[Validé][Barde][H]Paul

Citation :

Nom du compte joueur forum : Dreameux
Nom du compte joueur module : Loulou_
Nom du perso : Paul
Race :Humain
Age : 21
Alignement : neutre mauvais
Religion : Mask
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : 25 barde
Arme de prédilection/domaines/école de magie : arme de prédilection cimeterre
Langues : humain, elfe
Trait de Caractère : impulsif, charmeur, intelligent.
Description physique : Des mèches dorées surplombe son doux visage alors qu'il regarde au loin avec ses yeux bleu profond. Son corps musclé et saillant bronzé légèrement surement dut à ses origines.


Caractéristiques : (lvl 25)
FOR :16
DEX :12
CON :10
INT :14
SAG :10
CHA :20

*Au soir dans une taverne un jeune homme raconte.*

Mesdames et messieurs laissez moi ce soir vous compter l'histoire d'un petit garçon devenu malgré lui un homme.

Tout commence dans un orphelinat ou le petit garçon fut mener dès sa plus tendre enfance. Enfant mal aimé ou simplement indésiré ou d'un amour interdit. Je ne saurais le dire mais il y vécut sa jeunesse. Il apprit à se battre très jeune et à se défendre car dans les sombre ruelle d'athkathla qui ne se bat pas ne survit pas. La vie avait emporter avec elle le dernier de ses sourires. La musique qu'il apprenait avec la dame qui s'occupait de lui ne se résolvais que par des mélodie languissante voir mortuaire. On avait volé sa jeunesse et son bonheur. Contrairement aux autres il devint froid et intéressé seulement par se sortir de se trou paumé.

Un soir alors qu'il était encore jeune il s'enfuit de l'orphelinat. Son talent n'étant pas de se cacher il captait toute attention sur lui pour mieux voler les gens. Il faisait acrobatie et autre pour se faire remarquer et c'est ainsi que la guilde de voleur le remarqua. Elle vint à lui pour le recruter. L'adhésion ne fut pas des plus facile. Il lui fallait voler des gens très riche mais le mensonge lui faisait merveille autant envers a guilde qu'envers ses victimes. Le mensonge comme une façon de vivre sa vie plutôt qu'une façon de sortir de l'embarras.

Ce fut l'époque des masques. Il avait toujours un masque devant sa personnalité cachant qui il était et ce qu'il voulait vraiment. Les rêves de liberté et de grand voyage commençait à lui faire envie mais au delà des frontières qui s'occuperaient de lui qui serait la pour lui. La solitude lui pesait lourdement sur la conscience ne voulant plus l'être. C'est ainsi qu'un soir alors qu'il donnait un spectacle dans une taverne il vit une elfe au loin.

Bien que ses teints n'étaient surement pas les plus radieux de l'endroit elle capta l'attention de notre jeune Barde. Elle semblait avoir de la difficulté avec des hommes qui en voulaient plutôt à son corps. Le barde alla donc vers elle mais trop tard elle en avait déjà tuer un et se sauvait. Il courut après elle dans les sombres ruelles de la ville avant de l'attraper.

- Qu'est-ce que tu me veux toi ? lui dit elle la froideur de sa voix perçant dans la nuit

-Seulement vous aider. Sa voix quant à lui était douce et réconfortante

Après une brève discussion réalisant qu'elle venait de tuer un homme elle le suivis sans poser trop de question. Il la cacha chez la guilde pour un temps. Elle était doué mais un soir ce fut un de trop. Il vint la voir et tout deux commencèrent à élaborer un plan pour s'emparer des richesses de la guilde et s'enfuir. Mais le plan n'alla pas exactement comme prévus et la guilde les pourchassa dans le port. Nos deux compagnons d'infortune pris caché dans un bateau . Ce bateau qui allait les conduire biens loin de chez eux. Ils furent d'abord pris pour des passagers clandestin mais à coup de mensonge et de diplomatie ils furent engager comme marin. Notre jeune ami barde n'était surement pas le plus travaillant mais ses chansons égayaient les longue soirée en mer. Il s'avéra que le bateau dans lequel nos deux compagnons étaient fut un bateau de mercenaire. Le pied poser à terre les mercenaire leurs demandèrent donc si il voulait se joindre à eux dans une lutte qui s'annonçait rude.

Le barde devint donc soldat ne pouvant rien apporter de plus et elle devint espionne et éclaireur. Le barde fut entrainer au technique de combat en groupe et en mêlé par les mercenaire semblant du sud vu leur lame recourbé. Cette lame est vite tombé comme un cadeau pour le barde la maniant bien et donnant des coups avec force. Il continua son chemin dans son entrainement martial pendant près d'un an effectuant des contrats avec les mercenaires. Mais il était temps de tourner la page et faire autre chose. Son talent musical ayant été mis de côté depuis trop longtemps. Un soir il fit ses adieux au mercenaire qui était devenu ses amis.

L'elfe le suivis ne sachant trop pourquoi les deux se suivaient dans un silence pesant. La dame intriguait le barde. Elle avait été la seule à pouvoir repousser ses avances toute ses années. Mais elle était horriblement jalouse de ses autres conquêtes. Cette situation ne déplaisait pas trop au barde. Ils allèrent vers le nord montant des spectacles d'acrobatie et de musique pour dépouiller les gens et le barde lui volant le coeur des jeunes demoiselle qui avait le malheur de croiser son regard. Et de mensonge et de vol ils continuèrent leurs route arrivant bientôt à padhiver capitale des paladins... surement riche....

Et c'est ici que l'histoire s'arrête car je ne connais pas la suite parce qu'elle n'est pas encore arriver

*regarde quelque paladin fouiller leur poche disant qu'il y a un voleur dans la salle. Rapidement le regard de paul se tourne vers Elaith son amie elfe voulant dire on fou le camp. Et c'est ainsi sous les injures et les gens mécontent de s'être fait dépouiller que paul et Elaith arrive sur le val ^^'*

Werëarm de Waarn’ess

Cher journal,

Aujourd’hui j’ai fait la rencontre de ce que crois être une thiefelline. Le doux reflet de la lune sur sa peau grisonnante donne à sa personne une touche de mystère qui a su capter mon attention. Sans savoir ni comment ni pourquoi je me suis laissez enivrer de tant de beauté. Devant mes yeux s’étalait la soif d’en découvrir plus en mon esprit jaillissait les idées folles de couvrir sa peau des plus tendres caresse. Mais comment ça pouvait m’arriver …. J’étais subjugué devant son regard comme un enfant qui ne saurait refuser l’appât de la plus douce friandise. Je voyais devant moi plus qu’une belle femme j’y voyais une complice une ode à tout ce que j’avais toujours recherché. Ma tête s’embrouillait de mille paroles s’engouffrant dans ma gorge comme des parcelles d’une plus belle élégie. Je ne pouvais refuser à mes yeux se spectacle amène dévorant de simplicité. Les mots manquent cruellement pour décrire comment je puis me sentir en ce moment.

C’est à l’ombre de cette petite rambarde que je t’écris ses lignes comme si la vie venait d’être chamboulée. Je ne veux rien enlevé aux autres femmes qui purent la précédée mais sa rencontre me fit un choque. Je revois encore Mille constellation brillant dans ses yeux. Au terme de ses lèvres je me suis échappé rougissant d’un baiser arrivé par accident. Mon cœur frémit de savoir que je vais voir encore ce sourire qui me rend niais. Je suis encore hagard de son sourire amusé ressentant en lui presqu’une pointe de moquerie. Si les mots pouvait avoir un nom alors mystère porterait le nom de Werëarm de Waarn’ess. Parfois la vie nous montre des gens et nous pousse contre notre gré vers un destin pas toujours souhaité mais cette fois si je remercie quiconque a pu la mettre au travers de ma route. C’est avec un certain sentiment de bienêtre que je la regarde s’éloignée gracieuse et belle. J’aimerais tant que mon cœur ne s’éprenne pas autant pour surement quelque chose qui ne l’atteint peut-être pas mais je ne veux pas le savoir je veux vivre de ce rêve…. Me nourrir de chacune de ses paroles.

Tristesse et solitude.


Les notes sombres se répandait comme des échos de folie sur les murs de se petit théâtre délabrée. Le musicien jouait de son instrument devant une salle désespérément vide comme son cœur. Les notes s’écoulaient comme de petites larmes berçant sur une portée de requiem. La mélodie remplissait chaque cavité de sa mélancolie insistante. La morosité ne faisait qu’amplifier les mouvements devant peu à peu tremblant alors que les larmes s’écoulaient de ses joues. La musique se stoppaient un instant laissant échapper un sanglot qui peinait à sortir de son cœur meurtrie. Pourquoi , pourquoi tant de souffrance devait être parmi se monde.

Le violon résonnait encore de sa douce mélodie. Les quelques sons en provenant était le son des larmes tombante sur les cordes dans un léger tintement cristallin rappelant de loin des gouttelettes d’eau tombant sur une marre silencieuse. La musique repris vivement son allure de requiem alors que les émotions étaient à leurs apogée. Le son du violon se faisait entendre dans tout le théâtre et une voix perça parmi ce lourd grondement de solitude exprimant ça douleur. Le crie retentissait dans toute la pièce portée plus loin par les écho de la salle en pierre alors que le musicien tombait à genou serrant son instrument dans ses mains.

Maitre et maitresse

C’est dans une douce euphorie qu’une discussion résonne dans le théâtre. Les dalles de pierres pointées comme des sujets d’un futur monde conquis. Ne soyez pas jaloux de notre beauté vous aurez tous droit de l’admirer. Et vole comme dans une danse les amoureux euphorisant de leur gloire rêvée. Douce…. Oh tendre victoire…. Ne t’éloigne pas de main je veux que sous ma mains s’agenouille le monde…. Sous mes paroles les tyrans se taisent. Car sous le joug de mes vers j’attaque la fragilité de ce monde.

Oh toi! Oh douce impératrice… navigue en mon cœur tes baisers qui me font chavirer. Dans cette euphorie je me laisse emporter de ta main dessiné. Ce monde est nôtre et même si ils ne comprennent pas qui sont leur maître moi je sais que tant que ton cœur sera miens rien ne sera impossible… Impression d’une trop grande liberté alors que mon cœur s’échapper à la réalité. Je vois déjà notre portrait tapissant les murs de notre immense château. Il n’en sera que plus beau si dans tes yeux je vois le reflet de toute notre grandeur. C’est dans tes cheveux que je perds mes mains d’empereur. C’est au creux de tes reins que dérivent mes envies de possession et je m’y perds.

Ce monde n’aurait pas d’intérêt si tu n’y étais pas pour le faire régner. Un jour nous aurons notre château un jour nous aurons le monde à nos pied mais pour te faire patienter je t’ai construit un palais dans mes rêves… laisse moi te le montrer

Qui ... ?

Qu’est-ce que je deviens….

Que suis-je devenu ? Pourquoi tout autour de moi semble s’effacer ne laissant que le néant en mon esprit. Ou ais-je commis une erreur. J’ai l’impression que même sans saigner mon corps se vide de ma vie. Je regarde se flot débiter de mon âme sans pouvoir l’arrêter. Je ferme les yeux pour ne pas voir ce qui m’entour. Je ferme les yeux pour éviter de voir ma propre souffrance. Le noir s’installe comme un tissu dans lequel je drape mes malheurs. Trop peur d’exposer sentiment et larmes. Les notes s’écoulent de mon instrument comme de petite larme la pluie venant s’ajouter à cette terne mélancolie. Je plante mon regard dans les cieux grisâtre. Les fines gouttes d’eau venant se fracasser contre mon visage comme si le poids de mes larmes ne suffisait plus à mes joues.

Je suis fatigué et l’envie de lever mon épée est devenu oppressante. Comme si le combat allait devenir une finalité. Je vois dans mes mots la faiblesse de ne pouvoir rien changer je vois en moi la faiblesse de trop aimer. Je voudrais tellement que les choses soit différentes. Il y a peu ma confidente ma quitté. Elle a été remplacée par un pantin qui n’est même pas l’image d’elle-même. Je ne pourrai pas leur pardonner. Elle était triste. J’imagine que c’était pour son bien mais ce n’était pas leur droit de faire ça. Ce sont des égoïstes qui ne pensent qu’à eux même. Je me mets à les détester. Et s’il voulait faire la même chose de moi….

Pauvre Mariela, j’imagine qu’elle n’allait pas bien mais le suicide fait hélas partie de la vie et de la manipuler ainsi même pour la garder en vie c’est pour moi inconcevable. Elle est surement heureuse ainsi du moins je l’espère. Je lui ai fait un dernier adieu bien que je doute qu’elle ne l’est saisie. Je crois que je vais devoir rester à l’ombre pendant quelque temps même si je dois quitter mon amour je crois que de partir vers d’autre contrée pendant un temps me ferait le plus grand bien. Le sud m’apparait comme une bonne destination peut-être retourner à Athkatla peut-être Elaith est retournée la bas elle.

Je viens de mettre ma vie dans les mains d’une demi-démone je dois être un peu fou. Mais sans savoir pourquoi c’est la seule chose qui m’accroche encore à cette vie. Si elle m’abandonne il ne me restera plus rien. Mes « amies » sont ceux qui se manipulent entre eux. Je suis peut-être bien qu’un jouet entre leur main et même peut-être j’en suis un dans les mains de ma douce mais je ne veux pas le savoir. Je m’endors en songeant à son sourire et c’est tout ce qui m’importe même si demain je ne vois pas le soleil se lever je veux encore croire qu’elle m’aimait…

Ca convient, je Valide

Ma mort

Le temps pèse sur mon lourd cœur de pierre. Les journées deviennent avides de leurs fins. Et le temps passe. Doucement comment une pierre qui roule au bas de la montagne je me sens dirigé malgré vers moi dans cette descente. Et plus le sol approche plus lentement ma vie se défile. Mon cœur est lourd tellement que mon armure peine à ce mouvoir. Je ferme les yeux et je ne vois que la langueur de mes pensées comme de lointaine plainte dont le son ne me parvient que faiblement. Je prête l’oreille et c’est le noir qui m’englobe. Dans cette nuit je me plonge corps sans vie dans une lune trop étincelante. Et je m’égare, Je passe mille ans sur quelques mots et les années m’effacent. Je me sens disparaitre et je me laisse faire.

À force mon impression d’exister s’estompe et lentement mes pensées meurent. Comme nos premières amours les cœurs qui se brise et les sanglots qui éclate. Je ressens en moi toute la peine de marcher chaque jour avec une armure qui me bloque. Je me sens partir et je ne veux personne pour me retenir. Tendre amour tendre aimée que de toute celle que j’ai pu adorée tu sois la dernière. Mon cœur chavire et je prends l’eau mais un sourire s’en dégage. Je me rappel de tes lèvres que j’aurai tant désiré. Je me rappel de tes baiser dont j’aurai tellement tardé à aller chercher. Le monde deviens noir puis le néant….

Je suis mort….. Je suis devenu une rumeur un songe… une pensée. Je meurs dans l’idée que mon corps continue sa vie mais mon esprit lui est partie. Mon âme est morte. Le dernier de mes sourires s’est éteint sur ta pensée. Brisée de tout espoir et de tout rêve. C’est dans la tristesse que mon cœur te quitte. C’est dans la peine que mes yeux se ferment. Et sans savoir pourquoi je ne puis stopper le flot de mots qui ne demande que de sortir. Mon cœur, mon amour ne sont que vestige d’une lointaine utopie. Je me suis brisé au pied de cette montagne éclaté à ne plus vouloir chercher les morceaux. Et mon cœur de pierre que j’avais tant tardé à donner ses déchiré contre la réalité…

Les ans passent et c’est toujours le même refrain mais ce soir la chanson ce termine. Ce soir la mélodie ne jouera plus dans mes oreilles car c’est sans entendre et sans voir que je termine ses mots….. Les yeux clos et l’esprit mort je dis …. Adieu….

Exécution


Mon tendre amour

Demain je fermerai les yeux. Je sais que e t’ai toujours promis de ne pas mourir mais hélas les choses sont allé autrement que mes plans. C’est la première et la dernière fois que mes mots te parviennent. Malgré le sang froid que je tente de garder pour ne pas montrer ma peur les mains moites je tiens la plume alors que mes larmes viennent couler sur le flot de mon encre. Je tremble de ne plus pouvoir poser mes yeux sur toi. Tes cheveux me manquent…. Ton visage me manque…. J’aurais tant aimé pouvoir profiter d’un dernier baiser mais tes lèvres son devenu un souvenir auquel je ne peux que m’accrocher dans l’espoir infime que tu fasses de même le jour venu. Je pleur toute les larmes des malheurs que j’ai créé autour de moi… je regrette tellement…. Il y a tant de chose que j’aurais aimé faire autrement tant de chose que j’aurais aimée différente….

Lentement je sens le fil de ma vie s’écoulé comme le peu d’encre qu’il me reste au fond de ma cellule pour t’écrire ses mots. Les parois se referment comme un étau trop fort pour le contenir. Je sens la pression monté alors que les chaînes font entendre leur tintement funèbre dans les corridors. Pour la première fois de ma vie … j’ai peur, j’ai terriblement peur les pas se rapproche de ma cellule et je peux presque sentir l’odeur de la mort. Comme une odeur fétide qui me prend à la gorge j’en rejette les vapeurs sans pouvoir échapper aux souvenirs. Mon amour, Ma vie…. J’aurais tant aimé pouvoir continuer de naitre en tes bras un petit bonheur que je nourrissais de chacun de tes regards. Même tes soupirs me manque même quand l’ennui pouvait te gagner en ma présence et que j’avais l’impression de ne plus exister dans tes yeux je savais que tout de même en ton cœur il me restait ma place. Une place immuable qu’on ne pouvait me retirer un pouvoir que tu avais sur moi que je n’aurais laissé à personne d’autre.

Mais c’est trop tard maintenant… Je vois mon bourreau arriver … ce sera bientôt l’heure… Ils préparent la pièce juste devant les barreaux de ma cage… Je les vois qui me regarde en souriant heureux de voir mon sort mais je ne leur donnerai pas ce qu’ils veulent … je ne plierai pas devant eux… Ils sortent déjà les instruments de torture… J’espère que mon corps saura endurer le traitement et resté fort dans la douleur… Mon amour je te dis adieu car demain je ne pourrai que rêver d’avoir pu poser un baiser sur ta peau satiné… Demain je serai un souvenir dont les pâles reflets dans tes yeux éclaireront ma route… par delà la vie ….

Je t’aime

Délaissé...

Mordu d’un abime lointain
Souvenir éparse au gout amer
Et longe les mers de souvenir
Trop longue dérivé de mon cœur

Solitude berce mon chaos
De sa béatitude mortuaire
J’y plonge souvenir de guerre
Et je saigne des mots

Se répand inspiration insipide
Une froide journée ensoleillée
Baigne sans de ce désir austère
Un souvenir en bière

Silence d’une mort éminente
Craque les derniers os de ma chair
Tombe dans les rouages de l’éternité
Mon corps et mon âme brisé


[hrp] Pour ceux qui aurait pas compris encore c'est la mort RP du personnage [/HRP]