[Validé/disparu][Prêtre][H] Bellérophon

Citation :

Nom du compte joueur forum : Eoriala
Nom du compte joueur module : Eoria
Nom du perso : Bellérophon
Race : Humain
Age : 28 ans
Alignement : Loyal neutre
Religion : La Cavaliére Rouge
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : 25 Prêtre
Arme de prédilection/domaines/école de magie : Epée longue / Guerre et Protection / Enchantement
Langues : Humain, Celeste
Trait de Caractère : Bellérophon est un jeune homme timide et reservé, il est capable de compassion aussi bien que d'envoyer un bataillon d'homme à la mort afin de remporter une victoire. Il est egalement trés organisé et particuliérement maniaque envers lui même et les choses qui l'entourent.
Description physique : Jeune homme de stature moyenne, son epaisse chevelure d'ébéne s'harmonise avec le clair de ses yeux. Souvent vêtue rouge, il porte le symbole de la grande maîtresse de l'echiquier et de la compagnie rouge. Il offre souvent un regard à double facettes, tantôt enjoué, tantôt triste et affiche une certaine reserve face aux inconnus. Il posséde egalement, en pendentif, une piéce d'echec, un roi noir.

Caractéristiques :
FOR : 14
DEX : 8
CON : 10
INT : 14
SAG : 16
CHA : 14

Bellérophon est un fils d'Amn, né au sein du temple de la Cavalière Rouge. Son père et sa mère étant tout deux prêtres de la Grande Maitresse de l'Echiquier, il est normal que l'enfant marche dans les pas de ses parents. Petit garçon réservé et curieux, il fut envoyé aux cours dispensés par les Prêtres pour y apprendre tout ce qu'un suivant de la Dame de la Stratégie se doit de connaitre, ainsi il appris la lecture et l'écriture puis les connaissances basiques. C'est à l'age de 10 ans qu'il fut envoyé aux cotés d'un stratège de Padhivers qui le pris sous son aile afin de lui inculquer les bases de la tactique et de la stratégie en lui expliquant les forces et faiblesses de toutes choses. Le fait de chercher les faiblesses des adversaires tout en reconnaissant les siennes et de contourner leurs forces en exploitant pleinement celles en notre possession, fut particulièrement fastidieux à appliquer pour le jeune garçon. Il vivait nuits et jours auprès de son percepteur, le stratège Althéno et passait ensemble de bons comme de mauvais moments. Bellérophon était un enfant très calme et il écoutait toujours avec beaucoup de respect les paroles de son maitre, après quelques années il fut introduit partout avec son précepteur et même si il ne participait pas activement à la mise en place de stratégie et autres organisations dont s'occupait Althéno, il y était présent et prenait des notes. Si le jeune enfant avait eu la chance d'étudier aux cotés d'un des plus fins stratège de Faérun, c'est que son père et Althéno étaient de très bons amis. Il lui avait d'ailleurs expliqué que si son père avait préférait l'envoyer en Padhivers, c'est qu'il préférait qu'il n'y ai aucun sentiment qui entre en compte. L'enfant avait d'abord eu du mal à le vivre, puis petit à petit, il s'était habitué à ne connaitre ses parents que par le biais de rares lettres.

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Bellérophon devait emmagasiner énormément d'informations, outre les connaissances de stratège qui impliquaient les études topographiques et le calcul de la puissance de ses adversaires, des tactiques connues, des plans et autres maniements nécessaires à sa formation, il dût également apprendre le maniement de l'épée longue, arme de prédilection de sa Déesse. Pour cela, il reçu les conseils d'un des maitres d'armes de la compagnie rouge avec lequel il s'entrainait au petit matin en compagnie d'autre enfant et jeune homme, en effet la compagnie rouge avait trouvé ce petit moyen afin de réunir quelques fonds en dispensant des cours de maniement d'armes au famille les plus aisées. En outre, Bellérophon devait travailler d'arrache pied afin de mémoriser les cérémonies, traditions et autre devoirs qu'il incombait de savoir en tant que prêtre. Il pu d'ailleurs participer à certaines d'entre elles dont la fameuse Retraite et le Gambit de la Reine. Durant cette cérémonie beaucoup de monde s'affronte dans un tournoi d'échec et le jeune homme eu l'honneur de rencontrer les grands champions qui inspiraient reconnaissance, respect et mérite. Le lendemain, il demanda à Althéno de lui apprendre les règles et depuis, tout les soirs après sa prière, il joue seul en s'entrainant à appliquer de nouvelles tactiques. De part son caractère timide et son faible niveau, il n'essaya pas immediatement de jouer face à un adversaire et préféra se perfectionner. C'est alors à l'age de 14 ans qu'il fut intronisé en tant que réel novice de la Dame de la Stratégie par un prêtre assez agé. Durant cette longue intronisation, il dû réciter le dogme de sa Déesse et, un petit discours lui fut demander, étant réservé il bafouilla beaucoup ce qui ne manqua pas d'attirer l'attention d'Althéno qui se promis de combler cette faiblesse. En effet un prêtre doit être capable de parler en public si il veut que ses paroles soit pris au sérieux.

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Durant six années, Bellérophon prit doucement confiance en lui et commença a remplir autant son rôle de prêtre que celui de stratège pour Padhivers. Sa vision différente de la mise en place des pions sur l'échiquier de la vie lui permit de se forger une place aux cotés des meilleurs et notamment durant sa première participation au Gambit de la Reine où il perdu en final pour la remporter l'année suivante. Sorti vainqueur, il gagna l'estime de ses compères et le respect dû aux champions par ses supérieurs. Et c'est à 20 ans, qu'il incorpora la Compagnie rouge d'Amn durant quelques années afin de retrouver ses parents et le lieu de son enfance. Sa réputation l'ayant précédé, il fut rapidement mené devant le haut prêtre avec qui il discuta durant de longues après-midi afin d'évaluer son avancement dans la hiérarchie. Accédant à un grade plus qu'honorable pour son age celui-ci embrassa la carrière de stratège pour le dirigeant de la région d'Amn. La maitrise qu'il avait acquis lui permit de remporter bon nombre de batailles perdues d'avance, et malgré sa place, le jeune homme préférait garder la tête froide. Depuis qu'il avait vécu au cotés de son ancien précepteur, Althéno, Bellérophon était devenu particulièrement organisé et maniaque, ce qui en dérangeait plus d'un lorsqu'il fréquentait des lieux externes à ceux de son culte. En outre, lors de ses sorties, il avait pris le pli de ne se présenter qu'en tant que suivant de la Grande Maitresse de l'Echiquier par pur réserve et modestie. Lorsqu'il n'était pas en service, Bellérophon aimait à lire les ouvrages traitant de stratégie militaire ou prenait un malin plaisir à se perfectionner aux jeux connus qui ne prenaient pas en compte le hasard, son habileté n'était plus à prouver et cela lui permettait de songer à des lignes de pensées alternatives et à de nouveaux stratagèmes.

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La plus grande force d'un stratège est d'anticiper les pensées de son adversaire afin de le contrer ou de le devancer. Il l'avait bien compris depuis qu'Althéno le lui avait enseigné, mais il est bien plus difficile de l'appliquer qu'il n'y parait et c'était un travail de tout instant. Tout comme le prône Heaum, il se devait d'être vigilant afin d'observer au mieux les forces et faiblesses de ses adversaires, c'était là la clef afin d'établir une stratégie assurant la victoire. Toujours vêtu de rouge, Bellérophon était maintenant devenu un homme et ses pouvoirs offerts par la Cavalière Rouge avait grandement pris de l'ampleur. Alors que la guerre éclatait à l'est, le stratège fut appelé d'urgence par l'empereur d'Amn, récemment couronné. Ainsi l'homme lui ordonna la victoire sous peine de mort et, tel sont les écrits qu'un soldat ayant survécu laissa derrière lui avant de mourir un an après :

"...Sur dix divisions de soldats, Bellérophon n’en mit que six en ligne, gardant sous sa main une puissante réserve de 2.500 hommes pour la porter partout où le besoin s’en ferait sentir. Ces dispositions prises, il poussa la confiance jusqu’à les annoncer à son armée, dans une proclamation toute pleine de la grandeur des événements qui se préparaient. On était au soir du solstice d'hiver, veille de l’anniversaire du couronnement du nouvel Empereur. La nuit était froide et sombre. Bellérophon voulut visiter ses soldats, et juger par lui-même de leur disposition morale. Les premiers qui l’aperçurent ramassèrent la paille de leur bivouac et en formèrent des torches enflammées qu’ils placèrent au bout de leurs fusils pour éclairer ses pas. L’armée entière s’empressa d’imiter cet exemple ; les soldats suivaient Bellérophon, lui promettant de se montrer le lendemain dignes de lui et d’eux-mêmes. Un vieil archer osa même s’approcher et lui dire, avec une familiarité digne des temps des troubles : « Tu n’auras pas besoin de t’exposer ; demain nous t’amènerons les drapeaux et les balistes ennemis. » Ces feux, ces acclamations avaient été facilement distingués des hauteurs qu’occupait l’armée ennemie, et y avaient produit, chez un petit nombre d’officiers sages, une douloureuse impression; ils se demandaient si c’était là le signe d’une armée abattue et en retraite. Le lendemain, à quatre heures du matin, Bellérophon quittait sa tente ; les commandants, entourés de leurs aides de camp, étaient à cheval à côté de lui, attendant l’ordre de commencer le combat. Un brouillard d’hiver couvrait au loin la campagne ; mais enfin, le soleil parut et inonda de clarté ce vaste champ de bataille. C’était le soleil d’Amn, soleil dont le souvenir fait toujours vibrer les cœurs des fils d'Amn, et qui ne sera sans doute jamais oublié des générations futures. Bellérophon donne le signal de l’attaque, et les commandants partent au galop pour aller se mettre à la tête de leurs corps respectifs. Un combat acharné s’engage vers notre droite, tandis que le commandant Synop, au centre, s’empare du plateau d'Esmel, que les ennemis n’ont occupé que faiblement, et dans la possession duquel un coup d’œil d’aigle a vu le sort de la bataille. On dit que le prince Mogador, placé entre les deux empereurs, fit remarquer à son stratège la marche leste et décidée des fils d'Amn qui gravissaient le plateau, sans répondre aux sorts lancés, et que ce prince, ému à cette vue, en conçut un pressentiment sinistre qui ne l’abandonna pas de toute la journée. En moins d’une heure, les deux divisions du corps du commandant Synop, s’étaient rendues maîtresses du plateau poursuivaient les ennemis fuyant pêle-mêle dans la direction de Keczulla, et le commandant ennemi Listaïor, blessé d’une balle à la joue, voyait se réaliser le désastre qu’il avait prévu, mais qu’il n’avait pas eu la fermeté d’empêcher. Partout les positions sont emportées et les ennemis jetés hors de leurs lignes. Toutefois, ce n’est pas sans quelques pertes regrettables de notre côté. Dans une lutte meurtrière avec les lanceurs de sorts ennemi, le commandant Valhubort a une cuisse fracassée par un sort de Bombardement. Quelques soldats veulent l’emporter : « Restez à votre poste, leur dit-il ; je saurai bien mourir tout seul. Il ne faut pas, pour un homme, en perdre six. » A une heure de l’après-midi, la victoire ne présentait plus de doute sur la gauche. Bellérophon tourna alors à droite avec le corps du Commandant Synop, la compagnie rouge et les ensorceleurs de Diase, voulant recueillir par lui-même le prix de ses profondes combinaisons. Il vint assaillir l'ennemi par derrière, et jeta parmi eux une affreuse confusion. Surpris et désespérés, tous ensemble se précipitent vers les étangs glacés et tâchent de s’y frayer un chemin. La glace ne peut résister au poids des hommes, des chevaux, des balistes ; sur plusieurs points elle fléchit sous le poids de l'ennemi, qui s’y engouffrent, tandis que Bellérophon, apercevant le désastre qu’il avait si bien préparé en laissant libres les abords des étangs pour y attirer l’ennemi, fait tirer ses catapultes sur la glace, qui se brise alors de toutes parts, engloutissant les malheureux qui s’y étaient réfugiés. Plusieurs milliers d’hommes trouvèrent ainsi la mort. La victoire pour nous était complète ; les débris de l’armée ennemie, en proie à un désordre affreux, se précipitaient dans toutes les directions, poussant des cris sauvages et pillant les villages épars sur la route, pour se procurer quelques vivres. Le prince Mogador fuyait ce champ de bataille, sur lequel il entendait les fils d'Amn crier leur victoire. Il courait rapidement à travers les champs menant à la forêt des serpents, au milieu d’une obscurité profonde, et exposés à être insultés par la barbarie de ses propres soldats. Le prince Mogador se hâta d'envoyer un émissaire à l'empereur d'Amn, pour solliciter un armistice et lui exprimer le désir d’avoir avec lui une entrevue aux avant-postes. Telle fut cette célèbre victoire d’Amn, juste prix, pour Bellérophon, des plus savantes et des plus habiles combinaisons..."

Son retour en Amn fut triomphale et il utilisa de sa notoriété montante afin de démontrer l'utilité du culte de la Cavalière Rouge, ainsi devant tous les commandants et l'empereur lui-même, Bellérophon vanta les mérites de sa Déesse. La victoire sonnait toujours dans la tête de tous, et le stratège développa peu à peu des journées où le peuple pouvait à loisir venir apprendre les échecs en compagnie du Clergé de la Grande Maitresse de l'Echiquier. Ainsi peu à peu, il prit de l'ampleur en Amn, les gens comprenaient enfin l'importance de l'organisation et de la stratégie dans la vie de tous les jours. Ses conseils ainsi que ceux de ses confrères furent bien moins pris à la légère qu'auparavant, et ainsi le culte de la Dame de la Stratégie fut quelque peu plus ancré en Amn, ce qui ne manqua pas de satisfaire les hauts prêtres.

Bonjour.

J'ai lu ton BG, et j'ai quelques petites remarques a te faire le concernant.

Tu connais très bien le dogme de La Cavalière Rouge, cependant, il manque toute la partie mystique de ton lien avec cette déesse. Tu ne fais pas mention de l'utilisation des pouvoirs qu'elle met a ta disposition.

Ensuite, ton rôle de prêtre n'est pas assez mis en avant. En effet, Bellerophon a plus l'air d'un général d'armée priant La cavalière Rouge qu'un membre de son clergé qui se doit de prêcher le dogme.

Voila ce qui m'a interpellé pour mon premier BG.

Merci

Je Valide.

Bonjour

Je n'avais pas vu que tu avais prit comme langue parlée le céleste.
Pour que cette langue soit gratuite, il aurait fallu que ton perso prie un dieu bon, or la Cavaliere rouge est neutre.

Je vais donc te demander une justification pour l'apprentissage de cette langue.

Merci