ombre

( les idées, sens, et point de vue sont bien évidemment pas les miens mais ceux de l'écrivain, keiren. Le mot barbare a le sens que lui donne le dictionnaire, l'étranger, le non civilisé et par extension pour keiren, celui qui ne parle pas la langue.

Peut être pas pour ce post mais sûrement pour les autres si autres il doit y avoir : âme sensible s'abstenir voir même interdit -18 )

journal redigé d'une écriture fine et délicate, ostentatoire :
Il les surveillait depuis un moment, tranquillement installé, une chope devant lui, observant, écoutant quand les bruits de la salle le permettait, lisant sur les lèvres autant que possible pour le reste.
Il les surveillait, le rouge qui, malgré son imposante carapace métallique affectait des allures de dandy, la ptiote là avec son éternel refrain " paix sur terre !" et la barbare inculte avec un corps qu'on dévorerait pour rétablir l'équilibre général de la beauté chez la femme.
L'écervelé, s'éloigne et l'ombre doute. Doit-il la suivre ? Où est l'or ?
Chez l'homme a n'en pas douter, alors il reste et il attend.
Il a vu le manège de la barbare, il sait que bientôt elle se collera contre lui pour l'attirer dans une chambre de l'étage. Soit elle rêve de se soumettre a ce demi homme, après tout c'est une femme, soit elle chasse comme lui même. L'ombre sourit, espérant cette deuxième solution.
Et la barbare, faussement ingénue , suivant les prédictions de l'ombre se colle a l'homme qui tel un gamin encore dans ses langes, ne sait a priori pas comment réagir.
Il lui faut encore quelque minutes pour comprendre ce qui lui arrive et d'entraîner alors par la main la barbare rougissante à l'étage.
L'homme laisse passer une minute puis les suit. Il les voit entrer dans une chambre.
Une fenêtre au bout du couloir, il s'avance, l'ouvre, regarde dans la rue en contrebas voir ce qui l'attend s'il doit passer par là.( si fenêtre absente passage a supprimer )
Il se dirige ensuite vers la porte faisant face à la chambre des deux tas de viandes sur pattes, l'essaye. Il entre dans la chambre. Une fenêtre qu'il ouvre avant de jeter un coup d'oeil dans la rue. Puis il s'installe sur le lit et sort son poignard, un morceau de cuir, et en aiguise la lame.
Il attend, bientôt l'heure sonnera.

5 minutes, c'est l'heure. Il a compté les secondes, ou plutôt les passages de lames sur le cuir. Il est régulier, il sait que cela fait exactement 5 minutes a une seconde prêt. Il se lève, se poste devant la porte des condamnés. Il est prudent, il a remarqué tout a l'heure une latte susceptible de grincer alors il l'évite, au cas où.
Il prend une fiole et en vide le contenu d'une traite. Il grimace, le goût en semble immonde, mais rapidement l'effet s'en fait sentir et l'ombre ainsi que ses possessions disparaissent.

Il a un plan, précis. Il essaye la poignée et comme il s'en doutait, elle tourne. Les idiots n'ont même pas pensés a verrouiller leur porte. Il ouvre la porte. Bruits de voix surprise, on s'interroge dans la chambre.
Des pas qui approchent de l'ombre qui attend, mais trop lourd, et il y a des grincements, des frottements du métal contre le métal.
Serait-il possible que cette chose ne soit que si peu homme pour ne pas être déjà nue devant la barbare ??
Mais quoi qu'il soit il approche, que faire ? L'ombre hésite.
Il est là devant lui, regardant l'ombre dans le couloir lame levée, mais sans la voir, sa face bovine observant le vide sans comprendre qu'une porte ne s'ouvre pas seule. D'un geste, sa vie pourrait s'enfuir dans un geyser rouge. Mais la scène se fige puis la chose rouge se retourne ! Il lui tourne le dos !
Il n'en faut pas plus à l'indécision de l'ombre pour s'envoler. Un pas, deux, il est dans son dos, une seconde de plus et sa lame frotte l'armure juste sous la nuque et il ouvre la bouche, il parle :
"plus un mouvement"
Et le bétail de se figer comme sait si bien le faire le veau avant sa mise a mort. Puis de s'indigner devant une telle situation. La barbare elle ne s'est encore rendu compte de rien, elle ne chasse pas finalement, dommage.
L'ombre économise ses mots et ses gestes, en un rien de temps la chose rouge a les mains liées et ses armes sont au sol. d'un geste il immobilise la barbare et la cloue au silence quand elle comprend enfin ce qui arrive.
Il se débarrasse du rouge en l'assommant, retenant sa chute pour ne pas alarmer la maisonnée trop tôt. La barbare pense pouvoir se mesurer a un mâle mais d'un geste il la ramène de nouveau a de meilleures dispositions et elle se soumet.
Il fouille la chose rouge, s'empare de ce qu'il est venu chercher puis avance vers la femme qui docile se soumet a ses ordres. Il la fouille aussi, en vain, elle n'a rien sinon ce corps a faire tourner des têtes.
Il tremble, ne bouge plus, figé, l'esprit à des lieues de là, imaginant mille et une choses fantastiques que l'on pourrait faire à ....
Cela ne dure qu'un instant d'éternité puis il bouge et frappe la barbare, l'assommant pour le compte, la laissant s'écrouler. Il ne peut l'emmener, ce serait trop dangereux.
Sur le plancher, il trace un symbole, comme toujours.
Il s'éloigne, tranquillement, ombres sur ombre, il sait déjà où aller et qu'elle sera sa prochaine action mais ce n'est pas l'heure, pas encore, c'est l'heure d'autre chose désormais.
C'est une jeune fille, a peine formée, maigre comme un clou, mais il ne demande que de la distraction, pas du plaisir. Cela suffira amplement.
Criera-t'elle en comprenant ? Il espère presque que oui.

Une heureuse rencontre que fit l'ombre aujourd'hui, une femme seule, dans un lieu ou une femme ne devrait être seule. Habillée comme un homme, caparaçonnée d'une lourde armure, bien trop pour des épaules de femmes. Encore une qui n'a pas compris encore sa vraie nature.
L'approche est facile, elle tremble, il le sent. Il l'éloigne de la route et elle se laisse faire docile, comprenant peut être pour la première fois sa faiblesse de femelle. Il la ligote puis l'assomme. Elle n'a pas grand chose, c'est une religieuse, sûrement de cette ville du sud au vu de la divinité, un visage intéressant, une jolie fleure printanière.
La marque lui irait bien. Alors au dessus de l'oeil gauche, il détruit ses allégeances, et sur l'oeil droit, lui appose sa vrai nature, profondément, de la pointe de sa lame.
Elle reprend connaissance évidemment, mais elle n'a pas peur, pas encore, mais cela va venir, oh oui, cela va venir. Il lui annonce qu'il reviendra la prendre un jour. Ce jour importe peu, elle porte sa marque, à vie, même si la cicatrice s'estompe, elle est marquée. Il lui faudra se remontrer de temps à autre, qu'elle comprenne qu'elle est possédée, que cela ne dépend plus de son bon vouloir. Alors elle aura peur.
Le meilleur moment pour finaliser cette scène théâtrale.
En attendant, il la traîne comme si elle n'était rien, par les pieds, ligotée. Elle retrouvera vite des gens qui la soulageront ... Pour le moment ... Elle comprendra bien assez tôt.

écriture rageuse
Je l'aurais, je l'aurais, je l'aurais, je l'aurais, sale sorcière aux yeux tueurs, je l'aurais, je l'aurais, je l'aurais, tu te gausse ! Je te ferais comprendre ! Je l'aurais, je l'aurais, je l'aurais, je l'aurais, je l'aurais, je l'aurais, une vie et je l'aurais !


page suivante, l'ecriture est a nouveau fine et délicate, pleine de fioritures et d'arabesques
Aujourd'hui, l'ombre est heureuse, elle a déposée une de ses possessions, ayant vu la vérité vraie, aux portes de Luskan. Le plus surprenant dans cet état de fait, c'est que c'est la femelle elle même qui vint trouver l'ombre pour lui demander de lui rendre ce service.

L'ombre chassait en forêt, lorsqu'il aperçu sa jolie petite fleure printanière qui vagabondait alentour. Il la suivit un moment. Elle agissait étrangement, comme si elle cherchait quelque chose ou quelqu'un. Se pourrait-il qu'elle le cherche lui ? Étrange mais bien dans l'ordre des choses des femelles. Après tout, n'a-t'il pas envoyé une missive dans son temple pour se rappeler à sa mémoire ? Il semblerait bien que se soit sa réponse.
Alors elle le cherche ! Elle n'a guère changée. elle avance de ci de là, et l'ombre lui emboîte le pas, intriguée par cette femme. Il tente de la piéger une fois mais voila qu'elle lui répond arme en main, l'envoyant valser avant de l'aveugler par magie ! Magie encore ! L'ombre prend la fuite, fonçant droit devant lui, les yeux emplies de larmes, il fonce jusqu'à ce que les points blancs et noirs redeviennent cohérent, jusqu'à ce que les larmes se tarissent, Alors et seulement alors, il s'arrête et regarde dans son dos. Personne. Il fait demi-tour. Une manche pour la petite fleur, voila qui fait égalité.

Il la retrouve plus loin, elle avance doucement et elle l'appelle ! L'invitant à nouer le dialogue. Voila un mot que l'ombre n'a eut que rarement l'occasion d'entendre à son sujet. Nouer le dialogue. Il manque se trahir de surprise. Mais il semble qu'elle n'est rien remarqué, alors il la suit encore. Elle le cherche ! Et lui la suit.
Il la perd un moment lorsqu'elle tente de le surprendre avec une boisson magique mais il la retrouve plus tard. Elle lui ordonne presque d'apparaître, de se montrer et ça il va le faire, mais sûrement pas comme la femelle l'entend.
Il frappe, cherchant à la mettre a genoux mais elle semble voir venir le coup et l'esquive ! se mettant hors de portée puis attendant ... Elle attend quoi ?
L'ombre s'interroge, il y a anormalité, il lui tourne autour, elle lui parle, il la contourne menaçant, elle lui parle. Alors il finit par baisser son arme et lui ordonner de s'expliquer. Ils parlent. Elle, il, parle, presque tranquillement. Une impossibilité viens de naître au monde, incohérent, anormal au possible, cela ne peut et pourtant cela est.
Elle envoie sa masse plus loin, puis son bouclier, elle se désarme, pourquoi ?
veut-elle se livrer ? D'évidence non vu qu'elle refuse les liens et conserve sa magie ! Alors que cherche-t'elle ? Pourquoi ?
Il parle, cherche à comprendre et elle parle, étrangement. La folie ? Il semblerait au plus haut point.
Mais que fait-elle ? Elle se bande les yeux désormais ! Évoque la confiance, folie ! Non-sens !

L'ombre laisse alors pour la première fois de sa vie une femme le toucher, il pose sa main femelle sur son épaule et il la guide à travers la forêt et les sentiers, aveugle qu'elle est désormais. Il l'avertit des embûches du chemins. Il lui promet aussi la vie sauve.

il ne comprend pas, le monde à basculé dans l'étrangeté d'un seul coup, le laissant seul et perdu en arrière.

L'ombre l'emmène loin, longtemps. Désormais, elle est perdue à coup sur.
Elle garde les yeux bandés et il lui tourne autour, cherchant à la déstabiliser, ne parlant jamais du même endroit, une fois derrière, une fois devant, la touchant parfois, mais rien ne semble l'atteindre. Ils parlent de tout et de rien. Des désirs inconnus montent dans le coeur de l'ombre, il a peur, peur d'elle, de son étrangeté et elle semble si sereine, d'un autre monde.
Il l'interroge, la questionne, cherche, fouille mais elle reste loin, au delà de son entendement.
Il la provoque sans qu'elle ne montre l'hostilité qu'il s'attendrait à recevoir. Il la fait basculer au sol, la chevauche et elle ne se plaint que d'un léger inconfort physique, il tente de la ligoter, elle lui demande de lui rendre ses mains, il lui vole un baiser et elle n'attaque pas, lui demandant juste de ne plus le faire.
Alors il continue de lui tourner autour. Que faire d'autre ? Que faire d'elle ? Que dit-elle ? Que comprend-elle ? Ils parlent de la peur de l'inconnu. Elle lui dit que l'inconnu est source de découvertes, de joies, de possibilités, de félicités, il lui rétorque que l'inconnu est danger. Elle ne comprend pas, lui non plus.
Ne sait-elle donc pas que celui qui tend la main à l'inconnu se risque à devoir la ramasser au sol s'il survit a l'épreuve ?
Cela suffit, il ne peut en entendre davantage. Elle met le trouble dans son coeur. Trop de questionnements, indigne de l'ombre elle même. Serait-ce elle qui partagera sa vie ? Il l'a interrogé la dessus, la réponse semble non mais dit-elle vrai ?
Il lui faut une preuve et il faut un terme à tout ceci. Il lui propose a manger et en profite pour faire ce qu'il aurait du faire des heures plus tôt. Les yeux toujours bandés, elle ne voit rien venir.

Spoiler:

Elle est sienne, désormais même elle le sait, elle ne peut plus avoir le moindre doute. Ce n'est pas ELLE, juste l'une d'entre elles mais qu'importe, elle a pu contempler sa vraie nature de femelle et seul cela compte. Les choses ont suivit leurs cours malgré l'étrangeté de la petite fleur printanière. Il n'a pas compris ce qu'elle venait vraiment chercher ainsi, mais il se sent l'esprit libre et clair désormais, il lui a donné ce qu'il se devait de lui donner avant de la rendre a ceux qui étaient les siens et qui désormais devaient lui paraître tous étranger. Aveugle par ignorance et de ce fait, aveugle a la beauté du monde.

// vala corrigé .... enfin j'espère -_- //

La chose rouge est décidément un bon client pour l'ombre. Ils se sont à nouveau rencontré, prêt de l'arène cette fois, sur un surplomb avec une jolie vue. Il contait fleurette à une nouvelle femelle. Une bourse de plus facilement gagnée. Ils ont tentés de le duper mais on ne dupe pas l'ombre si facilement. L'or de la femelle fut laissé en arrière mais qu'importe, il la prendra un autre jour.

Mais quelque chose a fortement déplu a l'ombre. Il chassait en forêt lorsqu'il remarqua sa petite fleure passer et fouiller les environs, là ou il l'avait déjà rencontrée les deux premières fois. Nulle doute qu'elle le cherchait lui mais pourquoi ? décidément, il ne comprendra jamais cette femelle. Que veut-elle de plus ? Serait-elle amoureuse ? Il prit de la distance et lui écrivit une jolie lettre. Lorsqu'elle repassa non loin, regagnant la ville il lui emboîta le pas. C'est là que ce qu'il vit le mit en colère.

Pendant son absence, un autre individu aurait agressé ses 2 clients précédents, appelant en pleine ville des forces démoniaques pour favoriser ses chances de succès. De nombreuses personnes étaient réunies autour des blessés. Sa petite fleure était prêt d'eux. Un plus loin, il laissa la lettre qu'il venait d'écrire au sol, quelqu'un du groupe finirait bien par la retrouver et la lire a qui de droit.
L'ombre s'installa tranquillement dans les environs, observant les allées et venues, écoutant les racontars et les explications des témoins.
Il sourit lorsqu'on parla de lui, évoquant ses actions.
Une phrase le mit même en joie, une femelle se plaignait que cette ville avait vaincue démons et dragons mais se trouverait dans l'incapacité de détruire un seul individu qu'elle définissait comme dangereux.
Mais cela n'est bien sur qu'une évidence ! On ne peut lutter contre sa vraie nature et la vérité vraie des choses ! On ne peut que s'efforcer de la nier en vain ou l'accepter.

La petite barbare est aussi devenue une possession de l'ombre aujourd'hui. L'ombre surveillait la femelle précédente avec la chose rouge, guettant le moment propice pour lui soutirer l'or manqué un peu plus tôt lorsqu'elle entra, à priori ivre, dans ses lieux. Une occasion que l'ombre mit à profit.

Spoiler:

Il l'abandonna ainsi après lui avoir apposé sa marque sur le front, satisfait de ce qu'il venait d'accomplir. Il la contempla une dernière fois, nue, en larme, couverte de sang, encore bâillonnée et bien ligotée. Une femelle parfaite pouvant offrir toutes les satisfactions possibles.
avant de quitter les lieux il prévint le tenancier de fumées suspectes à l'étage et aussitôt des gens partirent voir ce qu'il en était pendant que d'autres se préparaient a évacuer les lieux en cas d'incendie.

L'ombre est dans le nord en ce jour, cela fait plusieurs fois qu'il vient par ici, voir ce que deviens sa patrie. Il a déjà remarqué des clients potentiels ainsi que des choses a acquérir. Une femelle en particulier, une sorcière pour le moins au vu de ses attributs animaliers. Celle-ci aurait un grand pouvoir dans la politique locale et contrôlerait d'autres domaines par influence. Ravissante malgré ses différences, attractive. L'ombre hésite encore sur son devenir. Il la surveille, l'observe lors de ses déplacements, notant ses habitudes, les dangers qu'elle peut prendre.
aujourd'hui il se sent prêt pour un premier contact.

Elle entre dans l'auberge du centre, il la suit. Une autre femme l'y rejoint et en l'entendant parler, l'ombre ne peut s'empêcher de se trahir par une volée de jurons tant ses sons et quelques mots ont fait resurgir les souvenirs de la femme aux yeux tueur en lui.
Il acquiert une bouteille et s'installe dans un coin, les observe discutant entre elle de choses locales, par chances elles n'ont guère fait attention a sa présence.

La sorcière quitte les lieux pour une tournée et inspections dans sa ville, il la suit. Il manque de peu l'interpeller alors qu'elle traverse les bas quartiers mais au dernier moment, alors qu'il allait frapper, la lame a la main, quelque chose le retient et l'occasion s'envole. Il continue a la filer.
Finalement, elle s'arrête au milieu de sa place, au milieu de ses gardes, elle semble pensive, le moment idéal.
Il approche le plus vite possible sans être suspect, lui pique les reins d'une fine lame faisant passer son geste pour une accolade et lui parle très doucement, lui murmurant ses instructions. Elle accepte de se soumettre et joue le jeu. Ils sont amis, tout va bien, aucun dangers, ils bavardent tranquillement en s'éloignant vers un lieu plus privé.

Plus personne en vue, il la pousse dans un coin sur le côté de l'auberge, la questionne sur l'autre femme a la voix honnis de l'auberge, se sers parmi ses possessions, goûtant brièvement a ses charmes mais sans insister, ce n'est pas le bon jour. Il lui transmet sa marque, sur du papier a défaut de chair mais cela ne change rien. Ils échangent quelques paroles. L'ombre a une idée derrière la tête pouvant s'avérer fructueuse dans l'avenir et la sorcière semble mordre, elle parle, elle parle, tentant de l'engeoler (le mot est volontaire) de belles paroles et de richesses mais l'ombre n'a pas le temps. Il la coupe en l'assommant sans cérémonie avant de quitter tranquillement les lieux. Il lui faudra la revoir, profiter de sa chair le démange déjà. Il est en tout cas satisfait, il ne pouvait mieux prouver a la sorcière sa vulnérabilité et son pouvoir sur elle qu'en réussissant a l'atteindre au coeur de son pouvoir, au milieu de ses gardes.

Quand a l'autre femelle, il lui faudra aussi la revoir. L'ombre a son nom, son activité et son lieu de résidence. Largement plus qu'il n'a d'habitude pour officier. De telle voix ne doivent plus exister. trop dangereuse par ce qu'elle provoque et ont de conséquences.

mais pour le moment, se faire oublier et voir si le hameçon coule, un temple a visiter aussi peut être, loin au sud.

Une ombre rode à nouveau dans Luskan, elle cherche a embarquer sur un navire pour le sud. De passage dans le quartier commerçant elle remarque une femme maniant un pesant marteau en train de battre le fer. Elle ne semble pas laide, c'est donc qu'elle doit être doué sinon elle vivrait dans une taverne du port. Elle a de l'or donc. Il l'aborde, la menace discretement, prend ce qu'il veut d'elle avant de l'abandonner. Il avait pensé juste, elle avait de l'or. Il l'entend appeller a la garde loin derrière comme si cela pouvait désormais changer quoi que ce soit. A sa taille il lui a laissé un souvenir. Un simple bout de papier mais au combien lourd de sens. le navire peut bien attendre un peu ou l'ombre marchera comme d'habitude.

Une autre cliente sur Luskan, une guerriere avec une énorme arme dans le dos qui se penchait pour voir le font d'un puit. Il fut facile de l'approcher sous pretexte de l'empecher de chuter. Les ressources de l'ombe diminue paradoxalement avec la masse d'or qu'il amasse. Il est temps de les renouveler.

Une amusante information en tout cas, l'ecervelée, amie de la barbare chercherait a contacter l'ombre. Il ne faudrait surtout pas la decevoir.

écriture hésitante
chaos et confusion en ce jour. L'homme-cible pour yeux-tueurs fut abattu dans l'entrée d'une taverne du port de Luskan, je quittais la ville vers le nord lorsque des choses ... ont pénétrées dans la ville, semant la mort. Je fut abattu dans le dos, je crois ne devoir la vie qu'a mes armes dans leur fourreau ayant diminuée la puissance des coups. Il me semble aussi que ma petite barbare n'accepte toujours pas la vérité, elle m'aurait lardés de coups alors je gisais inconscient.
Puis il y eut des gens tout autour, questionnant, bousculant se battant.

Dés que je pus marcher seul on me jeta hors de la ville. Je partis vers le nord ou je tombais sur un groupe d'elfes de magie illuminée, une chance que je les ai vu le premier. Un détour s'imposait mais je vis aussi ma petite fleure et d'autres gens. On me cherche, une certitude. Ils sont tous là pour moi. Je les chasserais bien mais hélas ne le puis. Il est temps de rallier un de mes refuge puis de là, repartir au nord un moment voir si l'appât mords ... ou pas. Un voyage qui ne sera en tout cas pas inutile.