Depuis sa naissance dans la campagne du Cormyr elle vivait un véritable calvaire. Son père abusait d’elle régulièrement, et battait sa mère.
Le jour de sa sixième année, alors qu’elle traversait la forêt avec sa mère pour se rendre à Suzail, une ombre la survola, elle regarda alors au ciel, mais n’y vit rien. Elle ce remit donc en chemin. Et rattrapa sa mère qui avait continué son chemin et ne semblait rien avoir remarqué.
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Ah son retour la même ombre la survola au même endroit, mais cette foi elle réussit à l’apercevoir : un grand dragon, comme dans les comtes que sa mère lui racontait le soir pour l’aider à s’endormir. Ce dragon en plus d’être majestueux et gracieux était d’une teinte platine ! -(nous en conviendront de dire qu’un enfant de 6 ans ne peux remarqué tout cela, cependant ceci est dit pour montrer l’importance de ce dragon pour plu tard)- Elle n’en avait jamais vu, mais ce moment resta gravé dans sa mémoire.
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La porte s’ouvrit, et il entra.
-« N’ai pas peur ma fille, ce n’est que moi ». Murmura t-il en s’approchant de son lit.
C’était son père ! Qui cela pouvait-il être d’autre ! Il n’y avait que lui pour venir la déranger au beau milieu de la nuit ! Mais aujourd’hui elle avait trouvé la parade, à chaque foi que son père venait la voire elle repensait au moment de bonheur qu’elle avait éprouvé en voyant le grand dragon.
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Elle pouvais toujours s’enfuir, mais qu’en adviendrait il de sa mère ? Non elle devait rester, il le fallait ! Pour protéger sa mère, il le fallait, et puis qu’importe si son père passait plus régulièrement la voire depuis qu’elle ressemblait plus à une femme. Oui elle n’en avait cure, car elle pouvait toujours voire « son dragon ». Elle pouvait même lui parler ces derniers temps ! Il la consolait, lui disait de tenir encore un peu, que le moment allait bientôt arriver.
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Un peu après son onzième anniversaire une excursion de gobelin dans la forêt vint mettre un terme à la vie de son bourreau de père.
Mais sa mère ne pouvait s’occuper du travail des champs toutes seule, très rapidement elle ne put plus nourrir correctement sa fille.
C’est alors qu’elle prit la décision de l’envoyer à Suzail comme apprentie dans une boutique de confection de bougie.
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Deux jours qu’elle marchait, elle le savait bien qu’elle c’était perdu, un trajet qui lui avait prit 4heures en suivant la route alors qu’elle avait 6ans ne pouvait lui prendre 2jours. C’était donc indéniable : elle était perdu.
Heureusement que sa mère lui avait donner de quoi manger pour une semaine et des couvertures.
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Alors qu’elle commençais à désespérer elle entendit du bruit et se retourna. Au loin une longue colonne de fumé s’élevait.
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- « Alors petite tu t’es perdu ?
- Non monsieur, je cherche seulement a allé à Suzail. »
Ils se mirent tous à rigoler, et le gros avec la hache reprit la parole.
- « Sa tombe bien nous aussi, allé suis nous. »
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Dès le lendemain elle se rendit bien compte qu’elle avait fait une erreur, mais maintenant il lui était impossible de faire marche arrière. Ils se rendirent au port le plus proche et prirent un bateau pour rallié leur destination.
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Après 2mois de mer ils arrivèrent enfin là où les mercenaires avait été appeler pour le plus gros contrat de leur existence : Port Calim, la ville de l’exotisme comme ils l’appelaient si bien.
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Dès leur arrivé ils firent ce qu’ils avaient de mieux a faire d’une jeune et jolie pucelle : ils la vendirent à la première maison de passe venu.
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Aujourd’hui c’était son quatorzième anniversaire, mais qui s’en souciait ? A part « Son Dragon » personne. Heureusement lui il était toujours là lorsque les clients prenait du plaisir avec elle, lui la réconfortait, mais aujourd’hui il fit plus :
- « Annael !
- oui ?
- il est bientôt temps ! j’ai envoyer quelqu’un te chercher, il sera bientôt là.
- Je vais donc enfin pouvoir te voir en vrais ?
- Oui ! En vrais !
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Le vieux avait du payer le double pour pouvoir la voire, la maquerelle ne l’avait pas laissé passé facilement !
Lorsqu’ils furent enfin seul elle entrepris de se dévêtir le plus rapidement possible pour rejoindre « son dragon », mais il la retint d’une main puissante, dévoilant sur sa poitrine un médaillon avec graver dessus un dragon qu’elle reconnu tout de suite !
Oui le moment était venu !
[…]
Plus aucun humain n’avait été élevé au rang de prêtre de Bahamut depuis des siècles ! Encore moins en si peut de temps : quatre années c’était écoulé depuis le début de son apprentissage.
Mais Bahamut lui parle, je ne peux faire autrement ! Je me doit de l’ordonné prêtresse du Seigneur Platine ! Lui aussi il m’a parler, après tant d’année de silence, il m’a ordonné de la consacrer prêtresse. Déjà son cousin : le nouveau champion divin, maintenant elle ! Ce doit être le renouveau annoncé pour notre Ordre ! Rien que leur nom de famille est une prédestiné ! Le seigneur platine fait bien les choses ! Advienne que pourra !
Histoire de La Prêtresse Annael Brillétoile,
Par le Grand Prêtre Thobiass,