[Evolutif][Druide/(Métamorphe)] Tish

Citation :

Nom du compte joueur forum : Pluiedesang
Nom du compte joueur module : LePique
Nom du perso : Tish
Race : Demi-elfe (père elfe et mère humaine)
Age : 25 ans
Alignement : Neutre
Religion : Rillifane Rallathil
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Druide ( ?)/metamorphe (±12)
Trait de Caractère humain : Calme, imprévisible, a tendance a parler seule
Description physique : Pas particulièrement jolie, de nombreuses cicatrices sur tout le corps

Caractéristiques :
FOR : 10
DEX : 10
CON : 12
INT : 10
SAG : 18
CHA : 12

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Tout bon recueil doit commencer par ma naissance. Celle-ci, je ne m’en souviens que part les dires de mère. Elle était folle amoureuse de père, mais, parait-il, lui préféré resté dans son bosquet. Lorsqu’ils se sont trouvé, ce fut pendant une rencontre organisé par le clergé de Rillifane Rallathil et une troupe de mage qui souhaité traversé la forêt. Père faisait partit de se clergé, et mère, n’était qu’une simple apprentie parmi tant d’autres mages. Mais apparemment ce fut le coup de foudre. Au début, ils se voyaient assez souvent, mère a réussit a payé une maison dans une ville, Eauforte, non-loin des bois où continuer à vivre père. Mère me raconté que c’était le bon temps, ils vivaient le parfait amour et c’est là que je suis née. Mère m’as donné ce nom, Tish, en mémoire de sa propre mère, une femme qui c’est suicidé, dans sa maison, en y mettant le feu, sois disant parce qu’elle entendait des voix qui la troublé. Mère décida de m’envoyé dans les bois avec mon père, pour mon éducation.

Au début, là-bas, tout se passé bien, j’apprenais la nature, comprenais la nature, vivais la nature. Par le dieu que père m’inspira, je compris ce qui m’entouré, la vision et l’utilité de la vie qui nous été donner. Mais vers mes huit ans, je compris aussi que, dans ces bois, j’étais une étrangère. Tout le monde ici n’était que pur elfe, tout le monde vivais ici de père en fils et de mère en fille. Mais moi, je venais de l’extérieur. Pour les personnes sages du bosquet, je n’étais que l’un des leurs, mais pour les jeunes elfes, ces jeunes apprentis, j’étais une faiblesse qu’il fallait rejeter et haïr. Je n’ai toujours pas compris pourquoi ils m’ont fait ça, peut être par jalousie que je devienne importante dans le clergé.

C’est donc seule que j’ai du continué ma voie. Mais, c’était tellement difficile. De plsu en plus de personnes m’évité, pour eux j’étais l’être qui va faire basculé la bienfaisance de ce lieu sacré. Mais ils n’ont pas eux l’audace de me l’interdire. Il m’est encore insupportable de se souvenir de ces moments, des nuits de pleurent que j’ai essayé de surmonté. Encore cette ancienne solitude me hante. Un jour, alors que j’étais en train de m’occupé calmement a essayé d’approché une fouine dans la forêt, j’ai commencé à recevoir des cailloux sur moi. Au sommet des arbres, des jeunes elfes étaient en train de me narguer et de me jeté des objets. « Vas-t-en l’humaine. On ne veut pas de toi. Sale impure».

Ce jour là, je ne les ai plus supportés. Je suis alors repartit chez ma mère, que je voyais de moins en moins. Je fus très bien accueilli. Je ne pouvais resté plus d’une journée dans cette ville, je me retrouvé donc souvent à la lisière de la forêt. Mais la tristesse ne faisait que m’envahir, je me sentais loin de chez moi, loin de ma forêt, loin de cet endroit qui paraissait bien plus rassurant, loin de la source de mes croyances, sources de ma vie. Je continuais le plus possible à apprendre sur la nature, j’essayé de plus en plus de la contrôler, de m’exercé. D’avoir été ainsi rejeté, cela m’as permis de redoublé d’effort. Mais, cet endroit me manqué tant. Mes journées se résumait ainsi : le matin, je me levé avant le soleil pour profité encore un peu des créatures nocturnes, j’admirais la nature, j’observais, je qualifiais tout ce qui m’entouré, puis quand vint l’après-midi, je pleurais sur mon passé, sur ce que j’avais perdu.

Je n’arrivais pas a me trouvé intérieurement, j’étais perpétuellement en quête de ce que j’étais. Les actes de ces jeunes elfes m’avaient déstabilisé. Je ne savais ce que je devais faire, si je pouvais, si j’avais le droit de continuer à vivre. Et c’est un jour où j’étais en pleine forêt en train de pleurnicher que j’ai fait une rencontre qui m’a marqué. J’étais assise sur un tronc et entendis une branche se brisé non loin de moi. Je regardais rapidement dans la direction, et vis un superbe loup gris. Nous sommes restés là à nous admirer pendant plus d’une heure. Il ne semblait pas avoir peur de moi mais me fixé étrangement. Derrière lui, deux ombres s’approchaient, c’était deux autres loups qui venaient directement vers moi. L’un deux, beaucoup plus imposant que les autres, me renifla le visage et me lécha le reste de larmes qui coulé sur mes joues.

Depuis longtemps je n’avais pas souri comme se jour là. Nous avons joué dans la forêt pendant tout la nuit, courut jusqu’à n’en plus pouvoir respirer et nous avons passé la nuit ensemble. A l’aube, je partis rapidement voir ma mère, les loups m’accompagnèrent jusqu’à la lisière de la forêt. Elle était très inquiète et m’avais cherché toute la nuit, lorsque j’ai déboulé devant le perron, elle allait voir la milice pour leur signaler ma disparition. Ce jour, pour la première fois, elle me gifla, mais, elle l’a tant regretté par la suite. Je lui expliquais ce que j’avais fait cette nuit, elle paru rassuré « Tu es bien comme ton père » m’a-t-elle dit. Celui-ci d’ailleurs, je ne le voyais que très peu, que lorsqu’il venait nous rendre visite à la maison, mais il ne se souciait plus de mon avenir et de ce que j’étais devenu.

A présent, je passais tout mon temps dans la forêt avec cette meute de loup, je vivais avec eux, j’essayais de les comprendre, pour une fois, je me sentais mieux, mais il me manqué quelque chose. Je vivais comme un animal, mais, j’étais loin d’en être un. Père m’avait un jour parlé de personnes qui avaient le don de changer de forme dans le clergé. Je faisais donc comme j’avais appris là-bas : je répétais les mêmes gestes que la meute, je respirais comme eux, je chassais comme eux. Pendant de nombreuses Lunes je pensais réussir à être un loup, du moins j’en étais persuader. Jusqu’alors où j’entendis une voix dans ma tête, une douce et vieille voix. Je ne comprenais pas se langage, mais l’entendre m’apaisai, me rendais différente. C’est alors qu’en regardant mes mains, je remarquais que l’une ne l’était plus, elle était devenue une patte animale. Je touchais mon corps da la seule main qui me resté, et senti une fourrure. J’aurais pu avoir peur, mais au contraire, je me sentis rassuré. Et au fur et à mesure que j’entendais cette voix dans ma tete, ma métamorphose s’opéré. Etais-ce la voix du dieu que j’aurais tant aimé entendre lorsque j’étais dans le bosquet. Je ne fus jamais aussi proche du seigneur des arbres, moi qui croyais que jamais je n’arriverais à m’approcher autant de lui.

Lorsque le reste de la meute me rejoins, je me sentais encore plus proche d’eux, je me sentais bien dans mon corps. Je me demande pourquoi je suis née ainsi, le destin a dû se trompé de voie. Je suis née dans la nature, mais je ne me sentais pas proche, mais enfin, maintenant, je le suis.

Ma première transformation fut assez longue, une journée entière environ, mais maintenant, à peine j’entends la voix dans ma tete que je me transforme. Peut être qu’il m’est possible de trouvé d’autres formes à copier.

La meute semblait comprendre pourquoi je faisais tout pour être différente, et âpres avoir fait mes adieux à mes parents, nous avons pris la route. Nous avons suivit une rivière et remonté vers le Nord. Sur le chemin, la meute me fit remarquer que j’avais quelques problèmes de mémoire, semblait-t-il dû au fait que je ne voyais que la meute. Mais moi, je crois savoir que cela provient des voix que j’ai dans ma tete. Parfois elle ressemble à des hurlements, parfois des rires. De peur de ne plus réussir à redevenir humaine, nous nous sommes installés dans les bois de Padhiver, ainsi, les loups se retrouvent dans de bonnes conditions de vie, et pour moi, il a des villes dans les environs, pour voir si je ne perds pas la tete à cause de mon isolement.




[a suivre]

LES CARACTERES :


TISH : A des problèmes depuis toute petite pour s’assumer physiquement ce qui l’a pousse à se transformé. A force de ce transformé, elle commence à avoir des troubles de la mémoire. Elle est faible mentalement, très sage, un tempérament calme. Elle croit être hantée par les êtres dont elle a volé la forme. Le fait d’entendre des voix l’a font passé pour quelqu’un de dérangé, surtout quand elle se met à parler toute seule. Lorsque elle redevient humaine, elle peut perdre connaissance et ne plus se souvenir des personnes qu’elle a rencontré.

LE LOUP : Forme qui l’apaise et la rassure. Son esprit humain fait d’elle un loup qui ressemble plus à un chien. Son changement de caractère : Très jovial et veux toujours s’amusé. S’attache facilement aux personnes pour peu qu’il l’a caresse. Elle peut suivre quelqu’un n’importe où tant qu’il porte des morceaux de viande ou qu’il soit gentil avec elle. Aime beaucoup venir embêter des gens qui parlent de chose sérieuse, venir s’assoir à coté de personne qui essaye de se reposé ou de réfléchir. Toujours attiré vers l’inconnu. Les règles de bienséance, il ne connaît pas : cela ne lui pose aucun problème de sauté sur une dame richement vêtu quand il vient de se rouler dans de la boue.

J’ai appris le nom de chaque oiseaux
De chaque animaux
Aucun arbre, aucune plante
N’existe sans que mon être le ressente

Ma magie vient de la connaissance
De la Nature, la plus grande des puissances
Les dieux m’ont parlé et j’ai tout entendu
De tout ces secrets les plus défendus

J’ai appris le langage des animaux
Du poisson, comme des oiseaux
Je peux me déplacer en eux
Je peux être comme eux

Je n’ai pourtant pas tout appris des dieux
Beaucoup, je l’ai appris sur le Chemin
Quand j’ai fait route vers mon destin

Je vois dans tes yeux, que tu ne comprends point
Et que tu ne le pourras pas
Ni aujourd’hui, ni même demain

Les dieux m’ont sonné fragments de leur savoir
Mais dans un même temps, ils m’ont maudit
J’ai obéis alors à leur bon vouloir
Ce n’est que bien plus tard, que j’ai vraiment compris

Rien avec les dieux n’est gratuit
Que ce soit savoir ou simple vie
Tout chez eux a un prix
Je le sais dans mon corps, dans mon esprit



[Traduction d’un chant traditionnel celtique]

c'est un bon début, malgré plusieurs fautes d'orthographes et d'accords.

Cependant tu donnes une vision du loup un peu trop domestique. Le loup reste un prédateur, une créature qui peut se révéler sanguinaire.
Ceci dit, c'est un animal social qui tempére ses instinct prédateurs dans la meute.

Tu en es donc au début de ton apprentissage, tu commences à maîtriser les formes animales que tout druide aborde au lvl 5.

Concernant les lvl de métamorphe, il te faut développer cette esprit de curiosité concernant les créations de la nature.

Ce fut difficile, au départ, de m’habituer à la ville mais, je m'aperçu rapidement que je devenais de moins de moins épanouie en restant ici. J'ai commençais a fréquenté de plus en plus les humains, fait de brève connaissance. Moi qui n'avais pas quitté la meute depuis longtemps, enfin je m’ouvrais au monde une seconde fois. Il me faillait reprendre cette curiosité naturelle que j'arpentais et avais laissé de côté pour ces loups. A présent, je me suis éloigné d'eux, ils n'ont pas quitté la forêt, mais je ne vais pas les voir pendant plusieurs lunes parfois. Je ne sais pas s’ils ont réussit à me comprendre complètement, moi qui change de comportement et d'humeur rapidement.

J'ai donc recommencé a étudier la nature, a vivre à l'intérieur, sous forme humaine. J'ai voulut comme recommencer une nouvelle vie, un nouveau lien avec la nature. Lorsque je ne n’arrivais pas à comprendre quelque chose, il y avait toujours une voix dans ma tête qui essayé de m’expliquer, comme un père divin.

Un jour, alors que je m’étais installé devant une ferme pour voir le comportement banal d’un troupeau de vache. Les valeurs qu’elles semblaient avoir dans leur vie étaient sans étrange. Elles semblaient être passive, de faisait que brouter toute la journée. Le seul être qui n’avait pas cette habitude de ne rien faire était un veau. Il courait partout, essayer de s’amusé, seul bien sur, car toutes les autres vaches restées là, sans réactions. Je fus surprise que les vaches se sont mise a s’amusé un jour, c’étais car il y avait un blaireau. Celui-ci courrait dans tout les sens, et les vaches courrait derrière, comme machinalement. Mais ont pouvait voir un brin de lumière dans leur yeux. Jusqu’au moment où le fermier sortit en hurlant derrière le blaireau d’ennuyé ses vaches et de pourrir leur lait.

Alors, dans ma tête, je sus que le prochain animal que j’essayerai d’être sera un blaireau. Je le rattrapais dans la forêt et l’épié derrière un arbre. J’eus plus de mal a devenir lui, je n’avais pas réussit à être assez discrète et il ne faisait que courir. Je perdis ça trace dans des Griffes de Heaum et je le laissais filé. Tout d’un coup, j’entendis des voix dans ma tête, des voix tellement forte qu’elle devenait insupportable. Il me semble que c'était des cris d'animaux, mais dans ce brouhaha je ne pouvais les distingué. Les cris se mêlèrent ensuite à des coups que je recevais dans ma tête, j'avais l'impression que quelque chose essayé d'en sortir et se cogné de toute ces forces contre les parois. Tout se passa en quelque seconde, pourtant cela me semblait duré plus longtemps. Ma vue s’altéré, les couleurs de ma vision fanait et devenait un crescendo de gris. Je voyais différemment, et le monde me paraissait immense. Là je compris que j’étais devenu ce blaireau. Je fus étonné que la transformation se passa aussi vite, apparemment, cela ne me posé plus de problème.


A peine l'idée de redevenir humain me traversa l'esprit que je sentis mon petit corps fondre. Ma tête me pris a me lancé, mais moins violement que tout a l'heure. Je regardais mes bras, tout d'abord mais patte reprirent une forme humaine, puis ma vision revenaient comme à la normal. Je me sentais épuisé, et pourtant, si fière de moi. Je partis me reposé sous un arbre et remarquai qu’il m’était possible de regarder le monde autrement. Si je décidais de voir comme un loup, la couleur verte ressortait énormément mais au contraire, le jaune des fleurs et le bleu des vêtements de femme. Si je choisissais de voir comme un blaireau, le monde devenais gris, qu’il fasse nuit ou jours, les niveaux de gris était les mêmes.

A partir de cet instant, je voulus tout savoir sur les animaux qui nous entourent, parfaitement tout, les voir vivre, et pouvoir devenir comme eux. Je savais à présent que ma voie avait changé. Je restais dans la voie de la nature, mais mes intentions avais changé : Je ne vivrais pas dans la nature pour la comprendre et pour imité sa force, mais je vivrais parmi elle prendre la forme des être qui l'a traverse. J’essayerai donc de trouvé un animal qu’y m’affecte et j’essayerai de devenir comme lui. Mais, je me demande une chose, si je peux prendre la forme d’un animal de la forêt, je dois pouvoir devenir un animal de l’eau. Et si … je pouvais aussi devenir un animal des villes : un humain ? Peut être que je réussirais a m’assumer parmi eux ainsi.

Peux tu donner un petit aperçu, une description des phases qui précédent et suivent une métamorphose ?

Petit rappel, un métamorphe pousse ses métamorphose au delà de ce que le duidre est capable de faire. Un druide est seulement concentré sur les formes naturelles, et s'en sert lorsqu'il en a besoin, sinon, il use de ses sorts. Le métamorphose ne considére sa voie presque exclusivement dans les métamorphoses.

C'est mieux, je te place en évolutif, continue de raconter tes expériences, et celles qui te méneront à étudier le comportement de créatures magiques et humanoïdes.

des nouvelles ?

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