[En attente][Barde][H]Raphaël De Corazon

Citation :

Nom du compte joueur forum : Raol
Nom du compte joueur module : Raöl_Wolf
Nom du perso : Raphaël De Corazon
Race : Humain
Age : 24
Alignement : Chaotique/Neutre
Religion : Milil, Tymora
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Barde pur
Arme de prédilection/domaines/école de magie : Enchantement (sup)
Langues : le calimshite, le commun

Trait de Caractère : Charmeur, Imbu de lui-même, extrêmement jaloux, aime la beauté et les arts , posé, réfléchi , parfois manipulateur

Description physique :

Jeune homme ayant la vingtaine, aux cheveux court bruns foncés aux reflets métalliques, son allure est majestueuse et ample.

Ses yeux d’un noir saphir sont intriguants.

Il porte de nombreux objets de valeurs et il est vêtu de belles tenues, sobres dans les tons noirs. Il a toujours un sourire charmeur au coin des lèvres contredisant l'air ténébreux et maussade qu'il évoque au premier abord.

Sa voix est mélodieuse, aux connotations souvent tristes mais chargées en émotion.

Son visage est presque angélique . De bonne corpulence et d’un physique attirant, cet homme est charmant. Il a un accent calimshite.


Caractéristiques :

FOR : 10
DEX : 14
CON : 12
INT : 14
SAG : 10
CHA : 16

Raphaël est né en l’an 1370 à Calimport. Fils d’une riche famille marchande, les De Corazon, il fut éduqué selon les principes des marchands calimishites et acquit rapidement les qualités des marchands dont l’éloquence et la maîtrise de la prose.

Cependant, Raphaël s’est rapidement tourné vers l’art participant aux nombreuses représentations données au cabaret « Les Sept Dances de Jhasinas » de Calimport dirigé par une sharessienne, Jhasinas . Il y prit des cours pour jouer de divers instruments. Il était doué et motivé même si rapidement il s’est pris d’amour pour la guitare.

Raphaël aimait aussi la connaissance, indispensable pour le marchandage ainsi que pour évoluer dans une caste aisée. Il passa de longues heures dans sa bibliothèque de famille à étudier les religions, groupes et régions de Faerun.

Il intégra une troupe de bardes qui jouait dans ce fameux cabaret où il y passa une bonne partie de son adolescence. Il y perfectionna la maîtrise des instruments et on lui apprit comment charmer la Toile. Ces leçons se passaient dans la joie et la bonne humeur.
La bonne entente était primordiale. Il y avait de tout âge, des bardes expérimentés d’autres en quête de savoir comme Raphaël. Il apprit alors tout en douceur à charmer la Toile, s’habituant peu à peu aux effets que sa voix pouvait suggérer au monde en perpétuel mouvement qui l’entourait.

Il passait souvent de longues heures à chanter dans son somptueux jardin. Il amenait lentement au fil de sa voix la Toile à s’ouvrir à son joli timbre.

Raphaël avait une réelle attirance pour le beau, il ne cessait d’y penser inlassablement ce qui le faisait sombrer dans le vice.

Parfois il dépensait une énorme somme d’argent pour un objet magnifique à ses yeux. Il était fin charmeur et finalement il utilisait l’éloquence qu’il avait acquise pour charmer et persuader ce qu’il désirait.
Son amour étouffant pour la beauté le pervertissait. Par exemple, il détestait son père car il trouvait sa mère trop belle pour lui. Il s’amusait aussi à charmer la Toile pour arriver à cette fin, le charme des êtres vivants. Il chantait souvent des poèmes ou des chansons romantiques à ces femmes qu’il trouvait ravissantes. Sa voix appelait la Toile, lui suggérant de charmer d’avantage ses conquêtes, la magie crépitait alors autour de lui, captivant les femmes.
Raphaël lançait alors des sorts de charme pour les faire sombrer sous sa coupe. Cela l’amusait.

Malgré tout, Raphaël était très apprécié, même si tout le monde connaissait son vice pour la beauté, il était toujours galant et serviable avec quiconque même si parfois ses crises de jalousie intempestives dérangeaient.

De plus, tout le monde appréciait ses qualités de chanteur et de musicien. Cependant, de son côté, Raphaël se pervertissait de plus en plus. Sa jalousie le dévorait de l’intérieur et son goût pour le beau le faisait tendre vers le vice. Mais, finalement, ainsi son talent de chanteur et d’écrivain était d’autant plus apprécié car plus il se pervertissait et plus ses chansons suggéraient des sentiments variés.