Intrusion de Luskan en Forêt

Les attaques répétées des enfants de Malar avaient poussé la Ville à projeter son armée par delà ses murailles.

De frêles barricades en bois protégeant sommairement la trentaine d'archer déployées aux divers points d'accès du Nord de la Ville garnissait à présent les abords des bois.

L'extension de la ville me semblait évidente. Bientôt viendrons fleurir les tours de guets, puis les fortins et la ville mangera progressivement les bois.

Cela, me dis-je, si les enfants de Malar n'étaient pas là, cette progression serait certaine. Il n'est pas à douter que Luskan ait su payer la coopération des elfes.

Bientôt une bataille d'un type nouveau va s'engager et la forêt est un loup dans lequel les hommes de Luskan viennent de se jeter.

une ombre est revenu d'entre les morts et les elfes qui avaient déjà subis la chasseuse , allaient dévorer les hommes de métal . Un nain avais déjà compris son erreur d'autres y laisseraient des membres. Ainsi sera le prix a payer. Le sang pour Le seigneur bestial, la chair pour la chasseuse. L'enfant de Malar est la .

*les sodats sentaient la tension mais à peine sorti de l'hôpital, Ruffin entreprit de les arranguer.*

SOLDATS !
Nous n'avons pas voulu ces conflits !
Les Malarites réclament comme territoire la forêt qui s'étend au nord de nos murs, et nous les avons laissé s'implanter.
Puis, ils ont commencé leurs "Chasses"... ils s'en sont d'abord pris à ceux qui s'enfonçaient trop profond dans les bois. Et nous les avons laissé faire.
Et ils ont continué, attaqué les marchands, associé dans leur sombre dessein avec les orcs.
Aujourd'hui, nn seulement nos routes sont insécures et les carrioles ne viennent plus, mais en plus, nos citoyens se voient refuser l'accès même aux routes ! Nos paysans ne peuvent plus glâner dans les futaies !
Dernière forfaiture : l'enlèvement de votre chef, le Conseiller Armand Mender ! Celui qui vous forme et vous entraine depuis quelques années ! Sans compter l'attaque sur le pont même de la sortie de la ville que j'ai subie !

Alors je dis

C'EST ASSEZ ! ILS ONT VOULU LA GUERRE ! ET ILS L'AURONT !!
NOUS ALLONS LEUR LIMER LES CROCS A CES CHIENS DE MALAR !

La forêt est leur domaine, disent-ils, et ils entendent l'étendre à nos dépends.
ET BIEN NOUS ALLONS REDUIRE CE DOMAINE !!

ils pensent avoir le dieu bestial avec eux, et dans une guerre, qui priez-vous ?
TEMPUS ! Et la CAVALIERE ROUGE !

NOUS N'AVONS PAS COMMENCER CETTE GUERRE !
MAIS NOUS LA TERMINERONS !

Un petit groupe observe également, semblant préparer quelque chose...
Ils auraient une dette envers Mender.

Une silhouette masculine à peau bronzée qui a revetu une armure d'ecailes et de mailles, fragmentée, obsidiene et cuivre, observe les soldats de la ville des voiles qui s'affairent, portant des planches de bois, bricolant, surveillant les alentours etc

"Les luskanniens n'ont rien a faire en forêt...et pourtant, ces malarites ont commis l'erreur d'attaquer. S'il faut choisir un camp, alors j'en choisirait un. Comme dans chaque conflits, Assuran et la vierge de l'anarchie frapperont tout ceux et toutes celles qui le méritent..."

il en as réchapper le vieux fou !

les medecin et pretre on fait des miracle cette fois !

*voila des phrase que l'on peux entendre devant l'hopital*

*puis soudain a l'interieure des cri *
sir non ! sil vous plais !
RAAAAAAAAAAAAAAAAA !!
de grace sir attender encore un peux !
C' EST MON ULTIME BOTAGE DE CUL QU ILS RECEVERONS TOUTE !
s'ils vous plais sir ! garde ne l'avons nous pas fixer a son lits ?

* un garde sort de l'hopital en courant les mains sur la tete penchée vers l'avant suivie de deux infirmiere *

* puis la porte explose ! et dans la fumer que ce chaos povoque une forme ombrager apparait dans la cardre *

UN MONSTRE GRAND DIEUX ! * cris deux paysant avant d'aller ce mettre a l'abrie derreire un arbre non loin *

* deux garde arrivent alertée par le bruis *

*dans le cadre de porte la forme d'ombre se clarifie 4.p8 baquet ..... au visage rond et sympatique malgrée l'expression de rage etampée sur celui ci *

* le nain avance ver la cour attacher a la taille au jambe et au mains par des chaines quelque une son brisé mais celle du torse s'emble avoir tenu bon puis apparait derreire lui a l'autre boue de la chaine une tete de lit brisé auquels trois garde impresionée et deconcertée s'accroche avec frenesie tentant d'arretée en vain la marche du fou de guerre il traverse la moitier de la cour accrocher a a ce qui fut jadi un lit un est encore sur c'est pied pencher ver l'arriere , mais les deux autre au traine lachement les main toujour fixer a la base en bois

bordel !! arrgg lache un de ceux la
putain , un autre

le nain s'arrete sec , effet bowling les gardes s'empetrent ..

merde , aille, ouille devant leur lieutenant qui juste avant etais sortie de la a la course *

eh ben voila ! dit t'il je croi quil est sur pied les gars non ?
un des garde encore au sol : merde ... ce type est un buffle ! , il se relevent difficilement et aide c,est deux autre compagnion recru nouvelement arrivée les troi garde de l'hopital regarde la petite masse devant eux qui regarde le soleil les bars grand ouvert

un dernier cri

RAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHH

dans un reflexe totalement inutile deux garde se projette au sol come pour evitée un obus le troisime fige et le lieutenant sursaute

avant d'etre pris de extreme fou rire du a la reaction de c'est colegue

poliement il s'approche du nain et lui parle a l'oreille

les troi recru semble ne pas etre sur que c,est une bonne idée voyant d'avance la tragique et brutal mort de leur lieutenant un sobject en un faible

monsieur ... je non !

mais rien la petite boule ne fait rien du tous simplement elle sourie betement
le lieutenant alor detache les chaine dans lequel le nain etais empetrer en riant legerement

sous le regard de la foule qui s'etais ammasée par curiausitée

apret questionement les medecin explique qu il avais du l'attacher car le nain refusais de rester couchée

la main au visage deconcerté et au bord du fou rire deux autre infirmiere regarde leur collegue qui on eux cette idée

le garde fait payer les degas une porte et un lit au fou de guerre et le laisse disparaitre la petite masse dans la foule qui reste la come des zombie ahurie par la scene etrange

celui ci file directement a l'auberge se soir la la garde en permission se fit payer la bierre par la petite masse

un voyageure fit un vole planée au travers l'auberge mais sans reelement etre blessée et deux garde temeraire ressortire avec des dents en moin victime de leur fierté d'accepter un jeux pluto sadique avec le nain ( le gantelet du fou )

la vie reprend son cour '' normal'' a luskan ... et dejas le fou prevoie un voyage en foret ....

cette fois un lit clouée au sol et metalique est commandée a son intention plusieure saven dejas que tres bientos il est fort probable qu il sois a noueaux occupée

Non loin de l'un de ces symboles les passants auront pu retrouver le corps nue, décapité et désarmé d'un elfe. L'arme du crime ayant laissé des traces ressemblants fortement aux traces de l'arme de celui qu'on nomme le tueur d'elfe.



[Hrp : Mort rp de Fenestol PerceCoeur]

Les gardes de Luskan, qui ont pu etre vu en foret, ne ressemblent en rien a des gardes "normaux", ils semblent tres a l'aise dans la nature, et ne porte pas d'armure dit bruyante. On parle d'un nouveau recrutement fait par le Conseiller Armand Mender.

(validé par anim)

Aux alentours de Luskan dans la forêt au nord de la ville, un homme portant une armure obsidiene et cuivre se promène sur le chemin. Il se retourne car il entend un bruit. Une silhouette féminine qu'il ne reconnait pas sur le moment, se manifeste à lui. Apres l'avoir reconnue, ils echangent quelques mots sympathiques. Deux sangliers accompagnaient la femme habillée d'une robe noire comme l'ebène. Pire même l'un des deux sanglier se frotta contre une des deux jambes de la femme.
Puis les popos s'envenimèrent entre l'homme et la femme...les "masques" tombèrent et la femme montra un tatouage. Le guerrier en face avait du mal à y croire.

Soudainement, l'animal sauvage hurla et il se mit a avoir des convulsions : il se transforma en un être humanoïde. Son aspect n'etait pas du tout repoussant, mais il etait clair que cette engeance aveit un lien avec le surnaturel. Les deux mâles, l'un humain a l'armure singuliere, porteur d'un bouclier rond et d'une javeline, et l'autre humanoide aux pattes bizarres et au torse denudé, se se présentés mutuellement "Aton" et "Sanglier noir". Les trois personnes discutèrent un moment.....surtout les deux hommes. Aton expliqua au sanglier noir, serviteur de la nature, qu'elle etait la raison de sa presence dans cette foret...

Les propos se métamorphosèrent tout comme le sanglier quelques minutes plus tôt, et l'ambiance devint lourde. Le pseudo-sanglier semblait vouloir éprouver le combattant mais ce dernier n'etait pas né de la dernière pluie. Détectant un piège, il refusa de suivre le sanglier noir qui souhaitait l'inviter jusqu'à une tanière étrange, pour se battre contre des bêtes...Puis la jeune femme ordonna à Aton de rentrer a Luskan.
L' être pseudo-surnaturel en remis une couche : il expliqua que des monstres rodaient la nuit....et que celle ci etait sur le point, de tomber...

Des bruits se firent entendre, une femme en retrait derrière le sanglier humanoide observait, silencieuse, les regards malveillant sous une capuche. Un cavalier approcha, avec son faucon sur le bras. La nuit semblait tomber à vu d'oeil, mais lathandre résistait...
Les nouveaux arrivant semblaient vouloir fermer la marche au guerrier venu de l'empire de l'Est.
Le chef de meute....car c'est comme ça qu'on peut le nommer poussa un hurlement bestial, comme pour rallier ses troupes. Tout en reculant, Aton commenca à avoir des palpitations, sensation un peu similaire à celle qu'il eprouva jadis lorsqu'il fut sur le premier champ de bataille ; et les autres en face le regardaient... comme des traqueurs scutant leur proie.

Il prit la fuite : le cavalier ajusta son arc et il blessa de ses projectiles acides le fuyard... Les flèches sifflèrent aux oreilles du traqué, qui réussit à semer ses poursuivants non sans mal. Par quel miracle y etait il parvenu ? Il l'ignorait, mais il eu l'initiative de prier le funeste Assuran, de lui demander assistance, courage, justesse, equité et surtout vengeance. Frottant la boucle de sa ceinture, buvant une potion magique et lisant un parchemin sacré, il se ragaillardit : "ce n'est pas fini....je réponds à votre provocation : oeil pour oeil....". Il fit le tour et du se battre contre trois loups sanguinaires, avant de pouvoir revenir sur les lieux ou les curieux etaient arrivés précédemment. Le crepuscule pointait... Le revenchard aperçu le cavalier et son oiseaux de malheur...

Soudain un petit homme courait à l'air affolé. Bien sur, c'etait le guerrier halfelin que le mulhorandi avait croisé ce matin en ville. Invisible à ses ennemis, le funeste combattant s'élanca et il embrocha le cheval...Le cavalier fut désorienté et ce fut en quelques passes qu'il fut désarmé et mis hors d'etat.

Le cavalier avait eu son compte, lui et son maudit volatile avait été corrigés comme ils le méritaient. Ce fut au tour du sanglier sombre....
L'aversaire au service de la nature implacable se transforma en bête puissante et immonde. Mais elle etait lente et Aton frappa vite. Le transformé fetait désorienté : il pris la fuite, à son tour....Le traqueur devint le traqué....Ses facultés impressionnantes refermaient les blessures au fur et à mesure que le vengeur frappait de son glaive, savourant cette fuite inattendue. La patience est une vertue, et celle ci permit a Aton de vaincre le sanglier noir qui s'ecroula dans un râle...Aton etait encore sous l'emprise du feu de l'action et de la violence des sentiments : il sorti son couteau et retourna le corps...pret a mettre un terme à la vie du "monstre". Mais il repris ses esprits, il ne souhaitait pas la mort du métamorphe.
La jeune femme revint vers le guerrier d'origine étrangère et ils discutèrent un instant parfois calmement, parfois de façon houleuse. Il fut décidé que l' être vaincu, le "Sanglier Noir", ne serait pas remis aux autorités de Luskan.

A la fin, Aton decida de partir et laissa un gage à celui qui etait par terre, en guise de "signature": Oui une pièce de monnaie de cuivre ....
Cette petite victoire n'est pas due à la puissante armée specialisée de luskan....elle est due à un seul homme, un etranger en plus de ça.
Aton remis son bouclier dans le dos, rengaina ses lames et empoigna sa javeline en gemissant : Alors que fourbu, il s'en retournait vers la ville, sur le bras gauche on notait une blessure...


[Je suis resté général. Il manque des choses, il manque les dialogues et tout....sinon, j'y serais encore ^^ bravo a mes ennemis, ou plutot devrais je dire mes "collaborateurs". Personne n'a été lésé et il y a (sans nul doute) des consequences. GG a tous ]

Après une longue journée de bataille, où elfes, nains, padhivériens et tempusiens combatirent côte à côte, le lieu dit de la "Translycance" tomba une seconde fois. Les quelques attaques de dos des malarites ne pu les en empêcher. D'ailleurs toute la troupe rentra indemne ou presque.

En effet, on dit que certains combattant ont été choqués car ils tuèrent des lycans alors qu'ils n'avaient pas pris leur apparence animale: parmi eux il y avait aussi des femmes... et des enfants.

Quoiqu'il en soit, à l'heure actuel, l'endroit a été béni par Erevan et quelques troupes d'elfes nettoient les lieux pendant que d'autres surveillent les alentours.

Pendant l'attaque de la translycance, la bataille faisait rage en foret, le denommé Max Strifes etait chassé par trois malarites, le conseiller armand venant voir comment l'attaque sur la translycance se passait, vit cela, et aida max.

Max reussit a se defaire de ses ennemis, et ceux ci ont finit dans les prison de luskan, ou ils attendent d'etre jugés.

Certains des humains qui entrèrent dans la grotte furent choqué par l'horreur qui s'offrit à leur yeux. Les elfes qui attendaient dehors purent voir le Paladin de Neufcastel sortir avec une petite fille choquée. Le fidèle de Torm lança un regard emplit de colère vers les elfes, ces lâches qui n'hésitaient pas à cribler de flèches de pauvres gens désarmés sans même tenter d'user de leur précieuse salive pour parler et éviter la perte de bien des vies.

La petite fut transportée à l'hôpital de Luskan.

Oui, cette attaque fut terrible. Les lycans, acculés dans leur repaire, ne pouvaient sortir sans s'exposer aux flêches des archers elfes ou aux lames des guerriers qui attendaient plus loin.

Ils tentèrent alors une autre tactique. Sortir du repaire sous forme humaine. D'abord un homme, sans arme, habillé tel un mendiant. Il sorti en implorant grâce, priant pour avoir la vie sauve...

Les mains de l'elfe qui visait l'homme tremblèrent un instant. Il ferma les yeux quelques instants. Des images défilèrent. Ses amis elfes chassés par les lycans dans la forêt. Yvellios torturé par les malarites dans le repaire de la translycance... Sa main cessa de trembler. Une profonde inspiration et une courte prière à sa divinité. C'est avec une certaine compassion pour ces êtres qui ne pouvaient être sauvés qu'il lacha la corde de son arc. La flèche s'envola vers l'oeil de l'homme qui le suppliait...

Femmes, enfants, vieillards... Tous ne trouveraient la délivrance de leur malédiction que dans la mort.

Quand à celle qui fut sauvée par les humains. Ceux-ci auront prochainement sur les mains le sang des futures victimes de cette lycan.

Après avoir béni l'endroit, Léa pria un instant et se rememorrat les faits terribles qui s'étaient déroulés. Une guerre d'extermination. C'était cela, l'attaque de la Transylance. Détruire les lycans protégés par les Malarites et le Bosquet Sombre.

Certains prétendaient qu'il y avait des Selunites? Mais elle n'avait vu aucun esclave. Aucun prisonnier. Aucun fer pour les retenir. Et des Selunites en paix avec les Malarites, y songer était risquer la colère de Selunée. Insulter les Dieux n'étaient pas une chose à faire.

Et puis... Si certains étaient cachés, priant Seluné, Elle saurait les guider à elle et leur éviter le Mur des Âmes.

Hrp: "Tuez les tous et Dieu reconnaitra les siens" n'est pas un précepte que je partage. Attention de ne pas confondre les opinions du personnage et du joueur :-)

La forêt du nord-est se fait plus calme, les elfes ne font plus des allées et venues, laissant présagé que le déblaiement est terminé.

La zone semble vide, néanmoins les plus observateurs remarqueront une ou plusieurs silouhettes elfique armées, montrant que les apparences sont souvent trompeuses.

Dans la forêt nord de luskan, Le cadavre gigantesque d'un ver pourpre bloque le chemin du nord. Il ne lui reste plus aucune dents et il semble vidé de ses organes vitaux. Alors que les mouches commençent déja leur travail de putréfaction de nombreux arbres alentours ont été marqué du symbole du seigneur des bêtes. le cadavre est lui aussi marqué.

L'homme observait ce qui avait été avant un de ses repaires...
Désormais, il pouvait voir que les elfes surveillaient la zone. D'ailleurs, l'un d'eux se lança dans une chasse ou tour à tour, l'homme et l'elfe devenaient proie ou chasseur.

Lorsque l'elfe fut rejoint pas l'un de ses frères, l'homme décida d'abandonner la partie.

Des paladins en armures brillantes montés sur leur destrier auraient disparu dans la forêt. Encore un mauvais coup des elfes ?

Finalement non. Ceux-ci aurait été revus depuis.