- Citation :
- Nom du compte joueur forum : Tchetchen Warrior
Nom du compte joueur module : TchetchenWarrior
Nom du perso : Sigmar du Bois-Manteau
Race : humain
Age : 55
Alignement : LB
Religion : Tyriste
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : paladin 25
Arme de prédilection/domaines/école de magie : épée longue
Langues : Commun
Trait de Caractère : a voir IG
Description physique :
- 1 mètre 70
- 75 kilos
- Un médaillon frappé du symbole de Tyr pend à son cou
Il se dégage de cet homme une aura paisible et protectrice.
Ses traits indiquent qu’il a depuis longtemps dépassé le cap des cinquante printemps, et pourtant, une lueur naïve et bienveillante persiste encore au fond de son regard. Il vous observe l’air affable et s’adresse à vous sur un ton parfois paternaliste mais ce ... bien malgré lui.
Une dernière chose … ce n’est pas un bâton de vieillesse qui bat son flanc, mais bien le fourreau d’une épée longue, rutilante et tranchante comme au premier jour !
Caractéristiques :
FOR : 14
DEX : 10
CON : 12
INT : 10
SAG : 14
CHA : 16 (full charisme par la suite)
D’où vient-il (origines, passé, enfance…) ?Le jeune Sigmar naquit dans une petite bourgade au nord de Bérégost, près du Bois-Manteau. Entouré de son père, vieux paladin au service du Juste, et de sa mère, femme ordinaire mais ô combien aimante, Sigmar eut une enfance des plus paisible, partagée entre les travaux de la ferme et les enseignements de son père.
Quels faits marquants a-t-il, éventuellement, vécus (qui peuvent expliquer sa vocation, son orientation, son caractère…) ?Un soir d’été, alors qu’il dormait à la belle étoile après une harassante journée de labeur, Tyr le visita en songe et l’interrogea sur la pureté se sa foi :
« Fils de la lumière te pense du digne des pouvoirs auxquels tu aspires ? » lui demanda t il d’une voix grave et éthérée
« Juste Seigneur, je suppose que vous seul détenez la réponse mais sachez que ma ferveur est grande et que ma soif de vérité, de justice l’est plus encore. Je n’ai qu’un seul souhait : éclairer les âmes tourmentées de vos divines lumières par ma foi ou par lame ! Je le jure ! »
À son réveil, Sigmar se sentit plus déterminé que jamais, une force nouvelle coulait dans ses veines, un feu ravivé brûlait dans son cœur.
Pourquoi a-t-il choisi de suivre le voie qui est la sienne (explication quant à ses choix personnels : classe(s), divinité, faction, mentor…) ?À la mort du bourgmestre de leur village, Jean, le père de Sigmar, fut désigné par les villageois comme successeur légitime. Ces nouvelles charges forcèrent l'admiration de son entourage et plus particulièrement de son jeune fils.
Ce père était tout pour lui, un modèle de vertu et de droiture, du triomphe de la justice et de la vérité. Il lui avait tout appris... Il se souvenait de ses débuts, alors que son père était encore réticent à lui enseigner le maniement de sa belle épée longue, qui trônait sur le devant de la cheminée, dépassant de son flamboyant bouclier. Mais ce monde n'était pas fait que de justice et de bonté, et Jean savait qu'après lui, Sigmar devrait pouvoir se défendre contre les forces du Mal...
Quel apprentissage a-t-il suivi (les diverses étapes de son instruction, ses maîtres, ses expériences…) ?À l'aube de ses seize ans, il décida d'intégrer la milice du village et s'entraîna chaque jour avec ses compagnons d'armes afin de mieux prêter main forte aux villageois.
Son sens du devoir, de la justice et du combat allaient en s’améliorant
Quelques années passèrent et c'est encore bien jeune qu’il prit la route pour la Porte de Baldur : la ville était un endroit de perdition et les prêtres du Dieu Manchot avaient bien besoin de sang neuf pour les aider dans leur quête d’ordre et de justice.
Mais devenir paladin de Tyr n’était chose aisée : il ne s’agissait pas de se présenter aux portes d’un Temple et de faire valoir ses qualités martiales comme le ferait un simple mercenaire. Sigmar dut d’abord s’entretenir longuement avec le grand prêtre de Baldur afin que celui-ci s’assure de l’authenticité de sa foi. Passée cette étape, la vie du futur paladin prit un tour particulièrement spartiate : son quotidien se résumait désormais aux prières et cours de morale reprenant les Edits, les Interdits et les Vertus le matin, puis aux exercices physiques de l’après midi. Ses premières missions furent à la hauteur de son rang, modestes : aider les fermiers à l’extérieur de la ville à se débarrasser de la vermine qui infestait leurs champs, courir après les chapardeurs des bas quartiers et s’assurer que ceux-ci apprennent à respecter les lois de la cité. Mais tout ceci plaisait au jeune Sigmar : il se sentait utile (aussi maigre que fut sa contribution ^^) et savait qu’il ne s’était pas trompé en choisissant la voie du paladinat. Peu à peu les missions confiées au fils du Bois-Manteau devinrent de plus en plus périlleuses mais son enthousiasme et son charisme naturel le menaient, lui et ses frères d’armes, toujours à la victoire.Pourquoi se retrouve-t-il au Val de Bise ?Après 20 ans de service à la porte de Baldur et suite au décès de son père, Sigmar revint dans son village natal pour s’occuper de sa pauvre mère et prendre en charge la sécurité du bourg à l’époque menacé par un groupe de contrebandiers. Il repoussa avec succès les malandrins et fut, en guise de récompense, à son tour nommé bourgmestre du village. Approchant de la cinquantaine, le paladin du Bois-Manteau se dit qu’il était tant pour lui de poser son baluchon. Il vécut heureux aux côtés de sa femme Jeanne. Jusqu’au jour où celle-ci offrit le gîte à une roturière désargentée alors qu'il était absent ... la vieille femme au teint maladif était en fait une prêtresse de Talona venue venger son clergé de l'échec qu'avaient connus les siens lors d'une épidémie lancée il y a des années contre le village. L'envoyée de la Mère des Fléaux maudit la pauvre femme innocente dans son sommeil et disparut dans la nuit.
Lorsqu’il revint au logis, Sigmar trouva sa femme dans un piteux état, le corps couvert de plaies et de bubons purulents... Jours après jours, elle sombrait un peu plus dans la folie. Le brave homme veilla sa femme jusqu’à son dernier souffle sans rien pouvoir faire pour contrecarrer l'atroce maladie.
Après des semaines de recherches infructueuses, Sigmar rentra au village, désespéré : son père, sa mère ainsi que sa femme étaient morts ; il lui restait ses amis et tous ces gens qui l’avaient vu grandir mais la colère et la douleur qu’avait provoqué en lui ce crime impuni l’empêcha de se résoudre à finir ses jours au bord du Bois-Manteau …. Il allait voir la cité des Splendeurs, fief du célèbre Piergeiron Paldinson, remonter voir la grande Padhiver et faire payer une dernière fois les vilains qui croiseraient sur sa route !