- Citation :
- Nom du compte joueur forum : Turok
Nom du compte joueur module : Turok007
Nom du perso : Laurë Elsilmas
Race : Elfe
Sous race : dragon d'argent
Age : 200
Alignement : Chaotique neutre
Religion : Corellon
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : 15barde/10ddr
Arme de prédilection/domaines/école de magie : arc long
Langues : elfe, commun/ puis draconique en fin de compte
Familier/Compagnion animal : aucun
Ennemis jurés : aucun
Trait de Caractère : douce et timide, plus inspiré par la musique et la danse mais neanmoins fort curieuse du monde qui l'entoure. Souvent reveuse.
Description physique :
Caractéristiques :
FOR : 8
DEX : 17
CON : 6
INT : 14
SAG : 8
CHA : 18
Eveil à la vie Née dans le village de Rasharle au pied des montagnes du pic du dragon, les deux enfants sont de faux jumeaux. Une elfe et un elfe née dans la joie d’un solstice d’été, la température est lourde, le ciel chargé de nuage et zébrer d’éclair, un été de grande chaleur s’annonçe. Le premier enfant est nommé Elthraï et la fille quand à elle est nommée Laurë. La famille Elemmire passe la nuit à festoyer et à célébrer avec le village la venue au monde de ces deux enfants. La nuit est chargée de chant et de vin, de fête et de complicité, avant que la rêverie rejoigne et enjoigne les elfes au repos tandis que les deux enfants sont confiés pour leur première nuit au temple de Corellon.
Dans la nuit quand le village rêve, apaiser, un homme entre dans le temple. Ses traits sont ceux d’un homme à la chevelure d’argent. Son visage est souriant et jovial alors qu’il semble apparaître de nulle part et traîner avec lui une légère brume. Entrant dans le temple du père des elfes avec un plaisir non dissimulé et un respect afficher, Il s’approche de l’autel ou les deux enfants sont déposer et leur mère à coté d’eux. Elle ne rêve pas, et attend visiblement la venue de cet être étrange. Elle le regarde s’approcher de ses enfants sans s’interposer, il les regarde, vient juste effleurer la joue de chacun des enfants d’une délicate caresse de la main. Les deux enfants regardent l’être de leurs yeux à peine ouvert au monde tandis qu’il regarde la femme lui adressant un sourire plein de remerciement. Il lui tend alors une main dans laquelle se trouve une bourse et deux collier, les colliers sont fais d’un simple morceau de cuivre auquel est rattaché une écaille de dragon d’une couleur bleu argent.
« Pour t’aider dans leurs éducation, comme je l’ais fais a ton père et a son père avant toi… votre ligné me ravie chaque siècle et je ne vous remercierais jamais assez du plaisir que j’ais avec votre peuple… ces enfants sont les tiens mais a jamais ils seront les miens également. Merci pour tout ce que vous faites toi et les tiens. »
Elle ne répond pas, laissant la bourse à la place ou l’homme l’a déposé avant qu’il adresse un dernier sourire aux deux nouveaux nés pour repartir en direction de la sortie du temple. Il disparait dans la brume qui augmente à mesure qu’il sort du temple.
Elle dépose l’or sur l’autel, le laissant pour les prêtres de Corellon tandis qu’elle regarde les deux colliers. Elle lance alors un dernier regard en direction de la sortie ou l’être a disparut puis elle regarda ses enfants, et passe autour de leur cou les colliers offert.
Une adolescence insouciante :Le temps passe et les saisons se succèdent dans le village. Chacun vie sa vie, les adultes commercent et ce battent quand le besoin se fais sentir. Les adolescents jouent à leurs jeux et apprennent tandis que les enfants sont éduqués. Les deux enfants de la famille Elemmire ne font pas exception aux règles de la communauté. Ils doivent apprendre le langage des elfes mais cela ne semble pas leur poser de soucis. Ils sont toujours ensemble, deux flammes d’une même vie qui danse, jovial et joueur. Ils sont chapardeur et adorent s’allonger dans l’herbe à regarder le ciel, contempler les nuages et les formes qui y dansent. Le temps passe pour chacun, mais pour tous il est ingrat. Chaque année apporte son lot de bonnes nouvelles et de mauvaises. Les enfants passent les 50 premières années de leur vie à apprendre la langue de leur père, également la langue des humains qui commerce avec le village sous la tutelle des anciens. Les deux elfes semblent fasciner par les humains et leurs nombres tandis que leurs parents essayent de les empêcher de trop s’approcher des humains. On leur enseigne les dogmes elfique, le bien être de chacun passant par le bien de tous, ainsi que les règles de la communauté dans lequel ils sont mais comme tout enfant qu’il apprend il prend ce qui l’intéresse et rejète ce qui l’incommode. Les deux enfants sont souvent réprimander pour leurs facéties et leurs espiègleries ainsi que leur dilettante, préférant regarder le ciel que de travailler et d’aider leurs parents dans des taches simple. Puis un jour les joies insouciantes de la vie d’enfant prennent fin.
Le premier départ. Un jour comme un autre tandis que le temps suit son cours dans le village elfique, ce jour là on demande aux enfants de rester à la maison et de ne pas ce rendre auprès de leur tuteurs. Les enfants sont ravis mais la joie n’est que de courte durée. La mère des enfants ce présente à eux habiller d’une tenue plus proche des guerriers que des artisans, elle est sculpteur sur bois normalement. Elle portait un arc et deux épées longues à ces ceintures, un dragon stylisé sur les gardes des lames. Elle regarde les deux enfants présent et leur père, lui sais ce qu’elle s’apprête à dire ce souvenant de la visite qu’ils ont eut hier soir.
« Je vais devoir vous laisser, un ami à besoin de moi pour protéger sa famille et vue qu’il est très important pour notre famille je ne peux refuser. Je suis navrée de devoir partir maintenant mais je vous laisse en compagnie de votre père pour plusieurs années… »
Les larmes et les pleures se font entendre dans la demeure pendant de longues heures. Les enfants refusent cela du plus profond de leur cœur. Les deux enfants semblent déchirer de ce départ tandis que leurs mère leur explique que de là ou elle sera elle veillera sur eux et que elle sera toujours là à leur coté. Les enfants peuvent voir alors qu’elle aussi porte le même pendentif qu’eux ont depuis toujours, ce simple morceau de cuivre avec cette écaille. Ce détail ne les trouble pas plus que cela vue l’ampleur du désastre qu’on vient de leur annoncer. Puis à la tomber de la nuit leur mère se dirige vers la sortie du village. Les enfants avec leur père la regardent partir alors qu’une brume ce lève et vient englober leur mère avant qu’elle ne disparaisse dans les ténèbres d’une nuit d’encre.
Grandir…Dés ce moment plus ne rien n’est pareil, les elfes ne comprennent pas qu’une mère puissent abandonner ces enfants. Leur père se contente de répondre qu’elle a fais ce qu’il fallait. Les enfants commence à devenir moins jovial, plus refermer sur eux a mesure que la pitié des adultes ce fait sentir… En ayant assez de ces jérémiades sur leur sort, sur leur mère qui les a abandonnés, ils s’isolent de plus en plus en direction des prairies pour s’allonger ensemble et contempler le ciel et ces nuages. ils rêvent et ce laissent aller à leur imagination grandissante d’enfant. Rentrant souvent à la nuit tombée avec l’espoir de revoir le sourire de leur mère devant eux ils ne sont jamais combler de ce plaisir et avec le temps l’espoir commence à disparaître. Voyant ses enfants dépérir avec le temps et se refermer de plus en plus, leur père cherche à leur trouver un plaisir qui leur redonnerait plaisir à vivre et à côtoyer les autres. Il le trouve dans la bibliothèque de la demeure familiale de sa femme, la bâtisse est à l’abandon et construite à l’extérieur de la cité. Il s’y rend une fois par mois pour vérifier que tout s’y trouve et fait un semblant de ménage. Les enfants n’en connaissent pas l’existence, la mère à demander qu’ils ne soient pas en contact avec sa famille dont elle est avant eux la dernière représentante vivante. Dans cette bibliothèque se trouve une multitude d’ouvrage parlant de légende et de compte, de chanson et de créature mystique. La mère étant partie il peut leur apprendre ces choses la. Un soir alors que les enfants reviennent de leur escapade dans les prairies leur père les attend avec un livre pour chacun, deux recueilles de vieilles chansons elfique. Il leur offre en leur disant qu’il s’agit d’un cadeau de leur mère qu’elle leur a envoyé. Fou de joie les deux enfants se jettent sur les ouvrages les regardant, un sourire sans limite dont seul les enfants sont capables apparait sur leur visage et il semble complètement transcender par les chansons en elfique, les histoires et les compte dans ces recueilles. Passant la nuit à lire au lieu de rêver, leur père les trouve le matin chacun à leur bureau en train de lire, il fut même surpris de voir sa fille essayer de chanter. Le cœur ravie de voir ces enfants à nouveau heureux d’une chose il ne sait pas que du haut des nuages, sur l’orbe de vision la mère des enfants pleure en silence la déchéance de ces enfants.
La vocationLes enfants passent des mois à apprendre les champs des ouvrages, la majorité parlant de dragon et de légende oublier, des connaissances anciennes et visiblement très bien détailler sur les races anciennes. Les enfants lisent les ouvrages avec appétit et envie, leur père allant chaque mois chercher dans la demeure de nouveau ouvrages, les donnant aux enfants alors qu’il dit qu’il s’agit de cadeau de leur mère. Les enfants sont tellement passionner par cela qu’ils ne voient plus le temps passer. Ils racontent des histoires à leur compagnon de jeu qu’ils ont retrouvé et n’hésitent pas à sourire et chanter en pleine rue, le faisant même face au nuage quand ils sont allongés dans l’herbe. Puis un jour pour le solstice d’été on propose aux enfants de faire une fête pour leur 85éme anniversaires. Les deux enfants acceptent avec plaisir alors qu’il commence à bien maîtriser leur chant et préparent un spectacle pour les invitées de la famille. Le soir venue les enfants sont fin prêt, usant de costume fais lors de la préparation ils jouent la pièce des amants éternelle. Les enfants rayonnent dans leur costume et semblent vraiment incarner les personnages, la voix des deux enfants semblent exceller, le ciel est couvert de nuage mais les éclairs sont silencieux, nul tonnerre ne vient perturber la pièce.
La soirée ce passe sans problème. Tous sont ravis de fêter les 85 ans des deux enfants qui jouent de plaisir les acteurs, improvisant la suite de leur jeu d’acteur pendant la soirée, parlant en rime. Leur père est ravi et ce jour là leur mère l’est aussi, tandis qu’elle regarde par delà les nuages ces enfants grandir alors qu’elle accomplit son devoir. Le père parle avec une des maîtresses de la maison des arts de la communauté. Elle lui dit que ces enfants ont une place de choix, leur talent pour jouer et raconter des histoires serait le bienvenue dans son école et cela permettrait de développer leur art. Les deux enfants ne se soucient pas de cela mais ils sont en âge de commencer l’entraînement aux armes également car le monde qui les attend est des plus dangereux.
Il fallait y réfléchir et ce soir le temps n’est pas à la décision mais aux jeux, les enfants le comprennent mieux que quiconque à l’aube de leur adolescence.
L’adolescence Toujours aussi unie qu’un corps et son esprit les deux enfants prennent la même voix. Les deux acceptent d’appendre le maniement des armes avec leur père. Ils savent manier l’arc long et l’épée longue à la perfection. ils apprennent le soir tandis que la journée ils partent dans l’école des arts elfique pour perfectionner leur voix et leur connaissance dans le spectacle et les arts. Il faut dire que à ce moment la ils connaissent leur première dissension, les deux enfants ayant malgré leur attachement des différences plus que visible dans leur accomplissement. Le corps d’Elthraï développer et puissant alors qu’il ravit son père au maniement de l’épée mais ne semble pas très douer à l’arc. A l’académie il semble délaisser les danses et les spectacles, préférant le calme de la peinture et du dessin mais n’hésite jamais à chanter avec sa sœur. Leur plaisir grandit à mesure que leur enseignement progresse et les rend meilleur dans leurs discipline respective. Laurë quant à elle, même si est aussi forte que son frère est plus fine et bien plus gracieuse, plus attirante et visiblement plus conviviale. Elle excelle à l’arc et semblait plus agile mais n’apprécier pas le contact du corps a corp. Alors que son frère passer son temps à peindre elle se prend de plaisir à laisser son corps danser dans des salles vides, elle exprime souvent se rêve qu’elle fait de danser au milieu des airs, marchant sur les nuages avec le soleil sur sa peau.
Les deux enfants passent des années à s’entraîner au maniement des armes et de l’art qu’ils ont choisis, semblant oublier peu a peu leur mère tandis qu’ils conservent le collier de leur naissance. Un étrange liens les unis, ils aiment toujours ce retrouver dans les plaines a regarder le ciel, parlent facilement entre eux de rêve d’autre temps, de rêve de connaissance qu’ils n’ont pas et qu’ils désirent comprendre et connaître mais nul ne sais les renseigner sur cela… le temps passe et le temps marque les corps et les esprits, chacun développe ses talents jusqu’à ce solstice d’été ou ils eurent 150 ans.