[En attente][Guerrier/Proto][N]REGGIORK Werheim

Nom du compte joueur: reggiothe1

Nom du perso: Reggiork Werheim

Race: Nain(e)

Age: 50 ans

Alignement: Loyal Bon

Religion:

classe(s): Guerrier (7) / Protecteur nain(2)
Arme de prédilection : Epée batarde

Description physique: naine, les cheveux noir, les yeux noir, 1m30, 90 kg, musculature développée, avec tous les charmes féminins nécessaires pour plaire…. aux nains, un franc parler, un peu vulgaire.

Langues:
- Nain

Caractéristiques:
For: 18
Dex: 13
Const: 18
Int: 10
Sag: 10
Cha: 7

Ennemis jurés:
- Géants, notamment des GLACES

Chapitre premier :
Mon frère m’avait donné rendez vous dans la mine que notre famille possédait depuis plusieurs générations.
Le mithril, voila ce qui nous condamna tous…
Je pris le temps de regarder les colonnes, les arches contemporaines des temps ou nos aïeux avait fondé la cité souterraine d’ Arakmin. La veine de mithril était ancienne, les galeries s’étendaient profondément jusqu’à quatre niveaus. La dernière, la plus profonde était notre lieu de rendez vous habituel. Barraktor et Grettoirk me laissèrent atteindre ces niveaux, être la fille du « dominus » avait bien des avantages.
Deux heures passèrent. Ce n’était pas dans ses habitudes de manquer nos rendez vous. Je m’endormis… Remontant à la surface, jamais je n’aurais pu croire ce que je vis. Désolation. La cité était perdue.
Le mithril, voila ce qui nous a condamné, tous..
La première ligne des protecteurs était tombée en amont de la montagne. Le fort de Barrackmin avait été dévasté par une armée de géants des glaces. Pourquoi avaient ils fait tout ce périple jusqu’ici ? Les combats faisaient rage encore au centre de la cité et beaucoup des nôtres tombaient.
. J’aurais pu prendre ma hache mais jamais ma technique n’avait été meilleure qu’avec ma batarde en mithril. Malgré mon entrainement le combat était inégal. Arrivé au fort, Prearkir le chef de la garde rapprochée de mon père vint me voir : « il vous faudra être forte Madame. Votre père et votre frère aurons été d’un grand courage mais l’assaut porté contre la citadelle ne pouvait pas être repoussé. Votre frère savait qu’il allait mourir et il m’a demandé de vous remettre sa hache. Je suis désolé » .
A ce moment là, un grand fracas se fit, la porte s’effondra laissant passer la horde blanche.
Prearkir m’emmena par les couloirs menant à la rivière. « Vous ne pouvez restez madame, prenez la barque avec les autres, rejoignez la côte et retrouvez nos frères. Quant à moi, ce fut un honneur de servir la garde, maintenant, partez. »
Le mithril, voilà ce qui nous condamnera
…………
Le voyage fut long, la faim, la soif, jamais ces choses là je ne les avais connues.
…………

Arrivée à Luskan, la voie de la vengeance devait guider mes pas….

L’épée bâtarde c’est assez atypique pourquoi choisir cette arme ?, peut tu expliquer tes niveaux de protecteur nain

Chapitre deuxième

Du repos. Voila ce dont j avais besoin.
Perdue dans les rues de la grande et froide Luskan, j'étais devenue tel un chien errant. Sans foyer.
C'est alors qu'Axhur me tendit la main.
Derriere une bonne (peut être plus, je ne m'en souviens plus), il me demanda de lui compter mes malheurs.
Grace à lui je pus passer deux nuits de suite au comptoir, refuge nain Luskain.
Quelle fut ma surprise de voir quelques jours plus tard que l'ensemble de la communauté naine de Karhal-drim avait entendu parlé de mon histoire et des malheurs d'Arakmin.

Je me souviendrai toujours de ce troisième jours à Luskan. On m'indiqua l'existence d'un certain Dagna dit le Groscostaud. Au courant de mon histoire il prit sur lui de me mener jusqu'à la cité Naine. Qu'elle fut ma surprise de voir à quel point les cités naines sont splendides.

Les présentations officielles furent faites auprès du futur roi de la cité. L'hospitalité naine ne leur faisait pas défaut. Grace aux maigres compétences acquises par l’entrainement de mon frère, je serai mise à l'épreuve afin de devenir une protectrice de la ville. J’en connaissait uniquement les rudiments mais cela leur suffisait. J’aurais à faire mes preuves.
Les portes de la cité me sont désormais ouvertes… Après un bref passage auprès de Germaine et Simone les cuisinières et quelques cuisses de sanglier à la broche, mes pas me conduirent à la forge. Le forgeron me présenta ses aides. De superbes nains en sueurs, voila longtemps que ce spectacle ne m’avait pas été permis, en dehors des combats de lutte au milieu de l’arene centrale d’Arakmin. Mon choix se porta vers une batarde dont le manche avait quelques écritures anciennes et embellissaient parfaitement bien cette épée. « Tu ne veux pas de hache ??? » me lança un des travailleurs. Ce n’était pas la première fois que des propos identiques m’étaient faits. C’est pour cela qu’on me surnommait Bizh car à chaque fois qu’on me croisait à l’entrainement, les autres voyant a ma ceinture ma batarde disait « tiens c’est bizarre ».
C’est à cause de mon frère. Il m’avait dès mon plus jeune ageis une arme dans la main, mais comme les haches étaient trop lourdes, il prit sur lui de m’enseigner l’art de la batarde, plus légère et souple que la hache de guerre. Mon père ne l’entendait pas de cette oreille. Cependant, il ne l’apprit que bien trop tard et le mal était fait. Bien sur, mon entrainement fut parfait mais mes premières amours restaient aux batardes. Nous verrons comment cela sera prit au sein du clan…

Chapitre troisième

Devant faire mes preuves au combat, je me dirigea vers les cryptes pres de Val de bise.
Les quelques momies et goules furent assez simples à éliminer. Je croisa une silhouette dans l’ombre, un archer, probablement un elfe dans les couloirs sombres. Pris par le temps il me cracha un nom … Perce cœur archange… puis disparu. Il allait vite, je ne pus le rattraper.

Ma progression fut rapidement mise à mal par un groupe d’Orcs. La situation était difficile mais jamais je ne me serais rendue sans combattre. Le combat fut court mais avant de sombrer dans un profond coma j’entendis une flèche siffler dans l’air. Archange me dis-je ??? Je ne me souviens pas de la suite...
Le reveil fut douloureux. Des echymose, des traces de griffures. Ils m'ont trainé jusqu'ici. Mais ici, ou sommes nous : une geole, moi et deux autres compagnons nains que je ne connaissais pas.

KARHAL- DRIM me viendra t’elle en aide ?

qu'elle sont tes debut de protectrice naines ?

Des nouvelles ?

(PB de disponibilité…. Thèse en cours… Me revoila donc … !!!)

Le lendemain matin ce fut le froid pinçant qui me réveilla. Je me souviendrai toujours de son visage…. De sa tête. Une tête de loup, voilà ce que je retiendrai…
Ils avaient l’air tendus. Le premier me jeta dans un trou creusé à la hate. Seule ma main et ma tête en sortaient. Je tiens bon, du moins dans les limites que mon entrainement me permettait. Mes extrémités s’engourdissaient.
Le chef, tête de loup, but une potion de langage. Je le compris : Voici ce que nous faisons aux gens de ton « ESPECE » qui violent nos terres sacrées. Il leva sa hache et la fit tourner dans les airs. Sa chute se termina sur mon poignet gauche qu’il trancha aussi net. Le sang coula à peine, mes vaisseaux sanguins vasoconstrictés et le gel faisant leurs effets.
Le second prit sa dague et creusa dans ma chère un symbole que seul un prêtre pourrait désormais me retirer.
« VA T’EN maintenant », me cria le maître LOUP. « Dis bien à tes maîtres de libérer les nôtres sinon ce que nous venons de te faire ne sera que les prémices de ce que nous ferons aux autres de ton espèces entassés dans nos cachots. »
Puis ils me déterrèrent et me laissèrent presque nue dans le froid.
Ce fut presque morte que j’atteignis KARHAK - DRIM.
Sans l’aide du prêtre, jamais je n’aurais pu écrire ce récit. On me raconta que je délirais pendant les soins qui durèrent plusieurs heures. Ils n’avaient jamais vu une telle résistance. J’aurais du mourir depuis les plaines jusqu’au fort. Ils n’en revenaient pas.
Ma convalescence fut moins longue que prévue et douloureuse. Les séquelles seront toujours là, éternelles mémoires de ces épisodes tragiques de mon existence. Ma main retrouva entièrement son agilité mais la cicatrice persistera. Elle me rappellera toujours la haine profonde déjà présente et éternellement présente au fond de mes entrailles.

Vers le protectorat

Hildreth m’avais prévenu. Les mines seront la première épreuve. « tu devras pendant une semaine durant travailler la terre. Tu ne seras pas seul dans la souffrance, d’autres prétendants à cet honneur tu trouveras. »
La tâche fut éprouvante. Plusieurs fois mon compagnon de labeur s’écroula. Plusieurs fois je le relevais. La persévérance et la loyauté, voila ce que cette épreuve m’aura renforcé. La semaine passa. Le retour à la lumière ne fut pas d’un réel réconfort. Ma jeunesse à Arhakmin s’était passée au fond des mines et les odeurs, les murs suintant m’apaisaient.
Hildreth m’attendais. Toujours aussi digne, il attacha autour de mon bouclier une chaîne. Voici la prochaine épreuve. L’épreuve du bouclier : « tu devras faire corps avec ton bouclier. Cette chaîne qui ne te parait pas lourde pour le moment fera son poids au fur et mesure de la semaine. Tu devras garder ton bouclier NUIT ET JOUR. Tu devras te battre, manger, dormir, boire, b….. je m’emporte. Vas et reviens dans une semaine. »
Dubitatif. Voila l’état d’esprit dans lequel j’étais. Cette chaîne est légère. Je comprenais la métaphore du bouclier… le protectorat et le bouclier, s’était évident, mais cette chaîne. Au fur et à mesure je compris. La chaîne était le lien que le protecteur devait avoir avec son bouclier, dernier rempart entre lui et l’opposant, l’autre, l’ennemi. D’ailleurs, malgré son faible poids, elle savait se faire sentir. Garder toute une journée une masse ajoutée au bouclier n’était pas de tout repos. Malgré tout je tenais bon. Jamais je n’avais remarqué toutes ces traces, rayures, encoches mémoires de tant de combats menées depuis la fuite d’Arakmin. Je fusionnais avec lui, impression déconcertante au début mais tellement vraie.
Désormais, je comprenais………….

Des nouvelles de Solen?
Des nouvelles de Reggiothe1 ?

Oui oui je vis encore... Cependant ma soutenance de these etant dans moins d 'un mois je vous demanderais d'accepter mon absence pendant ce laps de temps...Est ce possible???
Merci

Ensuite j accourerai sur de sur

Reggio

Oki, je laisse en attente dans ce cas

merci

Je le mets au cimetière en attendant pour ranger la partie en cours, il suffira de prévenir pour le ressortir.