[Validé/disparu][Barbare/Prêtre] [H] Ashe Von Wyrgmös

Ashe Von Wyrgmos

Citation :

Nom du compte joueur forum : leguman.
Nom du compte joueur module : daniilof.

Nom du perso : Ashe Von Wyrgmös
Race : humain.
Age : 23.
Alignement : chaotique neutre.
Religion : Garagos (Le pillard, Maître de toutes les armes, Seigneur de guerre)

Classes (et nombre de lvls prévus) : barbare (10), prêtre (15).
Arme de prédilection : épée bâtarde.
Domaines : force et guerre.
Langues : commun.

Trait de Caractère : excessive, si elle doit faire quelque chose, elle le fera généralement trop. Impulsive au premier abord, mais ses geste sont réfléchit. Elle est rancunière, franche et prévoyante. Elle garde volontiers son sang froid mais peut être très violente lorsqu’elle vient à combattre. (Son caractère évoluera probablement dans le jeu)


Description physique : Une jeune femme au trait anguleux. Si il fallait retenir quelque chose de son visage se seraient ses petits yeux bleus malicieux. Les cheveux étrangement bleutés, du probablement à sa terre d’origine, et qui s’efforcent de rester en bataille. Ashe est de taille moyenne et est plutôt musclée pour une femme. Elle porte la majeur partie du temps, les vêtements traditionnels des peuples nordiques de son pays natal : « des pièces d’armures forgées et ouvragées selon la coutume et des peaux hivernales d’ours, de loutres, de boucs, ou de loups». Elle tente de garder, le plus souvent, au moins une arme sur elle. Son épée bâtarde enroulé dans une peau de bête blanche qu’elle ajuste par le biais d’une lanière de cuir dans son dos ou au minimum une dague qu’elle range dans un fourreau fixé à sa cuisse (dissimulé ou non).

Caractéristiques :
FOR : 14
DEX : 8
CON : 14
INT : 10
SAG : 16
CHA : 14

Les origines :

J’ai grandi dans la cité nordique impériale de Svartalfheim qui était en pleine expansion, sous la protection d’Aurile et de Chauntéa. Les propriétaires terriens voyaient l’agriculture évoluée à une vitesse jamais acquise auparavant. Les jardins étaient orné de majestueux pins plusieurs fois centenaires, la plupart du temps enneigé. Les greniers de la ville entassaient confortablement les légumineuses en prévision de l’hiver. La classe artisane découvrait d’années en années de nouvelles techniques de production, au grand bonheur des forgerons et des tonneliers. Les petites entreprises locales exportaient leurs marchandises au pays voisins. Mais il y avait tout de même quelque chose que nous ne partagions pas. En faire la moindre évocation à un étranger était interdite. C’était ce que l’on appel encore aujourd’hui « le fruit des dieux », le précieux Kakiss. Ses utilisations étaient aussi différentes que variés. De l’huile de cuisine à la médecine en passant par les filets des pécheurs, le purificateur d’alcool, Les produits de beauté,… Ce fruit était considéré comme sacré du faite qu’il pouvait guérir bon nombre des maladies régulièrement contractées par la population. L’empereur était aimé de ses sujets et on disait de lui qu’il était le meilleur dirigeant de ces derniers siècles. Il s’entourais de nombreuses personnes instruites : « devins, shamans, maîtres d’armes, historiens, architectes, espions, éclaireurs, conseillés et prêtres ». La religion tenait une place cruciale dans la cité côtière de Svartalfheim, car pour l’empereur c’était le respect et la crainte des dieux qui faisait gardé l’équilibre au sain de notre peuple...

L’initiation :

Durant toute ma petite enfance qui n’a pas toujours été facile, j’ai tout fait pour ressembler aux garçons, au grand désespoir de mes humbles parents. Malgré leur éducation des plus traditionnel, j’ai toujours préféré me battre que de jouer à n’importe quel jeu de petite fille. Pour me punir mes parents m'ont envoyé dans une chapelle ou il n’y avais que des femmes. J’ai trouvé cela aussi passionnant que de compter les poils sur la tête d’un chauve. Apres plusieurs incidents que je qualifierai de mineur, comme des bagarres pendant le goûté ou des insultes, mes parents durent se résigné à me laissé m’engagé dans la milice du nord. C’est là-bas que j’appris à manier une arme avec efficacité. Mon engouement pour la guerre fit de moi la meilleur combattante de mon bataillon. Cette place d’honneur était, selon la coutume, récompensée tous les 5 ans par l’empereur lui-même. Ce dernier fut sidéré d’apprendre que le combattant le plus brave de sa milice n’était autre qu’une femme !

Probablement plus dans un soucis d’honneur collectifs masculin que pour réellement me récompensée de mes effort, il m’exclut de la milice au profit des disciples de Garagos. Bien que je compris rapidement que c’était une façon pour lui de faire d’une pierre deux coup, cela n’en était pas moins un honneur d’être la première femme à entré dans les ordres du combat et des armes. L’empereur devait pensé que l’enseignement des plus ardu que pouvait m’apporté ce clergé me ferais peu être changer d’avis. C’était bien plus que mes espérances les plus farfelues et j’acceptai très enthousiaste.

Les prêtres de Garagos étaient les plus vaillants des combattants de l’empire. Ils m’apprirent les dogmes du seul vrai dieu de la guerre avec un fanatisme peu commun mais sans une certaine animosité à mon égare. Je dissipai les malentendus en coupant mes cheveux bleutés d’adolescente affin de ressemblé le plus possible à un prêtre le temps que je restai au temple.

Citation :

Dogme : La paix est bonne pour les imbéciles et les faibles. La guerre rend ses protagonistes forts et l’honneur ne saurait se satisfaire que de conflits directs. Seuls les lâches fuient un combat. Quiconque terrasse un adversaire en lui semant une embûche ou en le frappant dans le dos fait montre de lâcheté. La retraite est inenvisageable, même face à un ennemi plus puissant que soi, car si le cœur du guerrier se tourne vers Garagos, ce dernier lui offrira assez de force pour vaincre son ennemi.

La malédiction :

Ses dernières années, la mer était de plus en plus capricieuse et nous apprenions progressivement à nous en passer. Jadis, elle nous apportait quatre-vingt pourcents de notre alimentation… Mais lorsque nous avons prit la mer, moi et mes compagnons, il y a maintenant 6 mois 8 jours et ce matin, les arrivages de poissons étaient bien maigres et composaient à peine 10 pourcents des vivres. Les conseillés cléricaux royaux étaient resté assez vague à ce sujet mais ils étaient persuadés que c’était Talos et Istishia qui se querellaient pour le contrôle de la mer. Notre dévotion envers Chauntéa, nous avaient aveuglé sur les agissement de Talos le seigneur des tempêtes. Istishia serait sortit victorieux mais nous punit pour notre hérésie. Pour ma part…la cause n’a aucune importance comparée à la puissance de la conséquence...

Je ne m’en rappel plus bien mais je crois que s’était un jeudi. L’empereur avait ordonnés au marins, de ne plus se risqué à prendre la mer, ils pouvaient rester chez eux se jour la. Oui un jeudi, cela ne pouvait pas être un autre jour qu’un jeudi… Tout le monde ce matin la l’avait entendue. La déflagration du bruit résonna dans les cales des bateaux pendant une dizaine de secondes. En suite la mer s’agita comme pour nous défier, ou nous prévenir … mais s’arrêta net une demi heure plus tard. La journée ce passa dans l’angoisse général mais plus aucun incident ne survenu. Les paysans étaient en train de rentré leur bois pour la nuit lorsque nous vîmes par nous même la colères des dieux. Nous sentîmes tous, une secousse qui ne dura que quelque seconde mais qui ébranla tout Svartalfheim du sol au plafond. C’est alors que la mer se retira, laissant les bateaux heurtés les bas fond du rivage. La ville entière en eut le souffle coupé. Les quelques minutes qui suivirent furent les plus longues de nos existences; contemplant cette étendue d’eau, guettant le moindre changement à l’horizon sur cette surface liquide et cruel. La vague faisait dans les 45 mètres de hauts, se qui aurais suffit à tout dévaster sur le passage du puissant raz-de-marée, si les arbres et les plantations de Kakiss ne l’avaient pas conditionnés et ralentis. La mort humide c’était enfoncé jusque dans les terres pour venir lécher les premières marches du palais impérial. Ultime défit des dieux envers l’empereur. Les dégâts matériaux et physiques sur la population furent colossaux. L’empereur devait faire quelque chose sous peine de voir sa cité mise à feu et à sang par les villageois désespérément en colère… C’est lorsqu’ils ont commencé à s’armer que j’ai sus qu’on ne pouvait pas faire demi-tour…


L’idée fut lancée par un ami de l’empereur lors d’un banquet qu’il avait organisé à la mémoire des 250 milles morts et des quelques millions de disparus dans les villages balnéaires des environs. J’étais bien évidemment conviée en temps que chef tacticienne militaire étant donnée que celui qui occupait normalement ce poste dans le culte de Garagos était lui aussi porté disparu. La nouvelle c’était rapidement propagé dans la salle pleine de hauts dignitaires. Il faut faire un sacrifice pour les dieux. Leur prouvé notre dévotions en leurs offrant le même nombres de vies que la mer nous avais enlevé. Cette solution fut tout de suite félicitée par l’empereur qui n’en attendait pas moins.

Je n’eu guère le choix lorsque l’on me confia le commandement du premier drakkar d’assaut, mais je ne m’en suis jamais plainte durant les 2 années qui on servie à reconstruire le port et la flotte naval. Par contre, lorsque nous somme entrée dans les eaux glacées qui nous séparaient du continent, je me suis réellement demandée se qu’une offrande au dieux, quel que soit son ampleur, pouvais bien changé à l’immensité de la mer…

J’y ai trouvé par la suite, l’occasion rêvée de donné à mon culte la revanche qu’il attend depuis si longtemps. Puisque j’ai été nommée pour me rendre sur le continent dans le simple but de renvoyer asse de cadavres à la mer pour apaiser les dieux.
Pourquoi ne pas choisir moi-même les cibles … Le seul vrai seigneur de guerre reprendra bientôt sa place au panthéon.

Ca me convient, je valide