[Validé][Pretresse de Luthic][DO] Erudisha Kiburga

Citation :

Nom du compte joueur forum : Danifae
Nom du compte joueur module : DanifaeVendriss’net
Nom du perso : Erudisha Kiburga
Race : Demi orc
Age : 18
Alignement : neutre mauvais
Religion : Luthic
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : 25 prêtre
Arme de prédilection/domaines/école de magie : aucune, se bat à main nue. Terre et Guerison
Langues : commun et orc
Trait de Caractère : Apaisé, cette demi-orc semble prendre les choses comme elles viennent, elle se consacre au bien être de sa tribus et ne parle que quand on lui demande. Dans le tumulte des combats elle peux se tenir immobile apparemment détaché et froide. Les mots qu’elle dit sont une invitation à réfléchir au sein d’un clan qui n’est pas réputé pour son sens de la réflexion.
Description physique : 2m10 pour un poids qui dépasse allégrement les 110 kilos de muscles. Cette orc possède des formes généreuses et un corps digne des mères porteuses. Son visage est manifestement porcin, avec son groin retrousser et ses crocs proéminents. La bave coule souvent de sa bouche alors que ses yeux jurent avec l’ensemble de sa personne. Elle a le regard d’une personne calme, pas trop idiote mais capable de sagesse. Elle se teint les cheveux avec du sang de cobra.

Caractéristiques :
FOR : 10
DEX : 08
CON : 16
INT : 10
SAG : 18
CHA : 06

BREF HISTORIQUE DE VOTRE PERSONNAGE :

Je suis née d’un guerrier de Grummsh : Korbalak Cétoutentok, l’un des plus puissant de mon village campé dans une cuvette des chaînes montagneuses de l’épine dorsal du monde, et d’une pauvre fermière humaine.
Mon père et sa horde ont attaqué ma mère alors que celle-ci se rendait avec une caravane marchande dans la cité de Luskan. Puis ils l’ont enlevé elle et plusieurs autres femelles pour mangé et avoir augmenté les effectifs en rejetons du clan.
A leur naissance, les petits bâtards sont séparé de leur mère et élevé par une nourrice de la tribu, dont ils prennent le nom, pour devenir des membres à part entière du clan. Je deviens sous la tutelle de la haute pretresses Gilgenouik Kibourga : Erudisha Kiburga. Jusqu'à l’age de 10 ans pour les orcs et 7 ans pour les demi-orcs, on les éduque au tradition du clan et on les nourrit abondamment pour qu’il puisse devenir grand et fort pour les hommes, fertile et travailleuse pour les femmes. Mais déjà une discrimination se fait : les hommes d’abord ensuite les femmes et a la fin les bâtards.

A l’age de 7 ans l’on me rationne en fonction des taches que j’effectue pour le clan. J’intègre alors la brigade des « petites crottes », composé uniquement de bâtard, elle est destiné a évacué les seaux de mêlasses et de fanges des cavernes et des abris rudimentaire en bois du village. La tache est harassante, l’odeur nauséabonde et la nourriture peu abondante. 2 années durant je fortifie mon corps à ce labeur exténuant. Cette tache ingrate ne me fait absolument pas sentir membre à part entière du clan, je me sent plutôt comme une esclave. Mais je sais ce qu’il faut faire pour en sortir aussi je donne mon maximum. Puis à l’age de 9 ans, Apres avoir montré ma vaillance et mon envie de faire avancer le clan en ne me ménageant pas, je suis promue.
J’entre dans les marmitons. La je suis commis de cuisine et aide au récurage du graillons au fond des marmites. J’apprend à reconnaître les épices culinaires et à les marié tout en continuant ma tache pour le clan. J’y prends beaucoup de plaisir car ma pitance est augmentée par les restes que je parviens à obtenir au fond des marmites. Le travail est tellement plus facile que j’ai l’impression d’être au paradis. Je mange à ma faim et je peux même faire des essais de recettes qui semblent terriblement plaire à l’ensemble du village. Comment reconnaître le persil et le laurier, avec quoi mélanger de l’origan… Je suis même autorisé à sortir en foret avec les adultes pour y cueillir des ingrédients de cuisine. Au cours de l’une de ces sorties, le guérisseur du village m’observe et constate la facilité que j’ai a trouvé les herbes les plus utiles en cuisine. Il m’interroge alors pour savoir d’où me viens ce dont. Je lui réponds que j’ai beaucoup écouté le cuisinier et que j’apprends vite. « Je trouve malheureux de gâcher un tel talent a faire de la simple cuisine, dit moi Erudisha ne voudrais tu pas aider le clan d’avantage ? ». Une question bien ridicule si l’on tient compte que j’ai un abri et à manger grâce au clan, aussi j’accepte avec empressement. C’est ainsi qu’à l’age de 10 ans je deviens apprentis du guérisseur.

4 années durant je suis soumise à une étude approfondie des plantes et des méthodes de soins. J’apprends à reconnaître les maladies et les moyens pour les combattre. J’apprends à trouver les ingrédients et à les reconnaître à l’odeur autant qu’à la vue. Je réalise des poisons et des antidotes, je participe aux amputations et autres chirurgies nécessaire pour sauver les vie des guerriers blessés. A force d’étude, et en raison d’un travail qui nécessite réflexion et patience, je deviens plus posé et plus calme que ceux de mon clan. 4 ans, Et enfin je me sent chez moi. J’ai trouvé ma place et mon utilité dans le clan. La vie dont j’ai toujours rêvé. Certes je suis toujours inférieur à un orc ou même un male mais le clan à besoin de moi. Quand je regarde mon passé je suis légèrement nostalgique. Vivre en tant qu’apprentie du guérisseur m’a éloigné de la caverne qui m’a vue grandir, le seul refuge ou je peux me sentir à l’aise à l’abri du froid et du mauvais temps, des animaux sauvages et des ennemis qui veulent nous détruire. Le Guérisseur doit vivre dans une cahute qui montre certes son statut supérieur mais qui peux s’agrandir pour accueillir plus de blessé…ce qui n’est pas le cas d’une grotte.

La grande prêtresse de Luthic, et membre de l’ordre des « mains moites », un groupe de femmes maîtrisant leur corps comme une arme et leur esprit aussi affûté et sage que celui des moines : Gilgenouik Kiburga, Viens m’annoncer un jour qu’il était temps pour moi d’apprendre a vénéré le ciment notre vie : Luthic la déesse qui nous apporte stabilité et abris dans le danger. Gilgenouik a suivit mon parcourt et à jugé que j’avais enfin trouver une place dans le clan et que maintenant j’était prête à entendre les enseignements, pour elle mon esprit est désormais ouvert et assagis par ses années de labeur.
La première année, j’apprends les dogmes de notre déesse, je m’en imprègne car je me rend pleinement compte que toute ma vie j’ai dépendue de mon désir de m’intégrer au sein du clan et de mon amour pour cette caverne qui m’a vue grandir et m’a protégé de tout.
Je récite tout d’abord par cœur puis par foi, les dogmes :
« La vie trouve refuge au sein même de la terre d'où elle naît. Rendez hommage à la sagesse de la Mère des Cavernes, dont la force est l'épine dorsale de la horde et l'origine du courage au combat. Familiarisez-vous avec la place que vous occupez dans la tribu et réalisez votre part du travail pour renforcer votre communauté contre ses rivaux. La caverne constitue l'étreinte protectrice de la Mère de Bahgtru et le bastion de la force des orques. Faites face à toutes les épreuves. »
En plus de l’apprentissage sur les dogmes, on m’enseigne a reconnaître les différentes religions de notre clan à les respecté même si je n’y crois pas du tout. On m’apprend l’histoire orale qui se transmet de prêtresse en prêtresse, sur la vie des Luthic :
« Luthic est l'épouse de Gruumsh et la mère de Bahgtru, mais seul ce dernier semble l'écouter. Le Fils de Gruumsh exécute tous les ordres que lui donne sa mère, avant même ceux de Gruumsh, attitude rebelle de la part d'un fils loyal que le Dieu Borgne tolère de mauvaise grâce. Les autres dieux orques ne lui accordent qu'un minimum de respect, et seulement parce qu'elle est la compagne de Gruumsh, une situation qu'elle accepte à contrecœur. Luthic voue une haine profonde aux ennemis traditionnels du panthéon orque, parmi lesquels les dieux gobelinoïdes, nains et elfes »
Lorsque j’atteins l’age de 15 ans, les prêtresses qui nous forment décident de nous enseigner la pratique, la méditation qui permettra ensuite d’accéder au sort offert par notre déesse. Sans paix intérieur pas de puissance sacré. Atteindre cet état de plénitude intérieur est long et difficile mais après des mois d’entraînement je suis enfin capable de faire le vide en moi et ainsi je me rend réceptive aux dons offert par Luthic…seulement voila : La chambre de mon âme reste désespérément vide. Je n’ai pas la prétention de croire que Luthic est en fautes, que cet elle qui ne m’entend pas. Bien au contraire je suis assez sage pour faire ma propre introspection et me rendre compte que malgré ma foi en la stabilité de nos cavernes, malgré les efforts que je fait pour aidé le clan, Je ne suis pas encore digne d’elle. Quelque chose en moi, dans mon cœur, mais j’ignore quoi, quelque chose m’éloigne de ma déesse. C’est donc à moi de trouver quoi. Malheureusement l’année suivante ne se passe pas mieux. Je vois les prêtresses en herbe devenir plus efficiente a chaque nouveau cycle de lune alors que moi je stagne. J’apprend les bases mais je ne suis pas capable de les appliqués. Quand je demande a mes professeurs, la réponse est invariablement la même. C’est un apprentissage que je ne peux faire que seule en compagnie de la déesse. Que je dois me préparer à la révélation lorsque celle-ci aura lieu. Toujours à tenter de résoudre mon problème je n’en suis pas moins attentive aux leçons. Je m’oriente vers les domaines cléricaux de la terre car je crois fermement au vertus de nos grottes et de la guérison car je ne tiens pas a renié mon enseignement comme apprentis guérisseuse.

Je découvre dans le tourment de la bataille, Les raisons qui ont poussé ma déesse a ne jamais me répondre pendant deux ans. Notre campement est un jours assaillit par une horde de gobelin fanatisé. Les hommes sont au combat contre des nains et il ne reste que des enfants et des femmes ainsi qu’un ou deux chasseurs pour protégé le clan. Inutile de vous dire que nous autres les femmes sont sans défenses face à des gobelins en armes… comment nous qui n’avons ni le droit de porter une arme ni le droit d’apprendre à nous en servir pouvons nous repousser l’agression ?
Dans le tumulte de la bataille je fuis… le sauve qui peux générale vers le seul refuge sur : les cavernes.
Une dizaine de nos femmes se mettent en avant et font barrière de leur corps pour permettre aux notre de trouver refuge au cœur même de nos grottes. Cet acte de courage redonne espoir à toutes celles qui sont désespéré. Moi-même je ne peux m’empêché de pleurer leur sacrifice mais une fois à l’abris des grottes, je me rend compte que toute ma vie j’ai eut peur. Peur de perdre mon statut acquis dans le clan, peur de perdre la vie, peur d’être chasser du clan. Tous mes efforts ont été guidés que par la peur. Et qu’il est enfin temps de changer.
Il nous est plus facile de défendre une petite entrée que de défendre tout un village. Les gobelins pille et incendie nos cahutes, massacre les femmes qui nous ont permis de nous réfugier. Celle-ci trouve quand même la force d’écrabouiller plusieurs de ces vermines. C’est alors que sous nos yeux ébahis, nous pouvons voir se placer devant l’entrée de chacune de nos grotte : une femme dont l’une est ma mère adoptive, la falaise en cuvette montre un spectacle magnifique : chaque grottes refuge est gardé par une femme en robe simple. Je viens me placer au cotés de ma mère. Celle-ci m’ordonne de rester un peu en retraite et de prendre la relève si elle vient a tombé. Avec fierté et courage, un sens du devoir nouvellement acquis et une foi grandis, j’opine. Les gobelins tente d’abattre les gardiennes à distance, et aucun de leur projectile ne parviens à les atteindre. Lorsque ceux-ci charge, ils sont repousser par des femmes a main nue complètement déchaîner. Nos grottes sont le lieu idéal pour stopper l’avance des envahisseurs. Une seule d’entre elles suffit a repousser l’ennemis a coup de poing et de griffes et de mouvement…Surorc, comment de tel masse peuvent se mouvoir avec autant de rapidité ? Sur la dizaine de grottes que compte la cuvette, 3 finissent par tomber. La mienne allait également tomber… Apres des heures de combats harassant. Ma mère adoptive s’écroule la cuisse droite percer d’une lance gobelin. Mes congénères traînent ma mère à l’intérieur alors que je m’élance à sa place. Je n’ai jamais appris à me battre, mais en regardant derrière moi je vois des dizaines de femmes prêtes à prendre ma relève si je tombe. Un sourire aux crocs je me tourne vers nos ennemis et j’obstrue le passage. A coups de poing et de pied je me bats comme une diablesse. Le nombre de mes blessures grandit au fils des minutes, mon sang recouvre les parois de l’entrée et des dizaines de blessures profondes saillent mon corps. Je finit par tombé a genoux, épuisée… je sais que je suis perdue. Je sais maintenant, à l’article de la mort, en quoi je ne pouvais pas plaire à Luthic…elle se résume en une simple phrase de son dogme :
« Dont la force est l'épine dorsale de la horde et l'origine du courage au combat »
Mais alors que j’allais recevoir le coup de grâce, les cornes et les tambours de nos guerriers retentissent. Ils sont de retour de leur bataille contre les nains… Et les gobelins ne traînent pas pour savoir si ils sont victorieux et sain et sauf. Je m’écroule alors que les envahisseurs fuient de toute part.

Nous sortons alors de nos grottes pour rejoindre les hommes dans le village dévasté. Sans un mot ni une plainte nous les femmes nous nous mettons à tout reconstruire, les hommes s’installe dans les grottes pour se reposé. Les premières taches qui incombent alors à nos prêtresses sont de soigné les blessés, d’abord les hommes revenus du combat et ensuite les femmes blessés pendant l’invasion. Nous devons en priorité nous occupé des males. Etendue sur une couchette de fortune, je me sens inutile. Je n’ai foi qu’en ma déesse mais je ne suis pas capable d’utilisé son pouvoir, je ne peux que prier, prier de tout mon cœur pour que le village s’en sorte, que nos blessés se relèvent et… j’ai soudain des picotement dans les doigts, et l’impulsion subite de toucher un blessé qui se traîne à mon coté, j’ouvre des yeux ébahis quand je constate que le contacte de mes mains sur la pauvre femme fait se refermé ses blessures les plus profondes… Je comprends subitement ce qui se passe, toutes ces années passées à prier une déesse que je croyais inaccessible, tout mon apprentissage suivit auprès de ma mère se révèle alors sous un jour nouveau. Ma déesse a lut dans mon cœur tous les sentiments qui m’ont traversé. Cette bataille fut mon épreuve et je n’ai pas échoué. J’ai aidé les gens à fuir pour préservé le clan de mon mieux avec mes faibles moyens, dans les grottes je me suis sentie rassurer puis je suis aller faire rempart de mon corps pour préservé l’entrée au coté de ma mère. J’ai mis en avant le fondement même de mon enseignement, inconsciemment je suis entré dans le girons même de ma déesse qui m’a alors octroyé une part de sa puissance faisant du même coup de moi une novice.
Lorsque le camp a retrouvé un semblant d’habitabilité, la remplaçante de ma mère, au statut de haute prêtresse, me prend à part et me déclare que désormais je suis prêtresse. Je doit désormais devenir femme… il faut que j’apporte a la tribus du sang neuf et que pour cela je doit aller trouver d’autre orcs et demi-orc pour pourquoi pas proposé une réunification de tribus car nous ne survivrons sûrement pas à l’hiver qui approche. « Et surtout » me dit elle avant que je prenne la route, « fait nous beaucoup d’enfant ! »

Luthic
Puissance mineure
La Mère des Cavernes, la Sorcière de la Lune de Sang
Alignement : NM
Attributions : Grottes, femelles orques, foyer, sagesse, fertilité, soins, servitude
Domaines : Cavernes, Terre, Mal, Famille, Guérison, Orques
Arme de prédilection : Une main muni de longues griffes (combat à mains nues)

Luthic entretient une grande affinité avec la terre sur laquelle est bâtie sa force. Bien qu'on ne puisse pas la qualifier de bienveillante, elle soigne les blessés avec une brusque efficacité et constitue les fondations sur lesquelles repose le panthéon orque. La Mère des Cavernes n'aime pas ceux qui mésusent de son nom, leur infligeant de terribles maladies pour les châtier. Son mauvais tempérament est susceptible de faire surface à tout moment. Bien qu'elle serve en apparence les dieux orques mâles, elle est assez rusée pour manipuler Gruumsh et Bahgtru et ainsi parvenir à ses fins.
L'Église de Luthic occupe une place importante dans la plupart des tribus orques, ne serait-ce que par ce que l'ensemble des femelles constitue ses disciples. Toutefois, elle reste bien en deçà des autres cultes des dieux orques et sert d'ailleurs l'Église de Gruumsh. En fait, l'Église de Luthic représente la base la plus stable de la majorité des tribus, notamment en s'assurant d'un nombre de naissances suffisant pour former les futures générations de guerriers. Les prêtres de Luthic prennent en charge la santé générale de la tribu, soignant les blessés, pourvoyant aux besoins des jeunes et des femmes enceintes, et entretenant de façon plus générale le moral au sein de la tribu. Ils enseignent également des notions de soins et d'herboristerie aux orques, connaissances qui permettent aux guerriers de survivre à de nombreuses batailles.
Les prêtresses et adeptes de Luthic prient pour la récupération de leurs sorts quand la lune est au plus haut dans le ciel durant la journée. Les jours sacrés aux yeux de Luthic sont associés à la nouvelle lune, le symbole de la fécondité des orques. Les disciples de la Mère des Cavernes célèbrent la fête de la Lune sous le nom de Venue de l'hiver des cavernes, car la plupart des tribus doivent passer les mois d'hiver dans le domaine de Luthic. De nombreux jeunes sont conçus durant ce festival, assurant ainsi la venue d'une nouvelle génération de guerriers. Quelques prêtresses se multiclassent en lanceuses de runes, une forme de magie apprise auprès des géants que l'on retrouve parfois parmi les tribus orques. Selon certaines rumeurs, il existerait un groupe de moines secret au sein de plusieurs tribus, se battant à mains nues parce que l'usage des armes leur est interdit par des mâles.

Histoire/Relations : Luthic est l'épouse de Gruumsh et la mère de Bahgtru, mais seul ce dernier semble l'écouter. Le Fils de Gruumsh exécute tous les ordres que lui donne sa mère, avant même ceux de Gruumsh, attitude rebelle de la part d'un fils loyal que le Dieu Borgne tolère de mauvaise grâce. Les autres dieux orques ne lui accordent qu'un minimum de respect, et seulement parce qu'elle est la compagne de Gruumsh, une situation qu'elle accepte à contrecœur. Luthic voue une haine profonde aux ennemis traditionnels du panthéon orque, parmi lesquels les dieux gobelinoïdes, nains et elfes.

Dogme : La vie trouve refuge au sein même de la terre d'où elle naît. Rendez hommage à la sagesse de la Mère des Cavernes, dont la force est l'épine dorsale de la horde et l'origine du courage au combat. Familiarisez-vous avec la place que vous occupez dans la tribu et réalisez votre part du travail pour renforcer votre communauté contre ses rivaux. La caverne constitue l'étreinte protectrice de la Mère de Bahgtru et le bastion de la force des orques. Faites face à toutes les épreuves.

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[Terre-Mal-Guérison]

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Alors que pour obeir à sa déesse, Erudisha purifiait une demeure sous la terre du val de bise, La mort surgit sous les trait d'un bainite.
Tout d'abord il surgit pour lui imposé de se mettre a genoux et de reconnaitre la superiorité d'un dieu dont elle ignorais meme le nom. Naturellement la mère des cavernes n'accepterais jamais un tel affront elle ets la force de la tribus et le courage dont les brave font preuve. Erudisha s'y refuse. La menace de mort est réelle et l'homme lui laisse prié une derniere fois sa déesse. il la fait taire au moyen de coup savament appliqué . Erudisha doit aussi pensé à la survie de son clan. et elle peux encore faire des enfants...elle decide de fuir. mais l'homme cours comme le vent la rattrappe et la met en sang en plein coeur des havre du levant apparament desert. Elle ferme les yeux et finit paér mourir de ses blessures sous le regard sarcastique de l'homme qui pretend son dieu le plus fort du monde... baine à frappé... Avant de mourir, l'orc trouve la force, l'ultime force de dessiner le symbole du dieu qui a causé sa mort avec son propre sang.

(Mort rp du perso )