[Validé][Barde/guerrier/DK][H]Sorcha De Denetthia

Citation :

Nom du compte joueur fofo : Brigada_flores

Nom du compte joueur module : Brigada_Flores

Nom du perso: Sorcha De Denetthia

Race: humaine

Age: 25

Alignement: chaotique mauvais

Religion: Beshaba

Classe(s)(nombre de lvls prévus ou non): barde17/guerrier4/chevalier noire4

Arme de prédilection/domaines/école de magie: cimeterre

Trait de Caractère: Manque cruellement de bon sens, téméraire, imprudente, irresponsable. Dégage une grande confiance en elle. Superficielle et souvent insensible au sentiment des autres. Grande capricieuse. Fanatisme exacerbé envers la dame destinée.

Description physique: cheveux noire corbeau, peau de marbre, petite taille, corpulence moyenne. Autant a l’aise un violon a la main qu’en armure et armée d'un cimeterre

Caractéristiques :
FOR :14
CON :14
DEX :12
INT :14
SAG :8
CHA :14

Langue parlée: Commun, langage de niitra, abbyssal

*Extrait du journal de sorcha De Denetthia*

Chapitre1 : Histoire D’une Famille De Niitra

Il est de ces familles illustres qu'un évènement soudain pourrait anéantir. Il est de ces seigneuries paisibles qu'une guerre saurait saccager. Il est de ces noms prestigieux, susceptibles de tomber dans l'oubli, pour ne finalement plus rien représenter aux yeux de la noblesse. Tant de malchances pouvant altérer l'honneur d'un dignitaire de l'armée réguliére de niitra, frappé du doigt effroyable du destin, et abandonné à la marge de la cour.

Les affres du destin plongent les hommes dans d'abominables situations, ainsi qu'elle plongèrent la famille Denetthia dans un déclin où il n'est parfois guère aisé de s'en sortir.

Le baron de denetthia menait sa morne existence dans une accommodation décente. Bien que son maigre héritage foncier ne lui laissait qu'une infime parcelle de vignes, il lui était possible d'en tirer profit chaque année. Il se maria à la dame Anna Ermentrude, de laquelle il eu trois enfant delderoth, mhynn et lazlô.

Lorsque Delderoth atteint sa majorité, son père le confia aux bons soins de son oncle, un précepteur hors paire qui le prit sous son aile et le fit monter à ses côtés, au milieu des fastes et de l’agitation qui régissait encore a ce moment la vie en niitra. Delderoth apprit la supériorité du verbe sur l’acier, mettant à profit un don inné pour créer des relations. Son oncle lui-même suspecta cette aisance et la vitesse à laquelle il assimilait les rouages de cette société.
Mais nul grand de ce monde ne peut se dispenser d’aduler la plus tourmentée des idoles : l’Or.
Delderoth devint haut marchand de la ligue du nord avant sa disparition inexpliquée..

Mhynn était une sorciére accomplie, spécialiste de la nécromancie et de la transmutation. Ses dons lui on été inculqué par un vieux velsharoonite du nom de zaccharias von harkon. On raconte une curieuse anecdote sur la naissance de la fascination de Mhynn pour le sang qui coule : un jour qu'elle avait frappé une servante assez violemment pour la faire saigner du nez, parce qu'elle lui avait tiré les cheveux en la peignant, un peu du sang de la jeune fille tomba sur le poignet de Mhynn ; un peu plus tard, elle crut remarquer que la peau de l'endroit où était tombé le sang était devenue plus blanche et plus douce que la peau environnante ; intriguée, elle se baigna le visage avec le sang d'une des victimes de ses orgies : son visage lui sembla rajeuni et revivifié par le traitement.

Le souci primordial de Mhynn, depuis son plus jeune âge, avait été sa beauté: elle avait une peur atroce de vieillir et de s'enlaidir. Il n'en fallait pas plus pour s'imaginer qu'elle pouvait indéfiniment préserver sa beauté grâce à du sang frais de jeunes filles, de préférence vierges, donc revêtues de cette aura magique que confère la virginité. Mhynn veillait à ce que des jeunes filles retenues prisonnières dans les caves de son domaines fussent bien nourries et engraissées, car elle croyait que plus elles étaient dodues, plus elles avaient de sang dans les veines, et que plus elles étaient bien portantes, plus la vertu de ce sang était efficace.


Des paladins entendirent un jours parlé de cette maison des horreurs et firent marche sur la maison, avec la ferme intention de tuer cette sorcière de Mhynn de Denethiia pour ses crimes infâmes. Mhynn eu vent de la venue de ces paladins et s’enfuit en tuant toute les servante de sa cave. Les paladins, horrifié de leur macabre découverte brulère la demeure.
Et on n’entendit plus jamais parlé d’elle.
Jusqu’au jours où on apprit sa mort au nord de padhiver, tué par les templiers

Cela fait plusieurs nuits que je marche, la neige ne gène en rien mes fonctions mais je ne vois pas à plus de trois mètres devant moi. Je commence à en avoir assez, j’ai faim et je ressens cette faim comme nul autre ne peut la ressentir.

J’aurais du rester près du navire et attendre que des curieux ou des pillard viennent voir ce qu’il en est. Si j’avais fait ça je ne serait pas dans cette situation ridicule. Je ne sais même pas où je suis, je sais juste que ma mère devrait se trouver dans cette région, et que c’est certainement la seul personne a qui je pourrait parler de tout ce qui m’est arrivé. Mon oncle delderoth vit a lorgol, j’espère que ma mère y vie également.

Sinon je remuerais toute la région de lorgol jusqu’eauprofonde pour retrouver sa trace. j'entendis un hurlement dans les bois, ce hurlement ce rapprochait a mesure que j'avançais.

Soudain quatre monstrueux loup arctique se dressaient devant moi. Ils se jettérent sur moi je n'ai eu le temps que de sortir mon arme. Trop incensée pour avoir peur. Pas un instant je ne réfléchit au fait évident que ses animaux était mort de faim.
je courut a toutes jambes sur la neige, sentant sous mes pieds la dureté du sol rocheux, et j'atteignis les arbres. Je me retournais sur les loup, comme folle, complétement hors de moi. Les lévres retroussées, grondant presque, je fit face à mes ennemis.

Bien campé sur mes jambes, je me mit a attendre qu'ils attaquent, mais les loups se mirent a courirent et sauter autour de moi, s'avançant puis reculant tout en grognant et montrant les dents. je balançait ma lourde épée a deux main sur eux, sans jamais réussir a les ateindre. Leur statégie était sans doute de m'épuiser afin que je ne puisse me défendre quand ils attaqueraient vraiment.

Apres quelques minutes de ce jeu, je décidait que je pouvait peut être tenter de les berner. je restai totalement immobile, les armes pendant le long du corp. Et aussitôt, exactement comme je le pensais, les loups se précipitérent sur moi.

A la derniére seconde je fit tournoyer ma lame en une formidable attaque: sentant les os des loups craquer au bout de celle ci. trois loup furent ainsi tué. Le dernier tenta de me sauter dessus pour me mordre. Surprise, je ne put que diriger le tranchant de ma lame vers le loup. Celui ci vint s'empaler sur mon épée.

Epuisée par ce combat et alors que je pensais rebrousser chemin vers le navire échoué, des habitations se dessinèrent devant moi. C’est un miracle que je sois tombé droit sur un village dans cet environnement pour le moins hostile… je vais commencer par me nourrir puis j’essaierais de savoir où je suis et si je suis loin de lorgol...

Apres m’être sustenter et avoir cacher mon armure et mon épée, je flâne dans les quelques rue du village, vêtue de véttements simple. Je demande à quelques villageois des informations. Ce village s’appelle Bremen et est dirigée par le compte Ricko mirna. Je vais rester ici quelques temps, j’essaye de me faire discrète.

Et tant que je suis là, interrogée plusieurs personnes si elle connaisse une sorcière appelée mhynn de denetthia. J’ai vu plusieurs arcaniste à l’allure assez hautaine se balader dans le village, je pense que c’est vers eux que je devrais orienter mes recherches. Sinon j’achèterais un cheval et parcourait le val bise à la recherche de mon ascendance.

Citation :

Je suis une jeune fille au chagrin éternelle

j'ai eu des ennuies toute ma vie

je suis condamnée à errer de par le monde

je n'ai point d'amis pour m'indiquer le chemin
Chanson populaire

Apres quelque jours dans la ville de bremen, je rencontrait le conte ricko mirna de bremen. Qui dans le début de notre conversation n'a eu de cesse de me dévisager. j'esseya de ne point y faire attention et l'invitant a s'asseoir, me présentat comme venant de directement de niitra par bateau pour rechercher ma mére, une sorciére appellée mhynn de denetthia.

Son visage alors s'éclaira et il m'avoue qu'il connaissais ma mére. Pour le moin heureuse d'avoir trouver quelqu'un qui la connaissait, je lui demandait des détails sur elle. Le conte me parla d'elle comme étant une femme de conviction et de caractére. Une personalitée forte qui malgré ses sautes d'humeur, ne passait pas inapercue. Une arcaniste de talents au sein du culte de la pucelle de l'infortune que le conte a rencontrer dans la ville de lorgol.

Ville ou ma mére se serait installée au même titre que mon oncle delderoth de denetthia. je demanda alors a ricko si ma mére et delderoth était toujours a lorgol. Il m'indiqua le chemin a emprunter pour y arriver, me disant qu'il n'en savait rien. Il me déconseilla de passer par les montagnes car la région était en alerte avec la menace d'une horde de géant. Je quittais donc le conte et me dirigea vers l'écurie, j'acheta un cheval au palfrenier et me dirigea vers la ville au mille tours.

Mes premier jours dans la région fut consacrer a retrouvé la trace de ma mére. Et je l'ai retrouvé, a lorgol, les fils de l'infortune m'on avoué que mhynn était morte. Les templiers de padhiver l'ont massacré, On m'a donné des noms, Celtoras et ashall. Ma vengeance sera murie dans l'ombre, mais une chose est sur dans mon esprit, je suis ici pour combattre les palladins.

Bien que je n'ai jamais rencontré ma mére et ne lui portait aucune affection, je fait croire au porte poisse du culte que ma vengeance contre ces hommes servira le culte de la pucelle. Il n'y a que lui cependant que je supporte. Les autres n'on pas l'air de m'aimer, peut être qu'ils n'aimaient pas non plus ma mére. Je me moque de leur façon. Ces deux elfes habillé de noire surtout, chacune de leur parole me rend folle de rage, je ne pourrait pas longtemps caché mon animosité envers elles.

j'ai rencontré mon cousin également, Ravrak de denetthia que je n'avais plus vu depuis la mort de grand pére. Ravrak a sagement dosé son apprentissage au combat entre corp a corp et sortilége dévastateur. Je l'admire pour cela. Et l'évocation de vieux souvenir du pays est toujours aggréable. D'entendre l'accent rude de notre langue me rend nostalgique de ma patrie…


….

Zeehembria elle aussi mouru de sa vengeance irascible contre les templiers qui avait tué sa mére…

Anna de denetthia, ma grand mére fut emporté par une mauvaise fievre des marais peu apres la mort de son époux le baron de denetthia.

Il ne reste en vérité que lazlô, mon pére, le dernier des trois enfants du baron, le haut prétre de beshaba en niitra. Mais lui était l’enfant chétif, le pistonner par le baron pour arriver a ses fins. Et aucune histoire notable n’est a raconté sur son compte. Mais c'est par un matin hivernal, à l'heure où blanchit la campagne que je vit le jour, je suis sorcha de denetthia, et je vit le jour en 1371 , Année de la Harpe Désaccordée, au sein du temple de beshaba au Nord de la capitale de niitra.

Cet évènement apporta une légère illumination à la vie mélancholique et solitaire de lazlô. Celui-ci se dit que cette petite fille pourrait redorer le blason de sa famille, depuis trop longtemps ignoré avec tout ses morts. Il décida de l'elever dans un strict respect du dogme de la pucelle de l’infortune. Sa famille est le plus pure exemple de malchance et de déclin, c’est parcequ’ils n’ont pas assez prié la vierge de l’anarchie.

C'est pourquoi, il la confia très tôt à des precepteurs cléricaux.
Sorcha était principalement initié aux arithmétiques, à la musique, aux belles-lettres et à la théologie. Une atmosphère très pénible et pesante planait durant son enfance austère passée au chapître des jeunes apprentit. Plus de temps passé la nuit à prier qu'à dormir, des lectures de textes anciens à s'en user les yeux, de lourds labeurs payés à la sueur du front et des cantiques chantés à s'en user la voix, c’est d’ailleurs le chant qui interessait le plus sorcha, qui se fesait une joie a chaque fois que l’ocasion se présentait. Voici ce qui accompagnait la jeune femme durant son enfance. Pourtant, elle lui fallu quitter la tranquilité et le repos de l'étude pour prendre les armes, ce fut inévitable.

Pendant près de quatre longues années, elle fut soumis aux épreuves physiques les plus éprouvantes et aux corvées les plus basses. Ses corvée passait pour elle plus vite lorsqu’elle pouvait chanté et ses instructeurs appréciait de l’avoir aupres d’eux pour entendre sa voix mélodieuse. Elle subit nombre d'entraînements intensifs martiaux et il se trouvait qu'elle excellait dans le maniement du cimeterre. Très rapidement, ses instructeurs militaires la remarquèrent, et furent séduits par sa prestation. Ils lui proposèrent même de continuer sa formation d'élève officier. Or Sorcha désirait quelque chose de plus nuancé, et a sa demande son pére lui financa des études a l’univesité des bardes athasien de niitra. On lui apprit, jusque ses 20 ans a moduler les son de sa voix et a manier le violon avec aisance. La musique pour sorcha était magique, une magie qu’elle puisait de son âme, doué pour les enchantements et les illusions.



Contexte du début du récit : La région de niitra fut balayé par une horde d’orcs venu du nord. Le domaine des Denetthia, vient de subir l'assaut de la tribu des peau-brulées. Les orcs réussirent à éloigner la garde de fer de niitra du domaine en feignant d’attaquer le haut temple de beshaba a quelque lieux de là. Laissant ainsi de domaine des denetthia sans aucune défense.

J’avance vers la dépouille de mon pére rester protégé le manoir avec ce qui restait de mes cousins. Les derniers parent qu’il me reste…Toute ma famille… morte… pourquoi ?

La réponse me vint fulgurente, alors que je retirait le cimeterre bien planté dans le corp de lazlô, mon pére. Aucun doute n’est possible en l’instant, le fait que j’arrache mon arme de prédilection du corp de mon pére ne fait aucun doute sur le signe flagrant du destin que me lance beshaba, accompagné de temps de malchance…

J’ai l’impression que tout les evenement passé n’ont conduit qu’a ce moment, tout l’histoire de ma famille, tout ses combat, toute ses horreurs perpétré dans le plaisir et la cruauté cher a ma famille.
Je me souvient de la mort de mon grand pére… je n’était encore qu’une enfant…

Citation :

Sentant la mort approcher, Mon grand pére convoqua ses enfant et petit enfants encore en vie à son chevet. Même Zeëhembria la batarde, qui ne connaissait pas son grand pére s'empressa tout de même de nous rejoindre sous l'impulsion de grand mére qui l'en suppliait dans ses lettres. Entouré d’un apothicaire et d’un notaire, grand pére prit alors la parole depuis son lit pour dicter ses dernières volontés :
«Delderoth, toi l’aîné des trois, la chair de ma chair, Tu es maintenant à la tête d’une immense fortune. Fais en bon usage…»

Le vieil homme chercha vivement quelqu'un du regard. "Où est mhynn? où est ma fille?"
Delderoth s'approcha du vieil homme pour lui murmurer quelque choses a l'oeille.
Une vague de tristesse s'empara du vieil homme mais il continua.

«Toi, Lazlo, tu as du entendre au temple de beshaba des rumeurs sur le prochain départ du prétre ? Et bien sache que ces rumeurs sont vraies. Et grâce à mes appuis, j’ai obtenu du haut prétre que tu sois le nouveau prétre de ce temple, tu pourra y éduquer ta petite sorcha comme bon te semble"

"Toi, ravrak fait tout ce que tu veux mais cesse d'importuner ta grand mére"

Pour Zeëhembria, le vieux baron reprit d’une voix maintenant faible mais méprisante :

«Toi, batarde, qui a de par ta naissance a causé tant d'ennuie a ta mére, Toi qui a ce qu'on m'en dit ne lui arrive pas a la cheville dans le noble art de la sorcellerie. Toi qui vaut encore moin que la plus galeuse des chiennes. Je ne te lègue que l'épée batarde de ton pére sur lequel figure notre blason et notre devise. Tu devras l’amener loin d’ici ! Puisses-tu mourir au combat en la portant. Jure moi que tu ne remettras jamais les pieds en Niitra. Jure le moi ! Jure le moi sur Beshaba !».
Zeëhembria prit alors la parole, d’une voix chargée de rancœur :

«Puisque telle est votre volonté. Je jure sur Beshaba que je quitterai demain à l’aube cette baronnie et que je n’y remettrai jamais les pieds de mon vivant ! Mais je jure aussi que je combattrait avec cette épée comme un étendard au combat avec pour seul but qu’elle soit maudite par le mal lui-même, j'espére qu'ainsi vous n'aurez ainsi point de repos dans la mort vieux débris!"

Ces dernières paroles provoquent chez grand pére des convulsions qui lui firent rendre son dernier souffle. Zeehembria partit en emportant l’épée.. elle mouru bien au combat finalement… comme l’avait prédit grand pére…

Tout n’est que destinée… A présent je comprend… toute ma famille a été massacré… il ne reste rien de notre domaine, il ne reste rien de niitra… ma seule chance de survie est de rejoindre les fille de l’infortune a lorgol et de jurer fidélité a Elvanshalle de naerth la nouvelle dictatrice.

Oui..
Le dogme de la fatalité régit ma vie. Il m’inspire l’audace et le mépris de la mort. L’instant de périr est irrévocable, l’histoire de ma famille l’a prouvé… Toute prudence est vaine devant l’éternelle qui a qui a enchaîné toutes choses d'un lien que sa volonté même ne peut ni resserrer ni relâcher. La fatalité et la malchance sont pour moi source des vertus que sont la modestie et la clémence. Je sait que tire ses vertus de la nature de la nécessité, et non de ma liberté. Je ne tient pas rigueur aux autre d’être ce qu’il sont, sachant que leur vice est le fruit nécessaire d’une mauvaise naissance et d’une mauvaise éducation..

Mais moi je serait le bras armé de la vierge de l’anarchie. La malchance comme épée, le destin comme bouclier…

Citation :

Nous N’avons pas peur de la mort

Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort

Nous n’avons pas peur de l’exces

Pas de justice pas de paix

*Extrait du journal de Ssorcha De Denetthiia*

Alors que je parcourait les terre gelée du val de bise, et plus précisément une grotte au nord dans les montagnes de l'épine dorsale, un objet brillant attira mon attention. Il était sous de gros champignon bleu. Méfiante je toucha du bout de mon cimeterre le dit objet. les champignons ejectérent des spores, malgré mes réflexe j'inhalait tout de même un partie de ses spores.

L'objet en question était un pion d'échec noire obsidienne...

Empoisonée par les spores mes yeux me pique en permanance sauf affublé d'un sort de détection de l'invisibilité. L'autre symptome de ma maladie étant des hallucination visuel.

A luskan je rencontrait l'alchimiste du quartier marchand il était déja en train d'examiner le cas d'un palladins de la cavaliére rouge.. je sut plus tard qu'il se nomait tirésias.

Ma rencontre avec ce palladins ne se passa pas sans accro verbal, mais il avait trouvé une piéce d'échec lui aussi. un cavalier blanc...

l'achimiste nous revela que les pion était empoisoné et iradiait d'une faible magie.. il nous conseilla de nous rendre a padhiver pour les faire examiner...

"Jamais je ne mettrait un pied dans cette ville d'heretique, toute dicsiple de la pucelle que je suis"

tirésias jura de m'exterminer, parlant de corruption et de saint devoir envers son ordres.. je ne lui en veux pas pour son vice mais il mourra s'il me défie...

je partit pour lorgol demander de l'aide au concile des trois dames. la prétresse de talona me recue et m'expliqua toute l'histoire...

revenue a luskan, les drow avait lancé un raid sur la ville.. cela ne me regarde que trop peu même si je voit de oeil bienveillant que ces créatures des ombres propagent le malheur par dela de leur souterrain maudit...

quand le calme fut revenu le nord de luskan fut le théatre de la premiére partie d'échec...

les blancs commence toujours, j'entendit cette voix dans ma tête, lanscinante... un de nos pions noire fut ejecter de la partie par la tour, une certaine amira comme me le dit le chevalier shand qui est aussi mon instructeur...

j'ejecta la tour a grand coup de cimeterre... le destin aura voulu que je remporte ce combat... la lacheté de cette femme est tres avancé si bien qu'elle reprit des forces en plein comabt a l'aide d'une potion de soin..

immondice...

le palladin tirésias est tellement péteux d'orgeuil...
c'est au tour des noires de jouer et je compte lui apprendre le mot modestie a ma manniére...

cela se passera de son gré, ou au gré de notre concile.. mais cet homme sera éjecté de la partie...

*Extrait du journal de Ssorcha de denetthia*

La partie d'échec c'est de l'histoire ancienne, je suis tombée apres avoir éjecté trois piéce blanche puis me fit moi même battre par la reine ennemie...

J'érre dans la région de luskan, semant l'infortune propre à la dame destinée où que j'aille. Un bateau coulé a luskan, j'ai engagé un roublards efficasse pour fabriquer et poser des piéges en toute discretion pour ce travail. j'attendais a proximitée, aucun de ses paladins tellements péteux d'orgeuils n'est venu rendre justice. La delectation de ce moment où j'enfoncerais mon cimeterre dans leur coeur attendra le moment propice.

Mon errance m'a mené dans petit donjon dans les profonde forêt de trügar. Des ogres gardait cet endroit, accompagné de quelques trolls des collines. Le combat fut acharné et je du me résoudre a appeller a moi la puissance divine de la pucelle pour me débarasser de ces misérables.

Au fond du donjon se trouvait une simple malle que contenait un livre. Les ogres devait sans doute ignoré son existence ou même ne pas l'avoir jugé interessant. La lecture de se livre m'en apprit plus, sur un certain péléor et d'une garde rapproché de chevalier fiélon. Péléor était ce que l'auteur du livre appellais un porteur de chaos. Barde puissant dont la simple présence faisait devenir aigre le vin et le plus doux des hommes en bagareur confirmé.

Ce barde aidé des chevalier noirs qui le suivait partout, avait élaborer un chant de malheur si puissant qu'ils pouvait écraser ses ennemis avec une facilitées redoutable.

"Emoth Naoth Meprooth Isantioth Lyoth Egoth Temroth Psioth Quuoth Itoth Pasmoth Segoth"

J'ai appris ce chant par coeur et aidé du bouquin, qui je l'ai su par apres est une relique tyriste écrit par un prêtre, je continua mon oeuvre de porteuse de malheur.

"Tient petite fille prend ce parchemin, et va jouer avec dans un endroit où il y a du monde surtout"

Les idiots...

Ce personnage ne peut pas se prétendre Chevalier noire...
Sauf si plus tard tu dépasses les limites de ton perso et que tu continue cette formation...

J'aime beaucoup l'aspect barde lié à Beshaba avec des chants maudits ^^
Pour moi ce perso est un chanteur de malheur avant d'etre combattant...

Validé

*Extrait du journal de Ssorcha de Denetthia*

Du temps à passer depuis que le culte de beshaba avait prit racien a lorgol, nous étions chassé traqué, pourchassé. La chapelle de beshaba a lorgol fu souiller et désacraliser au profits de la vierge des douleurs.

Cet acte appellait la vengeance, et drek harnaa le dernier de la orde de l'infortune se faisait un point d'honneur a exterminer tout locviath qu'il rencontrait. Et c'est ce qu'il a fait, Une prétresse loviath passant en ville, il l'assome et l'emporte dehors. J'était avec lanael De drakemort quand nous avons rejoins le barbare a l'extérieur de luskan. L'homme était tout en train de torturer la prétresse.

- Drekkk !! Ca sert a rien de torturer une loviath, limite elle aimera ca et te dira quand même rien !!!

Apres quelque coup de hache et un bras en moin la prétresse pouvait plus dire grand chose, drek me la livre, me disant de bien m'amusé...
Je la soigne, je referme ses plaies et je discutte avec. Tout ce que nous voulons se sont les noms de ceux qui ont profané la chapelle des trois dames. La prétresse n'a rien voulu dire. jusqu'au bout son honneur a tenu bon elle n'a pas livré ses compagnon.

Drek l'a donc trainé sur le chemin menant a luskan. Alors que nous passions devant un moulin je lui propose de l'attacher aux ailes et de la lapider ca suffira grandement pour son chatiment. Et c'est ce qu'on a fait. On l'a attaché et on l'a lapidé. Mais alors lanael qui s'était fait discret est apparu, brandissant un javelot parcouru d'énergie électrique. A peine j'ai eu le temps de demander ce que c'était qu'il le lanca sur la loviath, visant le coeur...

S'en était finit les bainites, les loviath, le bosquet sombre sans doute et certain noble de lorgol allait se mettre en quête des coupables... Nous n'avions plus rien a perdre...

Puisse la pucelle nous préservé des jours encore plus sombre sont a venir...

*extrait du journal de Ssorcha de Denetthia*

Suite a ses evenements et étant recherché partout au nord de luskan et à luskan même. je me chercha un déguisement approprié a un anonimat peut être prolongé. C'est là que je rencontrait ma tendre amie Werearm, cette folle que je ne quitterai et ne trahirais pour rien au monde...

Elle proposa de me grimer pour passer inapercu nous sommes donc aller dans la taverne abandonné a l'ouest de luskan dans la forêt sombre. Elle me rasa d'abord la moitié des cheveux du coté droit et m'aida a accrocher quelque piercing suplémentaire.

"Un look d'enfer!" Elle disait... Moi je n'était pas du tout sur de mon coup... Mais la necessité demande parfois des sacrifices, même dans le fait de l'apparence. Il était question aussi de me balafrer le visage. Quand la coupe de cheveux fu terminé je me leva lui tendi un couteau et lui dit..

"VAs y fait ce que tu a faire !!!"

"Hiiiii Hein quoi tu veux que je fasse quoi???"

"Je sais pas moi créve moi un oeil pour commencer !!! mais fait le vite !!!"

*Hiiiii !!!!*

*Le gauche !! Non le droit !!! Haaaa grouille toi !!!!*

Mais elle ne pu aller jusqu'au bout, des ombres bougeait autour de nous... Une embuscade !!!

Deux formes sombre mais bardé de magie avançais vers nous.

Nous hurlérent ensemblent quand le chef cria " HAA l'attaque !!"
J'ai juste disctingué des armures bainites et le premier coup de leur armes qui m'assoma. je repris connaissance dans un lieux sombre, j'était enchainé et werearm était a coté de moi, pas en meilleur position...

Les bainites derriére nous riait en évoquant les tortures que nous allions subir. Je me résolus a parler dé le début, pour que moi et werearm n'ayons pas a subir d'offense trop violente et trop prolongée...

J'ai tout raconté au bourreau loviath et a l'impercepteur bainite.. En ne parlant pourtant pas de lanael. j'ai remis toute la faute sur drek !! apres tout c'était lui qui avait assomé et torturé la prétresse loviath...

Mais en trahissant un camarade, un disciple de la pucelle, j'ai trahis le culte et la pucelle elle même. J'ai trahis la promesse que 'jai faite a l'ordre du destin.

Ce fait étant je sais que je perdrait tôt ou tard les pouvoirs que m'avait confié la pucelle de l'infortune. Elle me maudira même sans dotue pour avoir trahis son culte même affaiblis dans cette partie de faerûne...

Me voila la risé de toute ma famille...
Pour ma vie et celle de werearm j'ai trahis mon culte et tout ce en quoi je croyait toute au long de ma vie...

J'attend la malédiction de beshaba
Mon heure viendra bientôt...




[Merciii rurube !!!]

tu joue toujours ce perso ?

dernier rapel

mon probléme de pc étant résolu je pourrait continuer a jouer ce perso mon probléme a présent est de trouver un cd de nwn qui fonctionne le mien étant deffectueux pour l'instalation

Sortez les pelles et pioches ! je la rejoue