[En attente][Barbare/Barde/Rodeur][H] Caïn Makhnov

Caïn “l’exploité” Makhnov
[ Barbare / Barde / Rodeur ]

Nom du compte joueur forum : Sku
Nom du compte joueur module : Skuffrit
Nom du perso : Caïn l’exploité
Race : Humain
Age : 26 ans
Alignement : Chaotique neutre
Religion : Aucune en particulier
Classes : Barbare ( 5 ) / Barde ( 14 ) / Rodeur ( 6 )
Arme de prédilection/domaines/école de magie : Pour le moment … j’en sais rien
Trait de Caractère : Quelles que soient les circonstances Caïn semble toujours contenir difficilement sa colère, et il est prompt à subir de vraies crises de rage, en particulier s’il voit ce qu’il considère comme une injustice. Il fait preuve d’une aversion profonde à l’autorité qu’il considère toujours comme une forme de soumission forcée.
Description physique : De taille moyenne mais musclé, d’une allure généralement peu entretenue. Une cicatrice prenant naissance sous l’œil gauche et descendant dans son cou. Son visage est anguleux, les pommettes saillantes et les yeux sombres et enfoncés.

Caractéristiques ( à la création ) :
FOR : 14
DEX : 14
CON : 14
INT : 12
SAG : 10
CHA : 14

Langues connues : Commun, Chondathan, Illuskan

Histoire :

Chapitre Un : Enfance

Caïn est né dans un petit village de fermiers de la côte des épées. Dès son plus jeune il s’intéressa beaucoup à la musique, à chaque fête de village il rôdait autour des musiciens et tentait d’apprendre tout ce qu’il pouvait sur la manière de jouer et le chant. Il travaillait également au champs, et continuait à jouer avec ses camarades aux jeux de leur âge.
Son caractère était toutefois déjà marqué par des crises de colère, le plus souvent dues à ce qu’il percevait comme une injustice.
En grandissant il s’attacha à apprendre tout ce qu’il pouvait en matière musicale, il apprit également les rudiments du combat, comme tout les jeunes du village, qui devaient pouvoir le défendre contre les brigands.
A l’âge de 16 ans, il ouvrit la voix lors du passage du percepteur, hurlant qu’il était injuste de prendre aux villageois le fruit de leur travail pour un seigneur qui ne faisait rien pour eux. Le percepteur envoya ses gardes capturer le jeune impudent, qui commit l’erreur de se battre contre eux … et perdit.
Caïn fut ramené au château, où il croupit une semaine dans les geôles avant de subir une peine de vingt coups de fouet en public. Dégouté par la passivité des villageois et l’autorité absolue dont bénéficiait le seigneur il parti à la recherche d’un lieu où il pourrait vivre libre.
Il fut jeté hors des geôles une semaine après avoir reçu ces coups de fouets, il ne passa chez lui qu’en coup de vent, sa famille, ses amis, tous avaient désormais peur de parler avec lui, d’être eux aussi considérés comme des fortes gueules s’élevant contre l’autorité du seigneur des lieux. Caïn prit dès lors la route, un simple baluchon sur l’épaule, et un chien errant trottinant sur ses talons.

Chapitre 2 : Errance :

La première année fut l’épreuve la plus éprouvante qu’il connu, les routes, la pluie, les bandits à éviter, les auberges ou, contre une soirée de chants et de musique, il avait droit à un repas chaud et une nuit au sec.
Il apprit à la dure quelles plantes consommer et lesquelles éviter, quels sont les angers qui menacent les voyageurs isolés et quels sont les endroit où il est possible de passer une nuit en sécurité.
Le chien errant qui l’avait accompagné lors de son départ du village le quitta au bout de quelques semaines, mais un autre le suivit, remplacé lui aussi par un autre au bout de quelques semaines. Curieusement Caïn se retrouvait en permanence accompagné par un moins un chien, toujours des bâtards sans race précise, qui le suivaient le temps qu’il leur plaisait avant de vagabonder sur d’autres routes. Ce fut le plus souvent eux qui sauvèrent Caïn, le réveillant à l’approche d’un danger, lui indiquant le village le plus proche, ou trouvant des sources de nourriture. En échange de quoi Caïn partageait ses repas et ses logements avec eux.
Un jour, durant le deuxième hiver qu’il devait affronter comme vagabond, il entra dans une auberge où se produisait un groupe de barde. Il resta un long moment figé sur le seuil, oubliant sa faim, fasciné par la manière dont les instruments et les voix s’enlaçaient pour se magnifier les uns les autres. Une rude bourrade d’un client pressé de s’asseoir au chaud finit par le faire entrer et le fit sortir de son état de stupeur.
Dès la fin du spectacle, il alla voir les membres de la troupe, désireux de devenir l’un des leurs.

Chapitre 3 : Chants et danses :

Caïn fut admit dans la troupe, non pas comme musicien, comme le leader de la troupe le lui fit remarquer « les bourrée paysannes, les paysans savent les faire eux-même, c’est pas ça qui va nourrir son barde. » mais pour sa connaissance des routes du pays.
Il guida donc la troupe, cachant de son mieux son inexpérience en la matière, en échange de quoi il touchait une part des bénéfice et avait la possibilité d’en apprendre plus sur leur art, y compris dans le maniement des arcanes car tous s’accordèrent pour reconnaître qu’il avait des pré-disposition dans le domaine. Il écouta également nombre de légendes du conteur de la troupe, bien qu’il se soit avant tout intéressé à celles où un le plus faible emportait la victoire sur plus fort que lui.
Heureusement pour lui, les membres de la troupes en connaissaient encore moins que lui sur les routes du pays, et il apprit assez vite l’art de la comédie que pour que ses « mais naaan, on est pas perdu, tu vois le gros chêne là ? C’est un hêtre ? Mais non, je ne te parle pas de celui-là. Tu ne le vois pas ? Et bien moi je le vois, donc je sais où nous sommes, et nous ne sommes pas perdu. Si nous ne sommes toujours pas arrivé c’est parce que je ne me suis toujours pas habitué à la vitesse à laquelle vos carrioles se traînent. » Parviennent à convaincre les membres les plus grincheux de la troupe. Ceux qui n’en étaient pas dupes avaient assez d’humour pour se contenter d’en sourire. En fait, le point le plus difficile dans ses relations avec la troupe concernait ces chiens errants qu’il s’obstinait à recueillir sur la route, et qui inévitablement consommaient une part des réserves de la troupe. Ceci dit, dans la mesure où le produit des chasses de Caïn relevait souvent l’ordinaire, on lui passait cette habitude.
Et puis il n’eut rapidement plus à jouer ce genre de comédie, au bout de trois années passées avec la troupe il fit un guide tout à fait convenable, ainsi qu’un musicien potable et un jeteur de sorts débutant. Mais il ne progressait plus, les autres membres de la troupe avaient beau répéter qu’il avait bien plus de potentiel que ça, rien n’y fit, quelque chose le bloquait, quelque chose qui le rendait incomplet.

Chapitre 4 : Décadence :

A ce moment, la troupe se dirigeait vers Eauprofonde, où après ses années passées sur les routes et les auberges, ses membres espéraient se faire remarquer par la noblesse et pouvoir jouer quelques spectacles leur rapportant bien plus que les auberges isolées qu’ils avaient l’habitude d’animer.
La plupart des membres de la troupe furent charmés par la taille de la ville, sa richesse, sa foule. Les nobles et leurs escortes chatoyantes, les demeures ornementées des riches bourgeois, les temples aux oriflammes éclatant, les statues immenses et immaculées.
Caïn lui vit les mendiant cachés dans les recoins d’ombres, les masures aux facades lépreuses des ruelles de la ville basse, les dockers s’échinant sur le port, les petites mains travaillant sans relâche dans les ateliers. Il sentit naître à nouveau en lui cette colère qui l’avait poussée à s’élever contre les gardes dans son village. Il n’avait pas à chercher bien loin qui était responsable de sa colère, qui profitait de cette injustice, la ville tout entière le proclamait, les désignaient, ceux qui s’enrichissaient sur le dos des plus faibles.
Le reste de la troupe ne fut pas vraiment réceptif à ses discours, avant tout concerné par la recherche d’un riche mécène. En fait, il ne s’en inquiétèrent vraiment que lorsqu’ils trouvèrent un tel mécène, un riche bourgeois qui désirait donner une fête dans sa demeure. Caïn clama haut et fort qu’il comptait bien en profiter pour jeter le fond de sa pensée aux visages de ceux qui osaient vivre ainsi sur la misère d’autres humanoïdes, une partie de la troupe en fut horrifiée, tandis que certains, plus rares, le soutinrent. La dispute s’envenima à un point tel que Caïn choisit de quitter la troupe, accompagné de quelques amis qu’il avait convaincus.
Ils commencèrent à jouer dans les ruelles des bas-quartiers, ils essayèrent bien de jouer dans des rues plus fréquentées mais la garde les en chassait systématiquement en raison de leur aspect miséreux. Ils logeaient où ils le pouvaient, se nourrissaient de peu et chantaient des chants parlant d’espoir et de liberté, contaient des histoire où le petit triomphait du puissant, permettaient à ceux qui habitaient ces tristes ruelles de rêver et de s’évader pour quelques minutes ou quelques heures.
Ils se servaient de leurs quelques talents magiques pour distraire les gardes et éviter les voleurs ou les gros-bras cherchant une proie facile. L’expérience de Caïn de la survie en pleine nature se révèla remarquablement bien adaptée à la survie en ville, les règles changeaient peu : Trouver un endroit où dormir, savoir où trouver de la nourriture et de l’eau fraîche, connaître les prédateurs, connaître les lieux. Et toujours des chiens accompagnaient la petite troupe, leur tenant chaud durant la nuit, les avertissant à l’approche d’un danger, les défendant même en cas de besoin. Caïn apprit également à domestiquer les rats, agrémentant certains de leurs spectacles de petits tours de dressage.
Mais cette vie était rude, trop rude pour les compagnons de Caïn qui, un par un, choisirent de retourner à celle qu’ils connaissaient. Il finit par se retrouver seul à nouveau. Vagabond au sein de la ville, dormant où il pouvait, mangeant ce qu’il trouvait ou ce qu’on lui donnait. Mais il ne cessait pour autant de chanter pour les autres habitants des bas-quartiers, pour tous ceux qui méritaient mieux que la misère dans laquelle les puissants les maintenaient plongés.

Barbare, c'est un peu léger, ce n'est pas seulement quelqu'un qui se met en colère, mais bien un être dont le mode de vie améne à vivre cette sorte de spasme de furie, incarnation même de la fureur de la nature.
Donc développe un peu plus cet aspect là.

Barde, c'est un peu léger aussi. Donne une vision plus artistique que celle du chansonnier. De plus développe également son coté arcanique , la façon, dont il va charmer la toile.

Rôdeur , c'est un peu léger également: tu n'évoque pas de lien avec la nature.

Hop-là, je détaille donc.

J'éditerai le post de base au fur et à mesure, chapitre par chapitre.

Pour le moment, triturage de l'histoire par chapitre, et postage des chapitres 1, 2 et 3

Ploup, chapitre 4 up
chapitre 5 en préparation

des nouvelles ?

Quand j'aurai du temps

C'est en cours mais je manque de temps pour rédiger le tout.
Déjà que je n'ai presque plus le temps de me connecter.

Je le mets au cimetière