[Validé en privé][prêtresse][H] Noa

Citation :

Nom du compte joueur forum : Noa

Nom du compte joueur module : Noa Dawel

Nom du perso : Noa

Race & Sexe : Humaine

Âge : 19ans

Alignement : chaotique bon

Religion : (?)

Classes et levels : prêtre 25 (selon l’évolution des choses)

Domaines : voyage, bien

Langues : Commun (pour les autre langues, je préfère voir en cour de jeu)

Trait de Caractère : souriante, ouverte, taquine douce et espiègle.


Caractéristiques :
FOR : 10
DEX : 10
CON : 10
INT : 14
SAG : 16
CHA : 16

Comportement habituel et apparence:


Clame et posée cette humaine d’une petite vingtaine d’années vous semble amicale et ouverte.
Sa taille svelte s'accorde parfaitement avec la douceur de ses geste, lui conférant un charme certain.

Vue de plus prêt, ses traits fins, associés à la claretée de ses yeux vous donnent parfois un sentiment d'une beauté froide. Impression vites dissipée par la douceur de son regard et de ses sourires.


Ces mêmes sourires, prenant souvent une teinte espiègle et chaleureuse...




[ hop ! Au final je poste ici. Il s’agit d’un BG ou l’on ressasse surtout les émotions du perso et sa personnalité de façon un peu flou. (le BG contenant les grand trait et précisions ayant été envoyé aux scribes) Le reste devrait suivre... dans quelques temps...]

Émergeant lentement de son sommeil, une jeune fille s'étire dans ses draps. Ses yeux s'entrouvrent puis s'écarquillent tout grand. La demoiselle se redresse en un sursaut, jetant autour d'elle un regard angoissé.
Perle noire dilatée par la peur, deux pupilles parcourent rapidement la pièce que la lueur encore incertaine du jour hésite à faire basculer vers la clarté.


Tout semble si flou, un lit, quatre murs, et cette horrible sensation d’un esprit qui se débat; seul dans le vide...

seule.

Frénétique il y a quelques secondes, votre coeur peu à peu se calme, la peur laissant place à l'incompréhension. Ultime geste de repli, tout en courbant le dos, votre tête glisse doucement entre vos genoux, cherchant à fuir l'horreur qui vous habite.
Deux paupières se ferment à nouveau, crispées cette fois ci, espérant entrevoir une petite étincelle de passé, un visage, une voie.

Rien.

Votre propre odeur? Même la tiède fragrance qui émane des draps vous semble inconnue.
Vos yeux s'entrouvrent à nouveau cherchant, quelques objets aux alentours auxquels se rattacher. Trouver, tisser des liens vers ce qui fut mais n'est plus, pas même en mémoire.

Peu à peu...



le silence.

Réveil sans nom. Pas une voie, pas un souffle au alentour. Quand bien même une parole venait à éclore, il maintenant de plus en plus certain que nul souvenirs ne s’y rattacherait.
Seul écho d’une voix lointaine, le bruit de vent balayant les plaines de cette réalitée cauchemardesque et floue.

Froid..

Remuant tout votre être, un frisson vous parcoure intérieurement.
Au plus profond de vous-même, un soubresaut de peur envahit vos entrailles encore vivantes,

Vous hurlez.

Malgré les risques de remontrances de vos invisibles et silencieux gardiens, le froid de la nuit mord à nouveau vos membres encore affaiblit par votre convalescence. Déboussolée, vous ne pouvez que constater sans trop comprendre à quel point l’approche de la mort vous a changé. Souffle dans votre nuit, quelque chose à changé depuis que vous vous êtes éveillée une seconde fois.

Malgré une sensation persistante de flou, vos errances prennent un sens qui vous échappe. Un but, insaisissable, résonnant au plus profond de vous.
Vous tournez en rond, incapable de saisir ce qui vous arrive, laissant vent et lune fouetter à loisir l’étoffe que vous portez.

Le vide qui jadis vous terrifiait perd peu à peu de sa force. Votre être ne s’y résume plus à présent. En vous est naît cette force, calme et sereine, apaisant vos soubresaut de mélancolie.
.
Non. Votre mémoire, morte n’emportera pas votre être en sa tombe.

Du moins, c’est la ce que vous aimeriez croire…

Je le mets au cimetière en attendant pour ranger la partie en cours, il suffira de prévenir pour le ressortir.

« Si près de heaum, et pourtant si loin… »

Levant les yeux au ciel d’un geste mélodramatique, votre précepteur après un regard plus complice que compatissant, se met à sourire.
Vous levez un instant le visage de vos cahiers lui souriant à votre tour, notant au passage les autres élèves, studieux et figé, dans la lecture d’ouvrages poussiéreux ou usé.

Si peu de personnes au fort semblent vous comprendre, plus rare encore sont celle capables d’humour.

Vous tentez de vous replonger dans vos propres litanies, éclairées par la lumière vacillante d’une bougie, l’œil guettant le murmure de leurs plates mélodie.
Comprendre un dogme est une chose, mais avoir foi en lui en est une autre. Sans méprit ni rancœur pour ceux qui vous entourent, vous apprenez peu à peu à accepter l’évidence: ces lieux ne sont pas votre place, cette foi non plus.

Baignades au grès des étoiles, reflux continuel d’une même et douce lueur.
Le temps de la nuit, votre existence prend un souffle, un sens, si bien que vous voila à nouveau sur les remparts, contemplant les étoiles.

Même votre nature chétive n’est plus un obstacle à présent, comme à votre habitude vous vous aventurez dans les dédales de remparts jusqu’à ce qu’une silhouette en contre bas attire votre attention.

Statue humaine qu’éclaire l’astre des nuits, au milieu d’une petite cour, une femme semble paisiblement dormir.
Dormir.. Ou.. Méditer?
Son attitude autant que sa posture vous interpelle. Genoux plié, mains vers le ciel, elle pourrait vaguement rappeler certains prêtres du temple en pleine prière si ce n’est que cette heure tardive n’est certainement pas dévolue au dogme du veilleur.


Hésitante, vous vous approchez pour finalement descendre, à l’abris des ombres, le mince escalier qui vous sépare.

Tandis que vous l’observez, silencieuse, la jeune femme ouvre tranquillement les yeux, fixant les ténèbres qui vous entourent et vous sentez vos doigts se crisper sur le pierre froide derrière vous.
Devinant sans doute votre peur, tout en esquissant un sourire elle tend devant-elle la main, inconsciemment vous vous détachez du mur et sortez enfin de l’ombre…

Éveil difficile

Sûre d’avoir rêvé, vous restez sur votre lit des heures durant, cherchant à ressasser cette étrange vision.
Perdu dans la brumes de vos souvenirs, résonne encore quelques bribes à propos d’un temple à eauprofonde.

Des mots,
des images aussi..

Diffuses, des bribes de chemin vous reviennent en mémoire.

Luskan,

Une caravane…

Eauprofonde ! Il vous faut rallier eauprofonde !

Et vous rejettez à la va vite les draps qui vous recouvrent.

Sans trop de regret vous laissez derrière vous l’imposante et austère battisse qui a bercé tant d’années de votre vie.

Vous avez bien fait de parler succinctement au père supérieur de votre voyage. En plus de vous trouver une caravane à laquelle vous pourrez vous joindre, il s’est montré d’une grande générosité en offrant plus qu’une bourse, un collier qui étrangement vous plait énormément..

Le texte est sympa, agréable, mais il ne dit pas grand chose de concret, ce sont des impressions fugitives des élans de l'âme, mais il manque là un squelette.

Il me faut comprendre le choix de ton perso pour la déesse que tu choisis, son initiations à la prêtrise, la façon dont elle comprend et applique les dogmes et ce qu'elle compte faire pour sa déesse.

Concernant ce que tu m'a envoyé par Mp, un grand nombre de réponses se trouveront éclairées après tes réponses aux premières questions.

Si tu désires continuer ce Bg en privé, tu peux l'indiquer.

La partie reçue en privé me convient, je valide donc

puisque c'est au nom de la propreté,

cimetière !