[Validé][Moine][H]Nyuwaë

Citation :

Nom du compte joueur forum : _Brooke_
Nom du compte joueur module : _Brooke_
Nom du perso : Nyuwaë
Race : Humaine
Sous race: -
Age : 19
Alignement : loyal bon
Religion : Séluné
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : moine pure
Arme de prédilection/domaines/école de magie : mains nues
Langues : Commun
Familier/Compagnion animal : -
Ennemis jurés : -
Trait de Caractère : calme et posée, réfléchi pour la plupart de ses actions, aime et respecte par dessus tout la vie, et les joie qu'elle lui apporte.
Description physique : 1m66, tenue légère, toujours souriante



Caractéristiques :
FOR : 14
DEX :12
CON :12
INT : 14
SAG :16
CHA : 8

« DONG … DONG»

Ce son là, c’était celui qui berçait les nuits de Nyuwaë toute son enfance.
Une nuit de grand froid, au pied du Mont Buo, des cris d’enfant se fond entendre, résonnants dans l’écho naturelle des montagnes. Un moine d’un temple de l'ordre de la Conscience Solaire, situé sur un plateau recouvert de la neige hivernale, est alerté alors pas ces cris. Lorsque lui est ses confrères ouvrirent la porte du temple, il virent un berceau, avec un enfant, la petite Nyuwaë. Juste un mot, disant de s’occuper d’elle, citant pour seule information son prénom.
Dans leur grande bonté, les disciple de la Vierge Lunaire, Séluné, prirent l’enfant afin de la protéger du froid et des prédateurs environnant. Les moines vénérants Notre Dame d'Argent étaient d'une solidarité et tolérance irréprochable, et dès qu'un des leur ou les être sans défences se retrouvaient en danger, ils n'éssitait pas à apporter leur aide. Ils considèrent tous les êtres comme leurs égal.Certains cherchèrent ses origines dans les villes les plus proches, mais en vain. Certains moine sachant lire dans les astres ou se laissant guider par la Lune tentèrent de trouver sa famille, mais apparament, Séluné souhaitait que l'enfant reste parmis ses disciples.

L’enfant grandi donc au sein de ce monastère, sur ce plateau, caché au milieu des montagnes, et connu de ses seuls résidents, hormis peut être quelques alpinistes expérimentés. Les moines lui enseignèrent leur sagesse, ainsi que la connaissance du corps. Elle passait du temps a exercer les exercices de ses maître, et méditée longuement sur le proverbes et anaphores du clamp. Les exercices étaient simple, dans leur théorie : la matinée commencée avec une méditation au soleil levant, laissant les rayons du soleil purifier leur âme pour la journée. S’en suivait un entraînement au combat, chacun commençant par un, puis deux, puis trois adversaires simultanés, plus encore pour les plus expérimentés. Nyu avait une assez bonne dextérité et de bon réflexes au combat, alors un de ses maître augmentait la difficulté, lui bandant les yeux, la forçant à écouter les bruit de déplacement, la respiration de l’ennemi, sentir sa présence et ses mouvement en utilisant cette énergie qu’est le Ki.

Ressentir cette énergie qui réside en chaque être vivant, la comprendre, la maîtriser pour exploiter son corps à la perfection, c’était le but de la méditation « soudaine ». En effet, après quelques heures de combat et de lutte acharnée, après les étirements rituels, arrivait le temps de méditation dite soudaine, car celle-ci devait s’effectué tant que le cœur battait de plein fouet, tant que les muscles étaient chaud. Les moines devait entrer dans un système de concentration subtile, afin d’utiliser le Ki pour régénérer leur blessures, les aider a mieux reprendre leur souffle, et par la symbiose de leur esprit avec le corps, augmenter leur réserve de Ki. Cette énergie si particulière était la source de multiples prodigues que les moines maîtrisaient. Nyu apprenait son contrôle, mais avant cela, elle devait d’abord apprendre à ressentir et écouter son corps. « Un esprit saint dans un corps saint », tel était l’une des devises du temple.

Après l’heure du dînée, l’entraînement reprenait de plus belle, alternant entre combat et méditation, puis une séance de course, les moines partant chercher des vivre à la ville, avec des ceintures et bracelets lestés. Avec leur attirail d’entraînement, notamment des sacs remplis de pierres, les moines ne passaient pas inaperçus en ville. Les plus endurcis arrivaient à porté leur sacs sans montrer une once de fatigue ou de faiblesse, mais Nyuwaë dans ses débuts peinait grandement, laissant tomber parfois sa marchandise, nécessitant de retourner en ville reprendre les denrées. Mais les moines étaient d’une patience et d’une gentillesse remarquable avec la jeune élève, et les passant n’osaient pas se moquer d’eux, tant leur puissance était redoutée.

Le soir, après un rude entraînement, la journée n'était toujours pas terminée. Lorsque la lune se levait, prenant la place du Soleil, les moines allait prier et donner leur offrande à Séluné. La cérémonie commençait toujours par une longue méditation, afin d'être en parfaite harmonie avec son corps et son esprit pour prier la Vierge Lunaire. Puis, la danse en son honneur commençait. Celà permettait aux moine de se divertir, de mettre de coter leur entraînement si intense, pour s'abandonner aux gestes fluides et élégants, mais néanmoins précis, dédiers à leur Déesse. Puis les moine énonçait chacun leur prières, laissant une offrande à Leur Déesse, toujours face à la lune.

Nyu arrivait chaque jour à mieux maîtriser son corps : elle maîtrisait parfaitement ses coups, ressentait sur sa peau le moindre souffle d’air autour d’elle, et ressentait avec une précision extrême chaque muscles, chaque organes de son corps. Elle passait de longues heures à la cascade du Mont Buo, sous laquelle elle s’entraînait, endurcissant son corps, et utilisant le Ki pour le renforcer.

Avec le temps, les moines lui apprirent à utiliser le Ki au combat, autrement que pour renforcer ses déplacements, ou renforcer son corps ou le guérir. Ils lui apprirent la technique de la frappe Ki, demandant une grande concentration sur ses attaques. Elle s’entraînait à l’abri des regards, près de sa cascade, sur les rocher bordant la rivière… elle concentrait toute son énergie, son Ki sur ses poings. Ses attaques devenaient de plus en plus puissante, et sa réserve de Ki augmentait de jour en jour. Voyant la jeune fille progressée graduellement, l’ayant vu grandir depuis sa plus jeune enfance entre les murs de ce monastère, les moines demandèrent à Nyu de les quitter temporairement. Son esprit devait s’ouvrir au monde, et ne pas en retenir que ce que ses maîtres lui enseignait dans leur enseignement. Une fois qu’elle se serait ouverte, elle pourrait revenir quand bon lui semblera dans le monastère, restant à jamais sa maison.

Néanmoins, le maître voulu lui enseigner une dernière technique avant son départ : celle de la paume vibratoire. Cette fameuse technique qu’utilises les maîtres de monastère pour fendre les plus résistante des armures ! « Cette attaque détruit ce qui n’est pas visible, à l’intérieur. C’est une attaque puissante que tu dois utiliser avec la plus grande sagesse, Nyuwaë. » Le maître emmena l’élève près de la cascade du Mont Buo, et pris pour cobaye un des rochers effrité par les entraînements de la jeune apprentie : le moine se concentra sur le rocher, puis d’un coup de paume sec accompagné d’un cri d’attaque, il frappa la pierre en son centre. La pierre n’avait aucune égratignure, pas même la trace de la paume du maître. Néanmoins après inspection, Nyu vit que le rocher s’était fendu de l’intérieur en sept gros morceaux de pierre. Après maintes recommandation de ses tuteurs, la jeune moine parti de son monastère, priant une dernière fois en guise de remerciement pour lui avoir enseigné toute la sagesse de leur clan.

Je vois que tu parles d'un temple dans lequel ton personnage a appris à devenir un moine. Pourtant tu précises dans l'entête qu'il est polytheiste. La plupart des monastéres du monde joué sont attaché à un dieu ou une philosophie.

Voir Détail

La 2éme partie de ce poste explique bien les différentes philosophies des différents ordres. Mis à part cette aspect, l'apprentissage des techniques est trés bien écrit .

Peux tu developper un peu plus la philosophie de ton monastére (ou le lien avec les dogmes d'un dieu)

Lol la prochaine fois je suivrai ma première idée!

En fait j'avais d'abors écrit le Bg en expliquant sa dévotion envers Séluné, car c'est ce qui correspond le plus à mon personnage. Donc j'avais expliqué que le temple faisait parti de l'ordre de la conscience solaire. Cependant il y a des incohérences, car cet ordre vénère le soleil non? (esprit du soleil), hors Séluné est attribué à la lune... de plus, l'allignement attribué à Séluné est chaotique Bon, alors qu'un moine est loyal...

Je vais réécrire ces dogmes mais n'enfraignent-ils pas la philosophie des moines?

Merci

Ca ira?

Je valides en l'état ce moine de la conscience solaire

Perso toujours joué ^^