- Citation :
- Nom du compte joueur forum : Memphys.
Nom du compte joueur module : Ezhul.
Nom du perso : William De Tahal.
Race : Humain.
Sous race : Aucunes.
Age : 31.
Alignement : Loyal Mauvais.
Religion : Bainite.
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Guerrier (15) / Chevalier Noir. (10)
Arme de prédilection/domaines/école de magie : Epée Bâtarde.
Langues : Commun.
Familier/Compagnion animal : Aucuns.
Ennemis jurés : Tout le monde et personne.
Trait de Caractère : Froid, distant.
Description physique :
"Devant vous se dresse un individu de stature imposante, un joli mètre quatre-vingt dix et une carrure digne d’un guerrier aguéri, vous lui donnerez a vue de nez la trentaine d’années.
Sa peau est d’un coloris similaire a celui de l’Albâtre accentuant ainsi la froideur de son regard, le sombre et prononcé bleu de ses yeux peut demeuré envoutant, voir percant selon le regard qu’il décide de vous accorder.
Son regard quant a lui est dénudé de toutes expressions en toutes circonstances, ou presque. Donnant l’impression qu’il est figé, ou sculpté dans le froid de la roche.
L’intonation de sa voix demeure froide et rauque, mais vous noterez que lorsqu’il décide de vous parler c’est régulierement sans grandes convictions.
Malgrè la froideur qui se dégage de l'individu, notez que ses traits ont conservé tout leurs charmes.
Bref, vous avez devant quelqu’un qui apart le calme et la solitude, ne demandes rien."
Caractéristiques :
FOR : 14
DEX : 10
CON : 16
INT : 13
SAG : 10
CHA : 13
Connu pour leur férocité au combat, leur puissance et leur violence, les guerriers Lorgolite font partie des plus redouté combattants du Val de bise. Parmis eux se trouvent une élite de soldats, aguerri aux combats, et désireux d’en découdre avec leurs ennemis. Ils vivent pour le plaisir de se battre. La mort ne leur fait pas peur. Ils ont une volonté de fer, et leur seule crainte est de finir vieux, édenté et sans gloire…
William, jeune homme de 31 ans, installé dans la campagne de Lorgol depuis un an et demi avec femme et enfant, commençait à se faire connaître comme l’un des meilleurs forgerons de la couronne du Nord. De sa forge, dit ont, sortait parmis les meilleurs armes du Val de bise. Homme ordinaire, travaillant dur pour subvenir aux besoins de sa famille, il avait appris à travailler l’acier avec son grand père, aujourd’hui disparu, et qui lui léga la forge familiale. A force de travail et d’entêtement, William maîtrisa de mieux en mieux son art, améliorant sans cesse les techniques, pour faire de ses armes de petit chef d’œuvre de légèreté, de maniabilité et de robustesse. Ses armes dit ont, donnaient un net avantage en combat à celui qui la maniait. Son commerce devint rapidement prospère et plébiscité par les hommes d’armes de la région.
Marié depuis deux ans, avec deux enfants en bas ages, William n’oubliai jamais de remercier les dieux pour les bonheurs de sa vie. Sa famille était son bien le plus précieux, son trésor, sa raison de vivre. Sa femme, très belle, grande, au corps élancé, avec de long cheveux brun, des yeux vert émeraude, avait la grâce et le prestige d’une dame de haute ligné, bien que n’ayant aucune goutte de sang noble. Il l’avait rencontré alors qu’il faisait une halte chez des fermiers qui lui avait offert le gîte pour une nuit. Elle travaillai dans cette ferme comme domestique. Au premier regard, il su que cette femme était faite pour lui, et qu’il ne pourrait jamais en aimer une autre. Elle laissa son travail à la ferme pour repartir des le lendemain avec lui, et plus jamais ils ne se quittèrent. Elle lui donna rapidement deux enfants, qu’elle tacha d’élever au mieux pendant que son mari travaillai dur à la forge.
Bien que prospère, son commerce lui permettait au mieux de mettre quelques sous de coté chaque mois, après avoir dépensé le reste pour les besoins quotidien, mais cela le comblait déjà, car il savait bien que bon nombres de gens devait régulièrement se priver, joignant difficilement les « deux bouts ».
Il vivait heureux avec sa femme et ses enfants, étant également épanoui et heureux dans sont travail, la vie aurait pu s’écouler ainsi paisiblement pendant des années, il ne demandait rien de plus….
Mais la prospérité attire la convoitise, et les jolies femmes la jalousie et l’envie…
Un jour qu’il s’était absenté de sa forge, alors qu’il était sur le point de rentrer, il aperçu sortant de chez lui deux soldat d’élite Lorgolité, reconnaissable à leur impressionnante armure et le charisme se dégagent d’eux. Encore trop loin pour leur parler, il vit que les deux soldats repartaient, avec une petite collection d’arme de sa fabrication. La transaction devait avoir été fructueuse, et sa femme serait heureuse de lui annoncer une telle vente, qui leur apporterai de convenable ressource pour un temps.
Il hâta le pas, mais quand il fut arrivé au pas de sa porte, les soldats, à cheval, étaient déjà bien loin…
Il entra chez lui, et fut de suite surpris par le silence pesant qui y régnait. Il ne s’inquiéta pas, se disant que sa femme devrait être retourné à l’arrière court. Il appela sa femme, pour qu’elle l’entende et ne soit pas surprise de son arrivé. Ne la trouvant pas dans la maison, ni dans l’arrière court, il alla voir à tout hasard dans son petit atelier, situé au fond du terrain.
Il ouvrit la porte, et fut tétanisé par le spectacle qui s’offrit à lui…
Sa femme, totalement dévêtu, gisait, morte, sur son établie. Ses mains et ses pieds étaient attachés aux pieds de l’établis par une grosse corde, et les marques présentes sur les poignets et cheville de sa femme trahissait qu’elle avait du se débattre longuement pour tenter d’échapper a ses liens. Son visage trahissait une profonde panique, et William imagina l’enfer que sa femme avait vécu. Ceux qui l’avait entravé à l’établi, avaient usé de son corps, la violentant, lui faisant subir d’innombrable sévices…..Il regarda longuement sa femme, incapable de pleurer ou de crier, tant la douleur et la peine qu’il pu ressentir le priva de toute réaction. S’avançant de quelques pas, il découvrit alors ses deux enfants, blotti au fond de la pièce, l’un contre l’autre. Les criminels….les……aucun mot ne pouvait qualifier de tels monstres…..avaient offert aux deux enfants le spectacle atroce de la fin de leur mère, avant d’en finir également avec eux.
Sa femme, ses enfants, tout trois avaient fini égorgés, leurs sangs coulant encore abondamment sur le sol…
William cru devenir fou, la haine et la douleur envahissant tout son être. Il pensa aux dieux qu’ils avaient priés avec sa femme….Gond, seigneur des forgerons, et Chauntéa, la mère nourricière………comment avait ils pu laisser faire cela ? Ils les avaient prié, régulièrement, et ils n’avaient pas protégé sa famille.
Sa haine et sa colère trouvère leur cibles….Les dieux…..ceux qu’ils avaient prié ne valaient rien…..il les reniaient…car ils savait qu’un autre dieux saurait écouter et apprécier la haine qui battait maintenant dans son cœur……et puis, ses soldats Lorgolite, les instruments de son malheur….
Il ne pourrait rien contre les dieux qui l’avaient abandonné, sinon se tourner vers le seul et unique dieu qui pourrait le comprendre et l’accepter…un dieu fort, puissant et cruel……Baine.
Les soldats, quant à eux, il les retrouveraient, et leur ferait rejoindre le royaume des morts dans d’insoutenables souffrances. Ils les retrouveraient facilement, car il pourrait les identifier aux armes qu’ils avaient emporté avec eux…des armes qu’il reconnaîtrai a coup sur.
Mais pour arriver à ses fins, il lui faudrait une aide puissante, car il n’était pas un guerrier. Tuer ses soldats, les faire souffrir milles morts, ne serait pas chose aisé. Il fabriquait des armes de choix, mais n’avait jamais eu à combattre avec…
Aujourd’hui, il allait apprendre. Apprendre à se battre, apprendre a tuer, apprendre à faire souffrir.
Dans une dernière lueur de lucidité, il regarda sa femme et ses enfants. Devant leur dépouille, sa raison l’abandonna, et il se laissa envahir par une colère noire, profonde et pure.
La haine guiderai désormais ses pas. Il sorti de son petit atelier, puis y mis le feu. Nul ne pourrait voir le drame qui s’y était joué….il serait le seul, avec les criminels, a garder la vision et le souvenirs de se cauchemar.
Regardant partir en fumé la dernière demeure de se qu’il avait eu de plus chère en ce monde, un rire affreux, guider par la haine, sorti de sa gorge. Le monde n’était que folie, douleur et haine.
Il tomba à genoux, et implora l’aide de quiconque voudrait l’aider, s’abandonnant totalement….
Apres quelques instant, les flammes grossirent, et devinrent d’une impressionnante vitalité. Le feu lui paru presque vivant, irréelle.
Alors, un homme se dressa devant lui, le toisant de son regard, un homme dont l’aura et le charisme le fit sentir insignifiant.
Toujours agenouillé devant l’homme, William releva les yeux et découvrit le regard de celui qui le fixait. Ce regard exprimai un puit sans fond de haine et de malices, un regard de démon.
L’homme lui demanda, d’une voix calme mais puissante :
- De quelle aide a tu besoin William ?
William se demanda comment cet homme pouvait connaître son prénom, mais il n’osa lui demandé….surtout…il commençait a comprendre la véritable nature de celui qui se dressait devant lui….et cela le terrifiait, et le fascinait tout à la fois.
- Je veux savoir me battre. Je veux pouvoir tuer ceux qui m’ont tout pris
L’homme le sonda de son regard si terrifiant, puis lui posa une nouvelle question :
- Qu’est tu prêt a payer pour une tel aide William ?- Je suis prêt a tout donner…..tout ce que vous voulez…ce qui me tenait le plus a cœur n’est plus…aujourd’hui je n’ai plus rien……
- ton âme William ? tu me donnerai ton âme ?
William hésita un instant, puis hocha la tête…sa vie n’était plus que haine et douleur…et son désir de vengeance était désormais son seul bien.
- marché conclut William ! Un jour, tu me donneras ton âme…mais avant, tu auras ta vengeance. Si tu me sert comme il faut, je ferait de toi un puissant guerrier, et tu me donnera des âmes fraîche, pour prouver ta servitude…Tu sera fort et puissant William…mais n’oublie jamais qu’un jour, je t’appellerai au prêt de moi. Tu y auras une place de choix, si tu me sers fidèlement.
L’homme disparu sur ces derniers mots….
Les jours passèrent, William avait tout abandonné. Il avait quitté sa maison, et rodait désormais dans le nord du val de bise, à s’entraîner, à tuer.
Il avait vite senti en lui l’aide que « l’homme » lui avait apporté. Il bénéficiait d’une aide démoniaque, lui donnant les compétences, les caractéristiques, la férocité d’un vrai guerrier du chaos.
Le démon réapparu de temps en temps à William, toujours sous sa forme humaine, pour le guider, le conseiller, mais aussi et surtout pour rappeler à William son allégeance envers son maître. Son maître, voilà comment il appelait ce démon.
William devint rapidement un puissant guerrier, un chevalier du chaos.
Le temps de la vengeance se rapprochait à grand pas. Il retrouverait bientôt ses soldats délite Lorgolite, et les tuerai en leur infligent d’infini souffrance.
« Des âmes pour mon maître ! » criai t’il en combattant…..