[Validé][Moine][H] Sadoruro

Nom du compte joueur forum : Sadoruro
Nom du compte joueur module : Epiquemonk
Nom du perso : Sadoruro
Race : Humain
Age : 18 ans
Alignement : Loyal neutre
Religion : Kossuth, du point de vu monacale.
Classe : Moine pur
Arme de prédilection : frappe a mains nues
Langues : Commune et celle de la region de luskan
Trait de Caractère : Posé et calme en temps normal, enflamé envers ses enemies, incandescent envers les traitres.
Description physique :




Caractéristiques : (lvl 1)
FOR : 16
DEX : 14
CON : 14
INT : 10
SAG : 14
CHA : 8

Ou est le développement des tes attitudes de moine ? La maîtrise du ki etc ??
Tu parle d’un prophète sache qu’on n’accepte pas les élut de qui que ce soit sur le module
Je ne peut que te conseiller de revoir cette partie, la seul chose a la quel tu pourras être élut sur le val de bise c’est maire d’un village

Validé en privé

Je voulais pas vraiment le valider en privé, je voulais juste qu'on me dise les modifications par MP, et seulement faire apparaitre l'histoire ici ^^

Je la met, si jamais ca peut aider les autre qui veulent devenir moine de la Salamandre ^^

Et je compte rajouter de la suite apres ^^

Histoire (jusqu'au niveau 5):

Né d'un pere moine et d'une mere moine, Sadoruro fut acceuillit au monde comme un veritable present, car depuis une generation, plus aucun jeune n'etait né ni avait reussit l'apprentissage de ce monastere. Il portait donc en lui tout les espoir du monastere, et c'est pour cela qu'il fut elevé dans ses premieres années en etant entouré d'amour et d'affection.

Puis vint le jour ou son apprentissage commenca. Hors de question, sous pretexte qu'il etait le seul, que son apprentissage fut moins rude que pour les autres, qu'il fusse choyé ou aidé. Non, Sadoruro apprit de la meme façon que les autres, de la meme maniere aussi douloureuse que les autres.

Sadoruro commenca donc son premier enseignement. Ce dernier avait pour but de forger le physique de l'aspirant, et de lui apprendre les techniques de bases.
De longues années d'entrainement commencerent donc, et Sadoruro avait sept ans. Il aurait dut normalement, selon les traditions, s'entrainer avec les autres jeunes du monastere, mais il etait le seul, il s'entrainait donc seul. Cela lui valait aussi toute l'attention des enseignants du monastere, des sensei, mais faisait aussi reposer tous leur espoirs sur ses freles epaules, et de ce fait il fut meme entrainé encore plus ferocement et intensivement que tout ce qui avait été fait. Les sensei tenait leur premier aspirant depuis des années, hors de question qu'il se fasse tuer lors d'une epreuve du feu a cause d'un default d'entrainement.

Tout d'abord, Sadoruro recut un entrainement physique etudié pour son age. Il pratiquait des sceances de course, de nage, de saut et d'acrobaties, tout cela pour lui permettre de toujours etre au meilleur de sa forme. Vint ensuite l'entrainement au techniques de bases, celle du combat a main nues. Les premieres choses que l'on faisait voir pour son age etait les positions de bases, les deplacements, les premieres techniques de frappe, le tout couplé a des entrainements pour entrainer le cerveau de Sadoruro a avoir une meilleur representation de son corps dans l'espace. Ce dernier prennait essentiellementla forme de katas.
Le temps passa, un automne, puis un hivers, et enfin un printemps. Un an avait passé. Sadoruro avait un petit peu grandit, et s'etait foncierement amelioré. Ce jour la fut le jour de sa premiere epreuve du feu. Sadoruro fu convié dans une grande salle par ses professeurs. La salle etait immense, les murs en pierres etaient si distants entre eux. Les senseis etaient de l'autre coté de la salle, derriere une table en pierres, et le regardait. Devant Sadoruro se tennait une fosse remplit d'un feu ardent, et le vide devant lui etait seulement traversé par une petit pont amovible en bois.
Le jeune aspirant fut convié du haut de ses huits ans a aller rejoindre la plateforme qui s'elevait au centre de la fosse, au millieu de la piece, en traversant le pont; Sadoruro deglutit avec difficulté.
Il commenca donc a s'avancer avec prudence sur le pont en bois, et appres quelques secondes de traversé perrilleuse, se retrouva enfin au centre de la plateforme.

« Bien, Sadoruro; » dit l'un de ses professeur. « Tu vas subir ta premiere epreuve du feu. Tu vas donc nous demontrer le second katas ici. Tu devra etre tres precis dans tes deplacements, et etre rapide, car des surprise viendront en son cours pour te chatier si jamais tu ne le faisait pas parfaitement. »

Sadoruro s'etait entrainé pendant des semaines a ce Kata, afin de le realiser parfaitement, avant d'avoir l'autorisation de son professeur a passer sa premiere epreuve.
Sadoruro s'avanca donc au millieu de la plateforme, salua, et commenca son kata. Il fit les premiers mouvements parfaitement; Et la, tout d'un coup, d'un coté de la salle, un rayon de feu partit et passa la ou Sadoruro etait une seconde auparavent.

« Ne te laissa pas destabiliser ! » lui dit un de ses professeur.

Sadoruro continua donc son kata en faisant bien attention au rythme, passant a travers les rayon dont il sentait l'extreme chaleur a chaque fois, et passant la lou il se tennait la seconde precedemente. Finnalement, il arriva finnalement au bout.
Ses professeur l'aplaudir.

« Tu a reussit ta premiere epreuve du feu ! Bravo, Sadoruro ! »

Et l'entrainement continua. Il fut alors axé sur l'equilibre et sur les reflexes, et sur la condition physique. Les exercices du monastere sur ce dernier point etaient tres bien pensé, car ils etaient etudiés pour toujours ammenné l'aspirant au meilleur de sa forme pour son age et son devellopement physique.
Les exercice d'equilibre, quand a eux, se faisait generalement soit sur un tronc d'arbre transversale, sois sur des morceaux de bois plantés verticalement dans le sol. Sadoruro recut aussi un entrainement plus poussé sur les techniques de combat.

Sa seconde epreuve du feu, pour sanctionné cette partie de l'entrainement, il la passa a neuf ans. Elle consistait a demontrer en equilibre sur un morceau de bois posé au dessus du gouffre de feu, les techniques qu'il avait apprises. Sadoruro reussit a la passer de justesse.

Des lors de ses dix ans, l'entrainement devint plus general. Il commenca alors a voir et a s'entrainer dans la totalité de toute la varité des techniques de combat de son ordre, et ce divisé en plusieures phases: en premiers les techniques de frappe, ensuite les techniques de projection, apres les clés, le combat au sol, etc...

Ce fut aussi a partir de ce moment la que Sadoruro commenca a recevoir un enseignement moral et spirituel, etant composé de meditations. Il devait s'entrainé a toujours rester maitre de son esprit dans toutes les situations, a toujours savoir distinguer le vrai du faux. Ce fut d'ailleur le sujet de sa cinquieme epreuve du feu, ou il dut medité et rester calme alors que des rayons de feu se rapprochait de plus en plus de lui.

Petit a peitit, l'entrainement spirituel prit plus de part. Il s'entraina au Tai Chi, realiser ses techniques a vitesse lente, et en etant axé sur la respiration, sur la meditation et le renforcement spirituel.
A tout cela vint s'ajouté l'entrainement aux armes du moine, de simple outils qui dans les mains des moines devennaient de redoutable armes mortelles.

Et puis, apres avoir passer deux autres epreuves, Sadoruro fut entrainer par un professeur particulier, afin de lui apprendre une autre type de maitrise: la maitrise de son corps. En effet, il etait desormais capable, grace a son entrainement physique et spirituel, grace a la maitrise de son esprit, de reussir ce que les moines savait fait: controller leur esprit, leur corps, et leur systeme imunitaire contre les maladies et autres impurté. Sous les conseils attentifs et sage de son professeur, Sadoruro en vint a maitriser tout cela, et sa derniere epreuve du feu n'etait pas la moindre: on l'enferma pendant deux jours avec le bascille de la peste, un souche eant jalousement gardé par le monastere, dans une chambre ermethique, avec pour seul consigne de survivre. La maladie etait puissante, neamoins, grace a son entrainement, Sadoruro reussit tout de meme a envoyer ses defenses immunitaires aux bons endroits aux bons moments, et reussit a vaincre la maladie.

Sadoruro etait alors agé de dix sept ans quand il finit son entrainement aux premier enseignement. Il l'avait maitriser dans son entier, sa reussite aux epreuves du feu en etait la preuve. Un soir, un de ses maitres vint le voir.

« Je te felicite, mon eleve, tu a maitrisé le premier enseignement. Sache qu'il y en a un second, mais tu n'est pas prêt. »

« Pas prêt, maitre ? Pourquoi ? »

« Car ce n'est pas une question d'entrainement, mais de maturité spirituel. Tu ressentira bientôt le moment ou tu sera prêt a recevoir cet enseignement. Maintenant, mon eleve, tu ne recevra plus d'enseignement dans ce monastere. Que compte tu faire. »

« Et bien... vous savez, maitre, j'ais toujours revé de voyager, de decouvrir d'autres choses. Mais je ne voulait pas partir avant d'avoir finit entierement ma formation. »

« Et bien soit, Sadoruro. Ceci vient du fond de ton coeur, et c'est comme cela que nous, maitres, decouvrons le meilleur chemin pour nos eleve afin de les menner a la maturité sprirituelle. Donc, tu voyagera, mon eleve, tu decouvrira le monde et fera de nouvelles experiences, qui te rammenerons un jour aupres de nous.

Mais avant toute chose, je toi te dire, comme le veut la tradition, quelque chose. Cette chose, tu as deja dut la ressentir pendant tes epreuves du feu, ou tu etait en dangé, et tu la ressentira forcement durant ton voyage; Cette chose est le Ki. C'est l'energie de la vie, celle qui la donne a toute chose. Cette energie est presente partout autour de nous et en nous, et nous, les moines, l'utilisons dans nosn capacité. C'est cela, que tu dois rechercher durant ton voyage. Une fois que tu l'aura troucé, revient ici.»

Son maitre quitta sa chambre sur ces paroles, laissant Sadoruro dans le doute, pensant meme qu'il s'agissait d'un reve; Troublé, Sadoruro s'endormit.

Et il ne dormis que peu, car il fut reveillé bien avant l'aube par des maitres, afin de l'aider a se preparer. Sadoruro etait en meme temps terriblement exité, et terriblement anxieu. Mais il savait que si il ne partait pas maintenant, il ne partirait pas... Il avait comprit ce que son maitre lui avait dit, et lui en etant reconnaissant.

C'est ainsi que Sadoruro, peut de temps apres avoir finit sa derniere epreuve du feu, partit sur son voyage initiatique, afin de devennir assez mure pour un jour revenir ici, et terminer l'enseignement de la salamandre.

Chapitre n°2: L'arrivée a Luskan

Sadoruro arrivait enfin en vue de la citée qu'il cherchait, Luskan. Apres des jours et des jours de voyages, traversant les hammeaux et les plaines sauvages qui composait le rude environement de la partie ouest des marches d'argents, se renseignant aupres des autochtone, profitant de la chaleur clemente d'un été pour dormir a la belle etoile, Sadoruro arriva finalement a la citée des voiles,

Ce fut un monde totalement nouveau qui s'ouvrit a lui. La societé des villes lui parraissait extraordinairement complexe et structuré. « Afin de palier a un manque de securité dans la region » pensa t'il.

La citée de Luskan etait immense, et incroyablement complexe. Les batiments etait d'un hauteur incroyable, il y avait des tours qui ne semblait tenir que par magie, on rencontrait dans cette ville des etrangés venue de tout les recoins de Toril, le tout dans une mixitée acceptée.

Sadoruro prit ses quartiers dans une auberge de la ville, depensant le peu d'argent qui lui restait, et commenca fortement a reflechir a ce qu'il devait faire... Par chance, la reponse vint toute seule a lui.

En effet, l'auberge ou il avait elu domicile pour un temps etait le point de rencontre de nombreux aventuriers. Et le soir meme ou Sadoruro vennait d'arriver, il fut remarqué par un groupe d'entre eux. Remarquez, en se deplacant en Kimono, ca attire l'attention. Et ces gens, qui n'avait jamais vu mais qu'entendu des recit incroyable sur les moines, l'indentifierent comme cela du premier regard.
Et la proposition ne vint que peu de temps apres.

« Salue ! » dit un petit Halfelin, alors que Sadoruro etait attablé en train de manger une soupe et du pain. Le petit homme semblait paré a l'aventure, il portait une armure de cuir legere, garnie de nombreuses poches.
« Mon gars, tu serait pas un moine ? Si, ca se voit du premier regard. Dis moi, on chercher une cinquieme roue du carrosse dans notre groupe, pour une aventure demain, ca te dirait de venir ? » continua t'il avec un fran sourir.

« Et en quoi consiste cette aventure ? » demanda poliment Sadoruro, apres a voir salué le petit homme.

« Et bien, nous allons nous rendre dans la crypte de Luskan, et nous faire la main sur quelques spectres. »

« Mais c'est immoral ! » s'ecria Sadoruro. « Comment pouvez vous troubler le repos de ces ames ? »

« Nop, tu te trompe mon gars ! Le repos de ces ames est deja troublé, elles reviennent justement car elles ne le trouvent pas, ce repos. Et la la communautée de Luskan considere cela comme un grand service que de detruire ces spectres afin de leur donner enfin le repos qu'ils meritent... »

« Et bien, si cela tient veritablement du service, je veux bien venir avec vous. Mais qu'ais-je a y gagner ? »

« De l'experience, mon gars. L'experience de la vrai aventure. Et c'est cette experience premiere qui te permettra, le moment venu, de pouvoir te sortir de situation qui te parraitraient insurmontable. C'est cela son grand pouvoir. »

« Et bien, dans ce cas, j'accepte. »

Le lendemain arriva vite. Sadoruro, parfaitement reposé, alla rejoindre son nouveau groupe a l'aube dans la salle principale de l'auberge. La se trouvait l'halfelin, et il y avaitdeux autre guerriers, un humain, bardé d'un harnois et arborant une grande épée a deux main dans son dos, et un nain, bardé d'une creveisse plus legere, et equipé d'une hache et d'un bouclier.
Sadoruro fut bien sur inviter a les rejoindre. L'halfelin, le nain, le guerrier et le moine. Un bien beau groupe.

Entouré de ses nouveaux compagnons, Sadoruro partagea avec eux un solide petit dejeuné, et participa au derniers preparatifs pour l'aventure. Quelques provisions fut prisent au cas ou, bien que l'aventure ne devait meme pas durer une journée. Apres dix minutes de revision du materiel, le groupe fut fin prêt.

Ils sortirent alors sur la place centrale de Luskan, puis prirent vers le nord, pour arriver au bosquet de la ville. Le lieu etait magnifique, enchanteur, mais ils n'avait pas le temps de s'y attarder. Mais Sadoruro remarqua quand meme avec un grande exitation une pancarte avec marqué dessus « Dojo de l'Aubepine ».
Bien que terriblement curieux d'y aller, il decida de ne pas ralentir son groupe et de privilegier l'aventure. Il aurait le temps d'y aller plus tard... enfin, il l'esperait.

La marche jusqu'à la crypte ne fut pas longue, elle etait legerement excentré par rapport aux murailles de la ville, mais non loin tout de meme. Une fois devant la place, l'Halfelin s'arreta.

« Bien, nous allons rentrer dans la crypte. » commenca t'il. «  Preparez vous au combat, la crypte est assez grande, et les spectres peuvent etre n'importe ou. Donc soyez toujours sur vos garde ! »

Puis ils entrerent. En effet, la crypte semblait immense. Et bas de plafond... C'etait en fait ce dernier point qui etait le plus oppressant. Le plafond n'etait pas loin au dessus d'eux...
Par contre, l'architecture de la crypte etait totalement epoustouflante.. Des arcades, des pilliers, ce carrelage finement decoré... La ! Un mouvement sur la droite !

Alors qu'il etait en train d'admirer l'architecture, Sadoruro vit fondre sur lui du coin de l'oeil une forme sombre flottant dans les airs, arrivant sur sa droite; Instinctivement, il se reculant prestement et lestement sur sa gauche, evitant ainsi le coup de la bete. Le guerrier humain avait lui aussi reagit, et fendait deja l'air d'un grand coup d'épée. Cette derniere trancha dans la susbtance informe composant le spectre, mais ce dernier garda sa cohesion. Sadoruro se deplacea alors en contournant le spectre par sa droite, de façon a se retrouver le prennant en tenaille avec le guerrier, puis lui assena un rapide enchainement de coups puissant, bien placé. Les coups repettés finir par detruire la cohesion du spectre, qui s'evapora sans un cris.

A coté d'eux, l'Halfelin prit la parole: « Vous voyez, quand je vous dit qu'il faut etre constement sur ses gardes. »

L'aventure continua. Plusieurs autres spectres tenterent d'attaquer le groupe, mais ce dernier se defendit farouchement. Sadoruro trouva d'ailleur une place utile ou seins de ce dernier: tandis que le guerrier et le nain contenait l'enemi, lui le contournait pour le prendre a tenaille, tandis l'halfelin les soutenaient a distance grace a son arc.

L'epopée se passa bien. Seulement le groupe de Sadoruro fit des choses immorales selon lui durant cette derniere: ils ouvrirent des tombes, et prirent les tresors. Ils en proposerent a Sadoruro, mais ce dernier refusa farouchement: il n'etait pas un pilleur de tombe.

L'aventure touchait bientôt a sa fin, quand ils arriverent vers le bout de la crypte. La, ils decouvrirent quelque chose d'assez incroyable aux yeux de Sadoruro: il y avait plusieurs coffres disposé en carré.
L'halfelin s'approcha alors, et ouvrit une des coffre. Il en retira alors quelques tresors de forte valeur.

« Ils ne sont pas vide ! » annonca t'il avec joie, et dans la seconde d'apres, ses autres compagnons se jeterrent sur les coffre avec un petit cris de joie ! Il y en avait quatre, et ils etaient quatre.

« Vas y, prend le tient. » dit l'halfelin a Sadoruro.

« Je ne veut pas etre un pilleur de tombe. »

« Nop, tu te trompe mon gars. C'est vrai que pour les tombes, on a prit ce qu'il y avait dedans, mais on t'en veut pas de ne pas pensé comme nous. Par contre, pour ces coffres, c'est une autre affaire. Les tresors qui sont deposé la dedans son déposé par la communautée de Luskan, afin d'attirer les aventuriers et les pousser a aller jusqu'au bout de la crypte, les faisaient ainsi eliminer tout les spectres qui leur cause temps de nuisance. Je ne te ment pas, mon pote, je suis honnette avec toi. J'aurais put te mentir et prendre ta part, mais tu debute dans le metier, tu n'as pas vraiment besoin d'avoir des compagnons verreux des le debut. »

Sadoruro finit par se laisser convaincre. Il s'appropria donc les tresors, composé de gemmes et de pierres precieuse, puisque pour lui c'etait une recompense aux braves qui etaient allé jusque la.

Le petit groupe finit par sortir sans encombre, et a revennir sur la place principale de Luskan. De la, ils se dirent au revoir, car le reste du groupe comptait partir plus vers le nord, et Sadoruro lui voulait rester encore un peu a Luskan.

« J'ais l'etrange impression que je dois encore faire des choses, par ici. »

Apres ces adieux, Sadoruro allait chez le joallier echanger les gemmes conte de l'or, puis se rappela alors le dojo de l'aubepine, au nord de la ville. Cela semblait tout a fait approprié pour lui, il decida donc d'aller y faire un tour.

Quel ne fut pas sa surprise en decouvrant le lieu ! Un immense tatami, des statues de dragons tout bonnement immenses ! Le lieu semblait magique, et l'etait peut etre meme au sens propre du terme !
Cela ressemblait au paradis pour lui. Et quel ne fut pas sa surprise de decouvrir dans ce lieu un magasin qui vendait des produit pour les moines, de la creation du dojo !

Laissant quasiment tout l'argent qu'il eut dans la crypte, Sadoruro put s'achetter des gants pouvant s'enrouler de feu lors des attaques, et un nouveau kimono, qui etait magique, et qui semblait lui permettre d'acceller ses deplacements en esquive, le rendant plus difficilement atteignable.

Sadoruro resta quelques jours encore. Le reste de son argent lui permit de payer la pension complette a l'auberge pour encore une semaine, mais Sadoruro ne pouvait rester sans rien faire.
Apres des jours d'entrainement au dojo, Sadoruro decida de retourner chercher un peu de cette experience dont l'halfelin avait parlé. Il se rappela ses paroles.

« Cette experience, c'est quelque chose de tres precieux. C'est grace a elle que tu pourra trouver la solution a des situations qui te sembleront au premier abord insurmontable. »

« Est-ce que cela peut avoir un rapport avec le Ki ? Je ne sait pas... Mais le seul moyens d'en etre sur, c'est de retourner en gagner ! »

Chapitre Trois: Retour et retrouvaille, la force du Ki.

Cela faisait longtemps que Sadoruro vivait au val de bise, affrontant epreuves sur epreuves, vivant d'entrainement et de quete de perfection sur le chemin qui etait encore pour lui initiatique. Mais desormais, c'etait changé. Tout avait changé. Car comme l'avait predit son ancien maitre, en suivant par lui meme ce chemin initiatique, il l'avait trouvé. Il avait trouvé son Ki. Maintenant, pour lui, il etait temps de revennir, de revennir a son monastere, pour enfin finaliser son entrainement.

Avec sa condition physique nouvellement acquise, le trajet de durant que peu de temps, et, bientôt, Sadoruro put enfin comptempler ces collines tellement familieres ou il avait passé toute son enfance. Et la, prêt du meme volcan, se trouvait son vieux monastere. Il n'avait pas changé, en rien du tout.

Sadoruro fut aceuillit en heros, a son entrée au monastere. Tous ses occupants virent feter l'entrainement, y comprit ses vieux maitres. C'est alors que maitre Jiyio, le plus respectable et sage des maitre du monastere, vint lui parler personnellement.

« Je suis heureux de voir que tu a enfin touvé ce que tu cherchais. Enfin, tu nous revient, et enfin, nous allons pouvoir finir ton enseignement. Demains, retrouve moi en haut du volcan, lorsque l'aube pointera. »

Et la soirée se passa, en fete, en retrouvaille, mais Sadoruro ne vit pas Jiyio de toute celle ci, Enfin, la nuit arriva.

Sadoruro ne dormit presque pas cette nuit la, car il se leva au millieu de la nuit pour se laisser le temps de grimper la montagne. L'ascension de nuit fut difficiles, mais grace aux entrainement de Sadoruro, il y parvint sans probleme.
Arrivé en haut, il se rendit compte qu'au fond du cratere rougeoyait une mare de lave, et que non loin d'elle avait été batie une aire d'entrainement fait d'un sol d'obscidienne, et que juste a coté se trouvait une petite cabanne construite avec la meme roche. Au centre de la structure se trouvait maitre Jiyio, assit en tailleur, semblant medité.
Sadoruro le rejoint alors que les premieres lueurs de l'aube resplendirent.


« Je suis content de voir que tu a respecté mes contraintes, mon eleve. » dit maitre Jiyio, en se lenvant pour faire face a Sadoruro. « Desormais, et ce pour les mois a venir, nous viendrons ici le plus clair de notre temps pour nous entrainer au second enseignement. Nous decouperons notre temps entre lui, et le premier, pour ne pas perdre les bases. Maintenant, assied toi devant moi, je vais te parler de ce que je vais t'enseigner. »

Maitre Jiyio et son eleve s'assirent donc au centre de la place d'entrainement. La chaleur, bien qu'ils se trouvait a une vingtaine de metre de la marre de lave, etait etrangement supportable.

« Le second enseignement consiste en l'etude du Ki. » commenca maitre Jiyio. « Le Ki est la magie de la vie. Alors que dans ce monde, toute chose trouve sa place et son harmonie grace a la magie pur, cette energie qui relit chaque etre entre eux et qui regit les lois de la realité de ce monde, le Ki est une magie a part. C'est la magie qui permet aux choses vivantes de vivre. Tout ce qui vit possedent et créer du Ki, nous, commes les arbres. Et cette energie, cette magie, peut etre utiliser par ceux qui la possedent pour realiser des chose extraordinaire. Sans doute a tu deja ressentit au cours de tes entrainements une force qui te venais lorsque tu etait extremement concentré. Sans doute a tu ressentit lors des epreuves du feu cette energie affluer lorsque ta vie etait en danger. C'est cela, le Ki. Mon devoir est maintenant de t'enseigner a l'utiliser selon ta volonté; Et pour cela, l'etude est decoupée en deux partie: La partie interne, et la partie externe. Nous commencerons par la partie interne. Elle consiste a savoir utiliser le Ki qui est en soi et que notre corps créer. Pour cela, je vais tout de suite te montrer une position qui te permettera de ressentir le Ki en toi. »

Sadoruro acquiece, alors que son maitre se levait. Ce dernier se mit alors dans une position particuliere: Il etait debout, les jambe legerement ecarté, les genoux legerement plié, le dot droit, et tenait devant lui ses bras comme si il devait tenir contre lui une boule aux grandes proportions. Il respirait lentement, tranquilement.
Sadoruro, sans qu'il y est eut besoin de paroles de sont maitre, se leva et l'imita. La position etait etrangement confortable. Sadoruro se detendit alors, tranquilisant sa respiration, vidant son esprit. Et au bout de quelque seconde, il commenca a ressentir une etrange sensation en lui, et tout autour de lui. En son corps, il ressentait de leger piquotement ainsi qu'une paix totale, mais tout autour de lui, il avait l'impression de porter un vetement d'une legereté extreme, d'une douceur comme fantasmagorique, l'entourant tout autour de lui, detendant tout son corps.
Son maitre prit alors la parole:

« Ressent tu ? »

« Je crois que oui. »

Sous ordre de son maitre, les emaines qui suivirent furent consacré a la recherche et au maintient de cette sensation du Ki. Sadoruro se rendit compte rapidement qu'ils allaient rester a cet endroit pendant un long moment, car la petit cabane etait remplit de provision.
Sadoruro progressa durant ces quelques semaines. Au depart de cet entrainement, la premiere position, celle de base, etait celle principalement utilisé pour ressentir son Ki. Le travail fut alors orienté sur le maintient de cette sentation de « couche externe », et Sadoruro fut rapidement capable de marcher et de s'activer apres avoir develloper son Ki en lui, grace a la premiere position. La suite de l'etude fut alors de savoir develloper ce Ki a partir de n'importe quel position, ce qui etait difficile, car bon nombre de position, meme celle habituelles pour l'homme, pinçait des meridiens de Ki, et nuisait a son devellopement. Sadoruro s'entraina donc pendant quelques temps, et parvint a develloper son Ki de n'importe quelle postion, en faisant l'acte conscient que lui avait apprit son professeur: « imaginer que son Ki se transforme en un liquide, qui descent le long de son coté droit tout d'abord, partant du haut de la tete, coulant sur son bras, puis sur sa jambe. Imaginer ensuite que c'est au coté gauche que cela arrive, le tete tout d'abord, le bras, puis la jambe, et enfin imaginez que ce liquide entoure notre corps entierement, vaguant, pulsant au rithme de notre vie. »

L'autre savoir qui fut enseigné a sadoruro pour cette etape de la premiere partie fut la notion de concentration du Ki. En effet, il etait possible, apres avoir develloper son Ki autour de soi, de le concentrer sur un point particulier.

« Tu dois imaginer ressentir la sensation du vetement leger sur la seule partie ou le Ki en concentré, celle ci devenant de plus en plus reel. »
Durant des jours, Sadoruro s'entraina a maitriser cette partie. Il montra sur ce point des dons tout bonnement incroyable: en l'espace d'une journée, il avait reussit a maitriser la concentration, reussisant desormais parfaitement a forcer son esprit a ressentir ce qu'il voulait, et donc forcer son Ki a suivre le mouvement de ses pensée. Car c'etait la le grand secret du Ki: l'utilisateur savait dompter et utiliser ses sentations pour dompter et ordonner a son Ki.

« C'est bien, tres bien Sadoruro. Tu est tres doué ! Tu a reussit a maitriser la premiere phase de cette etape ! Desormais que tu sait develloper le Li tout autour de toi, je vais t'apprendre a t'en servir ! »

C'est ce qu'a dit son maitre au bout des semaines d'entrainement. Sadoruro etait incroyablement exité tout en etant formidablement studieux. Il ne pensait meme plus au monastere, et c'etait avec la seul envie de retourner au volcan s'entrainer qu'il etait redescendut reparticiper a des sceances du premiers enseignement.

« Desormais, je vais te montre la seconde phase de la partie interne: sa vraie utilisation. Du doit savoir que comme tel, tu possede deja une force bien superieur aux humains normaux. Le simple domptage du Ki qui est a l'interieur de toi te donne deja beaucoup de force ! Mais desormais, il vas en falloir encore plus. Et oui, car nous somme capable d'utiliser plus de Ki que le seul dompté quand nous le voulons. Pour cela, il vas te falloir apprendre a le faire jaillir de toi. Tu devra te concentrer pour accellerer la marche normal de tes cellules afin de créer du Ki, et ensuite l'emagasiner en toi, le concentrer de plus en plus, jusqu'à le faire jaillir hors de toi comme un bouchon qui saute d'une bouteille de champagne. Quand tu sera capable de faire cela, tu sera capable d'utiliser l'etape 1 de cette partie pour te battre. »

Le rude entrainement commenca alors. Il etait totalement different du premier; Cette fois-ci, le maitre utilisait tout ce qui les entourait pour entrainer la force vitale de Sadoruro: entrainement puis relaxation, le tout a quelques metres de la lave, course a travers le volcan, brisage de roche, meditation, exercice de respiration, tout cela etait necessaire afin d'augmenter le potentiel vitale de l'eleve. Au bout d'une semaine de cet entrainement d'une semaine, le veritable enseignement commenca.

« Sadoruro, prennons ensemble la position de base. » Lui dit son maitre.

Ils s'executerent.

« Bien. Maintenant, devellope ton Ki. Voilà. Maintenant, ecoute bien. Imagine que tout le Ki qu'il y a autour de toi se concentre dans le centre du Ki, situé a deux travers de doigts au dessous du nombril. Une fois qu'il est concentré, imagine le stimuler tes cellules, les faisant produire du Ki, de plus en plus de Ki, qui va rejoindre celui deja present. Imagine que la force vient de toutes les celules de ton etre, qu'elle se concentre en toi, se concentre, se concentre... Tu y est ? »

« Oui.... » repondit Sadoruro avec difficulté.

« Bien, maintenant, imagine que ton etre pousse le tout vers l'exterieur, que tu Ki jaillit tout autour de toi. Prêt ? Vas y ! »

Sadoruro s'executa. Alors, tout autour de lui, jaillit comme une mince aura d'un rouge feu.

« Je suis fier de toi. Tu est bien digne de la salamandre, tu en a le Ki rougeoyant. Durant les prochaine semaine, tu t'entrainera jusqu'à ce que tu soit capable de faire cela. »

Une puissante aura rouge jaillit alors d'autour maitre Jiyio, qui se concentra tout de suite dans son poing. Il donna alors un coup dans un roché, qui se fendit avec une belle projection d'etincelle.

Les semaines suivantes, Sadoruro s'entraina afin de reussir comme son professeur. Bientôt, ce dernier fut reellement impressionné par les capacitées au Ki de son eleve: sur ce dernier point, jamais il n'avait vu d'eleve apprendre et matriser aussi vite.

Apres un rude entrainement essentiellement composé d'entrainements a l'augmentation du potentiel vitale, de devellopement du Ki, de concentration, de jaillissement, Sadoruro parvint a develloper et a concentrer la force suffisante pour briser un rocher a mains nues.

« Tu est vraiment incroyable. » lui dit alors son professeur. « Il est temps pour toi de recevoir ton initiation a la seconde partie du second enseignement. Tu dois savoir que la premiere partie est celle que tu utilisera le plus souvent, car c'est la plus facile et la plus rapide a mettre en oeuvre, et aussi le seul a pouvoir etre utiliser dans le feu du combat. La seconde partie, quand a elle, est plus puissante, mais demande un certain temps, avant de pouvoir etre utilisée.
Mais je vais commencer mon explication. La seconde partie repose sur le fait que tout ce vit et qui nous entoure est constitué de Ki. Mais tu dois savoir aussi que le Ki, comme la magie d'ailleur, est directement crée par la planette. En fait, notre planette est vivante, elle est gorgé d'un Ki inepuisable et renouvellable. C'est a l'utilisation de ce Ki la, le Ki exterieur, que repose la seconde partie. Grace a elle, tu sera capable d'attirer a toi l'energie presente autour de toi, de la meler avec la tienne, et de concentrer le tout pour produire les coups de Feu de notre ordre. Mais je ne te garantie pas que tu vas reussir, cette partie n'est pas donnée a tout le monde. »

« Maitre, s'il vous plait, apprennez moi, je veut essayer ! » dis Sadoruro.

« Je peut te dire la theorie, mais ne t'attend pas a reussir a la mettre ne pratique avant longtemps.
Bon, le seconde partie, la capacité a attirer le Ki vers toi, depend de la premiere. En effet, au niveau du Ki, ce dernier se comporte comme l'eau dans une piece fermée: quand tu vas bouger le Ki, le tirer vers toi, cela va créer comme une depression, qui va a son tour attirer le Ki exterieur vers toi. Mais pour pouvoir le faire, tu devra le ressentir consciement.
La marche a suivre est simple: Tu dois develloper ton Ki autour de toi, et ensuite le concentrer en toi. Mais a ce moment la, il faudra alors que tu imagine ressentir la depression de Ki comme je t'en ais parlé, que tu imagine que le Ki present autour de toi est attiré par le tient, et que ce dernier te rejoint pour se concentrer avec toi. »

« D'accord, j'ais comprit. Puis-je essayer, maitre? » dit Sadoruro.

« Je ne veut pas te donner de faux espoir, mais soit, essaye. »

Sadoruro se mit donc en position de base. Il devellopa alors son Ki autour de soi. Puis, il se forca a le concentrer a l'interieur de lui. Mais, tout en faisant cela, il essaya d'imaginer son Ki attirant l'autre, le tirant a lui, il ressentait son Ki capable de faire se mouvoir celui de l'exterieur. Un petit eclair rouge sortit du rocher le plus proche, pour venir frapper Sadoruro. Et ce dernier perdit sa concentration, trop eberlué...
Mais celui qui etait le plus eberlué, c'etait son professeur...

« Tu est vraiment destiner a faire de grande choses, mon eleve... » dit il.

La derniere phase etait ammorcé, bientôt Sadoruro serait un vrai maitre. Cette idée, autant que de le joie, lui apportait aussi anxieté.
Les dernieres semaines d'entrainement furent consacrée a la meditation, et au Tai chi prêt de la lave.
Grace a ceci, Sadoruro devait de mieux en mieux ressentir le Ki qui l'entourait. Petit a peit, l'unité avec le monde de Sadoruro grandit, il commenca a reelement se sentir comme faisant partie du tout qu'etait le monde, capable d'influer sur l'ensemble tout en faisant partit.

Ce jour la, de tres nombreux eclair de feu sortirent du sol, des rochers, et de la lave environante. Ils vinrent tous frapper Sadoruro, qui relacha alors tout son Ki emagasiné, le melangeant avec celui qu'il avait attiré. Il fut bientôt entierement entouré de Feu, et realisa alors l'enchainement que son maitre lui avait montré. Et apres cela, son maitre se leva.

« Tu as bien grandit depuis le temps ou je t'ait rencontré. Sadoruro, tu vient de finir le second entrainement. Desormais, tu est vraiment un maitre du monastere. »

Ca y est, il avait reussit; Il etait enfin la Salamandre, etant un des reras maitres du second enseignement.
Le jour suivant, ils redescenderent tout les deux du volcan, et furent aceuillit en heros dans le monastere. Sadoruro fut officiellement nomé maitre superieur du monastere. Il etait desormais destiné a prodiguer lui meme l'enseignement.

Mais ce n'etait pas ce que Sadoruro desirait. Le soir venut, il se rendit dans la chambre de maitre Jiyio.

« Maitre, puis-je rentrer ? » demanda Sadoruro devant la porte.

« Bien sur, mon eleve, rentre . Que se passe t'il ? »

Sadoruro rentra.

« Maitre, je dois vous dire une chose. Je ne veut pas rester dans ce monastere. Non, j'y ait bien reflechi, et je veut partir en direction de la civilisation, rencontrer le monde, rencontrer le reste du clergé, et peut etre fonder un nouveau monastere pour redorer La Salamandre; »

« Je m'en doutait, mon eleve, je m'en doutait depuis longtemps; Tu as montré une fougue dans l'apprentissage, une devotion a la Salamandre qui ne pouvait que te conduire a vouloir le meilleur pour elle. Et bien soit, je suis encore assez jeune pour prodigeur l'enseignement jusqu'à ce que tu decide de revenir; Tu est libre de partir, mon eleve. Mais fait le demain matin, avant l'aube. Je ne veut pas que tu ait des tentations qui corrompreraient ton jugement. Passe une bonne nuit, mon eleve, et je te promet, nous nous retrouverons un jour. »

Le vieux maitre et son eleve s'echangerent alors des adieux. Sadoruro ne dormit presque pas, cette nuit la, et se leva des le millieu de celle ci pour quitter definitivement le monastere. Ce dernier, dans la penombre de la nuit, etait froid, et il n'y avait personne. Sadoruro n'eut aucun mal a le quitter, et puis, sans un dernier regard derrier lui, reprit la directon de la grande citée voisine, Luskan, la citée des voiles.

Salut, serait il possible de remettre en service ce BG puisque je rejoue ce personnage depuis quelque temps ? ^^ Merci ^^