[Validé][Guerrier/barde] [H] Welfam Oeshad

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mes talents de bretteur sont mal en point, un peu comme moi d'ailleur
Mystik est une femme bien, elle a énormement de défaut mais elle est toujours la, peut être que c'était un coup de malchance pour Tristan.

J'ai trois dents en moins, il faudra que je me les fasse soigner, enfin quand j'aurais de l'or. Luskan n'est pas riche ça veut dire piller les vielles ruines locals, parfois nécéssité fait loi.

J'ai croisé un nécromant , il s'est permis de detruire l'ame d'un enfant.
Je n'avais aucune chance, mais bon tempussien oblige j'ai quand même chargé, moralité mon corps me fait encore souffrir, le sort était puissant.
Mais malgres tout j'ai survecu, les enseignements de mon ancien maitre gnome paye. Je ne serais peut être une grande fine lame mais au moins
il semble que je puisse "parer" certain sortilège et malediction, il ya cette interstice cette fine membrane qui fait que le sort entre dans mon rayon d'action , peut être avec de lentrainement je peux la renforcer, m'en faire une peau qui me protegera de leur plus grosse attaque.

N'empeche je dois arreter de taquiner de la liche, la douleur était tel que n'ayant rien a faire j'ai bu. Biensur personne ne savait vraiment pourquoi, il est difficile d'avouer que quand on vous laboure le ventre tel un vilain poison on cherche par tout les moyens a oublier, a oublier ....
3 dents en moins, mes armes et mon or, apparemment je me suis bien oublié, même sur les pieds d'abdule et quelques phrase osé sur mystik.
Des excuses suffiront je crois, mais la douleur est partie.

En parlant d'oublie, j'ai recroisé la dénommé Wer, une tieffline a sang de démon , la dénommé annika me l'a confrimé.
Je ne sais comment abordé ces êtres , ils sont dangereux, chaotique et ...légendaire. Puis je me priver de leur présence alors que d'autres conteurs chercherait a les cotoyer.

Wer, une étrange femme, elle est grise, comme luskan , une ville triste , et froide. Son petit jeu m'a fait me tenir face a une colonne , un étrange symbole de cette ville, de cette femme. Grand, solennel, immuable, vivant dans le passé, entouré de vie mais soit même mort. Je la plainds malgres tout cela doit être dure d'avoir le poids d'être quelqu'un.

l'autre tieffeline , et oui je commence a connaitre du beau monde, qui sait je vise le dragon bientot, une certaine Annika. Elle parle beaucoup
surtout de ce qu'elle est, une démoniste, elle le niera surement mais magie avec une grande connaissance des démons c'est un démoniste.
Elle travail pour la légion et se cherche, comme tout le monde.
Finallement les puissants ont les mêmes craintes que les badauds.

IL y a une certaine Davina qu est revenue, une combattante, elle cherche des adversaires de valeur. Heuresement je suis pas dedans, j'avais suffisemment pris de coup dans la journée, les gens du nord sont assez effrayant. Apparemment ce qui ne tue pas rend plus fort, je vais peut être arreter mon voyage à luskan, plus haut c'est une mort assuré.

le mot du jour est malmené

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je viens de retrouver mes dents
gloire a tempus, mystik m'a donné de l'or momment rare qui ne se reproduira peut être jamais .

J'ai commencé a me remettre à jongler, ça occupe les soirées, et prépare le carnaval, mystik propose des torches .... j'ai intéret a ne pas me planter
en discutant avec un blondinait, enfin discuté est vite dit, l'idée de jongler avec des sabres seraient une bonne alternative.
L'apothéose étant des sabres enflammées ....

J'ai appris que gweenan était chante guerre, vue sa carrrure ça me surprend un peu, mais cela explique qu'elle aime Arkenn. Nous avons donc une chante guerre, et moi je fais la guerre en chantant, ironie du sort , peut être.

A part une sorte de pretresse en robe blanche un peu folle, l'autre passage marquand dans luskan fut la mort d'un certain Dardan.
Ca semble un peu avoir toucher tout le monde, enfin tout ce qui est vieux en luskan , même mystik, même si elle n'est pas si vieille que ça
Enfin un elfe est mort, et vue l'attitude du conseillé Armand, autre chose mourra surement.

Luskan sent la mort en ce moment, je me suis fais appelé le baladin sanguinaire c'est assez ridicule mais j'asusme, dans une ville pluvieuse a gout de sang, le ridicule est le dernier de mes soucis.

le mot du jour : décéder.

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beaucoup de chose se sont passé depuis, comme une piece de théatre, une sorte de drame comique ou j'en serais l'un des acteurs, ce n'est pas mes pieces préférés mais a t on son mot a dire quand les dieux tirent les ficelles ?

J'écris sous la colère et la rage, mais il me faut un déroulement chronologique alors je vais devoir reprendre les évenements au calme, le plus simple faire la liste des contentieux.

- Abdul, je lui ai vomi dessus, il n'a pas aimé, je suis condamné a boire du thé
- l'histoire de la torche : j'ai commencé a jongler avec des torches et des lames, finallement c'est plaisant d'arriver a quelque chose.
Mais voila ce blondinet a tender par deux fois de me tuer, je lui ai brisé l'entrejambe, moralité lindi la norsk veut ma mort ?
le rapport, elle s'est pris la torche qui m'était destiné, je l'ai aussi percuté en sortant du casino. Elle grogna, ça m'a agacé je lui ai balancé une balle sur le nez, .... hier 'jai trouver un couteau planté dans un arbre, après coup il m'était peut être destiné.
-Sullivan, un tempusien, on est en compétition pour recuperer les lames de dardan, j'ai une faible avance, je connais un lieu possible
et Arkenn va m'aider a m'entrainer a nager dans l'eau frodie.
Reste un soucis , celui pre cité au dessus, sa soeur, il est possible que je en remonte pas un de ces quatres. Mourir pour la gloire est mieux que mourir en foret.

La foret, cette foret n'est qu'une passe a démon.
Premiere rencontre avec un nécromant, a cause de mystik j'ai finis a l'hospice les cotes mortifié de douleurs.
Recemment un démon enfin un diable a finit pétrifié la bas, un vrai bordel.
Surtout que j'ai pris la tête de l'histoire , et la tête a tout le monde, pour une tête.
Finallement je me suis en grippe avec Mystik toujours et encore.
La tête a finit par exploser sous la rage d'annika, je lui devais une emmeraude, je lui offert une tête, les femmes certaines veulent des bijoux d'autres du sang. Annika c'est la deuxième catégorie.
- L'emmeraude, oui je me suis acheter une belle ceinture de l'ogre
histoire que lindi n'est pas toute ses chances de me broyer les miches, cette fois ci je peux même soulever des roches ... pas trop gros a défaut de lui faire peur, je pourrais lui briser le poigne pour m'enfuir.
La vendeuse était charmante par contre la pretresse de séluné semble me catalogué comme amant de mystik, et bien c'est qu'elle ne m'a jamais entendu hurler sur elle.

La foret donc il y a cette histoire de malarite .....
une sinistre histoire, elle me renvoit a ma capacité a me battre proche d'un navet avec deux pattes.
Une boucherie, et cette halfeline qui en riait, ou pas, mais je la vois bien en rire, de toute manière je peux pas la sentir, avec ce ton exigeant, insultant, rabaissant.
Armand était dédaigneux de ces pauvres corps, sans vie, un elfe et un halfelin. J'ai du partir, j'ai echappé a la mort de peu, lacheté surement...
ici le monde est si froid que je me demande pourquoi j'y reste.
J'ai demandé l'aide de dame davina mes entrainements sera fastidieux et difficile, mais ça calmera cette rage sourde, j'ai besoin de briser quelque chose, la fatigue me fera reprendre du sang froid.
je suis repartit plus tard enterré l'halfelin, un peu foireuse la cérémonie, mais on était pressé, les malarites pouvaient revenir, d'ailleur ils sauront que c'est moi, des malarites sur le dos, surement une mort a retardement.
Me restera pasdhivers au pire

Pasdhivers on m'a proposé d'oragnisé une fete, les gens y sont plus calme
au début je trouvais cela agaçant, mais en vue des circonstances, parfois c'est un mal nécéssaire. Le calme
Je m'y rendrais surement durant quelques jours, si dame Davina me le permet, mon entrainement prime d'abords. Une chose reste notable
Jean de neufcastel, semble traité le théatre de pactisé avec la paigre de luskan.
Mensonge, je ne sais pas, on a bien une tiefeline, et mystik , mystik ...

Parlons un peu de Wer, elle ne m'aime pas, on était surement pas fait pour s'entendre, tel la colonne de pierre, elle restera grise a vie, et moi je serais les lumières dansante des planches. Chacun son role, chacun sa tache, elle ressemble trop a cette ville, cette ville ressemble trop a une sinistre farce. Une ville de pirate dans l'ame.

Mystik ....
Nos disputes sont monnaie courante comme deux petits vieux, on se chamaille, on s'irrite, on s 'aime bien. Elle me parle de frère et soeur, l'idée est plaisante, elle est plaisante.
Mais voila hier elle a protégé cette chose, bouffie d'orgueil cette haute pretresse de talona.
Je vais arreter de lui parler, se sera le mieux, je ferais mon travail et nos relations vont s'arreter la. (oui la il boude xD)
Je n'ai plus de raisons de lui parler, ni elle de me répondre
et c'est mieux comme cela.

mot du jour :
Culpabilité

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Welfam ressera les lanières de cuirs autour de gros monceaux de laines,
le vent sifflait a son visage, un vent glacial a faire flancher les arrogants.

Il contempla ses traces de pas dans la neige, bientot éffacer par la déesse Auril, combien de temps il tiendrait ? aucun idée, il ne pouvait que avancer.

Un arbre au corps tordu et malmené vint l'accueillir. Là il fera son campement. Retirant avec attention ses gantelets, le baladin commença l'ascention du vieu pin.
Rapidement une douleur lança sur sa cuisse, dès lors que les muscles déja épuisés par la marche tentaient un sursaut d'orgeuil dans leur effort.
Cette cuisse, cuisse qui lui avait value cet exile. Un nom lui revint sur les levres, Armand.
Usant de ses bras pour se hisser, le blondinet toisa la vallée en contrebas, s'accordant un peu de répit.
Les malarites chasseurs sanguinaires avaient décidé de ne pas se repaitre de sa chaire. Un merci de tempus ? ou un mepris de malar. Le jeune homme concerva la prémière réponse tout en sachant la deuxième vrai.
Les malarites, il devrait vivre avec la peur aux ventres, si pret de leur terre
mais il n'était pas encore pret a affronté Auril. Un mal pour un bien , la vie est si froide.
Welfam commença à refermer et réouvrir la paume de sa main, effectuant des gestes lents, comme lui avait apris Arkenn.
Il allait devoir economiser ses forces , concerver la chaleur de son corps, lutter contre le froid permanant. Ridicule, il était ridicule, il le savait.
Arrivé a utiliser les preceptes d'Arkenn juste pour survrir quelques heures de plus. Welfam regarda les torches , le briquet en amadou et l'huile, un bon feu le sauvera, un bon feu mais ce feu était trop precieux et les malarites le verrait. Désolé il devrait se contenter des méthodes d'Arkenn il n'avait que cela.
La faim le tiiraillait, il n'avait pécher qu'une truite, cela avait été laborieux même pour l'écailler. Il s'en voulait auusi d'user des méthodes de dame Davina pour se nourir. Ironiquement la fludité des gestes et la force de frappe coincidait un peu avec les gestes apris, surtout celles des frappes diagonales. Il Attendait quelques minutes dans l'eau froide, le moindre mouvement , la moindre ombre, le moindre indice et puis frappait avec brutalité.
Combien de frappe ? 50 ? 100 ? il n'osait s'avouer le nombre des echecs pour ...une truite ? Mais il n'avait pas de quoi pecher correctement. Il n'avait pas le temps pour des exercices futiles, il avait faim, il était fatigué.
Alors il paliait le tout comme il pouvait.

La marche avait réchauffer ses pieds gelés, il ne s'était pas rendu compte à quel point le froid était vicieux, ses orteils il avait failli les perdre dans l'eau.
Heureusement un barde produit de la chaleur aussi avec son ame et son chant. Là encore, il avait connu plus nobles situations, mais restait cette colère, sentiment de feu, suffisant pour méler se voile magique, cette synergie avec son corps meurtri et le faire flamboyer de nouveau.
Pour résumer, soigner ses petits petons.
Des petits petons, ce souvenir lui glissa un rire amer, Mystik , il lui avait offert de beaux chaussons rouges en fourrure, ceux la même qui lui auraient été d'une grande aide en ce moment.
Il croyait réellement lui faire plaisir. Il faut croire que les femmes n'aiment jamais rien, c'est aussi à cause de cette femme si il en était la.
Il lui en voulait, l'adage qui voulait qu'une femme n'est heureuse que si on la répousse semblait se vérifier.
Jamais plus il ne traverserait luskan, il n'y avait rien pour lui bas, rien qui valait qu'il ne souffre autant.
Welfam remit ses gantelets après quelques minutes des exercices d'Arkenn
La nuit allait tomber, emitouffler comme il pouvait, il craignait sa plus grande ennemie , le froid , en fait non maintenant il le savait sa plus grande ennemie était la solitude.
Et demain, demain si il se reveillait, si Auril lui accordait une once de chaleur, il devrait fuir, fuir de nouveau et fuir seul .....

le mot du jour: exiler

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fééries et légendes

les bardes existent depuis que le monde existent, ils sont la pour conter, tels des historiens, nos plus haut fait, ainsi que les pires.
- Une légende , que cela peut il bien representer ?
- un reve, un reve simple devenu réalité.
- Pourquoi rever ?
- pour avancer, sans reve nous ne sommes que des moribonds
- alors on s'accroche a ses légendes
- pour rever
- pour vivre.

Finallement ma vie est surement plus riche que bien des personnes, bien des conteurs, bien des ecrivains, bien des soldats même.
Le froid cache bien des chaleurs, bien des lumières, bien des sourires ...et bien des peines.

de ses acteurs que j'ai croisé voici mes dires.

=> des menestrels, j'en ai croisé deux de ces êtres d'exeptions.
L'un est mort d'un sort , il a explosé, je m'attendais a mieux de leur part
aucun héroisme, aucune tirade.
je suis maussade

=> Les mages rouges, des légendes d'arrogances et de manipulations.
ils m"ont offert deux fioles pour me cacher leur manigance, et voir demander mon l'aide, ils sont humains
aucune menace, aucun complexe
je suis perplexe

=>Les norsk, ils se fachent pour un rien, ils agissent avec passions, tel de fier guerrier bravant tout avec insolence , ils sont tel le coq au matin braillant avec allégresse.
aucuns regrets, aucune retenue
je suis foutu

=> Les vétérants, souvent gardes luskaniens, des êtres implacables, coincés dans leur armure comme dans leur devoir.
ils ne cherchent plus à comprendre, on ne les payent d"ailleur pour ça.
ils frappe, ils frappe comme sur nayel et enguerrant, ils frappent.
Aucune idéal, aucune pensée
je suis fatigué

=> les bainites, intraitables et imbus de leur personne.
Armand passerait presque au second plan par leur frasques.
L'un tente de m'abaisser, armand donne des leçons utiles
A défaut d'esquiver, cette fois ci j'ai brisé son poing.
aucun succes, aucune prudance
je suis l'arrogance

=> Les artistes, ils rient , ils jonglent , ils tentent de faire oublier l'inoubliables saleté de cette ville.
Mystik tente toujours de rattraper mes coups foirreux
Aucun detour, d'aucun osé
je suis amusé

=>les conseillers, archétypes de dictateurs consensuels.
Trops nombreux pour gouverner une ville, ils montrent que la vie n'a de justice qu'en ses caprices.
Aucun pardon , aucun salue
je suis perdu

En faisant la sommes de mes émotions.
De ces pas guidés a travers vallées et maisons.
Welfam Oeshad est en soit qu'un homme.
Je ne suis pas vraiment fait pour les légendes, les haut faits
a luskan finallement je vais faire un long somme
une longue attente, en tant qu'artiste , je me tait sans regret

mot du jour:
s'arreter

Posteur utile Nombre de messages : 523 Age : 42

Et me voila de nouveau sur les routes
ronger par l'immoblisme et la lassitude
Me revoila a verser le sang, et ecouter les fous et les mendiants.
Non y a quand même ce chevalier qui a bien voulu m'aider
mais a par cela, rien que le vole de deux aurilites plus gonfler
et l'armé, encore a toujours prendre le choux.
Il semble que le taux de connard finit soit proportiennel au climat pluvieux
Mirabar semble donc se situer entre luskan et pasdhivers que ce soit pluie ou sympathie.
Enfin cette région reste encore a visiter, ne serait ce que pour leur épaule de minautor au cidre et petits oignons, ou bien dit on les quelques pretresses de sunie qui y réside.
J'ai bien vue de l'épaule même jusqu'a la hache , par contre des donzelles aux cheveux de feu, aucune trace.
L'auberge semble aussi bien famé que celle de luskan , pour dire en retrant on n'étant même pas les armes sortir ... et pour cause elles le sont déja.
Ils sont pragmatiques a mirabar faut aller au principal, ils ont peut être raison.
Je vais voir si les gens aiment sourire la bas malgres tout, si ce n'est le cas
je vais croire que la région complete a été coloniser par des nains grincheux et que leur grognement est resté dans le coeur des gens.

Mot du jour : humour ... ou pas ...

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il n'y a pas a dire depuis que ce pont est coupé, la vie devient d'un ennui
d'un ennui ..... coincé dans cette cité de Mirabar que faire, rien a part boire
activité que je trouve des plus monotone
moralité 'jattends dans cette vaste taverne ou le sourire des quelques serveuse qui reste encore le soir egaye ces journées maussades

tempus pronent la guerre soit, mais la cette guerre me sert a rien
au pire j'attendrais la prochaine fois au niveau du pont , le fer raisonenra et le sang coulera a flot

pensez du jour : maussade

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MORT RP

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