Je vivais depuis quelque jour comme un coq en patte, mais l’homme restait pour moi une énigme.
Je sentait que l’homme voulait rentrer en contacte avec moi, et bizarrement je vie devant moi quelque chose de magnifique, l’homme semblait se tordre, ça taille diminuais tendit que tout son corps se modifiait , des plus commençais a couvrire son corps, sont cou s’allongeais , les poils de sa peaux se rétractais pour laisser place a un plumage des plus magnifiques, une crête rouge venais orner ça tête. J’avais devant moi le plus beau coq , qu’il m’était donner de voir . C’est donc possible ! le corps n’est pas une prison , si cette homme pouvais devenir moi, je devais pouvoir devenir lui et m’extirper de cette condition volaillaire.
L’homme coq avais fait l’effort de se mettre a ma compréhension du monde , et je ne le remercierais jamais assez. Tout devint fluide je buvais ces paroles, cette homme était un druide , un homme dons la nature était ça vie et ou la vie est nature , un homme don la conscience allais de la cimes des plus haut arbres pour venir s’enfoncer au plus profond de la terre. Il m’ouvrait les yeux , je vous passe le conversation car en langage poulet ça veux rien dire a part « cot cot cot ».
Homme apprend moi a devenir comme toi, je veux que tu me fasse découvrire le monde, voir ça beauté sous un regard neuf, du bout de mes appendices le plaisir de sentire la force de ce monde , de m’enivrer de tout se que ma condition me retenais de faire .
« ploc » tient un œuf . je suis contente .
Les jours passaient et le druide tentait en bien que mal a m’expliquer son état d’homme, pour moi pauvre poule je ne comprenais pas tout . Mon existence était simple, pas de conflit sauf pour la nourriture dite « la bataille du grain » ou trouver des vers , mais la vision que m’offrait l’homme était bien plus complexe .
Il commença son apprentissage pour me faire devenir autre. Il me fallait le comprendre, le sentire , le devenir . Il commença par des créatures simples un blaireau . Déjà m’explique ce que c’était , je n’en avais jamais vu et il me montra. Quatre membres , une fourrure, un museaux , a quoi tout cela pouvait bien servire a cette bête? Je me concentrais , ma vue ce resserrais, je sentait tout mon corps se modifier , mes os craquais sous la métamorphose , alors que ma tête explosait sous un déluge d’ effluves magnifique. Cette sensation épidermique pendant l’échange de plume en poils était comme une nouvelle naissance, le premier pas était fait.