mes désirs.
Que le chant du cycle incessant de la vie et de la mort,
Se perpétue en moi maintenant et pour toujours. »

« Que les flammes sacrées m’imprègnent de leur ardeur,
Et qu’en moi brille le feu sacré du dévouement,
À mes instincts et à mes désirs,
Que l’élément du feu m’assiste,
Dans ma quête de connaissances et de savoir caché.

« Par la puissance de la terre, de l’air, de l’eau, du feu,
Sous le regard bienveillant des ténèbres,
Je parle de ce que je vais devenir.
Je dédie mon existence à la pucelle de l’infortune
Afin de connaître et de comprendre ses secrets,
Pour mon plus grand mal et l’accomplissement de ma destinée. »

Je t’invoque, toi démon des abysses qui adhèrent au principe ancien des ténèbres.
Afin que tu me permettes de faire partie du groupe des enfants chéris de la pucelle.
Je t’implore de m’accorder cette faveur ultime d’être à son service pour la vie.
Je promets de suivre les édits de ta loi qui sera aussi la mienne.
Je promets de vivre selon le précepte sacré de la fatalitée
Fais ce que bon te semble.
Ô toi, beshaba qui es la reine incontestée de tous ceux qui pratiquent la voie de la gauche,
Accueille-moi, je t’ouvre mon âme, Envoie moi ton accolyte
Afin que tu puisses juger de la véracité de mon serment.
Ainsi soit-il. »


Je brûle la surface de mon verre de vin et sorti une petite corne de cerfs. Tout en la plongeant dans la mixture bouillante je me brûlais le doigt au passage comme le veux la coutume. Le porte poisse me prit la corne des mains et traca le symbole de la pucelle sur mon front. Cette marque me resterais tout au long de ma vie.

1395 Année de la Main Noire Sept année s'était écoulée depuis cette nuit et je commençais a prendre mes marques et me faire une idée sur le dogme mais je devait pourtant quitté l’aunauroch trop de souvenir lié à niitra m'enchainais sur cette terre. Comme le porte poisse de l’aunauroch me l’a enseigné, je vais reproduire ce que ma naissance et mon éducation mon inculqué. Mes armes sont celle de la pucelle, et son prêche supréme, le dogme de la fatalité qui inspire l'audace et le mépris de la mort.

Car le péril est le même pour celui qui manie le fer sur un champ de bataille et pour celui qui repose dans un lit ; l'instant de périr étant irrévocable, et toute prudence humaine est vaine devant l'Eternel qui a enchaîné toutes choses d'un lien que sa volonté même ne peut ni resserrer ni relâcher.

Le mot liberté n’a aucun sens, il n'y a point, et il ne peut pas y avoir d'êtres libres ; que nous ne sommes que ce qui convient à l'ordre général, à l'organisation, à l'éducation, et à la chaîne des événements. Voilà ce qui dispose de nous invinciblement. On ne conçoit non plus qu'un être agisse sans motif, qu'un des bras d'une balance agisse sans l'action d'un poids ; et le motif nous est toujours extérieur, attaché ou par une nature ou par une cause quelconque, qui n'est pas en nous.

La fatalité et la malchance sont source des vertus cardinales que sont la modestie et la clémence. Le sage sait qu’il tire ses vertus de la nature de la nécessité, et non de sa liberté. Aussi ne s’en enorgueillit-il pas, contrairement au partisan du libre arbitre qui croit à tort s’être donné ses qualités morales.

Inversement, le sage ne tient pas rigueur aux autre d’être ce qu’il sont, sachant que leurs vices est le fruit nécessaire d’une mauvaise naissance et d’une mauvaise éducation: Plus on accorde à l'organisation, à l'éducation, aux mœurs nationales, au climat, aux circonstances qui ont disposé de notre vie depuis l'instant où nous sommes tombés du sein de ce monde jusqu'à celui où nous existons, moins on est vain des bonnes qualités qu'on possède, et qu'on se doit si peu à soi-même, plus on est indulgent pour les défauts et les vices des autres.

Je ne tiens pas rigueur au autres d’être des hérétiques partisans du libre arbitre, je ne fais que leur dévoiler par le biais du malheur et des accidents, du hasard ! Que le destin est partout il régie notre monde de la chaire pourrissante au soleil sur le sol du désert où je suis née jusque dans les cieux a faire damné toute les divinités de faerun. Le choix est une illusion, le choix ne fait que différencier ceux qui ont le pouvoir de ceux qui ne l’ont pas. Vous avez le pouvoir de prier la pucelle où vous ne l’avez pas.

Je prends la route de la haute forêt à travers les montagnes bordant l’aunauroch, des terres rocailleuses parsemées de maigres broussailles et ne recelant pas une seule goutte d'eau, des bassins emplis de sel et de cactus, des montagnes de grès battues par les vents. Puis a travers la haute forêt jusqu’au pont d’arche pierre sur la rivière dessarine.

A partir d’ici j’étais entré sur des domaines où la civilisation est plus implantée que tout ce que j’ai pu voir dans toute ma vie. j'était un chante mort et chevalier de la pucelle, mystique errant parcourant la région de rougemélèze et de cryptejardin en survivant grâce à la charité et à l'aumône, frappant aux portes des monastères et acquérant au fur et à mesure de mes pérégrinations une réputation de regards différent sur la vie et d’accidents fortuit. Ma réputation s'étendais doucement mais en même temps je découvrait une vie de débauchée, de buveur et de bagarreur, tout ce que j’avais détesté à niitra me tombais dessus, est ainsi pour les adeptes de beshaba ou seleument pour ma famille ?

Qu’en ai-je a faire ? Absolument rien, la pucelle m’en soi témoin !

Et voila qu’en suivant la montagne des épées vers le sud j’arrivait à la cité des splendeurs, la ville la plus influente au nord du Gué de la Dague et peut-être de tout Féerune. Une ville parfaite pour étendre la foi de la pucelle. Et si un hérétique adepte du libre arbitre, tymoriste de surcroît se prend l’envie de se dresser en travers de ma route je saurait lui inculquer à coup de fouet la vrai nature de la foi !


Dernière édition par Twrch_Trwyth le Sam 25 Avr - 2:31, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: [Validé][Barde/Chevalier Noir][H] Lazslô De Denetthia   [Validé][Barde/Chevalier Noir][H] Lazslô De Denetthia EmptyJeu 23 Avr - 18:48

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Chapitre II : Histoire D’une Famille De Niitra


Il est de ces familles illustres qu'un évènement soudain pourrait anéantir. Il est de ces seigneuries paisibles qu'une guerre saurait saccager. Il est de ces noms prestigieux, susceptibles de tomber dans l'oubli, pour ne finalement plus rien représenter aux yeux de la noblesse. Tant de malchances pouvant altérer l'honneur d'un dignitaire de l'armée réguliére de niitra, frappé du doigt effroyable du destin, et abandonné à la marge de la cour.

Les affres du destin plongent les hommes dans d'abominables situations, ainsi qu'elle plongèrent la famille Denetthia dans un déclin où il n'est parfois guère aisé de s'en sortir.

Le baron de denetthia menait sa morne existence dans une accommodation décente. Bien que son maigre héritage foncier ne lui laissait qu'une infime parcelle de vignes, il lui était possible d'en tirer profit chaque année. Il se maria à la dame Anna Ermentrude, de laquelle il eu trois enfant delderoth, mhynn et lazlô.

Lorsque Delderoth atteint sa majorité, son père le confia aux bons soins de son oncle, un précepteur hors paire qui le prit sous son aile et le fit monter à ses côtés, au milieu des fastes et de l’agitation qui régissait encore a ce moment la vie en niitra. Delderoth apprit la supériorité du verbe sur l’acier, mettant à profit un don inné pour créer des relations. Son oncle lui-même suspecta cette aisance et la vitesse à laquelle il assimilait les rouages de cette société.
Mais nul grand de ce monde ne peut se dispenser d’aduler la plus tourmentée des idoles : l’Or.
Delderoth devint haut marchand de la ligue du nord avant sa disparition inexpliquée..

Mhynn était une sorciére accomplie, spécialiste de la nécromancie et de la transmutation. Ses dons lui on été inculqué par un vieux velsharoonite du nom de zaccharias von harkon. On raconte une curieuse anecdote sur la naissance de la fascination de Mhynn pour le sang qui coule : un jour qu'elle avait frappé une servante assez violemment pour la faire saigner du nez, parce qu'elle lui avait tiré les cheveux en la peignant, un peu du sang de la jeune fille tomba sur le poignet de Mhynn ; un peu plus tard, elle crut remarquer que la peau de l'endroit où était tombé le sang était devenue plus blanche et plus douce que la peau environnante ; intriguée, elle se baigna le visage avec le sang d'une des victimes de ses orgies : son visage lui sembla rajeuni et revivifié par le traitement.

Le souci primordial de Mhynn, depuis son plus jeune âge, avait été sa beauté: elle avait une peur atroce de vieillir et de s'enlaidir. Il n'en fallait pas plus pour s'imaginer qu'elle pouvait indéfiniment préserver sa beauté grâce à du sang frais de jeunes filles, de préférence vierges, donc revêtues de cette aura magique que confère la virginité. Mhynn veillait à ce que des jeunes filles retenues prisonnières dans les caves de son domaines fussent bien nourries et engraissées, car elle croyait que plus elles étaient dodues, plus elles avaient de sang dans les veines, et que plus elles étaient bien portantes, plus la vertu de ce sang était efficace.


Des paladins entendirent un jours parlé de cette maison des horreurs et firent marche sur la maison, avec la ferme intention de tuer cette sorcière de Mhynn de Denethiia pour ses crimes infâmes. Mhynn eu vent de la venue de ces paladins et s’enfuit en tuant toute les servante de sa cave. Les paladins, horrifié de leur macabre découverte brulère la demeure.
Et on n’entendit plus jamais parlé d’elle.
Jusqu’au jours où on apprit sa mort au nord de padhiver, tué par les templiers

Myhn eu une fille nomée Zeehembria, elle aussi mouru de sa vengeance irascible contre les templiers qui avait tué sa mére

Laslzô quand a lui eu deux enfants en niitra de sa femme isabelle, Ravrak et Ssorcha. Ravrak combattut les templiers avec Zeehembria et emporta le corps de sa cousine à niitra pour le pleurer.

Ssorcha fut nomée de l'ordre de la chevalerie de lorgol, et participa au culte de beshaba de la côte des épées et y vie toujours en ce moment.


Dernière édition par Twrch_Trwyth le Ven 24 Avr - 16:47, édité 3 fois
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Volvic
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MessageSujet: Re: [Validé][Barde/Chevalier Noir][H] Lazslô De Denetthia   [Validé][Barde/Chevalier Noir][H] Lazslô De Denetthia EmptyVen 24 Avr - 15:03

Plusieurs petites choses:

Citation :
Les hautes prétresses et délatrice des malédictions m’apprirent à éveillé la magie en moi, me servant de mon violon et de mes chants comme focaliseur
Des prêtresses, détentrices de la magie divine ne peuvent pas enseigner ou éveiller la magie profane chez quelqu'un et surtout pas via un instrument de musique comme focalisateur.
Beshaba n'est pas du tout spécialisée dans l'art.

Se servir d'un instrument peut faire de quelqu'un un musicien, mais pas un barde. La classe de Barde est bien plus complexe que celle d'un utilisateur d'instrument de musique.

Concernant le rituel de DK, je suis étonné par cette ligne : Je t’invoque, toi Beshaba, pucelle de l'infortune, dame destinée qui adhèrent au principe ancien des ténèbres.

Je ne pense pas que tu puisses invoquer Beshaba. Tu peux te lier à Beshaba dans un "contrat" avec une créature abyssale (démon) pour devenir un garde noir de Beshaba.

Par contre, ce qui est génant, c'est d'être DK sans temple ni Prêtre.

Pour la partie barde, ce n'est pas suffisant, tu n'évoques que peu voir pas du tout la magie profane et la façon dont tu la mêles avec le chant, le violon et la magique profane.
De plus, le don a user de la magie profane vient de lointain ancêtres magiques. Etant donné que tu veux être DK, tu peux justement relier ce pacte avec un de ces ancêtres (donc un Démon plutôt porté sur l'art ou l'enchantement).

Pourquoi n'avoir prévu que 20 lvl ?
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Twrch_Trwyth
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MessageSujet: Re: [Validé][Barde/Chevalier Noir][H] Lazslô De Denetthia   [Validé][Barde/Chevalier Noir][H] Lazslô De Denetthia EmptyVen 24 Avr - 16:43

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Chapitre III : Tout le monde peut avoir un accident et ce n’est qu’en vénérant Beshaba que l’on peut éventuellement éviter certains aléas du destin


Je me souviens de mes pérégrination au alentours d'eauprofonde. J'était connu comme Lazslô, noble déchus arpentant la région comme acteur, chanteur et violoniste. Mais la nuit venue j'utilisait mes chants pour affaiblir le coeur des hommes. C'était merveilleux de chanter le malheur en pleine rue, quand la nuit tombe et que les familles se réunissent autour de leur soupe quotidienne. Que cette soupe deviennent cendres dans leurs bouches, prier la pucelle ou mourrer.

Dans une ruelle j'aperçu une jeune femme qui pleurais. "pourquoi pleure tu?" lui demandais-je. "Ne sais-tu pas que ton malheur est le fruit obligatoire de ta mauvaise vie? De ton éducation baclée?" Je jouais pour elle, arrachant chaque note de mon violon comme une attaque dirigée contre son coeur. "Ecoute ma belle, ecoute la mélodie du malheur, ton destin est irrévocable alors, n'éprouve aucune peur, accepte ton malheur" Le chant de malheur fut de trop pour la jeune femme, je me souvient l'avoir vu courir vers le fleuve. Je la poursuivit, continuant mon chant, ponctué de rire, l'insultant parfoit, la poussant au désespoir.

J'étudiais son visage, comme pour essayer de déchiffrer son expression. Les infimes tics de peur était comme des applaudissements et m'encourageais à continuer de plus belle ma ballade maléfique.

Le bruit de son corp touchant l'eau sonna la fin de ma partition, les rumeurs allaient bon train. Accident ou suicide? Il n'y avais que moi pour en rire. Car mon âme noir inspire ma musique et inspire ma magie, maudit soi les partisans du libre arbitre vers lesquelles mon art est dirigés. Qu'ils soient milles foi maudit, par les cornes de la toutes puissantes vierge du malheur.

Mon pouvoir provient de mon âme, que je laisse exploser quand je chante ou lance un sort, la musique dépend de mon humeur. La puissance de ma colère. Le désespoir de ma tristesse. La folie de mon esprit. Dirigé à l'envie nul ne peux faire semblant d'écouter mon message, Accident, catastrophe, malheur et mort.

Mes armes sont la vindicte et la boue, je suis oeuvre de poussière, je ne suis qu'un instrument, un receptacle de malheur, la musique est mon âme.
Quand mon âme meure à la fin d'une partition je discutte avec les tenebres. Avez vous aimez? Au début je vous parlais du bout des lèvres, timidité sans doute, les quelques murmures peu sur de moi que je vous ai dicter sont restées imprimées en négatifs sur les murs de ma maison.

Dans la nuit, au fur et à mesure de nos entrevues, d’autres mots sont venus s’ajouter aux autres et j’ai commencé à vous considérer comme des amies proches.

J’ai eu parfois peur, pas de l’obscurité que j’aime tant qu’il est à l’extérieur de moi. L’obscurité chez les autres me rassure, la mienne me dégoutte et m’effraie. Vous-même, mes chères amies vous n’êtes que noirceur et c’est ce que j’aime en vous.

Ténèbres écoutez mon chant, qu'ils sont tous maudits sauf vous, vous seules pouvez m'écoutez sans crainte car vous ètes en moi mon âme et ma musique sont votre propriété.

Ténèbres je vous aime car vous êtes chaudes et sombres, comme une caverne préhistorique. Un endroit protégé, sombre et chaud, comme un enfant dans le ventre de sa mère. Sombre et chaud, une régression peut être, une protection. Je ressent le besoin de vous parlez dans ma caverne nimpé de ténèbres, parlez moi comme avant, je réclame une histoire.

L’enfant réclame une histoire pour s’endormir. Il ne sera pas question de prince ni de princesse en détresse, il ne sera pas question de héros en armure sauvant le monde de la mort de la peste et de la faim. Répondez moi ténèbres, car vous m’aimez vous aussi, comme une mère. Vous m’aimez trop peut être mais je n’en ai rien à foutre. Et alors ? Je me rend compte que vous, mes chères amies êtes en moi et que cette histoire que je débute ce n’est pas vous qui me la racontez c’est moi qui me la raconte.

Pourtant j’ai besoin de vous, ténèbres, de votre chaleur et de votre noirceur. J’ai besoin de vous parlez, de vous parlez, de vous parlez ténèbres écoutez moi donnez moi ce que je mérite